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samedi 26 février 2011

Livre: sur Wikileaks et le hacker Mendax

Inside WikiLeaks


Julian Assange, créateur du site Wikileaks, a décidé d'attaquer en justice son ancien collègue, Daniel Domscheit-Berg, pour son livre Inside Wikileaks: dans les coulisses du site Internet le plus da

ngereux du monde

Julian Assange, cyberactiviste australien et fondateur du site Wikileaks, a déclaré jeudi 10 février, entamer des poursuites contre celui qui était considéré comme le numéro deux de Wikileaks, Daniel Domscheit-Berg. Ce dernier a publié en Allemagne un livre choc sur les dessous de Wikileaks, Inside Wikileaks : dans les coulisses du site Internet le plus dangeureux du monde, dans lequel il reproche à l'australien d'être "parano", "avide de pouvoir" et "mégalo". Il l'accuse également de mensonge et de manque de transparence dans l'administration du site. Sa publication en France est prévue pour le 16 février.
La parution de la traduction française d'Underground, un récit biographique d'Assange coécrit avec Suelette Dreyfus en 1997, prévue pour le 24 février aux Editions des Equateurs, devrait jeter une nouvelle lumière sur le personnage. Le livre raconte les débuts de l'homme dans le monde du piratage, lorsqu'il se faisait appeler Mendax. La version originale d'Underground est en accès libre sur le Web, selon le souhait de ses auteurs.
Un Julian Assange menteur, paranoïaque et égoïste : les premiers extraits du livreInside WikiLeaks, publiés notamment par Cryptome, dressent un portrait peu amène du cofondateur du site spécialisé dans la publication de documents confidentiels. Ecrit par Daniel Dommscheit-Berg, l'ancien porte-parole de WikiLeaks pour l'Allemagne, le livre relate les débuts de l'organisation, jusqu'à la brouille définitive entre Assange et Domscheit-Berg.


Une organisation minuscule. Domscheit-Berg lève une partie du voile sur le fonctionnement interne de WikiLeaks, et notamment la manière dont l'organisation a délibérément choisi de faire croire qu'elle comptait de nombreux membres, en multipliant les pseudonymes, alors que seule une poignée d'activistes faisaient fonctionner le site. "Même aujourd'hui, je ne sais pas si certains des noms sont vrais ou s'il s'agit juste d'alias de Julian Assange. 'Jay Lim', par exemple, est responsable juridique. Jay Lim ? Un Chinois, peut-être ? Je ne l'ai jamais rencontré. Et je n'ai jamais rencontré non plus les dissidents chinois qui, d'après la rumeur, ont contribué au lancement de WikiLeaks."
Une opacité financière. L'ancien porte-parole du site explique également que l'organisation, et singulièrement Julian Assange, a un rapport malsain selon lui avec l'argent. Lors de la publication de la vidéo montrant un hélicoptère de l'armée américaine ouvrant le feu sur des civils en Irak, "Les chaînes de télévision nous ont appelé pour savoir si elles pouvaient utiliser la vidéo, si nous en avions une version en haute définition, et combien cela coûtait. Nous nous sommes mis d'accord pour dire que les chaînes devraient faire un don à WikiLeaks, ou, si leurs statuts l'interdisaient, de nous rémunérer pour les interviews. Le fait de recevoir de l'argent pour diffuser la vidéo m'a laissé un mauvais arrière-goût dans la bouche", écrit Domscheit-Berg. L'ancien porte-parole relate également que Julian Assange avait refusé de rembourser deux volontaires islandais qui s'étaient rendus en Irak pour recouper les informations de la vidéo, leur conseillant de créer leur propre fondation pour recevoir des dons.
Un leader médiatique mais égotiste. D'après les premiers extraits, Domscheit-Berg dresse un portrait très critique de Julian Assange, à qui il reconnaît cependant un important charisme et une volonté de fer. Il décrit également un homme à qui les médias font tourner la tête, qui décide d'embaucher des gardes du corps et aime se vanter de ses conquêtes féminines. Un homme qui n'hésite pas non plus à réinventer son passé ou à mentir, en affirmant par exemple que des documents ont été vérifiés alors que ce n'est pas le cas.
Des documents non sécurisés. L'un des principaux reproches que fait Domscheit-Berg au fonctionnement interne de WikiLeaks concerne le processus de soumission de documents. L'ancien porte-parole juge que le système était insuffisamment sécurisé, et lors de son départ de l'organisation, il a pris les documents auxquels il avait accès. Un vol pur et simple, pour Julian Assange ; Domscheit-Berg se défend en expliquant que "les enfants ne devraient pas pouvoir jouer avec des armes à feu. C'est pourquoi nous avons décidé de retirer le contrôle de la plate-forme d'envoi à Julian". Domscheit-Berg a lancé il y a deux semaines OpenLeaks, une alternative à WikiLeaks, mais il affirme qu'il ne publiera pas les documents "empruntés" à WikiLeaks.
Immédiatement après la publication des premiers extraits du livre, WikiLeaks apublié un communiqué dans lequel l'organisation minore le rôle joué par Domscheit-Berg dans l'organisation, expliquant que l'ancien porte-parole pour l'Allemagne ne faisait pas partie des membres fondateurs et ne faisait plus partie de l'organisation depuis avril 2010. L'organisation affirme également avoir "engagé des poursuites judiciaires contre notre ancien employé", pour "sabotage". Des poursuites qui seront vraisemblablement difficiles à mener à terme : WikiLeaks n'est pas une entreprise, et Domscheit-Berg n'était pas salarié. L'absence de statut légal a d'ailleurs servi l'organisation, lui permettant d'échapper à des poursuites aux Etats-Unis.
PS. Tandis que les éditions Robert Laffont publieront, en avril prochain, l'autobiographie de Julian Assange, les éditions des Equateurs annoncent pour le 24 février la sortie d'«Underground», un livre publié en 1997 en Australie dans lequel Assange évoque sa vocation de pirate informatique, à l'époque où il se faisait appeler Mendax. Le livre, qui se trouve en accès libre en VO, sera préfacé par Florence Vasseur.

REF . : Le Monde.fr ; REF.: lexpress,

Livre ésotérique pour les jeunes: Le cordon d' argent , tome 3



Cordon d'argent (Le) t. 03 : À la recherche du Grand Monarque


par l'auteur Michel Fréchette, 1950-


Quelques quatrains énigmatiques du célèbre prophète Nostradamus conduisent Nadia, Caroline et Steven dans les profondeurs des Catacombes de Paris à la recherche du mystérieux Grand Monarque. Faute d'y trouver le légendaire personnage, leur périple dans la Ville Lumière les amène à faire la connaissance d'une femme au coeur de pierre. Une femme qui découvre qu'elle en a gros sur le coeur à l'encontre d'une certaine Grande Prêtresse de l'Atlantide.

Tandis que Nadia poursuit ses recherches à Paris, Caroline et Steven rejoingnent Swilly sous les ruines de Pise afin de découvrir une "anomalie terrestre". Une faille qui les conduit jusqu'au coeur de l'empire maléfique où les sang-mêlé attendent, depuis des siècle, l'arrivée du Grand Libérateur.

Le Cordon d'argent, véritable saga initiatique.


REF.: et les autres tomes ,


Apple dévoile sa gamme de MacBook Pro: Sandy Bridge et Thunderbolt alias Light Peak


Le site web d'Apple vient de dévoiler les nouveaux modèles complétant sa nouvelle gamme de MacBook Pro. Au menu de cette gamme d'ordinateurs haut de gamme: des processeurs quadricoeurs, l'architecture Sandy Bridge d'Intel et la technologie Light Peak.

Apple a présenté trois versions de MacBook Pro: de 13 pouces, de 15 pouces et de 17 pouces. Ils embarquent des processeurs Intel Core i5 et i7 en version double coeur et, pour la toute première fois, aussi en version quadricoeur.

13poucesdès1249$

Deux modèles de MacBook Pro de 13 pouces existent.(1,249$) Ils sont dotés de processeurs, à architecture Sandy Bridge, Intel double cœur i5 cadencé à 2,3 GHz ou de l'Intel double coeur i7 (2,7 GHz). Apple indique sur son site web que ces modèles sont jusqu'à deux fois plus rapides que la génération précédente. Alors que la mémoire vive est de 4 Go (1333 MHz), le disque dur peut avoir une capacité de 320 Go ou de 500 Go. Sa résolution est toujours de 1280 x 800 p et l'ordinateur intègre la solution graphique Intel HD 3000.

LesMacBookPro15poucessevendront1849$

Ce modèle 15 pouces a 1849$ se décline aussi en deux versions, se distinguant au niveau de la capacité du disque dur: l'un de 500 Go et l'autre de 750 Go. Les deux sont dotés d'une mémoire vive de 4 Go (1333 MHz) et fonctionnent grâce à un processeur Intel quadricoeur i7 à 2,3 GHz. La carte graphique est une AMD 6750 et le lecteur de cartes mémoire SDXC équipe ces deux modèles.

Les17poucessevendrontàpartirde2499$

Comme dans le cas des modèles de 15 pouces, le 17 pouces(2499$) est équipé d'un processeur Intel i7 quadricoeur, mais celui-ci est cadencé à 2,2 GHz. Doté de 4 Go de mémoire vive (1333 MHz) et de 6 Go en cache, il peut se fier à un disque dur de 750 Go. Ces modèles embarquent aussi une carte graphique ATI Radeon HD 6750M de 1 Go.

Finalement, Apple a doté ses MacBook Pro de la technologie Light Peak, qui change de nom pour l'occasion en devenant Thunderbolt. Ce dernier pourrait atteindre des vitesses de transfert de l'ordre de 10 Gb/s.

De plus, ces nouveaux ordinateurs haut de gamme intègrent une webcam HD, compatible avec la vidéoconférence FaceTime HD d'Apple, qui présente une résolution qui serait jusqu'à trois fois plus importante que celle de la génération précédente.

L'ensemble des modèles de MacBook Pro est certifié Energy Star 5.0 et EPEAT Gold et présentent une autonomie, en mode Wi-Fi activé, de 7 heures. Les MacBook Pro sont munis de Mac OS X Snow Leopard et de la suite iLife d'Apple.

Mise à jour: Intel a confirmé que sa technologie Thunderbolt sera exclusive à Apple jusqu'en 2012.

Nota: Port Mag Safe,

Thunderbolt : Télécharger un BluRay en 30 secondes,adieu USB 3.0

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Intel vient enfin de lancer la première déclinaison commerciale du concept Light Peak : la technologie Thunderbolt !

Intel avait dévoilé sa technologie Light Peak dans le cadre de l'IDF 2009. Cette technologie semblait prometteuse, mais sa mise en place nous paraissait alors problématique, pas tant pour des raisons techniques que pour des raisons commerciales. Le géant de Santa Clara nous a convié hier à une conférence de presse au cœur de San Francisco. Il y a présenté la première déclinaison commerciale de Light Peak, connue sous le nom de Thunderbolt. Cette interface du futur est disponible dès aujourd'hui dans la nouvelle génération de MacBook Pro, lancée en parallèle par Apple. Ces ordinateurs portables inédits débarquent alors que la firme de Cupertino s'apprête à dévoiler son iPad 2, également à San Francisco.

Revenons à nos moutons. Light Peak est une technologie qui a été développée pour répondre à plusieurs problèmes, ou tout du moins, des paradoxes. Les utilisateurs consomment toujours plus de contenus, et ils veulent accéder à ces médias via des appareils toujours plus compacts. Dans le même temps, l'industrie est toujours incapable de limiter le nombre de câbles qui fédère la vie numérique en 2011. Light Peak devait donc être une interface optique ultra-rapide, supportant de multiples protocoles. Une façon simpliste de définir cette technologie aurait été de la considérer comme le câble ultime des stations d'accueil.

Pour une multitude de raisons (la principale étant le coût), l'option optique n'a pas été choisie pour cette première déclinaison commerciale qui se contente donc d'une paire de cuivres. Le nombre de protocoles a également été réduit à deux : PCI Express et DisplayPort. Thunderbolt adopte d'ailleurs le connecteur DP. Pour profiter de cette nouvelle interface, il faudra cependant disposer d'une chaine entièrement compatible (ordinateur, câbles et périphériques). Intel propose donc un contrôleur qui vient se positionner derrière le chipset et le processeur, auquel il se connecte à la fois via un lien PCIe x4 et par un lien DisplayPort (ce dernier peut également provenir d'une carte graphique).

Au final, Thunderbolt va donc « sortir » de l'ordinateur l'interface PCI Express. Un périphérique compatible avec cette technologie nécessite donc simplement un contrôleur adapté (SATA vers PCIe par exemple). Aucun stack/pilote n'est nécessaire. Les latences sont réduites au strict minimum, de même que la consommation CPU. Le contrôleur Thunderbolt se chargera également de séparer les liens DisplayPort et PCI Express. Cette puce offre canaux bi-directionnel de 10 Gb/s (contre 5 Gb/s pour le SuperSpeed USB 3.0). Il est possible de chaîner plusieurs périphériques les uns à la suite des autres, en sachant que la longueur maximale d'un câble Thunderbolt sera d'environ 3 mètres.

En matière de performances, Intel nous a fait une petite démonstration avec l'un des nouveaux MacBook Pro d'Apple et un NAS qui sera commercialisé par Promise. La copie d'un fichier de 4,5 Go ne prenait que quelques secondes. Mieux encore, quatre flux Full HD 1080p étaient lus depuis le NAS, et renvoyés vers un Apple LED Cinema Display. Débit nécessaire pour cette opération : entre 600 et 700 Mo/s ! Techniquement parlant, Thunderbolt semble parfait. Là où le bât blesse, c'est comme nous l'avions craint au niveau commercial.

Intel propose sa technologie sous la forme d'une sorte de SDK à ses partenaires. Aucune licence à proprement parlé n'est prévue à l'heure actuelle, il faudra donc faire avec le contrôleur du géant de Santa Clara. Ce dernier est resté très discret sur les coûts de Thunderbolt. Tout juste sait-on que les câbles seront au niveau des solutions équivalentes en terme de positionnement (comprendre FireWire).

En matière d'adoption, Intel travaille avec plusieurs grandes marques, malgré le fait que pour l'instant seul Apple ait franchi le pas. On nous a cependant promis une évolution rapide de la situation. Notons également que si rien n'empêche l'installation du contrôleur sur une carte fille, cela n'est pas prévu à l'heure actuelle. L'intégration de Thunderbolt directement dans les futurs chipsets Intel est également marquée d'un point d'interrogation. En matière de périphériques, plusieurs marques ont déjà apporté leur soutien à Intel : Promise, LaCie, Western Digital, Seagate, etc.

Concluons avec une fenêtre sur le futur. Le développement de Light Peak continue, et Intel devrait proposer des câbles optiques assez rapidement pour certaines utilisations particulières (longues distances). Notons également que si la version cuivre de Thunderbolt est capable d'alimenter un périphérique (10 watts maximum), cela ne sera pas le cas en optique. À terme, une évolution de Thunderbolt 100% optique devrait voir le jour, mais sous un autre nom. Ses usages pratiques possibles devraient, d'ici là, avoir été multipliés.




Intel a confirmé que sa technologie Thunderbolt sera exclusive à Apple jusqu'en 2012.

vendredi 25 février 2011

Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo

France - Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo
Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question.

PARIS - Développeurs, éditeurs, critiques ou joueurs: le réseau social Pixwoo, lancé mardi, espère fédérer et mettre en relation les différentes composantes du monde du jeu vidéo avec une plate-forme spécifiquement pensée pour cette industrie.

«Il fallait pouvoir rassembler le jeu vidéo sur un même réseau et permettre le partage de vidéos, infos, records,etc. Le site a été développé en intégrant tous ces paramètres», explique Pascal Vielhescaze, directeur associé de Spidergames, le groupe à l'origine du projet.

Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question. Mais Pixwoo cherche aussi à créer une passerelle avec les professionnels du jeu vidéo, qui pourront gérer les pages de leurs jeux ou proposer des emplois.

«Nous avons une quarantaine de partenaires qui sont d'accord pour participer à Pixwoo», se réjouit M. Vielhescaze, citant notamment Ubisoft ou Sony.

Pixwoo ne permet pas, toutefois, de jouer à des jeux sur ses pages, contrairement à Facebook par exemple, car cela «dénaturerait son concept qui est de mettre en relation les gens autour du jeu, pas de les faire jouer», souligne le directeur associé.

D'autres réseaux sociaux parlant du jeu vidéo existent, à l'image de Gamersband qui veut faire se rencontrer des joueurs habitant à proximité l'un de l'autre.


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