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mercredi 9 mars 2011

Soins a domicile: La solution : Volet Social/Chèque Emploi Service

C'est quoi ?
C'est un service offert par subvention via CLSC aux usagers qui veulent gérer leurs soins a domicile en employant leurs Préposés/asisstants a la personne/auxilliaires familliales.....................C'est ce que les CLSC de la province de Québec ne peuvent offir ,par manque de budget! Alors c'est sûre que les ressources du CLSC ne vous en parleront pas !

Lisez-cette articles (ci-dessous)du journal de Mtl,pour comprendre ,ce que la population veut faire passer aux CLSC :(imagine,.............le résultat du test pour 2013 ,.....une joke ! )

Soins de santé - Québec lance une vaste étude
Les répondants sélectionnés aléatoirement recevront une lettre pour les informer de leur sélection.

MONTRÉAL - Afin d’évaluer la restructuration des soins de santé ayant mené à la création des Centres de santé et de services sociaux (CSSS) en 2004, le ministère de la Santé lance une vaste étude auprès de quelque 46 000 Québécois aux quatre coins de la province.
Menée par l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), l’Étude québécoise sur l’expérience de soins de santé et des services sociaux portera notamment sur l’accessibilité, la continuité et l’efficacité des soins et permettra «de dresser un portrait de la situation et de voir si elle s’est améliorée», explique Rosanna Paradis, chargée de projet de l’enquête.
L’échantillonnage sera bâti de manière à obtenir un portrait représentatif du bassin démographique des 95 territoires couverts par les différents CSSS, ce qui permettra de faire l’état de la situation dans les différents secteurs, a précisé Mme Paradis, qui ajoute qu’il s’agit d’une des plus larges études portant sur la santé effectuée par l’ISQ. Les répondants sélectionnés aléatoirement recevront une lettre pour les informer de leur sélection. Et bien qu’on estime pouvoir obtenir des résultats représentatifs avec un taux de participation de 68 %, l’ISQ souhaite ardemment qu’ils soient beaucoup plus nombreux à se prêter au jeu afin de maximiser la précision des résultats.
«L’enquête se fera par téléphone et l’appel a une durée de 18 à 20 minutes. […] En acceptant, ils nous aident, mais ils s’aident eux-mêmes, car l’étude permettra d’adapter les services aux besoins de la population», insiste la chargée de projet.
À la suite de cette collecte de données, l’ISQ lancera une étude sur les limitations d’activité, les maladies chroniques et le vieillissement. Pour la mener, l’Institut sollicitera, parmi les répondants à la première étude, 14 000 personnes jugées vulnérables, qui ont des limitations dans leurs activités, qui souffrent de maladies chroniques ou qui ont 65 ans ou plus.





Et OUI,.....................

Les Québécois sondés sur la qualité des soins de santé

Agence QMI
Johanne Roy
03/03/2011 18h50
Étude - Les Québécois sondés sur la qualité des soins de santé
Les résultats sont rendus publics au cours du premier trimestre de 2013.

QUÉBEC - L'Institut de la statistique du Québec mène deux vastes études auprès de la population afin de connaître son point de vue sur l'accès aux soins, l'utilisation des urgences et l'efficacité des soins.
C'est la première fois que l'on sonde la population québécoise sur ces questions de manière aussi étendue et pointue, signale Rosanna Baraldi, chargée de projet à l'Institut.
Pas moins de 60 000 Québécois âgés de 15 ans et plus, choisis au hasard dans toutes les régions, seront contactés par téléphone d'ici la fin de l'année. La plupart de ces personnes recevront au préalable une lettre les informant que l'Institut communiquera avec elles.
La première étude porte sur l'expérience de soins de santé et de services sociaux, tandis que la deuxième concerne les limitations d'activités, les maladies chroniques et le vieillissement.
Les informations recueillies permettront d'ajuster les services offerts en fonction des besoins de la population, tout en tenant compte des réalités locales. La participation à ces études est volontaire, mais très importante, souligne-t-on. La Loi sur l'Institut de la statistique du Québec garantit la confidentialité de tous les renseignements recueillis.
Les résultats sont rendus publics au cours du premier trimestre de 2013.


REF.: Canoe ,

mardi 8 mars 2011

PLQ considérait que Revenu Québec détenait des pouvoirs démesurés

Selon l’opposition - Revenu Québec est allé trop loin
Jean-Yves Archambault
© Agence QMI
A vouloir détruire les PME une par une,comment créer de l'emploi,plus tard ? et avec quoi ?
Quant on a affaire a des bureaucrates robotisés du Ministère de la misère ,rien n'est surprenant ,.............bientôt des fonctionnaires auront des remords , a vouloir travailler pour la Machine Capitaliste Étatique !

Revenu Québec est allé trop loin ?



MONTRÉAL – L'histoire de Jean-Yves Archambault, cet entrepreneur qui prétend avoir tout perdu en raison de l'acharnement de Revenu Québec, a fait réagir l'opposition. Mardi matin, l'opposition s'est inquiétée de l'agressivité de Québec dans ce dossier.

EN VIDÉO:
Revenu Québec est allé trop loin

Le ministre des Finances Raymond Bachand a décidé de combler une partie de son déficit en intensifiant l'effort de recouvrement fiscal auprès des contribuables récalcitrants, mais l'opposition a estimé que les efforts du ministère étaient disproportionnés.

Québec solidaire s'était intéressé par le passé au cas de M. Archambault. Il avait même signalé ce cas au ministre des Finances, mais sans résultat. «Ça veut dire quoi, s’est demandé Amir Khadir, que l’on s'attaque aux petites et moyennes entreprises sur lesquelles repose déjà une bonne partie des impôts?»

Le député de Mercier a déploré qu'on laisse échapper «les Cinar de ce monde, les Vincent Lacroix, et même Alcan qui a reporté son impôt de 1,2 milliard pendant 10 ans».

Du côté du Parti québécois, Nicolas Marceau a dit souhaiter que Québec prenne des mesures pour qu'un tel cas ne se reproduise pas. «Il faut s'assurer que les logiciels qu'on utilise et les employés que l’on forme ne ciblent pas des gens qui sont innocents», a commenté le député.

Le comportement du gouvernement est étonnant dans cette affaire, car TVA Nouvelles a mis la main sur un document daté de 1999 - le Parti libéral du Québec était alors dans l'opposition - dans lequel on peut lire que le PLQ considérait que Revenu Québec détenait des «pouvoirs démesurés».

Le Barreau du Québec était d'accord avec cette position et exigeait des modifications à la loi.

M. Archambault réclame 12,7 millions de dollars au ministère du Revenu. Ses problèmes ont commencé en 2006 quand Revenu Québec a exigé qu'il verse 325 000 dollars en taxes impayées. Le coup fatal lui a été porté en 2008 quand son compte d'entreprise a été saisi, sans avis final, ni oral ni écrit.

Cette saisie a définitivement ruiné la crédibilité de son entreprise auprès de ses clients et a précipité la mise sous la protection de sa compagnie.


REF.:

windows 7 + nuage :

http://www.microsoft.com/canada/fr/windows/cloud/

pour vos photos a partager !

lundi 7 mars 2011

Micro paiement et jeux sociaux(web 2,0)









À l’occasion de l’arrivée de Playfish au Québec, nous sommes allés rencontrer le directeur du nouveau studio Montréalais Alex Hyder pour en savoir plus sur la stratégie de cette compagnie spécialisée dans les jeux sociaux gratuits, et qui a fondé ses revenus sur les micros paiements.

Alex Hayder, président de Playfish nous explique cette décision : «Je suis un ancien d’EA Montréal. Playfish voulait lancer un groupe pour développer sur plateforme mobile et cherchait une place pour développer des jeux. Montréal est une place qui compte beaucoup de talent, le choix a donc été facile de décider de s’implanter ici».

D’ici la fin de l’année, Playfish devrait embaucher cinquante personnes. Outre les programmeurs artistes et designers habituels, une partie des programmeurs sera affectée à gérer l’infrastructure de Playfish.

«Dans les programmeurs, il y a de la programmation serveur à haut rendement et hautes performances, ça ne va pas être des gens qui viennent du milieu du jeu, mais qui peuvent venir de la finance ou d’autres domaines où ils développent des systèmes de serveurs».

La petite équipe déjà en place a commencé à travailler sur son premier jeu qui devrait sortir dans le courant de cette année.

Rentabilité des micro paiements

Playfish est l’un des plus importants studios mondiaux de développement de jeux sociaux. Disponibles gratuitement sur Facebook, ils sont joués par plusieurs millions de personnes, à l’image de Pet Society fort d’une communauté de plus de 11 millions de joueurs.

Mais comment faire de l’argent alors avec un jeu gratuit? C’est là qu’entrent en ligne les micros paiements. Des contenus supplémentaires sont disponibles pour des sommes dérisoires. Le joueur achète une carte de points ou verse quelques dollars de réserve à Playfish, et peut ainsi se procurer de nouveaux éléments de jeu qui seront déduits de la somme versée.

«L’une des forces de Playfish c’est de connaître le modèle des micros paiement et de savoir comment ça marche. Avoir un jeu qui est gratuit dès le début est l’assurance que beaucoup de monde va embarquer. Playfish a développé une économie qui fonctionne. Je ne peux pas donner de chiffres, mais ça représente une somme importante, c’est un business qui est rentable», explique Alex Hayder.

Quant à la façon de faire connaître le jeu, la méthode de communication est différente. «Dans le jeu social, le plus important c’est les connexions entre les gens et qu’ils s’invitent entre eux, c’est totalement viral. Le meilleur moyen d’attirer les gens, ce sont des réseaux d’amis qui s’invitent à jouer ensemble», explique Alex Hyder.

Le suivi d’un jeu est lui aussi très important, une fois le jeu lancé, le développement peut continuer plusieurs années tant que le jeu reste rentable.

Alex Hyder conclut : «Le online change continuellement, on a le luxe de créer le jeu en fonction de la réaction des joueurs, on imagine ce que les gens vont aimer, puis on s’assoit pour voir la réaction des joueurs. Quand ils n’aiment pas, on crée du contenu et on améliore le jeu en fonction des critiques».


REF.:

Astuce OpenOffice : transformez les chiffres en lettres

Vous souhaitez écrire un nombre en toutes lettres afin, par exemple, de remplir automatiquement un contrat ? Voici comment procéder.

Bien qu'OpenOffice n'offre pas cette possibilité, il existe une macro, disponible gratuitement sur le site des extensions OpenOffice, permettant la conversion de valeurs financières en texte français. Cette macro peut tenir compte des spécifications locales (quatre-vingt-dix en France ou nonante en Belgique, par exemple).

Pour l'obtenir, ouvrez dans votre navigateur sur cette page. Cliquez sur le bouton Get it!. Cliquez sur le bouton Ouvrir afin de lancer automatiquement le gestionnaire de macro. Cliquez surOK puis Accepter pour confirmer l'installation.

Cliquez sur Fermer puis quittez et relancez OpenOffice (Calc par exemple). Une barre d'outils (Chiffres en lettres) de deux icônes est créée. Déroulez le menu Outils, Add-ons, Réglages chiffres en lettres. Cochez les cases France Canada, Demande choix, A droite etdemande confirmation. Validez par OK.

Pour transformer un nombre en texte, saisissez ce nombre dans une cellule puis cliquez sur l'icône 1un ou déroulez le menu Outils, Add-ons, Conversion chiffres en lettres. Le texte apparaît dans la cellule voisine.


REF.: