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lundi 11 avril 2011

Loris is so cute ;-)

slow loris with a tiny umbrella 

Vol de 100 millions d'adresses électroniques aux USA

Cybercriminalité - Vol record d'adresses électroniques aux États-Unis
Banques, hôtels, commerces sont parmi les entreprises qui ont mis en garde leurs clients contre le risque de courriels frauduleux. 
© AFP
Cybercriminalité

Vol record d'adresses électroniques aux États-Unis

Les auteurs de ce qui pourrait bien être le plus important vol de données informatiques de l'histoire des États-Unis, réalisé au détriment de la société Epsilon, prévoient vraisemblablement de les vendre à des escrocs du nets, selon des experts en sécurité informatique.
À LIRE ÉGALEMENT: Comment se protéger des cyberattaques
L'entreprise de marketing en ligne Epsilon, dont le siège est au Texas, a annoncé cette semaine que des pirates informatiques s'étaient introduits dans sa base de données pour dérober des listes de noms et d'adresses électroniques de clients de groupes bancaires et commerciaux américains.
Et les experts craignent que ce ne soit qu'une question de temps avant que ces centaines de millions de noms et d'adresses électroniques tombent entre les mains de cyber-criminels.
Banques, hôtels, commerces sont parmi les entreprises qui ont mis en garde leurs clients contre le risque de courriels frauduleux.
«C'est une sorte de Who's who de la banque et du commerce de détail», a souligné Nicholas Percoco, qui dirige l'équipe SpiderLabs de la société de sécurité informatique Trustwave.
Sont concernés, entre autres, les chaînes d'hôtels Hilton et Marriott, le géant des télécoms Verizon, la chaîne de pharmacie Walgreens, les magasins Best Buy ou Target, les banques Citigroup, JPMorgan Chase ou Capital One.
Un vol record Les experts estiment qu'en termes de volume de données, le vol dont Epsilon a été victime pourrait constituer un record.
Selon Nicholas Percoco, il pourrait avoir porté sur 100 millions d'adresses électroniques.
Marian Merritt, de la firme Symantec, qui commercialise l'anti-virus Norton, estime que si des violations de données sont courantes, «tout porte à croire que celle-ci est la plus grosse de l'histoire».
Pour Joris Evers, expert de sécurité chez McAfee, «la bonne nouvelle, c'est que ce ne sont que des noms et des adresses électroniques et des liens avec les compagnies avec lesquelles vous avez été en relations», dit-il.
«Ce n'est pas votre numéro de carte de crédit, ou votre numéro de sécurité sociale ou votre adresse personnelle», qui «peuvent être utilisées immédiatement à des fins beaucoup plus néfastes», explique cet expert.
Ventes des adresses volées Par ailleurs, «nous avons regardé, depuis l'annonce de ce vol, si des spams ou des escroquerie ou des sites frauduleux avaient tenté d'en tirer parti, et nous n'avons rien vu pour l'instant», note-t-il.
Mais cela signifie peut-être que les hackers qui sont derrière cette opération veulent vendre ces adresses à des criminels du net.
«Il peut y avoir des gens qui achètent et vendent des bases de données volées», souligne Marian Merritt. Les cyber-criminels «ont votre nom, -pas votre nom d'utilisateur mais votre vrai nom-, votre adresse mail et les noms des entreprises avec lesquelles vous êtes régulièrement en relations», poursuit-elle.
Tactique frauduleuse : «phishing» «Vous êtes déjà d'accord pour recevoir des informations provenant de ces entreprises», explique cette experte. «Donc les cyber-criminels ont de très bonnes informations qu'ils peuvent utiliser à vos dépens».
Les escrocs du net peuvent en effet se servir de ces données pour pratiquer ce qu'on appelle le phishing. Par exemple, explique Joris Evers, «vous avez acheté récemment quelque chose à (la chaîne de vêtements) LL Bean. Vous recevez un courriel qui dit: «nous voulons confirmer votre commande, cliquez ici», et vous atterrissez sur un site internet qui infecte votre ordinateur».
«Ou bien on vous demande de taper à nouveau votre numéro de carte bancaire pour être sûr que votre commande sera passée, et toc, vous avez donné votre numéro de carte bancaire».
Quelle que soit la forme qu'elles prendront, ces attaques vont avoir lieu, prédisent les experts. «Ils ne sont pas allés chercher ces adresses électroniques et ces noms pour le seul plaisir de les avoir», souligne Nicholas Percoco. «Ils vont s'en servir».


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Noix de grenoble: Une mort après une infection à la bactérie E. coli

Noix de grenoble - Une mort après une infection à la bactérie E. coli
 

Les autorités de santé publique rapportent le décès d’un Québécois infecté par la bactérie E. coli, une autre personne souffre de complications rénales graves. Ces cas sont selon toute vraisemblance liés à la consommation de noix de Grenoble écalées naturelles. Au Québec, sept des personnes atteintes ont été hospitalisées. L’une d’elles souffrait déjà de problèmes de santé et a succombé à cette infection sévère, a fait savoir mercredi une porte-parole du ministère de la Santé, Nathalie Lévesque.
Une deuxième personne a développé un syndrome hémolytique et urémique pouvant causer des dommages permanents aux reins.
L’Agence de santé publique du Canada enquête actuellement sur la présence de la bactérie E. coli 0157:H7 au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick. On signale jusqu’ici 13 cas d’infection au pays, dont neuf plus sérieux qui ont nécessité des soins hospitaliers.
Noix retirées
L’Agence canadienne d’inspection des aliments a d’ailleurs procédé, lundi, au rappel des noix de Grenoble crues écalées potentiellement contaminées. Celles-ci sont vendues en vrac ou emballées sous les marques Amira, Tia et Sélection Mérite.
Les noix suspectes ont été mises sur le marché entre le 1er janvier et le 4 avril 2011.
Afin de réduire les risques de contamination, les consommateurs doivent faire cuire les noix de Grenoble sur une plaque de cuisson, à 350 degrés (175 degrés Celsius) pendant dix minutes, en les retournant une fois après cinq minutes.
Symptômes
L’infection à l’E. coli provoque d’intenses douleurs abdominales et une diarrhée sanglante. La plupart des gens récupèrent dans les sept à dix jours suivants. Certaines personnes plus à risque (femmes enceintes, jeunes enfants, personnes âgées ou affaiblies) peuvent cependant souffrir de graves complications.
Les autorités de santé publique recommandent donc de consulter immédiatement un professionnel de la santé, s’il l’on soupçonne la présence d’E. coli.
La bactérie se transmet par ailleurs facilement d’une personne à une autre, d’où l’importance d’une bonne hygiène et de la manipulation sécuritaire des aliments.
L’an dernier, on a rapporté 76 cas d’infection à l’E. coli, au Québec, ce qui était le plus bas taux des cinq dernières années.


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samedi 9 avril 2011

En 2010, une hausse de 93 % des cyberattaques

Sécurité informatique - Hausse vertigineuse de la cybercriminalité
 
Sécurité informatique

Hausse vertigineuse de la cybercriminalité


TORONTO – Le nombre de cybercrimes a presque doublé de 2009 à 2010, et les réseaux sociaux et les téléphones intelligents sont particulièrement dans la mire des malfaiteurs, selon un nouveau rapport. La firme Symantec, qui se spécialise dans la sécurité informatique, a répertorié plus de 286 millions de cyberattaques en 2010, une hausse de 93 % sur l'année précédente.
Une grande partie des activités illicites se fait sur les réseaux sociaux, souligne le rapport.
Les pirates informatiques préfèrent maintenant les médias sociaux aux plateformes traditionnelles, comme les courriels, en raison de leur popularité et de leur vulnérabilité.
Par exemple, les internautes mentionnent souvent pour quelle compagnie ils travaillent sur les réseaux sociaux, et dressent la liste de leurs collègues.
Bien que cela semble inoffensif, Symantec indique que les pirates informatiques utilisent ces informations pour dénicher les protocoles des courriels de l'entreprise (prenom.nomdefamille@compagnie.com), et créer de fausses identités.
Résultat: ce qui semble être un courriel d'un collègue peut être celui d'un pirate informatique et contenir des pièces jointes et des liens malveillants.
Symantec conseille aux gens de surveiller les adresses URL écourtées qui peuvent cacher des liens dangereux.
Au chapitre des tablettes électroniques et des téléphones intelligents, la prudence est de mise au sujet des applications, conseille le rapport, puisque certaines d'entre elles procéderont à l'installation de logiciels malveillants.
Le rapport indique que les téléphones utilisant le système Android de Google sont les plus vulnérables à ce chapitre.

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jeudi 7 avril 2011

Le Commodore 64 est de retour

Le Commodore 64 est de retour
Cinq versions de la console seront proposées, variant de 250$ à 900$. 
© Archives

Près de 30 après son lancement, le Commodore 64 est de retour. Si l’esthétique demeure la même, les améliorations techniques, elles, sont nombreuses.
Cinq versions de la console seront proposées, variant de 250$ à 900$. Selon le modèle choisi, il est possible de disposer de 2 ou 4 Go de RAM, d’un lecteur Blu-ray, d’un graveur DVD, de ports USB, de connectivité Bluetooth et Wi-Fi et d’un espace de stockage allant de 160 Go à 1 To.
Toutes les versions du Commodore 64 sont équipées d’un processeur Intel Atom D525 Dual Core à 1,8 Ghz et d’une carte graphique NVIDIA Ion 2.
Il est possible de pré-commander la console par le biais du site officiel, pour une livraison à partir de mai ou juin prochain. http://www.commodoreusa.net/CUSA_Home.aspx
Toutes les commandes incluent Ubuntu 10.04, Commodore OS 1.0 et une collection de jeux tirés du catalogue du C64.

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