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jeudi 21 avril 2011

Jour de la Terre à Montréal 24 tonnes de matériaux désuets collectées

Jour de la Terre à Montréal - 24 tonnes de matériaux désuets collectées
 
© Joel Lemay/ Agence QMI

MONTRÉAL – Dans le cadre du Jour de la Terre, une collecte de matières dangereuses et de matériel informatique et électronique a été offerte à des entreprises du centre-ville de Montréal, jeudi. Au total, plus de 24 tonnes ont été amassées. Au total, 4,3 tonnes de matières dangereuses, 20 tonnes de matériel électronique et 15 000 m (50 000 pi) linéaires de néons qui ont été récoltés à l’angle des boulevards René-Lévesque et Saint-Laurent.
Née il y a sept ans, l’initiative organisée par divers écoquartiers vise principalement les petits commerces.
«Il y a une faille dans la réglementation québécoise (…). Les petits commerces n’ont pas accès au service citoyen et doivent négocier des ententes avec des collecteurs privés, mais pour avoir un prix raisonnable, elles doivent générer une quantité relativement importante de matières, ce qui n’est pas souvent le cas pour elles», a indiqué Marie-Noëlle Foschini, directrice de l’écoquartier Sainte-Marie.
Afin de remédier à cette situation, la collecte offre à ses participants un crédit de 200 $, provenant de subventions de la part de l’arrondissement Ville-Marie.
Des piles, de la peinture et du cyanure
Parmi les matériaux le plus fréquemment rapportés, on trouve notamment des batteries, de la peinture et des néons, mais dans certains cas, des matières plus dangereuses.
«Il est déjà arrivé qu’on nous amène du cyanure. Une année, il y a eu un produit qui a nécessité que nos chimistes sur place aient presque dû enfiler un masque à gaz», a indiqué avec humour Mme Foschini.
Évidemment, afin d’éviter tout accident, les organisateurs de l’événement sont bien équipés et des spécialistes manient toute matière qui présente un niveau de dangerosité quelconque.

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Tablette électronique: Le PlayBook de RIM arrive au Canada entouré d'incertitudes

Tablette électronique - Le PlayBook de RIM arrive au Canada entouré d'incertitudes
RIM vise les 60 millions d'utilisateurs du BlackBerry et attend des entreprises des «dizaines de milliers» de commandes pour le PlayBook. 

TORONTO - Research in Motion devait lancer mardi en Amérique du Nord sa riposte face à l'iPad d'Apple avec sa tablette numérique PlayBook, dont le groupe canadien attend fiévreusement de savoir si elle séduira les consommateurs.
À LIRE ÉGALEMENT: Apple accuse Samsung de plagiat
Projet de loi C-32:«Une taxe PlayBook»
L'enjeu est de la plus haute importance pour RIM, dont le BlackBerry a longtemps été souverain sur le marché des téléphones intelligents, avant que l'iPhone et une multitude d'appareils fonctionnant sous Android, le système d'exploitation de Google, ne viennent marcher sur ses plates-bandes.
Le lancement aux États-Unis et au Canada du PlayBook, qui n'est doté que du WiFi, s'est accompagné de reproches sur l'absence des applications phares de RIM en matière de gestion des courriels et d'agenda.
Les distributeurs tels que Staples ou Best Buy font cependant état de précommandes solides, laissant penser que le PlayBook pourrait être une alternative acceptable à l'iPad. Quelque 20 000 magasins distribuent le PlayBook pour sa sortie sur ces deux marchés.
Certains observateurs font valoir qu'il serait injuste de ne serait-ce que comparer les concurrents à l'iPad, qui a quasiment à lui seul fait de ce marché une réalité après son lancement en avril dernier.
Apple en a vendu presque 15 millions en huit mois en 2010. RIM devrait écouler trois millions de Playbook sur une période équivalente cette année, selon 18 analystes interrogés par Reuters.
PAS DANS LA MÊME COUR
«Il ne va pas jouer dans la même cour que l'iPad», estime Al Hilwa, analyste chez IDC à Seattle. «La question est plutôt de savoir s'il va vendre plus que le Xoom mais moins que le Galaxy», par exemple, ajoute-t-il en référence aux tablettes sous Android de Motorola et Samsung. Le renoncement de Staples à ouvrir ses portes dès minuit pour le lancement du PlayBook illustre aussi la difficulté pour RIM, comme les autres, de concurrencer l'iPad, dont la sortie de la version 2 a suscité un engouement exceptionnel.
Pour l'heure, les spécialistes voient RIM comme un outsider potentiel, capable de s'offrir une part de marché notable mais loin derrière Apple et Android, même s'il réussit à compenser un départ que beaucoup prédisent délicat avec la mise en place de son système d'exploitation QNX, acquis l'année dernière.
Le bureau de recherche Gartner estime qu'un appareil tactile sur dix vendu en 2015 - soit 30 millions - sera exploité sous QNX, système qui devrait également trouver sa place sur le marché des téléphones intelligents dans l'année à venir.
Cela placerait le système de RIM en troisième position derrière Apple, leader avec près de 50% de parts de marché, et Android, deuxième avec un peu moins de 40%, ne laissant qu'une portion congrue à Hewlett-Packard, qui lancera bientôt la tablette WebOS, et quasiment rien à un éventuel appareil sous Windows.
RIM semble devoir compter pour l'essentiel sur sa clientèle traditionnel, les cadres dirigeants qui ont été séduits par l'innovation du BlackBerry lorsque l'e-mail mobile était encore à l'état embryonnaire.
N'ayant su élargir suffisamment le cercle de ses adeptes, RIM vise donc les 60 millions d'utilisateurs du BlackBerry et attend des entreprises des «dizaines de milliers» de commandes pour le PlayBook, qui pâtit en outre d'un manque d'intérêt des opérateurs téléphoniques, en l'absence de connexion cellulaire - une fonction qui devrait être ajoutée en milieu d'année.

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Un premier écran transparent LCD de 22" par Samsung

Samsung - Des écrans transparents pour la grande consommation
Samsung est devenu le premier fabricant à annoncer la production industrielle d'un écran transparent LCD de 22 pouces. 
© Samsung
Samsung

Des écrans transparents pour la grande consommation

La plupart des écrans transparents actuels ne sont que des prototypes ou des accessoires de films de science-fiction, mais dans quelques années, les consommateurs verront ces nouveaux écrans envahir les centre commerciaux, les voitures, et les produits de grande consommation.
«Les écrans transparents offrent de nombreuses possibilités, comme leur intégration à des fenêtres dans les immeubles et les voitures, ou dans les vitrines des magasins», affirme Sarah Han, analyste chez Displaybank.
D'ici 2012, les écrans translucides deviendront des produits de grande consommation. D'ici 2025, on en trouvera 1,17 milliards sur le marché, et ils rapporteront 87,2 milliards de dollars à travers le monde, d'après Displaybank.
Ce mois-ci, Samsung est devenu le premier fabricant à annoncer la production industrielle d'un écran transparent LCD de 22". LG a répliqué quelques jours plus tard en présentant un écran 47 pouces IPS LCD (même si le fabricant n'a pas annoncé ses projets de le produire en masse, et n'a indiqué ni prix, ni date de sortie).
L'analyste coréen Displaybank a publié le rapport Transparent Display Technology and Market Forecast le 14 avril.

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Logiciel de cartographie: Nokia introduit la 3D dans Ovi Cartes

Logiciel de cartographie - Nokia introduit la 3D dans Ovi Cartes
Disponible pour le moment en version bêta, Ovi Cartes 3D devrait s'enrichir de nouvelles villes prochainement. 
© Courtoisie

Vingt métropoles dans le monde se voient présentées en 3D dans la nouvelle version d'Ovi Cartes, le logiciel de cartographie de Nokia.
Disponible pour le moment en version bêta, Ovi Cartes 3D devrait s'enrichir de nouvelles villes prochainement, annonce le constructeur finlandais ce mardi 19 avril.
Dans cette version bêta, les internautes peuvent apercevoir en trois dimensions les métropoles sélectionnées grâce à une vue aérienne. Pour le moment, on peut seulement zoomer ou faire pivoter l'image pour apprécier le détail des éléments. Seules les villes de San Francisco, Londres, Helsinki, Copenhague et Oslo proposent une visualisation à hauteur de rue pour le moment.
Voici la première liste des villes en 3D Ovi Cartes : Barcelone, Boston, Chicago, Londres, Copenhague, Florence, Helsinki, Las Vegas, Los Angeles, Madrid, Miami, Milan, New York, Oslo, Prague, San Francisco, Stockholm, Toronto, Venise et Vienne.

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Reconnaissance faciale sur mobiles : une innovation qui inquiète

Une innovation qui provoque des inquiétudes...

Ecoutez cette chronique  (2'02")


Imaginez... prendre quelqu’un en photo avec votre téléphone mobile et connaître immédiatement son nom, son profil Facebook et tout qui se rapporte à lui ! Un système de reconnaissance faciale connecté à Internet. Voilà le système sur lequel travaillerait Google.
C’est ce qu’affirme un article paru il y a quelques jours sur le site américain de CNN. Mais devant les craintes que suscite un tel système, Google a immédiatement démenti.
Ce qui est sûr, pourtant, c’est que Google propose déjà un service du même genre. L’application "Goggles", sur les smartphones Android, permet d’identifier un monument, une bouteille de vin ou une pochette de disque simplement en la prenant en photo. Le logiciel compare l’image avec celles déjà référencées sur Google. Dès lors, on ne voit pas ce qui empêcherait le moteur de recherche de mettre au point un système identique pour les visages en se basant sur les innombrables clichés présents, par exemple, sur Facebook.
On peut également rapprocher cela d’une autre innovation : la reconnaissance faciale proposée par Apple dans son logiciel iPhoto. L’outil est capable de reconnaître et de trier toutes les photos présentes sur votre ordinateur en comparant les traits des visages. Apple a même racheté l’an dernier une société suédoise, Polar Rose, spécialisée dans ce domaine.
Dans ces conditions, comment ne pas envisager pour bientôt un système de reconnaissance faciale dans les téléphones ? Si c’est pas Google avec Android qui s’y colle, ce sera probablement Apple sur l’iPhone.
Pratique pour ceux qui ne sont pas physionomistes et qui ont toujours du mal à mettre un nom sur un visage. Effrayant, en revanche, si l’on imagine qu’il suffira de prendre quelqu’un en photo pour connaître son adresse et son numéro de téléphone. Google laisse entendre qu’il faudrait évidemment que les personnes concernées aient préalablement donné leur accord.
Conscientes du caractère sensible de cette innovation, les entreprises concernées y vont à pas feutrés. Mais il y a fort à parier que la reconnaissance faciale fera son apparition plus vite qu’on ne pense sur les mobiles.