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vendredi 29 avril 2011

Québec se dote d’un registre des erreurs médicales

Santé - Québec se dote d’un registre des erreurs médicales
Le ministre, Yves Bolduc. 
© Agence QMI / Sébastien St-Jean

MONTRÉAL - Attendu depuis plus de dix ans, le Registre national des incidents et accidents, qui rendra publiques notamment les erreurs médicales de tous les établissements de santé, sera finalement opérationnel dès le 1er mai.
EN VIDÉO:Québec se dote d'un registre
Grâce à ce nouvel outil, les erreurs de traitements, de médicaments ou encore des erreurs au dossier des patients seront donc colligées tout en assurant la confidentialité des patients.
Le registre permettra, selon le ministre de la Santé, Yves Bolduc, d’ «établir des règles générales pour assurer une meilleure gestion des risques» en évitant de reproduire des erreurs fréquentes.
Québec promet donc de rendre disponibles ses données deux fois par année, en décembre et juin.
En 2009, le ministère de la Santé avait obligé tous les établissements de santé à tenir leur propre registre en vertu de la loi 113, adoptée en 2002.
Le ministre Yves Bolduc indique que 74 % d’entre eux ont commencé à transmettre leurs données pour le registre national.
Attente
Afin de justifier l’attente avant de mettre en place ce registre, M. Bolduc affirme que les établissements de santé étaient «hésitants à rendre l’information disponible».
«On ne veut pas chercher les coupables. Si on entretient une culture du blâme, les gens ne veulent plus déclarer», poursuit-il.
Le ministre a tenu à préciser, par ailleurs, que le registre n’offrira pas de garantie pour obliger davantage les établissements à déclarer les incidents et accidents survenus auprès de leurs patients.
Le ministre s’est montré rassurant au sujet des décès survenus dans des établissements de santé, en disant qu’il s’agit «d’une minorité de ce qu’on retrouve dans les accidents» et que «90 % des décès sont dus aux méthodes de travail».
Québec est la première province à tenir un tel registre.

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Le bouleau: l'arbre qui cause le plus d'allergie

Flore - Le bouleau: l'arbre qui cause le plus d'allergie
La taille des grains de pollen du bouleau est inférieure à la moyenne de ceux des autres arbres de la forêt québécoise. 
© Agence QMI / Archives

PARIS – Le bouleau est classé parmi les arbres au potentiel allergisant le plus élevé, rapporte le site Santé log. Le Réseau National de Surveillance Aérobiologique français souligne que cet arbre se caractérise par une production de pollen élevée.
De plus, la taille des grains de pollen du bouleau est inférieure à la moyenne, ce qui contribue à leur meilleure pénétration dans les voies respiratoires.
Lorsqu’il est transporté par le vent, le pollen de bouleau bénéficie aussi, de par sa taille, d'une très bonne dispersion dans l'air.
Au contact des bronches et des voies respiratoires, les grains de pollen entraînent une réaction allergique plus ou moins sévère chez les personnes qui y sont sensibles.
Au Québec, le risque d'exposition au pollen du bouleau est habituellement élevé dès la fin avril et durant tout le mois de mai.
Selon la Fondation canadienne d'allergie, d'asthme et d'immunologie, de 20 % à 25 % des Canadiens souffriraient de rhinite allergique.
Les symptômes seraient d’ailleurs plus prononcés qu’auparavant, phénomène qui pourrait notamment s’expliquer par l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Ceux-ci auraient pour effet d’augmenter la production de pollen des plantes et des arbres.
Outre les traitements (médicaments, insensibilisation), il faut limiter au maximum le contact avec les allergènes. Ainsi, on devrait éviter les activités en plein air quand la concentration de pollen est élevée (surtout, entre 7 h et 13 h), on ne devrait pas faire sécher son linge à l’extérieur, on devrait garder les fenêtres de la maison fermées et utiliser un système de climatisation ou de filtration de l’air.

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VOD: Films à la demande sur YouTube

Location en ligne - Films à la demande sur YouTube
Les films seront disponible en streaming sur YouTube dès leur sortie en DVD. 
© Courtoisie

YouTube, qui cherche à rivaliser avec la boutique iTunes d'Apple, se prépare à lancer un service de vidéo à la demande («Video on demand» VOD) diffusant des films en flux continu (streaming) qui peuvent être loués par les utilisateurs, d'après le blog cinéma TheWrap.
Avec ses 130 millions d'utilisateurs mensuels, YouTube, le plus gros site de partage de vidéo sur internet (et une propriété de Google) doit annoncer le démarrage d'un nouveau service de VOD qui pourrait être lancé au cours des deux prochaines semaines.
Les grands studios de cinéma, parmi lesquels Sony Pictures, Warner Bros. et Universal, ont vendu des licences de films à YouTube, ainsi que certains studios indépendants comme Lionsgate.
Paramount, Fox et Disney n'ont encore rien signé.
Hollywood se tourne vers les service de diffusion de films en streaming pour compenser la perte de vitesse des ventes de vidéos pour le divertissement à domicile.
«Nous pensons que cela va démarrer avec la VOD, avant de s'étendre à des services de vente de films sur internet, avec le temps», dit un producteur.
YouTube proposera le service de films en streaming le plus complet depuis le lancement de location de films via la boutique iTunes d'Apple (qui propose des films à partir de $2,99) lancé en 2008. La tarification de la location de films sur YouTube n'est pas encore connue.
Les films seront disponible en streaming sur YouTube dès leur sortie en DVD.
Les studios Warner Bros. ont récemment lancé un service de diffusion de films avec Facebook, qui propose des blockbusters comme Inception et Harry Potter sur le site de réseaux sociaux en échange de crédits Facebook.

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mercredi 27 avril 2011

Rente: Cie insolvable,faillite,.....la RRQ peut faire des gains de rendement de 70%

Argent - Un fonds d'indemnisation pour les régimes de retraite
 
©Reuters

Un fonds d'indemnisation pour les régimes de retraite

MONTRÉAL – Pour de nombreux retraités, la moindre diminution du chèque de pension peut se solder par une rapide chute dans la pauvreté. Afin d’éviter que la retraite vire au drame, certains experts suggèrent donc de créer un fonds d'indemnisation pour les régimes de retraite.
«Cette solution existe en Ontario et aux États-Unis, a souligné Jean Bergeron, directeur de la gestion d'actifs pour le cabinet Morneau Shepell, spécialisé notamment en matière de retraite. Les régimes doivent verser une cotisation annuelle à ce fonds. Dans un dossier de faillite, un dédommagement peut être versé pour combler le manque à gagner.»
Cette solution est souhaitable, estime pour sa part François Rebello, porte-parole du Parti québécois en matière de régimes de retraite.
«Quand les entreprises sont en faillite, il y a un minimum assuré par un fonds d'indemnisation, rappelle M. Rebello qui est aussi député de La Prairie. Pour financer le risque, il faudrait facturer une prime aux différents régimes assurés.»
Un fonds d'indemnisation n'est pas un remède miracle, avertit toutefois Jean Bergeron.
«Lorsqu'il y a une grosse faillite comme celle de Nortel, a-t-il dit, on puise la totalité des actifs. L'existence du fonds peut aussi inciter des entreprises à être plus agressives avec leurs stratégies de placement. Les gestionnaires peuvent se dire que de toute façon, il y a un filet de sécurité.»
Une mesure de ce genre s'ajouterait à des allégements temporaires consentis par le gouvernement du Québec, comme la possibilité pour une entreprise d'étaler le remboursement d'un déficit de solvabilité sur 10 ans. C'est le double de la période auparavant permise.
De plus, la Loi 129 permet aux retraités dont l'entreprise devient insolvable de faire administrer leur argent par la Régie des rentes du Québec (RRQ) pendant cinq ans.
Cet intérim peut permettre de minimiser l'amputation des chèques de pension, d’après Thierry Chamberland vice-président chez AON Hewitt, une firme montréalaise qui administre, entre autres, des caisses de retraite.
«La Régie tentera de faire des gains de rendement, a indiqué M. Chamberland. La rente ne reviendra pas à 100 % de sa valeur initiale, mais elle remontera peut-être à 70 %.»
L'intervention de la RRQ fait moins mal que l'attente d'un dénouement en matière d'insolvabilité, assure M. Chamberland. « Si l'employeur n'existe plus parce qu'il est en faillite, a-t-il dit, les participants au régime de retraite vont faire la file avec les créanciers non garantis pour tenter d'en récupérer une portion. Les créanciers prioritaires sont des détenteurs d'obligations. Ce sont eux qui ont le gros bout du bâton. »
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Yahoo! achète une application qui fait de la TV une activité sociale

Yahoo! achète une application qui fait de la TV une activité sociale
Yahoo! avait manifesté son intérêt pour IntoNow dès le lancement de son service en janvier. 
© REUTERS/Robert Galbraith

NEW YORK - Le groupe internet américain Yahoo! a annoncé lundi l'acquisition de la très jeune société IntoNow, qui a lancé le 31 janvier une application pour iPhone permettant de communiquer à des proches les programmes télévisés qu'on est en train de regarder.
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Les termes financiers de la transaction n'ont pas été précisés, mais le site internet d'informations spécialisées TechCrunch l'évaluait entre 20 et 30 millions de dollars.
D'après la description fournie sur le site d'IntoNow, avec son application gratuite «il suffit d'appuyer sur le bouton vert pendant qu'on regarde (la télévision), et l'application identifie le programme, même l'épisode. Une fois qu'il est identifié, c'est facile de le faire savoir à ses amis sur Twitter ou Facebook».
«IntoNow a indexé plus de cinq ans de programmes télévisés américains sur cinq ans, créant une riche base de données pour construire toute une expérience de découverte et de programmation vidéo», a justifié Yahoo! dans un communiqué.
Télé connectée Cette annonce pourrait consolider la position de Yahoo! dans la télévision connectée, pour laquelle il a été un des pionniers en annonçant un partenariat avec le fabricant nord-coréen de téléviseurs Samsung dès janvier 2009.
À en croire le site spécialisé TechCrunch, Yahoo! avait manifesté son intérêt pour IntoNow dès le lancement de son service en janvier, et a réussi à conclure alors que d'autres groupes internet, Facebook et Twitter, étaient intéressés.
«IntoNow a bâti une façon unique permettant aux gens de se parler des programmes qu'ils aiment», a souligné le directeur général de la jeune société, Adam Cahan, cité dans le communiqué de Yahoo!, en soulignant que «les applications et les appareils changent considérablement les interactions avec la télévision».
Sur le blog d'IntoNow, l'équipe de sept personnes qui fait fonctionner la société a jugé que l'acquisition par Yahoo! permettrait notamment d'étendre le système à d'autres normes, y compris Android, et d'autres pays.

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