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lundi 16 mai 2011

Petits video du web


Chronique web - Les trouvailles de Pascal Forget
La dernière œuvre de Dominic Boudreau, Timelapse - City Limits est spectaculaire. 
© Courtoisie


Voici ce que notre chroniqueur a déniché cette semaine sur le web.

On voyage

Envie de voyager, mais vos vacances sont loin encore ? La sympathique équipe de reporters deGlober.TV peut vous faire voyager sans sortir de chez vous. Leurs reportages font découvrir le côté exotique ou typique d’une autre culture dans six catégories : action, bouffe, culture, mode, musique et nightlife (le reportage sur le Montréal Kitsh est très rigolo).
Vous pouvez aussi proposer vos propres vidéos de voyage pour devenir Glober ou Glober-Trotter !

REF.:

dimanche 15 mai 2011

Programme de protection des témoins et des informateurs,une Facture de 6,6 Millions$/Année


Mort de Ben Laden

Des informateurs pakistanais refont leur vie au Canada




Le Canada peut et doit accepter «un certain nombre» de précieux informateurs en provenance du Pakistan qui ont aidé les États-Unis à localiser Oussama Ben Laden, selon la police et les fonctionnaires de l’immigration.
Le transfert d’informateurs pakistanais de haut niveau dans d’autres pays fait partie d’un programme international de protection des témoins entre des pays membres de l’OTAN, selon le ministère canadien de la Justice.
«Le programme offre un sanctuaire pour les personnes qui ont aidé les États-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada et qui sont en danger», a expliqué le spécialiste en immigration, Richard Kurland.
M. Kurland dit que les informateurs, qui peuvent être des militaires, des travailleurs ou des membres de l’élite de la société, sont transportés en toute sécurité et réinstallés dans d’autres pays.
Ces personnes et leurs familles reçoivent des honoraires, de nouvelles identités et un endroit pour vivre au Canada.
«Ces gens sont des amis de l'Occident qui ont maintenant besoin de notre protection», a déclaré M. Kurland.
Le terroriste le plus recherché au monde a été tué par balle il y a une semaine par les forces spéciales américaines, alors qu’il se terrait dans une résidence au Pakistan.
Selon M. Kurland, des dizaines d'informateurs ont refait leur vie au Canada dans les années 1940 et 1950 après la fin de la Seconde Guerre mondiale et la défaite d’Adolf Hitler.
«Ce processus dure depuis des années et n'a jamais cessé, a-t-il dit. Le cycle se poursuit et la pratique est permanente.»
Les responsables américains ont fait savoir qu'ils avaient reçu l’aide d’un certain nombre de Pakistanais durant leur traque de Ben Laden.
Le site web du ministère canadien de la Justice indique que les responsables gouvernementaux peuvent conclure un accord de réciprocité avec un gouvernement étranger, afin d’admettre des ressortissants étrangers dans le cadre du programme de protection des témoins.
«Le solliciteur général du Canada peut conclure un accord similaire avec une cour ou un tribunal international», indique le site. Le solliciteur général «doit consentir à l'admission de l'individu dans le programme.»
Des responsables au ministère de la Justice indiquent que le ministère de l’Immigration doit également donner son accord, avant de pouvoir accueillir un informateur.
«Le rôle de la GRC dans ces cas est d'administrer l'accord entre le pays étranger et son témoin, lit-on sur le site web. La protection des témoins dans de tels cas est fournie sur une base de recouvrement des coûts.»
La GRC et les ministères de l’Immigration et des Affaires étrangères ont refusé lundi d’émettre des commentaires sur le programme de protection des témoins.
Un responsable américain de la sécurité intérieure a également refusé d’émettre tout commentaire, invoquant des raisons de confidentialité.
La GRC a dépensé 6,6 millions $ en 2008 et 2009 pour le programme de protection des témoins et elle n’a accepté que 15 témoins sur les 103 requêtes présentées, selon des documents du gouvernement.
La majeure partie de l'argent, soit un peu plus de 3,5 millions $, a servi à payer les salaires à la GRC. Les dépenses engagées par les témoins ont coûté un peu plus de 1,32 million $, les frais d'administration 612 711 $ et les frais de voyage 369 821 $. 

Une personne autiste éprouve d’abord des difficultés de communication

La disparition du petit Adam Benhamama, le mois dernier, a mis en lumière les difficultés auxquelles sont confrontés les autistes dans leur quotidien.
Deux intervenantes françaises en visite au Québec ont démystifié la problématique de l’autisme et ont comparé les services offerts à la clientèle autiste de part et d’autre de l’Atlantique.
«Les autistes ont très peu d’habiletés sociales», a expliqué d’entrée de jeu Danièle Duhamel, intervenante de l’Institut médico-éducatif de Dunkerque, en France. Mme Duhamel et sa collègue Marion Ghys étaient de passage à Laval, du 1er février au 30 avril derniers, dans le cadre d’un stage offert par la Société de l’autisme et des TED de Laval.
Selon Danièle Duhamel, les autistes sont confrontés à trois principaux types de difficultés. «Une personne autiste éprouve d’abord des difficultés de communication, a-t-elle mentionné. Ensuite, on remarque chez elle des problèmes d’interaction et de socialisation, ainsi qu’un champ d’intérêts très restreint.»
«Par exemple, un autiste ne se rendra pas compte que son interlocuteur n’est pas intéressé par une conversation», a ajouté l’intervenante.
Manque de ressources
Marion Ghys et Danièle Duhamel se sont réjouies que l’on parle de plus en plus de l’autisme dans la Belle Province comme dans l’Hexagone. Toutefois, les deux intervenantes n’ont pas manqué de mentionner un manque de ressources.
«On dispose de moyens pour accompagner les enfants autistes, mais on manque de ressources pour les adultes, a remarqué Danièle Duhamel. C’est un entonnoir. Plus la population vieillit, moins il y a de moyens.»
«La clé, c’est d’investir plus, a ajouté Marion Ghys. Cela dit, il y a beaucoup de réflexion sur l’autisme au Québec.»

La plus haute promenade à mains libres au monde, a la tour du CN


Toronto - Nouvelle attraction: «L’haut-da cieux» se greffe au paysage
 
© Archives QMI
Toronto

Nouvelle attraction: «L’haut-da cieux» se greffe au paysage

TORONTO – Dès le début de l’été 2011, les amateurs de sensations fortes pourront expérimenter la plus haute promenade à mains libres au monde, qui se trouvera sur la Tour du CN, à Toronto.
Les représentants de la Tour nationale du Canada ont annoncé lundi l’inauguration de «L’haut-da cieux», une première du genre en Amérique du Nord, située sur la corniche de 1,5 mètre de largeur qui ceinture le toit de l’habitacle principal de la Tour CN, à 356 m du sol.
Grâce à cette nouvelle attraction, les participants se promèneront à « mains libres » en groupes de six ou huit personnes, en portant un harnais de sécurité relié à un chariot sur rail aérien.
Des guides spécialement formés inviteront les visiteurs à explorer leurs limites, en permettant même aux plus audacieux de se pencher au-dessus du vide, de dos, en plein ciel. Tous les visiteurs qui ont la taille requise (paramètres de hauteur et de poids) pourront éprouver des sensations fortes en plein air et admirer le panorama sur Toronto et le lac Ontario.
« Selon nous, il est approprié que ce grand symbole torontois accueille la première nouvelle attraction en ville en 18 ans », a déclaré Mark Laroche, président-directeur général de la Société immobilière du Canada, propriétaire et gestionnaire de la Tour CN.
«L’haut-da cieux» a été conçue selon des normes de sécurité et de sûreté ultimes. Au total, les visiteurs doivent prévoir 90 minutes pour cette expérience, dont 20 à 30 minutes sont consacrées à l’excursion à l’extérieur.

Jean Charest aura une job a sa sorti de la politique selon M. Jarislowsky


Wikileaks - Deux leaders du monde financier confirment une influence
Stephen Jarislowsky 
© Agence QMI / Archives

Deux leaders du monde financier confirment une influence

Deux leaders du monde financier québécois soulignent les liens importants qui existent entre Power Corporation et la classe politique au pays et en France, révélés par WikiLeaks et repris mercredi par Le Devoir.
À LIRE ÉGALEMENT:

À propos des liens entre Power Corporation et M. Charest, M. Michaud ne s’est pas montré surpris et a rappelé que le premier ministre du Québec avait assisté en son nom personnel à la cérémonie de réception de la grand-croix de la Légion d’honneur par Paul Desmarais, le président du comité exécutif de Power. Cette décoration est la plus haute récompense de l’Ordre.
Seul un journaliste de La Presse avait été convié à cet événement qualifié de «strictement privé» et tenu secret pour les autres médias. La Presse est publiée par Gesca, une filiale de Power qui contrôle 70 % de la presse écrite quotidienne au Québec.
Le fameux souper du Fouquet’s
M. Desmarais faisait également partie du petit groupe d’hommes d’affaires triés sur le volet et présents au dîner au Fouquet’s suivant l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, a ajouté M. Michaud. «J’ai demandé à André Desmarais que Power Corporation nous assure qu’il n’avait pas contribué un sou à la caisse du parti de Nicolas Sarkozy», a-t-il expliqué.
M. Michaud dit ne pas avoir de problème avec le fait que Power cherche à faire avancer ses intérêts financiers, mais il demande qu’elle le fasse de façon ouverte. «Tout ce qui est caché est malsain. On a le droit de savoir ce qu’ils font», a-t-il martelé.
Une certaine influence
Pour sa part, le gestionnaire de portefeuille montréalais Stephen Jarislowsky a indiqué qu’il n’y avait «aucun doute» que Power Corporation exerçait une «certaine influence» sur le monde politique québécois et canadien.
M. Jarislowsky a rappelé que plusieurs anciens premiers ministres du Québec et du Canada avaient travaillé pour des entreprises appartenant à Power Corporation, alors que la fille de l’ancien premier ministre Jean Chrétien est mariée à André Desmarais, coprésident et chef de la direction de Power.
«Il est possible d’influencer un politicien en lui disant "quand tu ne seras plus là, on aura un job pour toi"», a précisé M. Jarislowsky.