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lundi 16 mai 2011

La Chine comptait 477 millions d'internautes fin mars 2011


Fin mars - La Chine comptait 477 millions d'internautes fin mars
Le nombre de sites internet du pays le plus peuplé du monde a atteint 3,82 millions. 
© AFP

PEKIN - La Chine comptait 477 millions d'internautes à la fin mars, soit 20 millions de plus en trois mois, selon un responsable du ministère de l'Industrie et des technologies de l'Information cité lundi par l'agence Chine nouvelle.

À LIRE ÉGALEMENT:Les «commentateurs du net» sèment la bonne parole en Chine
Le nombre de sites internet du pays le plus peuplé du monde a atteint 3,82 millions à la même date, selon ce responsable, Wang Jianwen, qui a souligné que «la fraude en ligne, la publicité illégale et la pornographie perturbent les communications en ligne et l'économie de marché», a encore rapporté l'agence officielle.La censure est très active en Chine pour empêcher toute critique du gouvernement ou mention de la question des droits de l'Homme, mais les Chinois utilisent de plus en plus l'internet pour dénoncer les passe-droits d'éventuels notables locaux corrompus ou ce qu'ils considèrent comme des erreurs de justice.
La Toile reste expurgée des sites politiquement sensibles et Pékin contrôle étroitement la communauté des cybernautes pour éviter l'organisation de la dissidence.

REF.:

Motorstorm apocalypse Un jeu complètement débridé

http://www.youtube.com/watch?v=mOPH5n6E5U8


 Motorstorm apocalypse - Un jeu complètement débridé
Motorstorm: Apocalypse sort le 12 avril sur PlayStation 3.
©Courtoisie Facebook

Certains jeux proposent d’enfiler une chic combinaison ignifuge, un casque protecteur rutilant et de mémoriser les trajectoires de course idéales pour négocier efficacement une piste de bitume dont le tracé sinueux serpente une bucolique campagne européenne.
D’autres jeux de course nous attrapent plutôt par la peau du cou, nous jettent sans ménagement au milieu d’un chaos motorisé et se rient de nos vains efforts pour éviter la collision explosive qui propulsera notre cadavre brisé dans les airs comme un vulgaire paquet de viande fraîche.
Nous vous laissons deviner à laquelle de ces deux catégories appartient le nouveau jeu MotorStorm Apocalypse.
En termes de jeux de course exclusifs à la PS3, la série MotorStorm se positionne à l’opposé du créneau occupé par la franchise Gran Turismo, oubliant toute nuance ou subtilité pour offrir une expérience de course follement débridée, sans règles et complètement maculée de boue et de sang.
Ce jeu risque de faire bien des heureux chez les passionnés du genre.

NOUVEAU TON, NOUVEAU DÉCOR
À titre de troisième volet de cette série sur PS3,Apocalypse doit relever le même défi auquel toute suite est confrontée : comment perpétuer une expérience qui plaît aux amateurs sans se contenter de servir du réchauffé des efforts précédents ?
Dans ce cas-ci, les créateurs ont choisi de ramener en quelque sorte sur l’asphalte cette série de course qui se déroule traditionnellement hors route.Apocalypse est mis en scène dans une ville fictive de la côte ouest-américaine violemment secouée par une série de tremblements de terre meurtriers. Si la plupart des habitants ont fui le désastre, les participants endurcis du MotorStorm Festival voient en la ville dévastée un nouveau terrain de jeu qui ajoutera un soupçon de béton pulvérisé et d’acier tordu à leur boue routinière.
Les neuf courses du jeu transportent les participants de quartiers de banlieue en toitures de gratte-ciels, mais tous les parcours ont cette saveur typique àMotorStorm, toujours à un coup de pouce d’une spectaculaire et mortelle collision. Ces courses pleines de grabuge ne font pas dans la dentelle, mais malgré tout, les contrôles sont d’une rassurante solidité.
Apocalypse semble s’inspirer du jeu de course excellent et sous-estimé qu’est Split/Second, introduisant dans les courses des désastres de calibre hollywoodien qui métamorphosent les pistes en un clin d’oeil, forçant subitement les pilotes à éviter des édifices qui s’écroulent, des ponts qui s’effondrent, des avions en chute libre et, pourquoi pas, une tornade qui projette des wagons de train sur les voitures des joueurs.
À noter que jeu devait au départ être publié au mois de mars, mais l’éditeur a choisi d’en remettre la sortie à la suite du tremblement terre dévastateur et du tsunami meurtrier qui ont frappé le Japon. Étant donné la place occupée dans le jeu par les tremblements de terre, de même que la sinistre ressemblance de certains des environnements ravagés par les tremblements de terre d’Apocalypseaux images vidéo du désastre japonais, cette décision était la meilleure à prendre dans les circonstances.
VARIÉTÉ INTÉRESSANTE
Cette fluidité des environnements d’Apocalypseajoute une variété intéressante au jeu et lorsque le joueur revisite certains sites dans des courses ultérieures, il peut y constater la métamorphose radicale opérée par la puissance des séismes. On trouve l’habituelle variété d’engins à quatre roues, du VTT au semi-remorque, et soulignons l’ajout de nouveaux véhicules, dont des voitures survoltées, des motos et autres.
Apocalypse introduit un mode où l’histoire est racontée selon la perspective de trois personnages distincts, joués l’un après l’autre dans une escalade du degré de difficulté. Les séquences animées servant d’éléments à l’histoire entre les courses ne sont pas du meilleur goût, mais nous devons saluer les efforts déployés par les créateurs du jeu dans l’élaboration d’un scénario digne de ce nom.
Cela dit, l’aspect communautaire du rassemblement de pilotes de dune buggys du MotorStorm Festival a tristement disparu au profit de voitures armées, prises en chasse par des hélicoptères de la sécurité et bombardées de cocktails Molotov, gracieuseté de passants aux viles intentions. Où sont donc passés la paix, l’amour, l’unité et le respect ?
Cette campagne principale au scénario solide et au visuel épatant s’accompagne d’une foule de modes multijoueurs, mais nous n’avons malheureusement pu jouer qu’à des courses en écran divisé, puisque le réseau mal-aimé PlayStation Network de Sony était toujours hors ligne au moment d’écrire ce texte. À propos de désastres à grande échelle…
MotorStorm Apocalypse ne suscitera probablement pas l’engouement de nouveaux joueurs non initiés aux deux jeux précédents et le changement de ton et de décor risque même de décourager quelques inconditionnels. Par contre, ceux qui apprécient une expérience de course déjantée, chaotique et explosive plongeront avec joie au coeur de cette atmosphère de fin du monde.
VERDICT
Malgré le défaut de chercher un peu trop fort à se montrer extrême, MotorStorm Apocalypse est néanmoins un jeu de course amusant et frénétique digne du nom MotorStorm.


La cote du grand TÉ0: Un 10,2/10

REF.:

Petits video du web


Chronique web - Les trouvailles de Pascal Forget
La dernière œuvre de Dominic Boudreau, Timelapse - City Limits est spectaculaire. 
© Courtoisie


Voici ce que notre chroniqueur a déniché cette semaine sur le web.

On voyage

Envie de voyager, mais vos vacances sont loin encore ? La sympathique équipe de reporters deGlober.TV peut vous faire voyager sans sortir de chez vous. Leurs reportages font découvrir le côté exotique ou typique d’une autre culture dans six catégories : action, bouffe, culture, mode, musique et nightlife (le reportage sur le Montréal Kitsh est très rigolo).
Vous pouvez aussi proposer vos propres vidéos de voyage pour devenir Glober ou Glober-Trotter !

REF.:

dimanche 15 mai 2011

Programme de protection des témoins et des informateurs,une Facture de 6,6 Millions$/Année


Mort de Ben Laden

Des informateurs pakistanais refont leur vie au Canada




Le Canada peut et doit accepter «un certain nombre» de précieux informateurs en provenance du Pakistan qui ont aidé les États-Unis à localiser Oussama Ben Laden, selon la police et les fonctionnaires de l’immigration.
Le transfert d’informateurs pakistanais de haut niveau dans d’autres pays fait partie d’un programme international de protection des témoins entre des pays membres de l’OTAN, selon le ministère canadien de la Justice.
«Le programme offre un sanctuaire pour les personnes qui ont aidé les États-Unis, la Grande-Bretagne et le Canada et qui sont en danger», a expliqué le spécialiste en immigration, Richard Kurland.
M. Kurland dit que les informateurs, qui peuvent être des militaires, des travailleurs ou des membres de l’élite de la société, sont transportés en toute sécurité et réinstallés dans d’autres pays.
Ces personnes et leurs familles reçoivent des honoraires, de nouvelles identités et un endroit pour vivre au Canada.
«Ces gens sont des amis de l'Occident qui ont maintenant besoin de notre protection», a déclaré M. Kurland.
Le terroriste le plus recherché au monde a été tué par balle il y a une semaine par les forces spéciales américaines, alors qu’il se terrait dans une résidence au Pakistan.
Selon M. Kurland, des dizaines d'informateurs ont refait leur vie au Canada dans les années 1940 et 1950 après la fin de la Seconde Guerre mondiale et la défaite d’Adolf Hitler.
«Ce processus dure depuis des années et n'a jamais cessé, a-t-il dit. Le cycle se poursuit et la pratique est permanente.»
Les responsables américains ont fait savoir qu'ils avaient reçu l’aide d’un certain nombre de Pakistanais durant leur traque de Ben Laden.
Le site web du ministère canadien de la Justice indique que les responsables gouvernementaux peuvent conclure un accord de réciprocité avec un gouvernement étranger, afin d’admettre des ressortissants étrangers dans le cadre du programme de protection des témoins.
«Le solliciteur général du Canada peut conclure un accord similaire avec une cour ou un tribunal international», indique le site. Le solliciteur général «doit consentir à l'admission de l'individu dans le programme.»
Des responsables au ministère de la Justice indiquent que le ministère de l’Immigration doit également donner son accord, avant de pouvoir accueillir un informateur.
«Le rôle de la GRC dans ces cas est d'administrer l'accord entre le pays étranger et son témoin, lit-on sur le site web. La protection des témoins dans de tels cas est fournie sur une base de recouvrement des coûts.»
La GRC et les ministères de l’Immigration et des Affaires étrangères ont refusé lundi d’émettre des commentaires sur le programme de protection des témoins.
Un responsable américain de la sécurité intérieure a également refusé d’émettre tout commentaire, invoquant des raisons de confidentialité.
La GRC a dépensé 6,6 millions $ en 2008 et 2009 pour le programme de protection des témoins et elle n’a accepté que 15 témoins sur les 103 requêtes présentées, selon des documents du gouvernement.
La majeure partie de l'argent, soit un peu plus de 3,5 millions $, a servi à payer les salaires à la GRC. Les dépenses engagées par les témoins ont coûté un peu plus de 1,32 million $, les frais d'administration 612 711 $ et les frais de voyage 369 821 $. 

Une personne autiste éprouve d’abord des difficultés de communication

La disparition du petit Adam Benhamama, le mois dernier, a mis en lumière les difficultés auxquelles sont confrontés les autistes dans leur quotidien.
Deux intervenantes françaises en visite au Québec ont démystifié la problématique de l’autisme et ont comparé les services offerts à la clientèle autiste de part et d’autre de l’Atlantique.
«Les autistes ont très peu d’habiletés sociales», a expliqué d’entrée de jeu Danièle Duhamel, intervenante de l’Institut médico-éducatif de Dunkerque, en France. Mme Duhamel et sa collègue Marion Ghys étaient de passage à Laval, du 1er février au 30 avril derniers, dans le cadre d’un stage offert par la Société de l’autisme et des TED de Laval.
Selon Danièle Duhamel, les autistes sont confrontés à trois principaux types de difficultés. «Une personne autiste éprouve d’abord des difficultés de communication, a-t-elle mentionné. Ensuite, on remarque chez elle des problèmes d’interaction et de socialisation, ainsi qu’un champ d’intérêts très restreint.»
«Par exemple, un autiste ne se rendra pas compte que son interlocuteur n’est pas intéressé par une conversation», a ajouté l’intervenante.
Manque de ressources
Marion Ghys et Danièle Duhamel se sont réjouies que l’on parle de plus en plus de l’autisme dans la Belle Province comme dans l’Hexagone. Toutefois, les deux intervenantes n’ont pas manqué de mentionner un manque de ressources.
«On dispose de moyens pour accompagner les enfants autistes, mais on manque de ressources pour les adultes, a remarqué Danièle Duhamel. C’est un entonnoir. Plus la population vieillit, moins il y a de moyens.»
«La clé, c’est d’investir plus, a ajouté Marion Ghys. Cela dit, il y a beaucoup de réflexion sur l’autisme au Québec.»