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samedi 18 juin 2011

Web 2,0 ,Oui ou Non ? Seulement (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement


Étude - Les utilisateurs de Facebook ont aussi une vraie vie
 
© Shutterstock/ Agence QMI

WASHINGTON - Contrairement à l'idée reçue, les utilisateurs de réseaux sociaux ne passent pas à côté de la vraie vie, selon une étude publiée jeudi aux États-Unis, révélant qu'ils ont en fait tendance à plus facilement se fier aux autres, avoir des amis proches et s'engager.

L'étude menée à l'automne par le centre de recherches indépendant Pew auprès de 2.255 adultes américains montre que les utilisateurs de Facebook ont plus de trois fois plus de chances que les autres internautes d'avoir le sentiment qu'on peut faire confiance à la plupart des gens.
Ceux qui se connectent plusieurs fois par jour à Facebook ont en moyenne 9% d'amis proches dans la vraie vie. Et ils ont 2,5 fois plus de chances de participer à des manifestations ou réunions politiques.
«On a beaucoup spéculé sur l'impact des réseaux sociaux sur la vie sociale des internautes», a relevé Keith Hampton, le principal auteur de cette étude du centre Pew. «L'essentiel du débat tourne sur le risque que ces sites nuisent aux relations des internautes et les éloignent de la participation au monde».
«Nous avons découvert que c'était exactement le contraire: que les gens qui utilisent des sites comme Facebook ont en fait plus de relations proches et ont plus de chances de s'impliquer dans des activités politiques et civiques», a ajouté M. Hampton, qui est professeur à l'Ecole de communication Annenberg à l'Université de Pennsylvanie.
Au total, les adultes américains fréquentant des réseaux sociaux sont plus nombreux et plus âgés qu'en 2008: ils représentent 42% des internautes contre 26% auparavant, et ont 38 ans, contre 33 ans.
Facebook, qui selon le cabinet ComsCore compte près de 700 millions d'utilisateurs dans le monde et près de 160 millions aux États-unis, est de loin le réseau le plus populaire parmi les personnes interrogées, et celui avec lequel ils se sentent le plus impliqués: 92% d'entre eux sont sur Facebook, 29% sur MySpace, qui de plus en plus est un site à thématique musicale, avec une moyenne d'âge plus jeune (32 ans), 18% sur le réseau pour professionnels LinkedIn, où la moyenne d'âge passe à 40 ans, et 13% utilisent le site de microblogs Twitter, dont les utilisateurs ont 33 ans en moyenne.
Plus de la moitié (52%) des utilisateurs de Facebook et le tiers (33%) de ceux de Twitter vont sur ces sites quotidiennement, ce qui n'est le cas que de 7% des utilisateurs de MySpace et de 6% de ceux de LinkedIn.
En moyenne, les utilisateurs de Facebook comptent 229 «amis» sur ce réseau, dont 22% d'amis de lycée, 12% de membres de la famille au sens large, 10% de collègues, 9% d'amis d'université, 8% de membres de la famille proche, 7% de contacts associatifs et 2% de voisins.
Toutefois, il reste 31% «d'amis» Facebook inclassables - mais seulement 3% de gens que les internautes n'ont jamais rencontré en personne.
Pour ce qui est de ce qu'ils font sur Facebook, en moyenne 15% des internautes actualisent leur propre «statut», 22% commentent le statut des autres, 20% commentent les photos des autres, 26% signalent qu'ils «aiment» le statut d'un autre, et 10% envoient des messages privés à leurs amis.
La plupart des gens actualisent leur statut moins d'une fois par semaine, et 16% ne l'ont même jamais fait.

REF.:

Piratage: Anonymous frappe contre la censure de films et de programmes télévisés des autorités malaisiennes



Malaisie - Des dizaines de sites officiels cibles de hackers
 
©Twitter.com

Un piratage informatique de grande ampleur a visé 91 sites internet en Malaisie, dont 51 sites officiels du gouvernement dans le courant de la nuit dernière mais aucune donnée personnelle ou financière n'a été subtilisée, a assuré jeudi le gouvernement.
L'accès à 76 des 91 sites cibles a été restauré depuis, a indiqué la Commission malaisienne des communications et du multimedia, sans préciser les noms des sites concernés.
«La plupart des sites liés au gouvernement sont (désormais) accessibles au public, soit qu'ils n'ont pas été affectés par les interruptions de service, soit que leur accès a été rétabli depuis les attaques», a précisé le régulateur dans un communiqué.
Ce piratage est survenu après un avertissement lancé par le groupe Anonymous, qui avait menacé de lancer une attaque contre le portail officiel du gouvernement.
Anonymous entendait ainsi protester contre la censure de films et de programmes télévisés par les autorités malaisiennes ainsi que le blocage de sites de partage de fichiers.
Ce groupe de cybermilitants s'était fait connaître en décembre dernier en attaquant les sites de Mastercard, Visa et PayPal, en représailles à leur suspension des transferts de fonds en faveur de WikiLeaks, site spécialisé dans la diffusion de documents confidentiels.
Cette attaque coordonnée est le dernier épisode en date d'une série de piratages d'entreprises et d'organisations dont les victimes vont de Citigroup et Sony au Fonds monétaire international ou à la CIA.
Le groupe de pirates informatiques Lulz Security a annoncé avoir piraté le site internet de l'agence centrale du renseignement américain dans la soirée de mercredi.

REF.:

vendredi 17 juin 2011

Industrie de la construction Une loi assez mordante contre la criminalité?


Industrie de la construction - Une loi assez mordante contre la criminalité?
Mme Thériault est catégorique : il faut plus de résultats. 
©Agence QMI/ 24H Montréal/ Archives/ Luc Cinq-Mars

MONTRÉAL - Si la nouvelle loi pour lutter contre la criminalité dans l'industrie de la construction ne donne pas les résultats escomptés, elle sera amendée, a confirmé mercredi la ministre du Travail, Lise Thériault.
Jusqu'à présent, les antécédents de 60 % des 43 000 entreprises en construction québécoises ont été vérifiés par la Sûreté du Québec, à la demande de la Régie du bâtiment.
En six mois, les régisseurs ont révoqué 18 permis d'entrepreneurs au Québec, suspendu 16 licences et émis des licences restreintes pour 52 autres. Quarante et un dossiers sont toujours sous enquête à la Régie du bâtiment du Québec.
Jusqu'à maintenant, les sanctions pour trafic de stupéfiants ont été plus nombreuses que celles pour fraude fiscale. «Plus la fraude est complexe, plus ça peut prendre de temps à amasser la preuve, à l'analyser et à procéder au dossier», a expliqué la ministre du Travail.
Mais Mme Thériault est catégorique : il faut plus de résultats. «On a tout intérêt à assainir les pratiques dans l'industrie de la construction et je n'hésiterai pas à faire des changements législatifs si nécessaire.»
Sanctions clémentes
En juillet 2010, Doncar Construction a été sanctionnée par la Régie à la suite d'une infraction fiscale. Doncar a reconnu avoir inscrit de fausses dépenses pour près d'un demi-million de dollars en 2002.
Ses avocats ont souligné devant la Régie qu'ils pensaient «que l'intention du gouvernement était d'exclure de l'industrie de la construction les entreprises reconnues coupables de travail au noir associé à l'évasion fiscale».
Pour fausse déclaration fiscale, le permis de l'entreprise a été suspendu du 20 septembre au 4 octobre 2010, un total de 15 jours.
«Vous comprendrez que les sanctions, ce sont les régisseurs qui les imposent après avoir eu connaissance de la preuve. Moi, je ne m'immisce pas dans les enquêtes. Je ne m'immisce pas non plus dans les sanctions», a expliqué la ministre.

Les États-Unis, pays préféré des cybercriminels


Rapport - Les États-Unis, pays préféré des cybercriminels
Les cybercriminels s'attaquent principalement aux États-Unis. 
© Luc Cinq-Mars


PARIS - Les États-Unis est le pays le plus «recherché» par les cybercriminels pour effectuer des attaques informatiques ou pour y faire transiter des flux financiers illicites, en raison de législations «permissives», selon un rapport présenté mercredi à Paris.
Intitulé Les Marchés noirs de la cybercriminalité, ce rapport de la société spécialisée en intelligence stratégique CEIS passe au crible les profils des cybercriminels, leurs tactiques et leurs outils, ainsi que les moyens de s'en protéger.
«Les opérations de blanchiment d’argent sont traditionnellement associées aux paradis fiscaux; cependant le pays le plus recherché par les cybercriminels n’apparaît sur aucune liste noire de l’OCDE», indique ce rapport.
«Sur les 50 États qui composent les États-Unis, une dizaine bénéficie de législations très permissives, les plus libéraux étant le Delaware, la Californie, la Floride et l’État de New York", souligne-t-il.
Selon ces législations sur la création de sociétés à «responsabilité limitée», «n’importe quelle personne résidant hors ou aux États-Unis peut créer sa propre société en 24h sur internet. Il suffit de remplir un formulaire. La création d’une société au Delaware coûte ainsi 129$», explique le CEIS.
Sociétés légales
Selon le rapport, «ces sociétés écrans sont légalement enregistrées par un agent sur place qui n’est astreint à aucune responsabilité, que ce soit en termes de surveillance d’éventuelles activités illicites ou de signalement aux autorités en cas de soupçons».
Quatorze États, du fait de leurs législations, permettent à ces sociétés fictives de garder secret le nom de leurs membres ou propriétaires, est-il précisé.
«Une fois la société enregistrée, l’agent ouvre un compte bancaire aux États-Unis pour son client» qui ne sert généralement que de relais. «Les virements effectués transitent vers des succursales de banques internationales à New York puis sont rapatriés vers l’étranger».
«Une fois arrivé à destination finale, l’argent est totalement blanchi : la société écran permet de faire passer ces numéraires pour des revenus issus d’une activité économique réelle et la succession de virements bancaires internationaux ne permet pas de remonter à la source», dénonce le rapport.

Nexus S 4G ?


Samsung - Le prochain Google Nexus à nos portes?
Le Google Nexus S de Samsung. 
©Google.com


Le prochain téléphone de Google serait à nos portes. Le successeur au Nexus One et au Nexus S aurait été testé par un blogueur habituellement très branché sur le sujet.
Le PDG de bgr.com, Jonathan Geller, a blogué mercredi matin les specs d’un téléphone qu’il nomme le Samsung Nexus S 4G.
Il serait équippé d’un processeur duo-core de 1.2GHz à 1.5GHz et d’un écran à résolution 720p d’une «grandeur monstre». De plus, les boutons physiques qui ornent les deux premiers Nexus disparaîtraient au profit de boutons digitaux. On peut également d’attendre, selon M. Geller, à voir deux caméras intégrées au téléhpone – une de face, une de dos.
Le Nexus S 4G serait le premier téléphone à utiliser la version 4 d’Android, nommée Ice Cream Sandwitch.
Rumeur? Absolument. Pourquoi devrait-on croire M. Geller? Si le passé est garant de l’avenir, c’est ce même Geller qui a passé la journée d’avant-hier à tweeter que Apple s’apprêtait à vendre des iPhone débloqués. Hier, Apple en faisait l’annonce.
Cliquez ici pour voir l’article original.

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