vendredi 23 septembre 2011
Piratage informatique Arrestation d'un présumé membre de LulzSec
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Un membre présumé du groupe de pirates informatiques LulzSec, auteur d'une cyberattaque contre Sony en mai dernier, a été interpellé jeudi à Phoenix par la police fédérale américaine (FBI), ont indiqué les autorités.
Le pirate présumé, âgé de 23 ans, a été arrêté «sans incident», ont indiqué Andre Birotte, un procureur de Californie, et Steven Martinez, patron du FBI de Los Angeles.
Le jeune homme devait être présenté à un juge de Phoenix dans la journée en vue de son transfèrement à Los Angeles, où il devrait être inculpé, ont-ils précisé dans un communiqué commun.
«Nous pensons que (cette personne), aussi connue sous le pseudonyme "Recursion", est ou a été un membre de LulzSec», a expliqué le FBI.
Elle est accusée d'avoir pris part au piratage du site SonyPictures.com, qui s'était traduit par la diffusion sur internet de listes de milliers de noms, accessibles à tous, contenant des adresses postales, des numéros de téléphones, ou encore des adresses électroniques avec mots de passe.
Sony avait subi cette intrusion après avoir été victime mi-avril de l'une des pires séries d'attaques jamais enregistrées sur la toile, avec le vol d'informations concernant quelque 100 millions d'utilisateurs.
S'il est reconnu coupable, le jeune homme est passible de 15 ans de prison.
LulzSec a également revendiqué des attaques contre des sites de Nintendo, du FBI et de la CIA. Le groupe de pirates se présente comme «une petite équipe de personnes aimant s'amuser» et luttant contre «l'ennui» qui pèse, selon lui, sur la cybercommunauté. Il a semblé jusqu'à présent se défendre de toute objectif crapuleux.
Plusieurs arrestations liées à LulzSec ont eu lieu ces derniers semaines aux États-Unis et en Europe.
REF.:
Un nouveau site web de covoiturage
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Les Québécois misant sur le covoiturage pour se déplacer sur une longue distance seront heureux d’apprendre l’existence d’un nouvel outil, drivv.com, un site Web tout à fait gratuit ne nécessitant aucun appel téléphonique ni abonnement.
La clef du site : le réseau social Facebook. D’ailleurs, impossible de ne pas noter les similitudes entre les deux plateformes.
« Nous avons voulu simplifier au maximum l’utilisation du service. On peu trouver un transport n’importe où, à n’importe quel moment, et ce en quelques secondes », explique le fondateur Steven Lachance, un jeune homme d’affaires de 25 ans résidant à Québec.
C’est pourquoi ceux qui se rendent sur drivv.com n’ont qu’à adhérer à la page Facebook qui y est reliée et pourront se magasiner un lift à l’aide de leur téléphone cellulaire via le Web.
D’ici un an, l’entreprise lancera une application pour le iPhone et Google Android, histoire de faciliter l’accès encore plus aux utilisateurs.
Jusqu’à maintenant, drivv.com a 471 amis sur Facebook, un chiffre appelé à gonfler, ce qui rendra plus efficace encore le service.
Voyage dans une covoiture
Drivv.com est pensé en fonction des longs déplacements et non du covoiturage quotidien de type boulot-dodo.
« Quand j’étudiais à Montréal, je revenais souvent à Québec et il n’y avait pas beaucoup de moyens de transport. J’ai regardé ce qui se fait ailleurs au Canada et aux États-Unis, mais rien ne répond vraiment à ce type de besoin », insiste-t-il, faisant ainsi référence à des outils existants comme Amigo Express et Allô Stop.
Ouvert il y a à peine deux semaines, le site attire certains utilisateurs qui ont pleinement saisi la nature « vagabonde » du service. Ils y ont inscrit un lift vers New York, et un autre en provenance de Calgary.
La clef du site : le réseau social Facebook. D’ailleurs, impossible de ne pas noter les similitudes entre les deux plateformes.
« Nous avons voulu simplifier au maximum l’utilisation du service. On peu trouver un transport n’importe où, à n’importe quel moment, et ce en quelques secondes », explique le fondateur Steven Lachance, un jeune homme d’affaires de 25 ans résidant à Québec.
C’est pourquoi ceux qui se rendent sur drivv.com n’ont qu’à adhérer à la page Facebook qui y est reliée et pourront se magasiner un lift à l’aide de leur téléphone cellulaire via le Web.
D’ici un an, l’entreprise lancera une application pour le iPhone et Google Android, histoire de faciliter l’accès encore plus aux utilisateurs.
Jusqu’à maintenant, drivv.com a 471 amis sur Facebook, un chiffre appelé à gonfler, ce qui rendra plus efficace encore le service.
Voyage dans une covoiture
Drivv.com est pensé en fonction des longs déplacements et non du covoiturage quotidien de type boulot-dodo.
« Quand j’étudiais à Montréal, je revenais souvent à Québec et il n’y avait pas beaucoup de moyens de transport. J’ai regardé ce qui se fait ailleurs au Canada et aux États-Unis, mais rien ne répond vraiment à ce type de besoin », insiste-t-il, faisant ainsi référence à des outils existants comme Amigo Express et Allô Stop.
Ouvert il y a à peine deux semaines, le site attire certains utilisateurs qui ont pleinement saisi la nature « vagabonde » du service. Ils y ont inscrit un lift vers New York, et un autre en provenance de Calgary.
Gears of War 3 , enfin !
Plus de 20 000 détaillants marquent présentement le lancement de Gears of War 3 avec des événements dans des villes situées aux quatre coins du globe.
Sans contredit le titre exclusif à la Xbox 360 le plus attendu de l'année, Gears of War 3 est désormais disponible. Plus de un million de joueurs à travers le monde ayant pré-commandé leur jeu, un record pour la plateforme de Microsoft, plusieurs d'entre-eux se sont rendus chez leur détaillant préféré pour se procurer le jeu dès minuit. Au Canada, les célébrations du lancement ont débutées dans la soirée durant de gros événements organisés à Toronto et Vancouver. Voici la plus récente bande annonce du jeu, qui tisse toute l'histoire de la trilogie Gears of War pour vous préparer à la sortie du jeu. Rappelons que la franchise s'est écoulée jusqu'à maintenant à 13 millions d'exemplaires.
REF.:
mardi 20 septembre 2011
L'Espagne ouvre une procédure de sanction contre Microsoft
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L'autorité espagnole de la concurrence (CNC) a annoncé mardi avoir ouvert une «procédure de sanction» contre le géant américain de l'informatique Microsoft, pour de «possibles pratiques restreignant la concurrence» dans la vente de ses logiciels.
La procédure vise à la fois Microsoft Ibérica, la filiale espagnole du groupe, mais aussi son siège européen, en Irlande, selon un communiqué de la CNC.
La firme américaine est accusée d'«empêcher ou limiter de manière injustifiée la revente (par d'autres entreprises, ndlr) de logiciels de cette marque, surtout dans le domaine des systèmes d'exploitation pour ordinateurs personnels, dans lesquels elle aurait une position dominante», indique la CNC.
L'autorité a agi après le dépôt d'une plainte par une entreprise locale, Elegant Business, sur une «possible infraction aux normes de la concurrence», et après la découverte par la CNC de premiers «indices rationnels» allant dans ce sens. Elle a désormais 18 mois maximum pour mener son instruction.
Microsoft a souvent été l'objet de plaintes pour soupçon d'abus de position dominante: il avait ainsi été sanctionné à partir de 2002 aux États-Unis, à l'issue d'un vaste procès, étant obligé par exemple de fournir à des tiers certaines informations sur l'interopérabilité de ses systèmes.
En mai, le ministère américain de la Justice a mis fin à ces sanctions, neuf ans après leur mise en oeuvre, estimant qu'elles s'étaient révélées efficaces.
Bruxelles a quant à elle imposé un dispositif à Microsoft pour assurer une visibilité à ses concurrents face à son navigateur vedette, Internet Explorer.
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