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Trois québécois ont lancé jeudi L’Univers de Wilby, un réseau social destiné aux enfants entre 5 et 12 ans.
Les cofondateurs, David Banford, Jimmy Bouchard et Réjean Gauthier, sont tous trois pères de jeunes entre 5 et 10 ans. Concernés par l’aspect strictement récréatif de certains sites pour les enfants, ils ont décidé de développer un réseau social à la hauteur de leurs attentes de papas.
«On a pensé le portail en se mettant dans la peau des parents» a précisé l’un des fondateurs, David Banford lors d’un entretien téléphonique.
Les jeux éducatifs sont à l’honneur dans ce réseau social actuellement en version bêta. Les jeunes peuvent jouer en réseau avec leurs amis, gagner des points et des trophées. De plus, on demande le nom de leur école à l’inscription pour permettre des les jumeler avec d’autres enfants du même établissement scolaire.
L’Univers de Wilby se veut un espace où l’instruction et la pédagogie sont valorisées, dans une aire virtuelle où les jeunes peuvent s’amuser en apprenant, avec le souhait d’influencer positivement l’estime de soi des utilisateurs.
«Wilby permet de faire les premiers pas [sur internet] de la bonne façon», a mentionné David Banford qui n’hésite pas à affirmer que son réseau social pourrait s’apparenter à un Facebook québécois pour les moins de 13 ans, mais sans publicité.
Les trois québécois ont également fait de l’encadrement des jeunes sur Internet l’une de leurs priorités. Aucun adulte autre que le parent ne peut entrer en contact avec l’enfant dans L’Univers de Wilby et les parents reçoivent toutes les informations des actions posées par le jeune à l’intérieur du réseau social.
«Plusieurs supporteurs peuvent venir se greffer à la fiche de l’enfant, mais c’est toujours le parent qui contrôle», a ajouté M. Banford.
En parallèle du réseau social, une web série a aussi été lancée. On y retrouve Wilby, mais aussi le serpent Slicky, son confident. Une section du réseau social, ressemblant à un journal intime, permet à l’enfant de se confier à Slicky. C’est alors le parent qui reçoit les écrits et il est possible d’y répondre, sous l’identité du personnage.
«Cet outil favorise énormément la communication entre le parent et l’enfant», a expliqué avec fierté David Banford.
REF.:
Les cofondateurs, David Banford, Jimmy Bouchard et Réjean Gauthier, sont tous trois pères de jeunes entre 5 et 10 ans. Concernés par l’aspect strictement récréatif de certains sites pour les enfants, ils ont décidé de développer un réseau social à la hauteur de leurs attentes de papas.
«On a pensé le portail en se mettant dans la peau des parents» a précisé l’un des fondateurs, David Banford lors d’un entretien téléphonique.
Les jeux éducatifs sont à l’honneur dans ce réseau social actuellement en version bêta. Les jeunes peuvent jouer en réseau avec leurs amis, gagner des points et des trophées. De plus, on demande le nom de leur école à l’inscription pour permettre des les jumeler avec d’autres enfants du même établissement scolaire.
L’Univers de Wilby se veut un espace où l’instruction et la pédagogie sont valorisées, dans une aire virtuelle où les jeunes peuvent s’amuser en apprenant, avec le souhait d’influencer positivement l’estime de soi des utilisateurs.
«Wilby permet de faire les premiers pas [sur internet] de la bonne façon», a mentionné David Banford qui n’hésite pas à affirmer que son réseau social pourrait s’apparenter à un Facebook québécois pour les moins de 13 ans, mais sans publicité.
Les trois québécois ont également fait de l’encadrement des jeunes sur Internet l’une de leurs priorités. Aucun adulte autre que le parent ne peut entrer en contact avec l’enfant dans L’Univers de Wilby et les parents reçoivent toutes les informations des actions posées par le jeune à l’intérieur du réseau social.
«Plusieurs supporteurs peuvent venir se greffer à la fiche de l’enfant, mais c’est toujours le parent qui contrôle», a ajouté M. Banford.
En parallèle du réseau social, une web série a aussi été lancée. On y retrouve Wilby, mais aussi le serpent Slicky, son confident. Une section du réseau social, ressemblant à un journal intime, permet à l’enfant de se confier à Slicky. C’est alors le parent qui reçoit les écrits et il est possible d’y répondre, sous l’identité du personnage.
«Cet outil favorise énormément la communication entre le parent et l’enfant», a expliqué avec fierté David Banford.
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