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vendredi 23 mars 2012

Vieillir en santé et Vieillir chez soi


Québec | Budget 2012-13 - 900 millions de plus pour les personnes âgées
Le plan d’investissement Vieillir chez soi est fixé à 173 millions cette année, et à 200 millions $ par an, à compter de 2013-2014. 
© Archives Agence QMI

QUÉBEC – La pièce de résistance des investissements en santé du budget Bachand, déposé mardi, ira dans le programme Vieillir en santé qui injectera 900 millions $ par année dans les soins aux personnes âgées en 2016-2017. Ces sommes serviront à financer une série de mesures visant à favoriser le maintien des personnes âgées dans leur communauté. La politique Vieillir chez soi et le plan d'action 2012-2017 qui en découle seront rendus publics au printemps.

À lire:
Un budget sans saveur
Le plan d'investissement Vieillir chez soi est fixé à 173 millions cette année, et à 200 millions $ par an, à compter de 2013-2014. Le gouvernement Charest s'engage notamment à ajouter 4800 places dans les ressources intermédiaires, ainsi que 800 nouvelles places dans les unités transitoires de récupération fonctionnelle pour aînés.
Plus de 50 000 personnes âgées bénéficieront d'une bonification des services à domicile. Quelque 1250 nouvelles unités de logement seront également offertes aux gens âgés, à l'intérieur du programme AccèsLogis.
Mesures fiscales
Le plan d'action Vieillir chez soi est de plus assorti de mesures fiscales supplémentaires à hauteur de 172 millions $. Celles-ci touchent, par exemple, l'achat de biens, lit électrique ou autres, permettant de prolonger l'autonomie des personnes âgées à domicile. Le soutien au conjoint aidant naturel passera de 600$ à 1000$, d'ici 2017.
En considérant la hausse du taux du crédit d'impôt et du plafond admissible, l'aide maximale passera graduellement de 4680$, cette année, à 6825$, en 2017, pour les aînés autonomes.
Pour les personnes âgées non autonomes, le soutien maximal atteindra 8925$, en 2017.
Au cours de la prochaine année, les dépenses globales en santé s'élèveront à 30,1 milliards $, soit une augmentation de 3,4% par rapport à l'an dernier. C'est la moitié du budget de l'État québécois et représente une dépense quotidienne de 100 millions $.
La fameuse contribution santé de 200$ engrangera, quant à elle, des revenus d'un peu plus de 1 milliard, ce qui portera la croissance totale du budget de la santé à 4,7%.
La santé, c'est:
- un budget de 30,1 milliards $;
- une croissance de 4,7%;
- 1 milliard provenant de la contribution santé;
- 900 millions $ de plus en 2016-2017 pour les aînés;
- 1,3 million de Québécois de 65 ans et plus;
- 88% des aînés vivant à domicile;
- 4 millions $ pour des inspections en hébergement.

REF.:

La «dématérialisation des moyens de paiement»

Dossier - Êtes-vous prêts pour les modes de paiements de demain?
Les modes de paiement évoluent rapidement. 
© Shutterstock

Êtes-vous prêts pour les modes de paiements de demain?

Une petite révolution technologique se prépare du côté des modes de paiement permettant de s'acquitter de ses achats quotidiens.
Bientôt, il sera aussi dépassé d'aller retirer de l'argent au guichet automatique avant d'aller faire ses emplettes ou de les payer avec sa carte débit que d'avoir à se lever pour changer la chaîne du téléviseur.




AUTRES NOUVELLES
Bien que l'expression «dématérialisation des moyens de paiement» semble faire allusion à des procédures compliquées, il n'en est rien. L'expression dissimule des gestes simples, comme payer son épicerie grâce à une application sur son téléphone ou en envoyant un texto et même transférer des fonds à un ami par l'intermédiaire de son compte Facebook.
Plusieurs éléments contribuent à dessiner le paysage monétaire du futur, tout en expliquant l'évolution «nécessaire» des modes de paiement vers un peu plus d'instantanéité. Sans surprise, la généralisation des téléphones intelligents, le vol (d'identité, d'argent liquide, de cartes, etc.) et le piratage (clonage de carte) sont les plus importants dans ce paysage.
Dans ce contexte, les modes de paiement traditionnels - incluant les cartes bancaires telles qu'elles existent à l'heure actuelle et l'argent papier - ne correspondent plus vraiment à la réalité de leurs utilisateurs.
Deux types de paiements électroniques se distinguent actuellement. D'abord, le paiement en ligne comme ce que permet le service Paypal. Ce dernier, largement adopté par les internautes, représentait en 2011 près de 4 milliards $ en termes de paiements sur mobiles et eBay, son propriétaire depuis 2002, envisage même de doubler ce volume en 2012.
Ensuite, le paiement de proximité, comme la technologie NFC embarquée sur les plus récents modèles de téléphones intelligents, se taille une place de plus en plus importante dans ce marché des transactions dématérialisées.
Les deux modes de paiement dématérialisés ont un point commun: l'utilisation de supports (ordinateur, téléphone, tablette, etc.) qui n'étaient pas initialement destinés à effectuer des paiements.
«La monnaie électronique est partout, dans tous les échanges et elle reste à ce jour le moyen de paiement le plus adapté aux contraintes d'internet et à la rapidité de son développement», indique l'avocate française Christelle Mazza sur son site web.
Même si la technologie bouleverse nos vieilles habitudes, cela n'implique pas pour autant que les modes de paiement actuels sont voués à disparaître. Le meilleur exemple est la société suisse NagraID Security, qui adapte les cartes de crédit au virage technologique comme vous pourrez le constater en visionnant la vidéo.
Pour réduire les risques de piratage, l'entreprise les rend capables de générer et d'afficher des séries de chiffres de sécurité (ou «one time password») sur un petit écran LCD intégré à même la carte dite «complexe».






 

Depuis déjà quelques mois, Starbucks propose à ses clients de payer à l'aide de leur téléphone intelligent. En téléchargeant l'application Starbucks Canada, les utilisateurs peuvent régler rapidement leurs achats de façon sécuritaire. Il suffit d'acheter une carte en ligne, d'entrer le code de celle-ci dans l'application pour qu'ensuite un code à barres soit généré. Les clients n'ont qu'à présenter leur téléphone devant le lecteur du magasin, pour lui soumettre le code à barres, afin que leur compte soit débité.
La compagnie LevelUp aux États-Unis propose un service similaire, mais son utilisation ne se limite pas à une seule chaîne de magasins. Offert pour le moment dans quelques villes américaines, LevelUp permet aux utilisateurs de payer grâce à un code QR - une nouvelle génération de code plus complexe et contenant des données numériques et alphanumériques - lequel est relié à leur compte bancaire ou leur carte de crédit traditionnelle.
Une fois chez le commerçant participant, il leur suffit de scanner le code QR affiché sur leur téléphone cellulaire et d'entrer le NIP pour finaliser le paiement. Pour chaque transaction complétée, un courriel est envoyé automatiquement au client, facilitant le suivi des achats effectués, ou permettant de les contester en cas de fraude. De plus, LevelUp incite les utilisateurs à utiliser fréquemment le service, car il permet d'accumuler des crédits applicables lors de futurs achats.
Au-delà d'échanges commerciaux, mentionnons le service Zoompass qui permet d'envoyer, de recevoir et de demander de l'argent instantanément au Canada et à l'étranger à partir de votre téléphone



Autres nouvelles
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REF.:

Google s'explique sur les courriels indésirables dans Gmail

Messagerie électronique - Google s'explique sur les courriels indésirables dans Gmail
 
© Shutterstock

Google va désormais indiquer les raisons pour lesquels les messages indésirables sont classés comme tels dans le dossier spam de sa messagerie, selon un billet posté le mardi 20 mars sur le blogue officiel de Gmail.
Différents degrés de dangerosité signaleront aux internautes s'il s'agit de messages simplement douteux ou franchement corrompus.
Avec cette nouvelle présentation des courriers indésirables, Gmail va proposer plusieurs signalements. Lorsque le message est inoffensif, l'explication apparaît dans un simple cadre avec la possibilité d'en «savoir plus» pour accéder à des informations plus détaillées.
En revanche, si un courriel est considéré comme dangereux, un cadre rouge apparaîtra et un message mettra en garde l'internaute sur d'éventuels dangers, notamment la présence d'un virus.
Cela pourra également permettre de déceler pour quelle raison un courriel pourtant sain a été filtré, à tort, catalogué comme un indésirable.


REF.:

2 nouvelles Xbox en 2013 ?

En 2013, Microsoft pourrait dévoiler deux nouvelles consoles, dont une low cost dédiée aux applications et aux jeux de type mobile.

Même si Microsoft a annoncé qu’il n’y aurait pas de nouvelle Xbox en 2012, la firme travaille tout de même sur la remplaçante de la Xbox 360, pour laquelle l’arrivée de Kinect a complètement relancé l’intérêt. Et plutôt qu’une nouvelle Xbox, on devrait en voir débarquer deux, et ce serait pour 2013.

C’est BGR, sur la foi du témoignage d’une source proche des projets de la firme de Redmond, qui l’explique. Selon ce dernier, une Xbox devrait sortir fin 2013. Une remplaçant de l’actuelle Xbox 360, nommée Xbox Next. Mais Microsoft plancherait aussi sur une Xbox low cost, basée sur une architecture ARM à un tarif sensiblement aligné sur celui de l’Apple TV. L’idée serait alors de proposer un boîtier peu cher pour faire tourner des applications, des jeux types Arcade compatibles avec Kinect, compléments des actuels jeux sur mobile.
Cette source évoque même une interface proche de celle de Windows Phone pour qu’elle s’intègre dans une stratégie de convergence, comme Apple essaie de le mettre en place avec iOS.


De leur côté, les concurrents de Microsoft préparent une Nintendo Wii U pour 2012 et une Sony PlayStation 4 pour 2012, 2013 ou 2014.



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dimanche 18 mars 2012

L'intégration de la «recherche sémantique» a Google

Trouver réponse à ses questions - La nouvelle génération de moteur de recherche arrive
Google s'apprête à faire la plus importante mise à jour de son histoire. 
© Shutterstock
Trouver réponse à ses questions

La nouvelle génération de moteur de recherche arrive

Google est en train de peaufiner une des mises à jour les plus importantes de son histoire. Les internautes pourront bientôt obtenir, directement sur la page de résultats, des réponses à leurs questions tapées dans le moteur de recherche.
Les internautes ne se feront plus simplement rediriger vers des sites tiers où ils doivent se débrouiller pour trouver les réponses souhaitées. D'ici la fin de 2012 ou le début de 2013, Google commencera à offrir des réponses directes aux requêtes des internautes, dans une section située en haut de la page des résultats de recherche.
L'intégration de la «recherche sémantique» permettra à Google de fournir des résultats plus pertinents et précis, car la technologie utilisée est en mesure de «comprendre» le sens des mots.
Pour ce faire, l'entreprise américaine compte sur une banque de données qui contient des centaines de millions d'informations, notamment sur des célébrités, des produits, des lieux, etc. collectées au cours des deux dernières années.
Par exemple, si l'internaute tape «Comment se nomme la capitale du Canada», Google affichera «Ottawa» au lieu de proposer des liens pointant, entre autres, vers des sites gouvernementaux canadiens ou touristiques.
De cette façon, les usagers trouveront bien plus rapidement les informations qu'ils recherchent, mais ils devront toutefois s'en remettre à Google pour la pertinence et la véracité des résultats fournis.
La mise à jour permettra à Google de conserver ses parts de marché dans le secteur de la recherche en ligne, estimées à 66 %. Aussi, l'entreprise pourra mieux contrer l'arrivée de l'assistant à commande vocale sur le téléphone iPhone d'Apple, Siri, qui procure aussi aux usagers des réponses directes.
L'amélioration annoncée devrait influencer des millions de sites web qui dépendent de son classement, selon le Wall Street Journal. Toutefois, les sites web devront revoir leur façon d'être indexés par le moteur de Google.
D'après le quotidien américain, citant une personne bien renseignée sur le sujet, «l'arrivée de Google dans la recherche sémantique devrait affecter les résultats d'entre 10 à 20 % des requêtes, ce qui représente quand même des dizaines de milliards de recherches par mois».
Grâce à cette innovation, le fonctionnement du moteur de Google va se rapprocher de celui de Wolfram Alpha, un service internet répondant aux questions factuelles en anglais, lancé par un mathématicien le 16 mai 2009.


REF.: