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lundi 12 novembre 2012

Facebook: Le Big Brother 2,0 ?


Voici ce que vous pourrez découvrir si vous demandez votre dossier.
(Québec) Depuis la mi-septembre, l'entreprise se targue d'être visitée par un milliard d'humains chaque mois. Quelque 584 millions d'accros s'y rendraient quotidiennement. Il doit donc y en avoir quelques-uns parmi vous! Alors, cher fidèle de Facebook, vous vous êtes déjà demandé ce que contiennent les archives du populaire site de réseautage social à votre sujet? Tout. Ce que vous y avez écrit, diffusé, publié depuis le jour de votre conversion... et bien plus. Voici ce que vous pourrez découvrir si vous demandez votre dossier.










Connaissez-vous la distance séparant vos yeux, votre nez et vos oreilles? Eh oui, Facebook est en mesure de la calculer! Cela permet au géant informatique de vous identifier sur les photos que vous et vos «amis» téléversez dans le réseau.
Cette fonctionnalité a toutefois été retirée pour répondre aux critiques internationales sur l'intrusion dans la vie privée des utilisateurs. Officiellement, la reconnaissance faciale est aujourd'hui désactivée dans tous les marchés, le temps qu'on améliore le logiciel. Et elle ne sera jamais offerte au Canada parce que la législation ne l'autoriserait pas, a tenu à nous préciser Meg Sinclair, du service des communications corporatives de Facebook. D'ailleurs, dans notre dossier personnel, obtenu relativement facilement, la mention «Aucun modèle facial trouvé» est inscrite dans la section «Données de reconnaissance faciale».
Ce surprenant aperçu des capacités du géant numérique permet néanmoins de jauger la précision des informations compilées. Impossible, faute d'espace, de défiler la liste exhaustive dans cet article. Jetez néanmoins un oeil sur notre tableau «Obtenir ses dossiers Facebook», vous saurez où débusquer les principaux éléments recueillis sur votre compte.
Tout tout tout!
Tout, vraiment tout, ce que vous avez volontairement diffusé à votre sujet - même ce que vous préféreriez peut-être oublier! - s'y trouve. Emploi, ancienne flamme, résidence, sexe, anniversaire, relations, membres de votre famille, scolarité, langue, numéro de téléphone, religion, courriel, films et musiciens appréciés... Ce que vous avez dévoilé est enregistré, incluant les modifications que vous avez apportées par le passé à ces renseignements.
Aussi, si vous avez écrit quelque chose, si vous avez commenté le statut d'un ami, si vous avez publié une photo ou cliqué sur une publicité, l'information est répertoriée. La date, l'heure de toutes vos actions, même les plus anciennes, sont notées.
Il y a plus. Les noms des personnes qui n'ont pas répondu à vos demandes d'amitié, la marque de votre ordinateur, les événements auxquels vous participez, le jour où vous avez consulté le journal d'un autre, des coordonnées géographiques de lieux visités... «Nous recevons des données à votre sujet à chaque fois que vous entreprenez une action dans Facebook», note l'entreprise dans sa Politique d'utilisation des données.
Et vous n'êtes par seul maître à bord! «Nous pouvons recevoir des informations vous concernant par le biais de vos amis, par exemple lorsqu'ils téléchargent vos coordonnées, publient une photo de vous, vous identifient sur une photo, dans une publication ou dans un lieu, ou vous ajoutent à un groupe. Les personnes qui utilisent Facebook peuvent enregistrer et communiquer les informations dont elles disposent à votre propos ou à propos d'autres personnes [...].»
«Nous recevons également d'autres types d'informations vous concernant», lit-on. Ah oui? Des exemples? «Lorsque vous publiez des informations telles que des photos ou des vidéos sur Facebook, nous pouvons recevoir des données supplémentaires (ou métadonnées), comme l'heure, la date et l'endroit où vous avez pris la photo ou la vidéo.»
Mais encore? «Nous recevons les données de l'ordinateur, du téléphone portable ou de tout autre appareil que vous pouvez utiliser pour accéder à Facebook [...]. Cela peut comprendre votre adresse IP [NDLR : permet d'identifier la machine] et d'autres informations comme votre fournisseur d'accès à Internet, le lieu, le type de navigateur que vous utilisez ou les pages que vous consultez.»
Facebook butine parfois, en outre, chez des «partenaires», des «clients publicitaires» ou «d'autres tiers». Les données ainsi amassées «nous permettent de diffuser des publicités plus pertinentes, de mieux comprendre la façon dont les gens utilisent Facebook et, de manière générale, d'améliorer les services que nous proposons», justifie l'entreprise.
Politique d'utilisation des données de Facebook : www.facebook.com/about/privacy/
***
Pause ou rupture?
Un bon matin, vous constatez que votre réseau social préféré ne vous comble plus. Ça y est, c'est fini! Vous fermez votre compte Facebook. Êtes-vous certain que vous avez effacé vos informations personnelles?
Une pause pour réflexion
Il est possible de désactiver votre compte, le temps de prendre du recul. «Les autres utilisateurs ne voient plus votre journal, mais nous n'effaçons pas vos informations», avertit clairement la Politique d'utilisation des données de Facebook. «La désactivation d'un compte équivaut à nous indiquer de ne pas supprimer les informations, car vous souhaitez peut-être à l'avenir réactiver ce compte. Vos amis vous verront toujours dans leur liste d'amis.» Comment «désactiver»? Dans l'univers Facebook, cliquez sur la flèche blanche en haut, à droite. Rendez-vous dans la section «Paramètres du compte», puis reclic sur «Sécurité», à gauche. Fouillez un peu, le lien est au bas.
Rupture définitive
C'est sérieux. Votre relation ne peut plus revivre. «Lorsque vous résiliez un compte, il est supprimé de façon permanente de Facebook», rapporte la Politique d'utilisation des données. «Un délai d'environ un mois est nécessaire pour supprimer un compte, mais certaines informations peuvent rester dans des copies de sauvegarde et dans des journaux d'activité jusqu'à 90 jours.» Certaines données survivront toutefois, par exemple si un ami a conservé un de vos messages.



dimanche 11 novembre 2012

Véhicule libre de dettes ? connaît pas .....


Vous souhaitez acheter un véhicule et savoir s’il est libre de dettes? Vous avez été nommé liquidateur d’une succession? Vous désirez connaître le régime matrimonial d’une personne? Pour ces raisons et bien plus, vous avez avantage à connaître et consulter le Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM).
Le RDPRM est un registre gouvernemental informatisé qui permet de rendre publics des droits relatifs à certains biens meubles ou à des personnes.
Un droit sur un bien meuble doit être inscrit au RDPRM lorsqu’il vise : un bien d’entreprise (ex. : équipement, outils, inventaire, créance), un véhicule routier (ex. : automobile, motocyclette, motoneige), un bateau, une motomarine, un avion, certains biens précieux (ex. : œuvre d’art, bijou) ou produits financiers (ex. : action, obligation d’épargne).
Les principaux droits personnels qui doivent être inscrits au RDPRM sont : les avis de contrats de mariage, d’union civile ou de jugements en divorce et les droits relatifs à la liquidation d’une succession.
Le RDPRM est un élément important du monde des affaires et de la consommation. Ce service vise deux grandes catégories d’usagers :
ceux qui souhaitent protéger un droit au moyen d’une inscription au registre (ex. : lors du financement de certains biens ou du règlement d’une succession);
ceux qui souhaitent vérifier, avant d’acheter ou de financer un bien meuble, s’il est libre de dettes (ex. : avant l’achat d’une automobile). En effet, si le propriétaire précédent cesse de rembourser son prêt, le véhicule pourrait être saisi.


Un droit inscrit au RDPRM est considéré comme connu de toute personne. Si une personne ne consulte pas le RDPRM et qu’un problème survient, elle ne pourra pas invoquer sa bonne foi pour se défendre.

Registre des droits personnels et réels mobiliers
Le Registre des droits personnels et réels mobiliers  est un registre informatisé public qui existe depuis 1994 et dans lequel sont inscrits des droits personnels et des droits réels sur des biens meubles. Une fois inscrit au RDPRM, un droit est publié et donc considéré comme connu de toute personne.
Sauf exception, lorsqu’ils portent sur des biens d’entreprise, les droits réels mobiliers doivent toujours être publiés. Près de 110 différents droits peuvent y être inscrits : des hypothèques mobilières, des réserves de propriété, des droits résultant de baux à long terme, des avis de contrats de mariage ou de jugements de divorce.


samedi 10 novembre 2012

Jacques Duchesneau se joint à Hackons la Corruption!

Québec Ouvert est très content d'annoncer que M. Jacques Duchesneau se joindra à nous pour une allocution en plénière ce samedi à 15h.  Ancien chef de police de la communauté urbaine de Montréal, il a été à la tête de l’Unité anticollusion. Son mandat consistait à s’assurer que les 4,2 milliards $ consacrés en travaux routiers au Québec seraient bien investis et à l’abri de la collusion, la corruption et la malversation. Maintenant député de Saint-Jérôme à l'Assemblée Nationale, il présentera ses démarches et son travail contre la corruption au Québec en plus d'offrir des pistes de réflexions aux participants de l'évènement.
Inscrivez-vous à l'évènement et faîtes un don!


REF.:

vendredi 9 novembre 2012

Enfin Archambault lance son site mobile


Numérique - Archambault lance son site mobile
Tous les produits du catalogue d'Archambault peuvent être magasinés directement sur les téléphones intelligents. 
Photo Archives / Agence QMI

MONTRÉAL - Poursuivant le déploiement de sa stratégie numérique, Archambault propose un nouveau site mobile pour les téléphones intelligents.
La plateforme adaptée pour les téléphones intelligents peut être visitée dès maintenant à l'adresse m.archambault.ca.
«Nos clients comptent de plus en plus sur leur téléphone mobile pour obtenir l'information dont ils ont besoin, a dit Donald Lizotte, président, secteur détail du Groupe Archambault. Il était donc normal pour nous de répondre à leurs attentes en permettant aux mordus de culture québécoise de vivre une expérience de magasinage personnalisée, qui s'inscrit dans le virage numérique qu'Archambault a entrepris.»
Tous les produits du catalogue d'Archambault peuvent donc être magasinés directement sur les téléphones intelligents, où les gens peuvent aussi écouter des extraits sonores de produits musicaux, y consulter les nouveautés et promotions.
Le site mobile d'Archambault est le plus récent outil s'inscrivant dans le virage technologique de l'entreprise, qui a lancé la plateforme de musique en continu Zik.ca et l'application mobile Mes livres, en plus de proposer pour téléchargement trois millions de MP3 - en français et en anglais - sur archambault.ca.


REF.:

Microsoft: Surface perd 50% de surface ?


Tablettes - La Microsoft Surface 32 Go n'offre en réalité que 16 Go d'espace
 
Photo Microsoft Corporation

La Microsoft Surface 32 Go n'offre en réalité que 16 Go d'espace

Microsoft l'admet: une fois déduit l'espace attribué au système d'exploitation, aux applications préinstallées et à Office, l'espace de stockage disponible sur la tablette Microsoft RT passe de 32 Go à 16 Go.

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Microsoft: «Surface est un nouveau type d'appareil» En images: «Surface» sous toutes ses coutures
Micorsoft dévoile ses tablettes «Surface»
Publiés sur une page officielle, ces chiffres contredisent les affirmations du mois d'octobre, selon lesquelles le système d'exploitation Windows RT n'occuperait  pas plus de 12 Go d'espace, laissant aux utilisateurs optant pour l'appareil d'entrée de gamme 20 Go pour stocker leurs propres fichiers et applications.
Entre 20 Go et 16 Go, la différence est de taille. Et si certains vous diront qu'il est possible de remédier à cela grâce au cloud, aux cartes micro SD ou aux clés USB (la tablette prend en charge les trois solutions), les applications doivent résider dans l'espace de stockage de la tablette pour fonctionner.
Selon Nielsen, le nombre moyen d'applications contenues dans un appareil mobile est de 41.
De plus, selon ABI Research, la taille des applications augmente de façon exponentielle, afin de mettre à profit la taille croissante des écrans et la rapidité des processeurs (la taille des applications de jeu a d'ailleurs augmenté de 40% depuis le mois de mars).
Si les acheteurs d'une tablette Surface 32 Go ont donc bien de quoi se plaindre, Microsoft n'a pas encore répondu à leurs interrogations.


REF.: