Simple et efficace, vous assurera de la sûreté de votre ordinateur en détectant tout spyware qui pourrait s'y trouver.
Detekt
est un logiciel de détection de spyware développé par Claudio Guarnieri
et publié en partenariat avec Amnesty International , Digitale
Gesellschaft , Electronic Frontier Foundation et Privacy International.
Il s'agit en effet un logiciel militant développé à destination des
défenseurs des droits de l'homme, des journalistes, des ONG, des
opposants politiques, des minorités religieuses et ethniques.
Concrètement il s'agit d'un logiciel portable, un simple exécutable
donc, qui va scanner le système de l'utilisateur à la recherche de
logiciels espions ; logiciels capables de lire les emails, d'écouter les
conversations en audio ou visioconférence voire d'allumer à distance
webcam et microphone sans que son propriétaire le sache.
Remarque : de par sa nature, il se pourrait que Windows empêche le démarrage de Detekt. Vous pouvez outrepasser cet avertissement sans hésitation. En outre, pensez
Notez que le logiciel ne fonctionne pas pour l'instant pour Windows 8.1 et Windows 8 en 64 bits.
Apple donnait aujourd’hui sa traditionnelle keynote, sans beaucoup de
surprises tans les fuites avaient été nombreuses. La marque à la pomme a
donc annoncé un nouvel iPhone SE 4 pouces ainsi qu’un nouvel iPad Pro
au format de l’iPad Air 2.
Pour sa collection printemps-été 2016, Apple a décidé de faire fi de
sa folie des grandeurs. La principale annonce de cette conférence fut
celle de l’iPhone SE, un nouveau téléphone 4 pouces qui vient contraster
avec les dimensions extra larges de l’iPhone 6S mais que le
constructeur promet aussi puissant que ses prédécesseurs.
L’iPhone SE embarque ainsi un processeur A9 64 bits et un coprocesseur
M9, les mêmes puces qui équipent actuellement les iPhone 6S. On peut
donc espérer des performances comparables. Le coprocesseur M9 permet
également une intégration renforcée de Siri. Mais promis, ces
performances ne viendront pas peser sur l’autonomie du smartphone. Au
niveau de l’appareil photo, l’iPhone SE embarque une camera iSight 12
mégapixels et permet la capture de vidéo en 4k ainsi que des panoramas
en 62 mégapixels.
La réelle nouveauté de cet iPhone, outre un retour au format 4 pouces, c’est son prix : disponible à partir de 489 euros pour
sa version 16 go et 589 euros pour la version 64 go. Il sera disponible
à compter de la fin du mois de mars, les précommandes ouvrent à partir
du 24 mars. C'est le moins cher des iPhone jamais commercialisés, Apple
vise ici les marchés émergents, le marché du renouvellement (un tiers
des iPhone en circulation sont des 4 pouces) et les fabricants de
smartphones "abordables". Soit les leviers de croissance dans un marché
global qui s'essouffle.
« Le meilleur accessoire jamais crée par Apple »
Autre
gros morceau de la conférence, le nouvel iPad Pro a reçu plus ou moins
le même traitement que l’iPhone et revient dans une version plus petite
sur un format 9,7 pouces. Phil Schiller, venu sur scène présenter ce
nouveau modèle, a pris le temps d’expliquer les raisons qui ont poussé
Apple à revenir à ce format. « Tout d’abord, nous avons vendu plus de
200 millions d’iPad au format 9,7 pouces depuis le lancement. Mais
surtout, on vise les utilisateurs Windows ! Il y a plus de 6 millions
d’utilisateurs de PC qui possèdent une machine vieille de 5 ans
aujourd’hui. C’est triste, mais l’iPad pro est une parfaite solution de
remplacement ! »
Les vieilles guerres entre constructeurs ont la
peau dure et Apple semble croire dur comme fer en son iPad, renouveau
d’un marché PC en berne depuis plusieurs années. Mais le marché de la
tablette n'est pas au mieux non plus (notamment pour la pomme), Apple ne
fait donc que suivre la tendance porteuse des 2 en 1, initiée par
Microsoft et sa Surface Pro.
Ce nouvel iPad met notamment en avant
son écran Retina, 40% moins réfléchissant que celui de l’iPad Air 2 et
20% plus lumineux. Le VP d’Apple en a profité pour présenter la
fonctionnalité True Tone, qui permet d’adapter l’affichage
colorimétrique de l’écran à l’ambiance de la pièce afin d’afficher des
contrastes moins violents et d’améliorer le confort de lecture.
Côté performance, le nouvel iPad Pro dispose d’un processeur A9X et
promet des graphismes « dignes d’une Xbox 360. » Un boost qui devrait
selon Apple permettre une marge adoption tant pour les joueurs que pour
les utilisateurs professionnels.
Le nouvel iPad Pro est proposé à
partir de 695 € pour le modèle Wi-Fi 32 Go et de 845 € pour le modèle
Wi-Fi + Cellular 32 Go. Il est également décliné en version 256 Go, mais
il vous faudra alors débourser un peu plus de 1000 euros pour vous le
procurer. L’iPad Pro est évidemment compatible avec le pencil « le
meilleur accessoire jamais crée par Apple » selon Phil Schiller. Steve
Jobs appréciera et un nouveau clavier dédié, en option bien sûr.
Apple a également profité de l’occasion pour annoncer les
nouveautés d’iOS 9.3, en beta depuis quelque temps et disponible dès
aujourd’hui. Celui-ci embarquera plusieurs nouvelles fonctionnalités
pour les applications ainsi qu’une fonctionnalité baptisée Nightshift.
Celle-ci, capable de détecter l’heure du coucher de soleil, gommera les
teintes bleues de l’écran réputées agressives et nuisibles pour le
sommeil au moment d’aller se coucher. Parmi les autres fonctionnalités,
on notera la possibilité de protéger des Notes prise avec l’application
éponyme par un mot de passe, ainsi que des suggestions d’applications
proposées dans le dashboard Healthkit. De la publicité chez Apple ? Le
constructeur ne s’est pas étendu sur ce mécanisme de suggestion.
« Nous pensons que nous avons la responsabilité de la protection de vos données »
Outre
ses nouveaux produits, Apple a profité de la conférence pour mettre en
avant son engagement écologique en proposant un programme baptisé Apple
Renew. Celui-ci permet aux utilisateurs de faire recycler leurs iPhones
en les ramenant simplement dans un Apple Store. Le constructeur a
également donné des nouvelles de son application ResearchKit, et annoncé
le lancement de CareKit, un framework open source pour des applications
d’e-santé et de quantified self. Seules deux applications ont été
présentées, dont une dédiée à l’accompagnement de la convalescence. Tim
Cook a brièvement évoqué l’Apple Watch pour annoncer là aussi une baisse
du prix d’entrée, tarifé maintenant à 349 euros et de nouveaux
bracelets.
Preuve que la montre connectée ne se vend pas aussi
bien que prévu ? En tout cas, Cook s'est encore gardé de fournir le
moindre chiffre...
Une conférence en mode mineur pour Apple, qui revoit sa gamme en version
plus petite et dans des échelles de prix un peu plus abordables que les
précédentes annonces.
La keynotea également été l’occasion pour
Tim Cook de renouveler son engagement à l’égard de la protection des
données personnelles dans une déclaration de début de conférence qui ne
laissait aucun doute sur la position de la société dans le conflit qui l’oppose actuellement au FBI. «
Nous ne nous attendions pas à nous retrouver dans cette position, en
opposition avec notre gouvernement. Mais nous pensons que nous avons la
responsabilité de la protection de vos données. Nous le devons à nos
clients et à ce pays » a ainsi déclaré le dirigeant en ouverture de la
conférence. Rappelons que ce mardi, une audience opposant le FBI à Apple
aura lieu dans une cour californienne.
Intel annonce, via son rapport annuel, la fin de son modèle de développement bien connu, le tick-tock model.
Traditionnellement, et depuis plusieurs années déjà, Intel développe ses microprocesseurs selon un modèle connu sous le nom de tick-tock
ou tic-tac en français dans le texte. L'idée est simple : les
processeurs en tick bénéficient d'une finesse de gravure supérieure
quand les processeurs en tock restent sur le même processus de
fabrication mais étrennent une nouvelle micro-architecture.
Ce cadencement permettait d'étrenner les nouveaux process
industriels sur une architecture connue et maîtrisée et de dissocier
architecture et finesse de gravure histoire d'éviter certains errements
comme au temps du Pentium 4. Seulement voilà si le tick-tock model
a tenu de longues années, il faut bien reconnaître qu'il était battu en
brêche avec Broadwell et Skylake dont les retards furent notables.
D'autant qu'Intel se rapproche inexorablement des limites des lois
actuelles de la physique où l'amélioration d'un process se fera de plus en plus difficile.
Aussi, sans tambour ni trompette, Intel annonce la fin du tick-tock model
chantre de la loi de Moore qui veut que la densité de transistor double
tous les 18 mois. Dans son rapport annuel transmis aux autorités
boursières américaines, Intel explique discrètement que le tick-tock model appartient au passé. Le fondeur explique ainsi : « Nous
prévoyons de lancer de nouvelles microarchitectures de processeurs
selon une cadence régulière. Nous nous attendons à allonger la durée
d'utilisation de notre processus 14nm et de notre prochaine génération
de technologies 10nm, optimisant ainsi nos produits et processus
technologiques en répondant à la demande annuelle de lancement produit
du marché ».
Pour accompagner cette explication, Intel présente son nouveau
cadencement : Processus, Architecture et Optimisation. Et la suite,
après les processeurs Core de sixième génération a un nom : Kaby Lake.
Une génération de processeurs qui sera toujours en 14nm avec, selon
Intel : « des améliorations clés en termes de performance face à la famille de processeurs Core de sixième génération
». En clair, Kaby Lake sera la génération de processeurs correspondant à
l'optimisation. C'est Canon Lake, attendu pour le second semestre 2017,
qui devrait répondre à la partie processus de ce nouveau modèle de
développement.
Sur le plus long terme, Intel reste un acteur clé de l'industrie du
semi-conducteur avec une capacité industrielle certaine. L'américain
possède en effet ses propres usines ou fabs dans le jargon. Intel
précise dans son rapport qu'il dispose toujours d'un avantage
concurrentiel décisif en fabriquant ses puces dans ses usines. Intel
note toutefois que « le coût de la construction d'usines à la pointe
de la technologie va augmenter, ce qui fait que moins de compagnies de
semiconducteurs pourront s'appuyer à la fois sur le design et la
fabrication ».
N'en demeure pas moins donc que le 10nm n'est pas tout à fait à l'heure
chez Intel, alors que la concurrence, TSMC en tête, planche déjà sur le
7nm. Tandis que le process 10nm d'Intel et le 7nm de TSMC devraient tous
deux offrir la même densité de transistors, il faudra s'intéresser aux
performances desdits transistors.
Wafer de puces Intel Skylake, des processeurs Core de sixième génération
Il semblerait qu'il soit devenu extrêmement difficile pour les constructeurs
de nommer leurs appareils. À tel point que les clients sont aujourd'hui
noyés sous des nomenclatures souvent complexes et qui ne signifient pas
grand chose. Pourquoi par exemple avoir choisi iPhone SE pour le nouveau-venu d'Apple ?
La firme de Cupertino avait eu bien du mal, semble-t-il, à se décider
sur le nom de ce nouvel iPhone de 4 pouces. Avant son lancement
officiel, nous avions eu droit à iPhone 6c, iPhone 7c, iPhone 5e puis
iPhone 5se.
C’est donc finalement iPhone SE qui avait été retenu. Quant à la
signification de ces deux lettres, il faut y lire « Special Edition »
(« Édition Spéciale » donc). C’est ce qu’a déclaré Phil Schiller à Jason
Cipriani, de FORTUNE. D’après lui, c’est une référence au Macintosh SE de 1987… tout un programme !
L’ultra
haute définition, tous les constructeurs en parlent, mais rares sont
les sources qui permettent d’en profiter. Nous avons testé l’une des
seules platines Blu-ray 4K disponibles, la Panasonic DMP-UB900 avec l’un
des rares Blu-ray 4K HDR disponible.
Le Blu-ray 4K Ultra HD arrive à grands pas ! Les premiers
disques seront disponibles en France à la fin du mois de mars et deux
constructeurs, Samsung et Panasonic,
se préparent à lancer leurs lecteurs en avril. Nous avons pu tester en
avant-première le modèle haut de gamme de Panasonic baptisé DMP-UB900,
annoncé à 899 euros. Le constructeur nous a par ailleurs livré un
téléviseur 4K de la gamme DX900 (ici en 65 pouces) et Sony nous a livré
un de ses premiers Blu-ray 4K Ultra HD : le film The Amazing Spider-Man :
le destin d'un Héros. Voici nos premières impressions.
Le plein de connecteurs
Pas
trop encombrant (43 x 7 x 20 cm), le lecteur bénéficie d’une conception
soignée, mais il faudra faire attention aux traces de doigts en raison
de son revêtement. La façade bascule pour révéler le tiroir du
disque, mais aussi un port USB 2.0 et un lecteur de cartes mémoire SDXC.
Dommage que Panasonic n’ait pas opté pour de l’USB 3.0 car nous avons
constaté des saccades lors de la lecture d’une vidéo 4K à partir d’une
clé USB.
Lionel Morillon
-
Panasonic a soigné la connectique avec une multitude de prises
à l’arrière. Citons entre autres deux ports HDMI, dont un peut se
servir pour connecter un ampli Home Cinéma, ainsi que des sorties audio
7.1 analogiques, coaxiale et optique. Une prise réseau Gigabit Ethernet
est également de la partie, mais il est possible de s’en passer car le
lecteur dispose également d’une interface Wi-Fi compatible avec les
derniers réseaux en date (802.11a/b/g/n/ac).
Lionel Morillon
-
Notons la présence du logo THX 4K Source qui indique que le
DMP-UB900 bénéficie de la certification de la société fondée par George
Lucas, gage d’une qualité d’image optimale en 4K. Pour traiter la vidéo,
Panasonic utilise un processeur maison, le High-Precision Chroma, qui
prend en charge des fonctions sophistiquées et essentielles. C'est le
cas par exemple de la conversion du codage des couleurs. Celui-ci
pouvant être différent entre un téléviseur 4K et le Blu-ray 4K Ultra HD,
le processeur se charge d'adapter au mieux le signal pour que l'image
soir la plus belle possible. Autre traitement très important assuré par
la platine : l'upscalling. Si ce terme est de plus en plus connu,
rappelons qu'il s'agit de la technologie permettant d'améliorer la
qualité d'un Blu-ray Full HD pour que l'image soit la plus belle
possible sur un téléviseur 4K. Nous reviendrons plus loin sur ce
traitement.
Lionel Morillon
-
Une image 4K d’excellente qualité
Le lecteur de
Panasonic démarre rapidement (environ 6 s) et il nous a fallu attendre
environ 50 secondes pour voir apparaître le menu du film, un temps
raisonnable comparé aux Blu-ray actuels. Il est difficile de se faire
une idée précise sur la lecture d'un seul film, mais l’image 4K de The
Amazing Spider-Man : le destin d'un Héros est de qualité.
Ce Blu-ray 4K Ultra HD, en particulier, bénéficie d’un espace colorimétrique plus important (BT.2020) et du traitement HDR (High Dynamic Range)
qui permet d’augmenter considérablement le niveau de détail dans les
zones sombres et les zones lumineuses (luminance de 1000 à 10000 cd/m²
selon le constructeur). Ainsi, l’image est plus précise, plus lumineuse,
avec des couleurs plus détaillées. Il est difficile d’illustrer ce gain
de qualité en photographiant un téléviseur, mais la photo ci-dessous
donne un exemple de l'excellent rendu des couleurs et des lumières. La
plage dynamique est excellente, les zones d'ombres bien débouchées, sans
saturée les zones lumineuses.
Lionel Morillon et Sony
-
Dans la photo qui suit, c’est le niveau de détail et de
couleur du costume de Spider Man qui est magnifié par le Blu-ray 4K
Ultra HD. Dans l'ensemble, la plage dynamique est excellente, les zones
sombres bien débouchées, sans saturer les zones lumineuses.
Lionel Morillon et Sony
-
En revanche, certaines personnes critiqueront l’image en
invoquant la présence de bruit sur l'image. Cela n’est aucunement un
défaut, mais simplement le grain de la pellicule 35 mm qui se révèle
nettement plus visible en 4K. Ce défaut devrait être présent sur
d'autres titres numérisés depuis une pellicule. Il faudra attendre des
titres tournés directement en numérique 4K pour avoir une image
parfaitement nette... parfois qualifiée d'artificielle par les puristes.
Pour exemple, le film Chappie, a lui été tourné intégralement
numérique. Faute d’équipement Home Cinéma, nous n’avons pas pu
évaluer la qualité audio (qui sera là encore dépendante de la source de
captation), mais le disque de Sony comportait une piste audio Dolby
Atmos, hélas uniquement pour la langue anglaise.
Lionel Morillon
-
Attention à la norme HDMI
Pour profiter pleinement des
Blu-ray 4K Ultra HD, il faut que le lecteur ET le téléviseur soient
dotés de prises HDMI répondant au standard 2.0a. Seul celui-ci autorise
la transmission des données HDR. Notre duo comprenant la platine
DMP-UB900 et le téléviseur 4K DX900 de Panasonic. En outre, le
constructeur nous a fourni un câble HDMI portant les mentions 4K et 18
Gbps. Les utilisateurs d’un téléviseur 4K doté de ports HDMI 1.4 peuvent
connecter le lecteur avec une diffusion 4K, mais seront limités à 30
images par seconde (la norme 2.0 permet 50 ou 60 images par seconde) et
ne pourront pas bénéficier de la fonction HDR.
Lionel Morillon
-
Un upscaling très satisfaisant
Outre des tests de
lecture avec le Blu-ray 4K Ultra HD fourni par Sony, nous avons aussi
testé le lecteur avec un film Blu-ray standard et même avec un DVD
Vidéo. La bonne surprise vient du système de conversion en 4K qui se
révèle très efficace et permet de regarder dans de bonnes conditions les
vieilles galettes. Il ne sera donc pas nécessaire de renouveler toute
sa médiathèque DVD et Blu-ray.
Lionel Morillon
-
Pas de fonction de protection Cinavia … pour l’instant
Tous
les lecteurs Blu-ray sont équipés d’une fonction de protection anti
piratage nommé Cinavia. Sur certains films, un filigrane est présent
dans la piste audio pour indiquer que le son vient d’un Blu-ray ou d’une
salle de cinéma. Si le lecteur détecte le filigrane lors de la lecture
d’un fichier vidéo, la protection se déclenche, coupe le son, voire
stoppe net la lecture. Nous avons fait un test avec une vidéo piratée
comportant le filigrane et la protection ne s’est pas activée.
Néanmoins, Cinavia est bien mentionné dans le manuel d’utilisation et
sera surement présent dans les modèles commercialisés.
Un lecteur totalement connecté
Nous
l’avons dit plus haut, le DMP-UB900 est doté d’interfaces réseau
Gigabit Ethernet et Wi-Fi. Un coup d’œil sur la télécommande révèle la
présence de quatre touches pour accéder directement aux périphériques
DLNA, par exemple un NAS, ainsi qu’à la fonction Miracast pour afficher
sur un téléviseur l’écran des smartphones et des tablettes Android.
Lionel Morillon
-
Deux autres touches de la télécommande donnent directement accès à des services Internet, ainsi qu’à Netflix dont certaines séries sont diffusées en 4K pour les abonnés à l'offre Premium à 12 euros par mois. Outre
Netflix, le magasin de Firefox OS offre de nombreux services gratuits,
dont Twitter, Dailymotion, Picasa et YouTube (le lecteur accepte la
diffusion 4K de YouTube). Arte, NRJ et Euronews sont également de la
partie, ainsi qu’une multitude de jeux gratuits. Notez également que
nous avons d'ores et déjà prévu de vous en dire plus sur cette interface
Firefox OS, concurrent d'Android TV. Pour l'heure, disons que
l'interface est globalement fluide et plutôt intuitive.
Lionel Morillon
-
Nos premières impressions du lecteur Blu-ray 4K Ultra HD sont
plutôt positives avec une image plus détaillée, mais aussi une meilleure
restitution des couleurs et des contrastes que ce que peut offrir un
lecteur Blu-ray traditionnel. Bien entendu, il faut que le téléviseur 4K
soit à la hauteur et la restitution sera différente selon les films en
espérant les studios soignent le transfert de leurs films vers ce
nouveau format. Evidemment avant de vous lancer dans un achat compulsif de la platine, il est peut-être plus judicieux d'attendre que la UBD-K8500 de Samsung soit disponible, pour comparer les deux modèles. Prix : 899 euros