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mercredi 29 juin 2016

Analyser votre site web pour le contenu non sécurisé(SSL)





Cet outil va parcourir un HTTPS-site (intégralité du site, de manière récursive, à la suite des liens internes) et rechercher des images non sécurisées, des scripts et css fichiers qui déclenchent un message d'avertissement dans les navigateurs. Le nombre de pages rampé est limité à 200 par site. Les résultats sont mis en mémoire cache pendant 10 minutes.
ici : https://www.jitbit.com/sslcheck/



Comme vous le savez peut-être Google a annoncé qu'on va en HTTPS et ça vous donnera un classement mineur boost. 

 Beaucoup de gens se sont précipités dans l'achat de certificats SSL et le passage à HTTPS.  
Mais après l'activation de SSL sur votre serveur - rappelez-vous de tester vos pages pour les URL «absolues» qui pointent vers un contenu non sécurisés - images et scripts.
 



Les  API

Cette page accepte hachage paramètres comme ceci: 

 https://www.jitbit.com/sslcheck/#url=https://www.google.com/, se sentent libres a utiliser.


Source.:

Intel embarque-t-il une porte dérobée dans toutes ses puces ? La Management Engine ou la Damagement Engine ?



Intel chipset
 
Julianprescott2604juuly (Creative Commons)

De plus en plus d’experts critiquent ouvertement le composant Management Engine qu’Intel embarque dans tous ses chipsets récents. C’est un ordinateur dans l’ordinateur, doté d’énormes privilèges d’accès et dont le code est complètement opaque.

La communauté du logiciel libre tire la sonnette d’alarme. Selon elle, la sécurité de la plupart de nos équipements informatiques est compromise, et les coupables sont tout désignés : les puces Intel de dernière génération. Plusieurs porte-paroles de la communauté libre ont récemment publié des notes de blog au vitriol sur un composant bien étrange qui se trouve désormais intégré dans les CPU d’Intel : le « Management Engine » (ME).
Pour les partisans du libre, cette petite entité – qui est censée fournir tout une ensemble de services de sécurité (Trusted Platform Module) et d’administration à distance (Active Management Technology) – est le diable en silicium. C’est un véritable ordinateur à l’intérieur de l’ordinateur. Il dispose de son propre système d’exploitation (propriétaire) et de ses propres interfaces réseaux (adresse MAC). Il a un accès direct à la mémoire du PC et peut prendre son contrôle à n’importe quel moment. Et, bien sûr, il ne peut jamais être désactivé.
Bref, c’est le mouchard idéal. « Il peut allumer ou éteindre le PC, ouvrir tous les fichiers, examiner toutes les applications lancées, connaître les mouvements de la souris et l’enfoncement des touches de clavier, et même capturer ou insérer des images sur l’écran », explique Leah Woods, développeuse en chef de Libreboot, dans une note de blog de la Free Software Foundation. Libreboot est un BIOS libre que Leah Woods et ses amis installent sur des PC Linux que l’on peut acheter sur Minifree.org.

Un code impossible à remplacer

La deuxième salve anti-Intel est venue de Damien Zammit, qui participe également au projet Libreboot. Pour ce développeur, ME est une dangereuse boîte noire qui, si elle est compromise par un attaquant, permet d’installer des portes dérobées (rootkit) « quasi indétectables et imparables », explique-t-il sur le site boingboing.net. Dans l’idéal, Damien Zammit aimerait bien sûr se débarrasser du code propriétaire d’Intel et installer son propre système sur le ME. Malheureusement, c’est impossible car le firmware du ME est vérifié par une ROM secrète intégrée dans le chipset, au travers d’un algorithme de signature électronique basé sur RSA 2048 bits. « Toutefois, il y a peut-être un bug que l’on peut exploiter dans cette ROM », espère Damien Zammit.
Si les développeurs de Libreboot sont tellement vent debout contre ME, c’est parce que cette technologie annihile tous leurs efforts. Leur but est de créer des ordinateurs où toutes les couches informatiques sont libres et open source : le matériel, le BIOS, le système d’exploitation, les applications. Le ME représente, de ce point de vue, un obstacle incontournable.

Tous des PC zombies

Des chercheurs en sécurité ont également planché sur ce problème. C'est notamment le cas de Joanna Rutkowska. En décembre dernier, à l’occasion de la conférence 32C3, cette chercheuse d'Invisible Things Labs a détaillé le fonctionnement du Management Engine d'Intel et listé ses différentes voies d’accès dans le PC. On voit bien que le ME dispose de privilèges hors du commun, alors que « personne ne sait ce qu’il y a dedans ».  
Pour Joanna Rutkowska, le ME « n’est pas seulement un redoutable vecteur d’attaque, il transforme également tous nos PC en PC zombies ». Selon elle, le but d’Intel est d’inverser le modèle d’implémentation actuel, où le système d’exploitation et les applications prennent en charge les traitements de données sensibles, comme le chiffrement ou la génération de nombres aléatoires.
Ces traitements seraient alors progressivement transvasés vers le matériel et, notamment, le ME. « Le code du ME n’est pas forcément malveillant, mais peut-être qu’il contient des erreurs, peut-être que l’implémentation n’a pas été faite de manière correcte. Intel, évidemment, pense que tout ce qu’il fait est forcément sécurisé… », souligne-t-elle.  
Pour sa part, Joanna Rutkowska a proposé un modèle d’implémentation matérielle alternatif orienté vers une sécurité maximale. Son PC idéal est celui qui ne garde aucune donnée de manière persistante (« stateless hardware »). Les données persistantes sont stockées sur des « clés USB de confiance » (« trusted sticks »).
En définitive, cette puce omnipotente et totalement opaque, la Management Engine, s'avère inquiétante. On comprend assez facilement pourquoi Damien Zimmer la surnomme la Damagement Engine. Un processeur qui, au-delà de son but premier, menace et fragilise votre sécurité et celle de votre machine...
Sources.:
Boingboing, FSF
Joanna Rutkowska: article sur la technologie Intel, article sur l’architecture PC non persistante    

Les attaques des rayons UV sur votre peau






Jeudi 19 mai 2016 à 1 h 00
Le soleil n’a pas toujours une très bonne réputation à cause des impacts négatifs des rayons ultraviolets. Voici les attaques de ces rayons qui pourraient vous rendre malade.

À lire également : Les moustiques abondants cette année?



Les coups de soleil
L’expression coup de soleil est en réalité une brûlure causée par une trop grande exposition aux rayons ultraviolets (UV). La peau rouge est souvent le premier signe visible, mais vous risquez de constater la gravité du coup de soleil jusqu’à 24 heures après l’exposition. Les symptômes sont temporaires, mais les impacts sur la peau sont néfastes sur une longue période.


Votre peau vieillira plus vite
En s’attaquant à votre peau, les rayons UV finiront par vous faire paraitre plus vieux que votre âge. Le vieillissement prématuré se manifeste par une apparition de rides, un durcissement ou une décoloration de la peau, une perte de son élasticité et l’apparition de taches brunes.


Le cancer de la peau
Le mot cancer fait peur, mais il s’agit d’une réalité. Malheureusement, le tiers des nouveaux cancers sont des cancers de la peau. En 2015, on estimait à 78 300 les nouveaux cas de cancer de la peau au Canada. Dans ce cas-ci, une meilleure protection contre les rayons UV aurait permis de l’éviter.


Moins efficace pour combattre la chaleur
Une peau brûlée par les rayons du soleil rendra votre corps moins résistant à la chaleur extrême. En réalité, une fois que la peau est endommagée, elle transpire moins bien. La conséquence directe est que la capacité de votre organisme à contrôler sa température sera diminuée.


Trop fort pour les yeux
Le soleil n’est pas seulement trop fort pour la peau, mais aussi pour les yeux. La surexposition aux rayons UV peut irriter votre cornée et causer des blessures temporaires aux yeux. Le seul remède : les lunettes de soleil!


Un système immunitaire affaibli
Finalement, la longue liste des dangers du soleil concerne le système immunitaire. Les rayons UV peuvent affaiblir la défense naturelle du corps contre les maladies, en plus de déclencher des virus comme la varicelle ou les feux sauvages.

Crédit : Wikipedia
Crédit : Wikipedia

Des nuages trompeurs
On croit souvent à tort que les nuages nous protègent complètement du soleil. En fait, les nuages peuvent parfois bloquer une partie des rayons. Par exemple, des nuages épais et denses les bloqueront presque tous, mais des nuages minces et légers les laisseront passer.
Selon Santé Canada, jusqu'à 80 % des rayons solaires peuvent traverser les nuages légers, la brume et le brouillard. La peau peut donc brûler même si on ne voit pas le soleil.
Source .: Santé Canada

Joey Olivier Rédacteur Web - MétéoMédia

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mardi 28 juin 2016

Comment jouer au jeu de foot « caché » dans Facebook Messenger ?


Facebook Messenger football
Facebook aime décidément cacher des "easter eggs" dans ses programmes. Après avoir dissimulé un jeu d'échecs puis un jeu de basket dans son application Facebook Messenger, le réseau social profite de l'Euro 2016 pour intégrer un jeu de football. Enfin, "jeu", c'est quand même un bien grand mot !
La période se prête évidemment à ce nouvel easter egg. Alors que la France vibre pour son équipe nationale – d’ailleurs, le prochain match contre la Suisse est prévu ce dimanche 19 juin, à 21 heures ! -, Facebook Messenger vous met au défi de découvrir le mini-jeu accessible au sein de sa nouvelle version, que ce soit sur iOS ou Android.
Voici comment y accéder : commencez par mettre à jour l’application Facebook Messenger si ce n’est pas déjà fait? Ensuite, lancez une nouvelle conversation avec l’un de vos contacts, et sélectionnez l’emoji en forme de ballon de football.
Validez pour l’envoyer, et cliquez sur l’emoji en question. Un petit jeu va alors se lancer, vous mettant au défi de faire jongler le ballon un maximum de fois. C’est basique, mais au moins, ça a le mérite d’être gratuit…

Source.: