Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

jeudi 13 octobre 2016

Test : Sony PlayStation VR, champion imparfait de la réalité virtuelle

Le PlayStation VR, premier casque de réalité virtuelle de Sony, est disponible. Accessoire de luxe ou incarnation d'une VR accessible à tous ? Produit conçu pour durer ou manifestation d'une mode ? On vous dit tout.

 

 

Fiche technique Sony PlayStation VR

Les plus

  • + Le confort
  • + La conception
  • + La bonne prise en charge du son 3D
  • + Le prix

Les moins

  • - Les sensations de malaise
  • - La Camera et les Move à acheter à part
  • - La qualité des jeux

Le verdict du test

Sony PlayStation VR

Bien que la VR se démocratise peu à peu, patienter un peu avant de craquer pour son troisième et digne représentant, le PlayStation VR de Sony, serait plus sage. Tout comme attendre que le catalogue de jeu s'étoffe et que le casque puisse être testé sur la PS4 Pro afin de vérifier si les jeux sont mieux supportés et optimisés ! Surtout, il vaudra mieux l'essayer plusieurs fois chez des amis ou en magasin pour être sûr de le supporter pleinement. 
 
 
Source.:

Une bombe tombe sur le marché de l'immobilier



Le ministre fédéral des Finances Bill Morneau a largué une bombe sur le marché immobilier la semaine dernière en annonçant un resserrement des règles de financement hypothécaire. Elle tombe, elle tombe. Bouchez-vous les oreilles!

Depuis huit ans, le gouvernement fédéral tente sans succès de calmer le marché de l’immobilier. Durant cette période, il a progressivement réduit l’amortissement des hypothèques assurées, de 40 à 25 ans. Il a abaissé tout aussi progressivement la portion de l’équité d’un immeuble sur laquelle un propriétaire peut emprunter. Et je ne parle pas des fois où feu Jim Flaherty, le ministre des Finances sous le gouvernement Harper, a menacé les prêteurs hypothécaires d’un index désapprobateur: «Pas de guerre de taux les enfants, sinon…» Sinon rien. Les enfants se foutaient de sa gueule. Les taux n’ont jamais été aussi bas.

Aujourd’hui, les enfants ne rigolent plus. Ottawa sort l'artillerie lourde. Les mesures annoncées la semaine dernière, et dont une partie sera en vigueur dès la semaine prochaine, ont provoqué une certaine stupeur sur le marché. Rappelons celle qui aura l’impact le plus important. À compter de la semaine prochaine, les acheteurs incapables de verser une mise de fonds de 20% à l’achat d’une maison verront le financement maximal auquel ils ont accès amputé significativement, quelque chose de l’ordre de 20%. Imaginez, au lieu de pouvoir emprunter 250 000 dollars, un acheteur ne pourra pas obtenir un prêt de plus de 200 000 dollars sans la mise de fonds nécessaire.

Comment? Lorsqu’un acheteur n’a pas les sommes nécessaires pour couvrir 20% de la valeur de la maison, il doit faire assurer son hypothèque par la SCHL ou l’un des deux assureurs privés, soit Genworth ou Canada Garanty. Pour que l’acheteur se qualifie, ses obligations financières, qui comprennent l’hypothèque, les taxes, les frais de chauffage et d’électricité, mais également les autres dettes, ne doivent pas dépasser 44% de son revenu. Le taux d’intérêt sur le prêt hypothécaire utilisé pour évaluer le ratio de l’emprunteur est de 4,64%, sauf pour celui qui opte pour une hypothèque à taux fixe de 5 ans. Signalons qu’une très vaste majorité d’acheteurs optent pour l’hypothèque de 5 ans fixe. Dans ce cas, c’est le taux effectif qui est pris en compte, un taux qui est moins élevé de 50%, minimum. Les acheteurs se tournent vers ce type d’hypothèque parce qu’il apporte une certaine stabilité, mais aussi parce que les prêteurs le promeuvent davantage. Mais il y a bien des gens aussi qui ne se qualifient que pour l’hypothèque de cinq fixe, plus accessible en raison de ses conditions moins restrictives.

Mais cette exception prendra fin la semaine prochaine.

Tous les acheteurs qui se tournent vers une hypothèque assurée seront qualifiés à partir d’un taux d’intérêt de 4,64%, qu’importe si le terme du prêt est de deux, trois ou cinq ans ou que le taux d’intérêt est fixe ou variable.

L’impact? Il pourrait être immense, notamment sur le marché des premiers acheteurs. Ceux qui se qualifiaient pour l’achat d’une maison pourraient devoir se contenter d'un jumelé ou d'un condo. Ceux qui pouvaient tout juste se permettre un condo devront demeurer en appartement. Ou coller chez papa-maman.

Depuis une semaine, c’est le branle-bas chez les courtiers hypothécaires. Hugo Leroux, le président de la firme Hypotheca, est alarmé par la nouvelle. Certains de ses courtiers s’inquiètent, de nombreux clients en processus d’achat devront modifier leurs plans ou y renoncer. «Regarde, c’est simple, la majorité des gens qui viennent d’acheter une première maison ne se qualifieraient plus pour la maison qu’ils habitent», dit-il.

Chez Multi-Prêts, «20 à 25% de la clientèle» qui recherchent une maison actuellement pourraient être touchés, selon Denis Doucet, porte-parole de la firme de courtage.

C’est énorme. Contrairement aux initiatives précédentes, les nouvelles mesures annoncées par Ottawa sont susceptibles de modifier le paysage immobilier. Mais comment?

Le gouvernement fédéral ne s’en cache pas, Toronto et Vancouver le préoccupent, et c’est pour calmer le jeu sur ces deux marchés qu’il vient de serrer la vis. Les prix y ont atteint des niveaux stratosphériques et les hypothèques sont plus à risque, un risque qu’assume en grande partie Ottawa par l’intermédiaire de la SHCL, qui assure les prêts.

Mais la solution fait penser à un traitement contre le cancer. La mal est localisé, mais la cure affecte le corps en entier.

On fait beaucoup de cas depuis une semaine de cette nouvelle frange de jeunes qui se verront barrer l’accès à la propriété. Mais en réduisant le bassin de nouveaux acheteurs, cette nouvelle initiative pourrait avoir un impact en aval, sur le marché de la revente. Les deuxième et troisième acheteurs seront peut-être aussi contraints de renoncer à leur projet de déménagement, incapables de trouver des acheteurs prêts à mettre le prix demandé pour leur maison.

On observera certainement une baisse de l’activité sur le marché de l’immobilier. Reste à voir l’ampleur.

Les autres victimes potentielles? Les courtiers immobiliers. À leur place, je commencerais à m’inquiéter. Car il se pourrait bien que cette fois, Ottawa ait trouvé le moyen de vraiment calmer le jeu.

Source.:

Les banquier$ ont le pouvoir

Les banquiers au pouvoir


Pour ceux qui seraient surpris d’apprendre qu’Hillary Clinton tient un double discours face aux banques, ne le soyez pas. Obama aussi était très gentil avec les banquiers, tout comme Trump le serait probablement s’il devenait président. En fait, cela me rappelle un texte que j’avais rédigé en 2009:
Le phénomène Obama – entretenu largement par nos journalistes groupies – est un ballon qui a dégonflé plutôt rapidement. Mais son passage aura montré une chose : peu importe le discours qu’il tient ou l’image qu’il représente, le président américain est toujours redevable à divers degrés aux grosses entreprises qui ont financé sa campagne, notamment les grandes banques.
On peut difficilement blâmer Barack Obama pour le bordel économique qui a régné aux États-Unis suivant la crise de 2008. Mais ce qui a déçu nombre d’Américains, c’est aussi la relation un peu trop copain-copain que l’administration Obama a entretenu avec les banquiers de Wall Street. Et à ce titre, il n’est pas très différent des présidents qui ont passé avant lui.
En plus des centaines de milliards versés aux banques, cette administration a presque officialisé la politique too big to fail, qui garantit aux banques que l’État les sauvera en cas de nouvelle gaffe. En 2009, elle a changé les règles comptables pour permettre aux banques de maquiller leurs états financiers, en surévaluant leurs actifs. Et en ce moment, l’administration Obama donne à peine une tape sur les doigts des banques, qui ont pourtant saisi des milliers de maisons illégalement dans le scandale du « foreclosuregate ».
Pour le spectacle, Obama a prononcé quelques beaux discours anti-Wall Street. Mais comme l’écrivait Paul Krugman du New York Times, la politique économique de Washington — autant sous Bush que sous Obama — se résume ainsi : soyez gentils avec les banquiers (go easy on the bankers).
Les amis d’Obama
Cela ne devrait surprendre personne. Pendant la campagne présidentielle, Obama a reçu beaucoup plus d’argent des grandes entreprises — et des banques — que son adversaire républicain John McCain. La banque Goldman Sachs a versé à Obama quatre fois plus d’argent qu’à McCain. Près d’un million $ contre 230 095 $. Neuf des dix industries ayant le plus donné aux politiciens pendant la campagne ont versé plus à Obama qu’à tout autre candidat. Incluants banques et promoteurs immobiliers.
Même les grandes pétrolières ont misé sur Obama. Exxon Mobil lui a donné autant que ce qu’elle a donné à George W. Bush en 2000 et 2004… combinés! (On peut vérifier ces chiffres sur le site non partisan  www.opensecrets.org, et dans le livre Obamanomics, du journaliste d’enquête Tim Carney.)
Une fois au pouvoir, Obama s’est entouré d’anciens lobbyistes, certains provenant de Goldman Sachs. Qui est conseiller économique d’Obama? Larry Summers, principal artisan de l’abrogation de la loi Glass-Steagal en 1999. Loi qui séparait les activités de dépôt et les activités de « casino » des banques. Une déréglementation qui a amplifié la crise économique.
Dans son livre Bought and Paid For, le journaliste Charles Gasparino raconte qu’Obama s’est fait, lui et son équipe, manipulés par Wall Street. Président inexpérimenté – surtout en économie –, Obama demandait conseil auprès de Jamie Dimon, de la banque JP Morgan. Et dans une moindre mesure, auprès de Loyd Blankfein, PDG de Goldman Sachs.
Un caniche édenté
Cela explique en partie pourquoi Obama a accouché d’une réforme bancaire qui mord Wall Street avec la force d’un caniche édenté. Surtout après que les banquiers et leurs lobbyistes auront passé au travers, et affaibli les mesures qui leur déplaisent.
Je ne suis pas de ceux qui croient qu’Obama est de mauvaise foi, ou qu’il poursuit un « agenda socialiste ». C’est juste un politicien. Qui doit se plier aux mêmes règles que les autres pour accéder au pouvoir, et y demeurer.

Source.:

mardi 11 octobre 2016

Intimidation Administrative: Revenu Québec trop agressif selon Revenu Canada

Ottawa a épargné un contribuable que Québec avait sévèrement blâmé

 Revenu Québec trop agressif pour le fédéral(selon revenu Canada)

 

Revenu Québec a été si sévère à l’endroit d’un Sherbrookois que l’Agence du revenu du Canada a refusé d’appliquer la même médecine à son endroit.
«Si ça n’avait pas été de Revenu Canada, je serais en faillite aujourd’hui. Ils n’ont pas voulu suivre Revenu Québec dans leur folie», dit la voix nouée Jean-Claude Bachand, encore marqué.
M. Bachand, un ancien professeur à temps partiel à la Faculté de l’Éducation de l’Université de Sherbrooke (à la retraite depuis 1995), a montré à notre Bureau d’enquête une lettre de Revenu Canada datée d’avril 2015. Le fisc fédéral y écrit explicitement refuser de suivre la procédure mise en branle par Revenu Québec contre lui.
Cette procédure a mené à des cotisations additionnelles d’environ 60 000 $, selon la lettre.
«Monsieur a tout son temps pour profiter d’occasions d’affaires et d’en tirer profit», écrivait la vérificatrice de Revenu Québec dans son rapport.
«L’omission de revenus d’entreprise (est) importante (et) répétitive. [...] Les ventes n’ont pas été déclarées», écrivait-elle aussi.
Conclusions très différentes
Mais Revenu Canada s’est aussi penché sur les calculs du fisc québécois. Il en a tiré de tout autres conclusions.
«Le ministère du Revenu national (Revenu Canada) a réexaminé avec soin les cotisations (envoyées par Revenu Québec) à la lumière des informations et des raisons exposées dans votre avis d’opposition», lui écrit-on en 2015.
«Notre examen des faits et des documents soumis révèle qu’il n’y a pas eu de présentation erronée des faits, négligence, inattention ou omission volontaire ni de fraude de la part du contribuable», dit le fisc fédéral.
En temps normal, Revenu Canada suit Revenu Québec et se contente de doubler les montants cotisés. Le but est d’éviter des dédoublements.
Selon l’avocat fiscaliste Richard Généreux, le fait que Revenu Canada refuse de suivre Revenu Québec dans ses calculs est très éloquent. «C’est rare de voir ça. Ça montre que l’agence fédérale n’est pas à l’aise avec l’agressivité et les calculs de Revenu Québec», dit-il.
Cauchemar
M. Bachand vit un véritable cauchemar depuis que Revenu Québec s’est mis le nez dans ses affaires.
La cotisation envoyée par le fisc québécois (composée à moitié de pénalités et d’intérêts) équivaut presque à tout le profit réalisé sur la vente de deux parcelles d’un terrain acquis en 2006.
«C’est un mensonge énorme. Non seulement c’était faux, une des deux ventes était censée être prescrite», dit-il.

Nota:

«C’est un dossier terminé(c'est jamais terminé avec eux,ils vont jusqu'a votre mort et vos descendants) ayant fait l’objet d’une entente hors Cour, pour lequel Revenu Québec ne peut faire aucun commentaire», nous a écrit la porte-parole, Geneviève Laurier.(Le jeux de revenu Québec est de souffler la dette en intérêt pour provoquer une entente hors court,dans le cas de dette d'étude il leur arrive d'aller chercher des dettes ou impôts non payer avant la dâte de la faillite étudiante de 10 ans avant ,aussi loin que 2001 !)

Sa bonne affaire a tourné au vinaigre:Jean-Claude Bachand montre une parcelle du terrain qu’il a vendue pour la construction d’une maison. Selon lui. le reste de son terrain est trop escarpé pour pouvoir être aussi vendu et générer un «revenu d’entreprise», comme le prétend le fisc.


Jean-Claude Bachand montre une parcelle du terrain qu’il a vendue pour la construction d’une maison. Selon lui. le reste de son terrain est trop escarpé pour pouvoir être aussi vendu et générer un «revenu d’entreprise», comme le prétend le fisc.
M. Bachand a fait l’acquisition de trois lots de terrain en 2006 en très mauvais état pour 25 000 $ dans le but d’y construire une maison, sur les bords de la rivière Saint-François, à Rock Forest, en Estrie.
Il y a construit une maison bigénérationnelle pour héberger son fils, atteint de leucémie, mais en rémission.
Son fils est en congé de maladie depuis 2000. M. Bachand doit subvenir à ses besoins en partie. Il dit vivre avec environ 30 000 $ par année avec sa femme.
Une entreprise ?
En 2011, Revenu Québec se met le nez dans ses affaires(C'est l'année de la cuvé des fiscalistes véreux de Revenu Québec,qui veulent absolument une promotion $$$). Le fisc soutient que la vente de parcelles de terrain sur les lots acquis constitue un revenu d’entreprise et non un gain en capital (moins taxé). Revenu Québec applique alors des pénalités qui font presque doubler la facture.
«Regardez le terrain autour. Il n’y a absolument rien d’autre qui peut être vendu sur ce terrain. Il reste un cours d’eau et un ravin. C’est de la folie de penser que j’exploite une entreprise ici», dit M. Bachand.
Mal conseillé, M. Bachand dit avoir accepté de signer une entente de règlement confidentielle avec Revenu Québec. «Je ne pouvais pas aller en procès. Je ne pouvais pas risquer la santé des trois (ma femme, mon fils et moi). J’étais épuisé et j’avais des maux de dos», dit-il.
Il se borne à qualifier l’entente de “non convenable”. «Si vous avez des recours, utilisez-les, c’est tout ce que je peux conseiller aux gens», dit-il.

Nota: 

Il n'est pas rare de voir que le harcellement,va jusqu'a stationner un véhicule louer par revenu Québec qu'il mettent devant votre maison pour enregistrer par wi-fi et par votre cellulaire vos conversations et vous localise en GPS.(Attention au chevrelet flambant neuf,blanc avec vitres teintées devant votre demeure,c'est eux,..... ils reste souvant plus de 3 jours ,avec souvant un billet d'infraction au stationnement dans la vitre avant,un porteux de valise(un agent Garda en civile) vient le récupérer : Pour eux vous êtes des criminels et traité comme si vous étiez dans la Mafia,alors que tout le monde du milieu criminel saient qu'ils sont infiltrés par la Mafia,tant a Revenu Québec que Revenu Canada).Plusieurs documents ou ordinateurs ont déja été perdu ou volés de même que des cas de blanchiment d'argent dans des paradis fiscaux !
Source.:

 

lundi 10 octobre 2016

Kodi, la nouvelle tendance du piratage en streaming depuis son téléviseur




Cette application de media center permet à certaines extensions tierces d’aller puiser films et séries dans des catalogues illégaux. En moins d’un an, le nombre d’utilisateurs de cette solution accessible depuis un simple téléviseur a doublé, selon l’un des plus importants distributeurs d’extensions.