Des emojis et du multitâche sur écran scindé à l’Assistant Google, ces ajouts récents sauront satisfaire votre palais.
La dernière version du système d’exploitation le plus populaire au
monde sera lancée cet automne (les dates varient selon l’appareil et le
fabricant, alors faites les vérifications nécessaires). Comme prévu, il
regorge de nouvelles fonctions. Android Nougat 7.0 succède à son cousin
sucré, Marshmallow, et permet à Google de commencer la nouvelle année du
bon pied. Et si vous avez la chance de vous procurer un nouveau Pixel ou Pixel XL de Google,
la version exclusive (pour le moment) de Nougat (7.1) offre toutes les
plus récentes fonctions, y compris le nouvel Assistant Google. Voici un guide pratique pour vous permettre de profiter rapidement de quelques
formidables nouvelles fonctions. Le multitâche sur écran scindé
Il
est maintenant plus facile que jamais d’afficher deux applications sur
un écran scindé. Pour cela, il faut d’abord qu’une application soit
ouverte. Appuyez sur le bouton des applications récentes ou du
multitâche qui se trouve dans la partie inférieure de l’écran et
maintenez-le enfoncé. L’application ouverte s’affichera dans la partie
supérieure de l’écran ou dans celle de gauche en mode paysage.
Vous
pouvez également appuyer sur le bouton des applications récentes ou du
multitâche et le maintenir enfoncé, puis appuyer de façon continue sur
une carte d’application ouverte et la faire glisser vers le haut, où il
est indiqué : « drag here to use split screen » [glisser/déposer ici
pour utiliser l’écran scindé] pour la fixer. À partir de là, vous pouvez
toucher le bouton d’accueil et choisir l’application que vous voulez.
Veuillez prendre note du fait que les applications ne permettent pas
toutes l’affichage sur écran scindé. La compatibilité peut donc varier.
Vous pouvez faire glisser la barre noire séparant les deux applications
comme vous l’entendez et faire primer l’une sur l’autre, au besoin.
Le
basculement d’une application ouverte à une autre constitue une autre
fonction géniale que l’on peut facilement employer dans ce mode. Lorsque
la principale application est au-dessus sur l’écran scindé, touchez
deux fois le bouton des applications récentes ou du multitâche pour
passer aux autres applications ouvertes. Utilisation des nouveaux emojis
Le
système d’exploitation Nougat comprend 72 nouveaux emojis qui
complètent ceux qui existent déjà. Le principal changement concerne
toutefois leur apparence. Les emojis ne sont plus neutres quant au
genre, et différentes couleurs de peau sont disponibles, une
caractéristique qu’offre le système d’exploitation iOS depuis longtemps.
Et puisque les nouveaux emojis existent par défaut sur tous les
appareils tournant sous Nougat, il n’est pas nécessaire de suivre des
étapes précises pour y accéder. Taille d’affichage ajustable
Si
votre vision a perdu un peu de son acuité ou que vous préférez tout
simplement une taille supérieure, il est bon de savoir que le système
d’exploitation Nougat intègre une fonction d’ajustement de la taille du
texte et des icônes. Il suffit d’aller à Settings [Réglages] >
Display [Affichage] > Display size [Taille d’affichage] pour choisir
l’une des cinq tailles préétablies après avoir examiné les résultats en
aperçu. Des avis sous toutes les formes
La
transmission des avis sur Android n’a pas toujours été à la hauteur des
attentes, mais Nougat semble l’avoir perfectionnée. Même si l’on peut
encore déterminer les restrictions de base associées aux avis qui
s’afficheront sur l’écran verrouillé et la façon qu’ils y figureront à
l’aide des menus Settings [Réglages] > Notifications [Avis], vous
pouvez maintenant appuyer sur un avis de façon continue pour accéder à
d’autres réglages le concernant. Par exemple, vous pouvez couper le son
des avis ou les bloquer. S’il s’agit d’un message texte, la fonction de
réponse rapide vous permet de répondre à un message à partir de l’avis.
Ainsi, vous n’avez plus à déverrouiller l’appareil et à ouvrir
l’application.
L’avis signalé par un voyant DEL constitue une
autre fonction intéressante à ajouter. Cette dernière est désactivée par
défaut, mais lorsque vous vous rendez à Settings [Réglages] >
Notifications [Avis] et que vous touchez l’icône de la roue dentée dans
la partie supérieure, un anneau de glissement s’affiche, vous permettant
d’activer le voyant lumineux pour les avis. L’Assistant Google
Même
si pour le moment l’Assistant Google n’est offert que par les
téléphones intelligents Pixel de Google, il fait partie d’Android Nougat
7.1, ce qui signifie qu’il sera bientôt intégré à d’autres appareils Android. Il s’agit d’une plateforme d’intelligence artificielle que vous
pouvez activer en disant « OK, Google », ce qui vous permet de lui
soumettre des questions ou des demandes de renseignements.
Très
intéressant, l’Assistant décode également le langage parlé. Vous pouvez lui
demander de vous présenter votre journée : l’heure, les conditions
météorologiques, la circulation, les rendez-vous et plus encore. Il vous est
également possible de lancer une recherche d’information sur le web ou de
demander à l’Assistant de vous faire entendre des citations et des poèmes
connus.
La
PS4 Pro est la première console de salon à aller au delà de la
définition Full HD. Est-elle véritablement dotée d'un arsenal de
technologies suffisant pour lui permettre d'approcher l'Ultra Haute
Définition ?
Après avoir testé la PS4 Pro et présenté les améliorations matérielles de la console, il
est temps de mettre les mains sous le capot. Et plus
particulièrement de faire une opération « à cœur ouvert » du circuit
graphique de la console. Nous nous focaliserons dans cet article sur la
puce AMD et, par extension, sur certains des outils que Sony
emploie pour parvenir à afficher des images en Très Haute Définition sur
nos TV de salon.
La PS4 Pro carbure à l’AMD Polaris
Lors de notre entretien avec Mark Cerny, architecte et concepteur du
système de la PS4 Pro, celui-ci nous a révélé que la nouvelle partie
graphique de la console a été élaborée avec la dernière architecture AMD
en date, Polaris. La même que celle des Radeon RX
récemment sorties dans le commerce. Elle embarque 36 unités de calcul
(renfermant toutes les unités de traitement), fonctionne à 911 MHz et
offre une puissance de calcul de 4,2 TFLOPS. Soit un chiffre 2,3 fois
supérieur à celle de la PS4. La bande passante de la mémoire augmente de
24% : 218 Go/s sur la PS4 Pro contre 176 Go/s sur le premier modèle.
Architecture à la pointe du catalogue AMD, Polaris présente énormément d’avantages selon Cerny : « [Polaris]
permet une augmentation significative des fréquences de fonctionnement,
tout en optimisant encore la façon dont sont calculées les images, sans
toutefois faire grimper la température dans la console. »
D’ailleurs, la dissipation thermique de la console est une techno maison, créée par des ingénieurs Sony et vantée comme « tout
à fait dimensionnée pour dissiper la chaleur engendrée par le surplus
de puissance de la console sans en changer fondamentalement le gabarit
du boîtier, tout en minimisant les nuisances sonores », ce que nous avons vérifié lors de nos tests.
Des technos connues et exclusives
Mark Cerny révèle aussi que « le travail avec AMD est vraiment
simple : nous venons avec nos idées et nos besoins et ils nous proposent
plusieurs solutions, parmi leurs technologies maison. C’est aussi un moyen pour nousd’avoir
accès à des technologies existantes -améliorées- mais aussi à celles
qui ne sont pas encore implantées dans les cartes graphiques PC et de
les inclure en avance dans notre console » ajoute-t-il.
A l’intérieur de la puce Polaris de la PS4 Pro, on trouve par exemple une version améliorée du Delta Color Compression, déjà
présent dans certaines cartes Radeon pour PC. Globalement, cela permet
de compresser les couleurs afin de réduire la quantité de bande passante
mémoire nécessaire au transit des informations liées aux données
« couleurs » dans les tuyaux de la puce.
Côté « nouveautés exclusives », Cerny évoque le tout nouveau modèle de « Work distributor »,
un gros cerveau dont le rôle est de gérer plus intelligemment toutes
les opérations attribuées aux éléments de la puce, afin d’optimiser la
prise en charge des effets de tessellation ou des scènes composées de
nombreux petits objets par exemple.
PS4 Pro : des buffers pour mieux b(l)uffer ?
Pour parvenir à proposer de la 4K sur la PS4 Pro, Sony et AMD ont
tout de même dû se retrousser les manches. Pour résoudre un ensemble de
problématiques liées à la génération d’images 3D ou pallier des
faiblesses de certains modes de génération de triangle et pixels, les
deux compères ont créé une toute nouvelle brique : l’ID Buffer.
C’est un buffer (un tampon) dit « matériel » de la puce,
auquel divers autres parties du processeur 3D ont accès. Il fonctionne
en même temps que d'autres tampons de la puce, dont certains
indispensables à la génération d’images 3D. Comme le Z-buffer par
exemple, qui interprète la distance des éléments en fonction du point de
vue.
En vulgarisant à l’extrême, ID buffer attribue automatiquement et à la volée des identifiants aux triangles (Triangle ID) et aux pixels (Object ID) qui composent les images générées au sein de la puce.
Avec ces identifiants, il est ainsi plus facile de « tracker » en
permanence les triangles afin de les délimiter avec la même précision,
image après image, et conserver un maximum de netteté, avec ou sans
traitement déjà appliqué en amont.
D’après M. Cerny, cela facilite, ensuite, l’application de traitement d’amélioration de rendu des pixels (de l'« anti-aliasing » ou anticrénelage sous toutes ses formes), avant ou après génération des images et juste avant l’affichage.
4K ou pas 4K ?
Mettons fin d'emblée à un suspense insoutenable : oui, la PS4 Pro
peut afficher des jeux en 4K natif, avec une fluidité certaine,
c'est-à-dire en 3840 par 2160 pixels, à 30 images par seconde. Mais
rarement.
Seuls certains jeux pourront en effet être en véritable 4K : ceux qui
ont des graphismes simples, les moins gourmands. La console est
beaucoup plus à l’aise quand il s’agit d’afficher des scènes 3D
complexes en Full HD native ou dans des définitions 4K upscalées. Et
cela, nous l'avons constaté lors de démos faites pendant l'événement
mais aussi au cours de l'entretien avec Mark Cerny.
S’il te plait Sony, dessine-moi de la 4K « exotique »
Quand la console n'est pas en mesure d'afficher une véritable 4K,
Sony a recours à deux méthodes de rendu 3D pour en donner l'illusion au
joueur : le Geometry Rendering (GR) et le Checkerboard Rendering
(CR). Le premier est simple à mettre en place, le second déjà beaucoup
moins, mais Sony apporte son aide à tout développeur qui souhaite les
utiliser. De plus, la plateforme de la PS4 Pro n’est pas fermée à
d'autres solutions. Bien au contraire. Sony estime que les développeurs
doivent rester libres d’utiliser les outils qu’ils souhaitent pour créer
des jeux compatibles PS4 Pro tant qu'ils exploitent la puissance de
celle-ci pour proposer mieux que sur la PS4.
Pour comprendre comment marchent ces deux technologies, Cerny rappelle
quelques fondamentaux que nous avons jugé utile d’évoquer, nous aussi.
Nous préciserons aussi que, pour la suite des explications techniques,
nous avons vulgarisé et simplifié à l'extrême certaines notions pour ne
pas crouler sous les détails. Désolé pour les puristes et autres
techniciens de l'image !
Une image Full HD se compose d’environ 2 millions de
pixels. Une image 4K, d’environ 8 millions. Dans le monde de la 3D,
chaque pixel possède deux valeurs « data » : la première, relative à la
couleur (VC) et la seconde, en rapport à la profondeur/le positionnement
dans l’espace, appelée valeur Z (VZ). Et, comme nous l’avons vu plus
haut, l'ID buffer est lui, capable d’attribuer des numéros
d’identification à des triangles et à des pixels. C'est important pour
la suite.
Fort de ces bases, on peut sereinement commencer à parler des technologies utilisées par la PS4 Pro.
Le Geometry Rendering :
Ce mode donne de bons résultats dans la génération de décors, surtout
ceux de forêt ou de montagne, où les couleurs sont très
proches. Cependant, il n’augmente pas la richesse des couleurs, des
effets et peut provoquer du « blur » dans certains cas. Cependant, Cerny
envisage un autre scénario d'utilisation de cette technique. « La
puce 3D n’a pas à mobiliser toutes ses ressources pour ce type de
technologie. On peut donc imaginer que des jeux tournant actuellement en
900p puissent tout à fait profiter d’un patch afin d'exploiter la
puissance nouvelle de la console et être affiché en 1080p natif. Puis,
ensuite se servir du GR et de l'ID buffer pour l’afficher en Très Haute
Définition ».
Comment ça marche ? Cerny explique que, grâce à cette technique,
chaque pixel d'une image 1080p se voit enrichi d'informations de
positionnement après passage dans différents éléments de la puce, dont
l'ID buffer. « Le pixel se définit dorénavant selon 1 VC, 4 VZ et
4 ID. Ainsi, si l’on compte les seules valeurs Z présentes sur une image
de ce type, elles sont similaires… à celles d’une image 4K ! » démontre Mark Cerny.
Reste maintenant à transformer cette image 1080p bien chargée en données
en image 2160p. Elle voyage alors vers d’autres éléments de la carte
qui se chargent, juste avant l’affichage à l’écran, d’opérer la
modification en se servant des valeurs de profondeur mais aussi des ID
délivrées et interprétées par le buffer, pour bien délimiter les contours de chaque élément de l’image et donner une impression de rendu 4K.
Cependant, les textures et les couleurs, elles, restent en 1080p. Donc,
pour que l’illusion soit parfaite et toujours grâce à la valeur ID, il
est possible -en post-processing (application d’un traitement
après génération de l’image) – de cibler les pixels « non colorisés »
avec des ID communs (et donc avec les mêmes contours) et de leurs
attribuer, par extrapolation, la même couleur que celle du pixel
« modèle » situé non loin de lui.
Le Checkerboard Rendering :
Le CR apporte, lui, la possibilité d’avoir des images dont les
contours et détails sont encore plus définis, plus beaux, plus... vrais.
La quantité importante de données couleurs et de données Z
« véritables » avant que l’upscaling ne soit effectuée pèse dans la
balance.
Les pixels et vertex shaders sont aussi beaucoup plus sollicités et les
effets de textures et de détails donc beaucoup plus réussis. Cependant,
le CR est une méthode de rendu plus gourmande en ressources : les jeux
déjà particulièrement demandeurs en 1080p natif ne pourront pas toujours
pousser le rendu jusqu’en 2160p.
Cette technologie de rendu n’est pas une nouveauté. Car, comme le fait remarquer Mark Cerny, « Le studio Ubisoft l’utilise sur son titre Rainbow Six Siège, mais sous sa forme logicielle uniquement », réinterprétée ensuite par la carte graphique.
Mais la PS4 Pro, elle, est capable de créer des images en Checkerboard
de manière matérielle. Tout commence par la génération d’une image
« checkerboardée » par l’un des buffers internes de la puce 3D,
c'est-à-dire une image dont le « canevas » est organisé sous forme de
damier.
La définition de cette image, tout comme la forme des pixels qui la compose, sont qualifiées d’« exotiques »
par Mark Cerny. Elle se compose de 4 millions de pixels dont la
définition s’apparenterait à du 1920 par 2160 pixels. En outre, les
pixels ne « sont pas tout à fait carrés » ici, mais
rectangulaires et non disposés dans une grille linéaire comme c’est le
cas normalement. Comprenons-nous bien, on parle ici d’une image générée au sein de la puce mais pas encore affichée à l’écran.
Néanmoins, avec davantage de pixels qu’une image Full HD et proche de la
hauteur d’une image 4K dès le départ, le rendu d’une image CR sera déjà
plus fin. Ici, chacun des 4 millions de pixels « exotiques » conserve
sa valeur couleur (VC), mais se voit nanti de 2 valeurs Z (VZ) et de 1
ID.
Cerny explique qu’on procède de la même façon que sur le Geometry
rendering pour appliquer la couleur aux pixels. Mais le rendu sera de
meilleure qualité puisqu’il y a plus de données colorimétriques au
départ. Enfin, les ID permettent aussi d’appliquer -avant d’afficher
l’image à l’écran- un antialiasing spatial (SSAA) de bonne qualité.
Cherckerboard permet de profiter d'autres astuces pour donner l'illusion d'une image 4K, comme l'alternate rendering ou l’antialiasing temporel (TXAA) pour améliorer encore la finesse des contours.
Quel rendu pour quel jeu ?
Parmi
les titres majeurs déjà parus (ou en approche) compatibles avec la PS4
Pro et faisant partie des porte-étendards de la console survitaminée,
Mark Cerny détaille le mode utilisé pour plus d'une dizaine de jeux.
Le rendu 2160p Checkerboard est utilisé sur Days Gone, Call of Duty : Infinite Warfare, Rise of the Tomb Raider et Horizon : Zero Dawn.
Le rendu 1800p Checkerboard est utilisé pour Watch_Dogs 2,
Kiling Floor 2, Infamous First Light et le prochain Mass Effect,
Andromeda. Ce dernier, en affichage Full HD utilise une autre technique
de rendu non communiquée.
Wi-Fi 802.11ad WiGig - Wi-Fi 802.11ad est enfin arrivé avec 8Gbps Incroyable ! Wi-Fi Alliance a finalement certifié 802.11ad standard, également connu sous le nom WiGig. Fonctionnant à haute vitesse 60GHz standard, les périphériques WiGig-enabled devraient arriver l'année prochaine. Avec l'annonce, les cinq premiers produits WiGig ont également été révélés par Intel, Dell et Qualcomm. Il semble que l'avenir de la technologie Wi-Fi est ici avec l'arrivée d'une nouvelle certification WiFi. Il s'agit d'une connexion haute vitesse 60 GHz connue sous le nom de 802.11ad. Le spectre 60GHz est moins congestionné et complète le Wi-Fi existant qui fonctionne dans la bande 5GHz et 2.4GHz. Recommandé: Qu'est-ce que WiGig et pourquoi vous devez en savoir plus? Cette
nouvelle technologie devrait devenir courante l'année prochaine car les
routeurs et les dispositifs ajouteront probablement le support pour
WiGig. Cette norme a été en travaux depuis de nombreuses années et il est
prévu de prendre en charge 8Gbps, ou 1 Go / secondes de vitesse de
téléchargement. En
raison de l'utilisation de canaux plus larges en 60GHz, WiGig supporte
un transfert de données plus rapide avec une faible latence. En utilisant beamforming pour focaliser un signal dirigé, WiGig élimine les interférences des périphériques proches. Cependant, il ya un grand facteur que l'on doit garder à l'esprit tout en traitant avec la nouvelle norme 802.11ad. Les ondes de fréquence plus élevée dans le spectre de 60 GHz ne peuvent pas percer les murs. Ainsi, le routeur et vos périphériques doivent être dans la même pièce pour obtenir le bénéfice de WiGig. Juste au cas où vous vous déplacez à l'autre pièce, votre connexion descendra à la norme Wi-Fi. Cela dit, WiGig est utile dans les applications extérieures et dans les chambres. Les utilisations spécifiques comprennent l'accostage sans fil entre
différents périphériques, le téléchargement simultané et le streaming de
films UHD, les services de kiosques publics et les applications
nécessitant beaucoup de bande passante dans l'entreprise. Voici une liste des premiers produits Wi-Fi CERTIFIED WiGig:
Dell ™ Latitude ™ E7450 / 70 Intel® Tri-bande sans fil Peraso 60GHz adaptateur USB Kit de conception de référence Qualcomm Technologies 802.11ad Solution client et routeur Wi-Fi (basée sur le chipset QCA9500) Adaptateur de référence Socionext ™ 802.11ad Pour plus d'informations, visitez wi-fi.org
Tous les tutoriels et astuces de Windows 10. Les nouveautés et
comment Windows 10 fonctionnent, la réparation/réinitialisation en cas
de panne ou problème et comment nettoyer Windows 10.
Les pilotes ou drivers en anglais sont les logiciels qui servent d’interaction entre le matériel et le système d’exploitation. Les pilotes sont donc importants, si ces derniers comportent des bugs, ils peuvent provoquer des plantages ou crash (BSOD) de Windows, s’ils ne sont pas optimisés, l’affichage et vitesse des jeux peut s’en ressentir.
DriversCloud est un service qui permet de maintenir ses pilotes à jour,
il peut analyser l’ordinateur et vous proposer une mise à jour des
pilotes. Le seul bémol est que DriversCloud se charge au démarrage
de Windows, encore un nouveau programme qui peut au final ralentir
l’ordinateur.
Un ancien tutoriel de mise à jour des pilotes existe, à l’adresse Tenir ses pilotes à jour avec touslesdrivers.com qui semble abandonné. Conseil : Ne tomber pas dans la paranoia comme les nettoyages CCleaner
et autre nettoyeur du registre Windows, en tentant de mettre à jour vos
pilotes tous les jours… une fois de temps en temps est largement
suffisant. Sachez aussi que comme les nettoyeurs du registre, il existe des arnaques autour de logiciels de mises à jour de pilotes, plus d’informations : Programmes de mises à jour de pilotes et drivers
Les conseils généraux autour des mises à jour : Comment mettre à jour ses pilotes
L’adresse du site de DriversCloud est : http://www.driverscloud.com et la page d’installation de l’agent DriversCloud est : http://www.driverscloud.com/fr/demarrer/1-1/demarrer-la-detection
Sur la fenêtre suivante, cliquez sur le bouton : Installation de l’Agent.
cliquez ensuite sur Installation automatique.
Le programme d’installation de DriversCloud se lance : DriversCloud_Win.exe Téléchargez le fichier et exécutez le.
Le programme d’installation de DriversCloud.com se lance… laissez-vous guider, l’installation n’est pas très compliquée.
Une fois DriversCloud installé, vous trouverez le programme dans le menu Démarrer de Windows. Lancez le programme DriversCloud.com – Démarrer la détection
Analyse DriversCloud
Le programme DriversCloud.Com se lance, vous avez un bouton Détecter et Connexion.
Détecter : permet de lancer une analyse de l’ordinateur afin de mettre à jour des pilotes.
Connexion : permet de vous connecter à votre compte DriversCloud.com
Une fois l’analyse terminée, le résumé s’ouvre sur le site WEB de driverscloud.com On y trouve les informations de l’agent DriversCloud et du système (Carte mère, mémoire, processeur etc).
Le menu de gauche permet de lister les composants de l’ordinateur souhaité :
En bas de la page, plusieurs boutons sont disponibles comme :
Trouver les pilotes : qui permet de lister les pilotes à mettre à jour
Centre
de partage : permet de définir les éléments de l’ordinateur vous
souhaitez ou non partager lors de l’analyse de l’agent DriversCloud
Surveillance Matérielle : donne les informations de l’ordinateur concernant les captures (voltages, température de l’ordinateur etc)
Centre de partage :
Mise à jour des pilotes
Et enfin la partie qui nous intéresse Trouver les pilotes qui donne la liste des pilotes à mettre à jour. Ci-dessous par exemple, deux mises à jour de pilotes sont disponibles concernant : carte réseau, écran. En cliquant à droite sur l’icône flèche, vous pouvez télécharger le pilote.
Les pilotes peuvent alors avoir deux formats :
Un format avec un setup où le pilote s’installe de manière automatique.
Un format avec un fichier zip contenant un fichier .inf, la mise à jour/installation du pilote doit se faire manuellement.
Pilote avec un Setup
Après avoir cliqué sur l’icône flèche vers le bas, à gauche des bouton Télécharger le pilote sont disponibles pour lancer le téchargement du pilote En décompressant ce dernier, on constate que des exécutables sont disponibles. Lancez ce dernier et laissez-vous guider.
Pilote avec fichier .inf
Par exemple ci-dessous un pilote d’écran Asus au format Zip :
Contenant un fichier .inf et .cat ou .cab Vous pouvez tenter d’installer le pilote par un clic droit sur le fichier .inf et installer. Mais parfois l’installation est refusée.
Faites un clic droit sur Mon ordinateur puis Propriétés
A gauche, cliquez sur gestionnaire de périphériques
Identifiez le périphérique à mettre à jour à partir des catégories de périphériques.
Faites un clic droit dessus et mettre à jour le pilote.
Choisissez Rechercher un pilote sur mon ordinateur.
Dans la nouvelle fenêtre, cliquez sur le bouton Parcourir, et à gauche sélectionnez le bureau. Ouvrez le dossier relatif au pilote que vous avez décompressé. Cliquez sur Suivant, Windows va détecter le nouveau pilote et le mettre à jour.
Après la mise à jour des pilotes
Vous pouvez désinstaller DriversCloud, si vous ne souhaitez pas le garder, ce dernier se chargeant au démarrage de l’ordinateur. Rendez-vous dans le Panneau de configuration puis programmes et fonctionnalités. Désinstallez DriversCloud. Plus d’informations sur la désinstallation des programmes sur Windows : Désinstaller des programmes sur Windows
Les conseils généraux autour des mises à jour : Comment mettre à jour ses pilotes