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de téléphone (411), des résultats de recherches, des traductions, des
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etc.
de
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jeux-questionnaires et à des concours, prendre part à des sessions de
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d'écran, etc.
Certains
services fonctionnent selon une fréquence préétablie (par ex. : retard
d’un vol, résultats sportifs), tandis que d’autres fonctionnent sur
demande.
L'entreprise israélienne Cellebrite, spécialisée
dans la création d'outils d'extraction, de transfert et d'analyse de
données, a développé l'UFED (Universal Forensic Extraction Device), un
dispositif permettant de déverrouiller "presque" tous les terminaux iOS
et Android.
Dans sa dernière version (UFED Premium, précise TechRadar), l'outil mis au point par Cellebrite il y a déjà quelques années pourrait constituer une solution rêvée pour les enquêteurs. Ce dispositif est capable de déverrouiller "les appareils Apple fonctionnant d'iOS 7 à iOS 12.3", mais aussi les terminaux "propulsés par Android, y compris les Samsung Galaxy S6/S7/S8/S9 et les modèles fabriqués par Motorola, Huawei, LG ou encore Xiaomi", explique le groupe basé à Petah Tikva, près de Tel-Aviv.
L'UFED : un dispositif clé en main par la police
Le dispositif, qui prend visiblement la forme d'un appareil physique, sera accessible "sur place"
aux forces de l'ordre. Les enquêteurs pourront donc utiliser l'appareil
eux-mêmes, directement dans leurs locaux, et donc sans avoir besoin de
faire appel à Cellebrite pour obtenir le déverrouillage d'un smartphone
ou d'une tablette. L'obtention de résultats pourra donc se faire sans intervention de l'entreprise israélienne.
Sur les appareils déverrouillés à l'aide de l'UFED, Cellebrite promet d'ailleurs "un
accès aux données d'applications tierces, à des conversations de chat,
aux emails téléchargés et aux contenus supprimés, entre autre".
Le FBI aurait déjà eu recours aux technologies de Cellebrite
D'après TechRadar, le FBI aurait déjà utilisé les technologies mises au point par Cellebrite, notamment en 2016, pour déverrouiller l'iPhone du principal suspect dans la fusillade de San Bernardino.
Par la suite, Apple avait pris des mesures pour renforcer la sécurité de
ses appareils face aux tentatives de déverrouillage par des outils
tiers. L'année dernière, la firme déployait ainsi une mise à jour du
mode USB restreint. Cette réponse logicielle visait à combler une faille
permettant à certains outils (dont l'UFED ou GreyKey) d'accéder aux
données des iPhone et iPad en passant par leur port lightning.
La dernière version de l'UFED se veut plus performante
que les outils jusqu'à présent proposés par Cellebrite, mais son
utilisation semble toutefois compromise sur les téléphones les plus
récents. Les Samsung Galaxy S10, S10 Plus et S10e, par exemple, ne sont
pas mentionnés dans la liste
(potentiellement non exhaustive) des terminaux que l'UFED Premium est
censé pouvoir déverrouiller de force. De la même manière, le doute plane
quant au cas d'iOS 12.3.2 (qui n'est pas spécifiquement listé par
Cellebrite) ou du futur iOS 13.
Ne pas être en mesure de forcer le déverrouillage des toutes dernières
versions d'iOS pourrait constituer une lacune de taille pour le
dispositif, et ce pour une simple raison : le taux d'adoption des
dernières moutures d'iOS est tout bonnement colossal à l'échelle du parc
mondial d'iPhone et d'iPad.
Sous-titres manquants ? Ajoutez-les sur n’importe quel film / série en streaming
Thèmes : streaming, video-en-ligne,
Libellés, films,
Vous n’avez pas de sous-titres français sur le dernier épisode de
votre série préférée ou sur un film culte ? Rajoutez-les via votre
navigateur.
On peut avoir plusieurs raisons d’ajouter des sous-titres à un film
ou à une série. Que ce soit pour regarder votre fiction dans une langue
non desservie par les plateformes de streaming. Ou encore parce que la
traduction existante ne vous plait pas. Compatible avec Firefox et Chrome, le plugin Substital
est un petit bijou qui vous permet d’incruster des sous-titres, dans la
langue de votre choix. Directement sur votre navigateur.
>> Streaming : regarder des films et des séries gratuitement (et légalement)
Une fois l’extension installée, rendez-vous sur votre plateforme de streaming favorite. Substital est compatible avec Netflix, Amazon Prime Video, YouTube,
Dailymotion et Vimeo. Lorsque vous lancez un film ou un épisode de
série, vous vous apercevrez, via l’icône du plugin située en haut à
droite de votre navigateur, que celui-ci reconnait la fiction regardée.
En cliquant sur le nom de la fiction, vous allez faire apparaître un
moteur de recherche. Tapez le nom de la fiction (en français ou en
anglais) pour voir apparaître la liste des sous-titres disponibles. Si
cette dernière est trop longue, filtrez vos choix en sélectionnant
« Français » dans le menu déroulant bleu.
Une fois les sous-titres de votre choix identifiés, cliquez
simplement dessus pour les activer. Si ces sous-titres ne vous
conviennent pas, n’hésitez pas à recommencer pour activer un autre
fichier de sous-titres.
Alternativement, vous pouvez utilisez votre propre fichier de
sous-titres (fichiers SRT). Dans ce cas, faites simplement un
glisser/déposer (drag’n’drop) vers la vidéo pour insérer vos
sous-titres.
Mise en marché d’ici un an, la libra risque de
bouleverser l’univers des cryptomonnaies, actuellement dominé par
Bitcoin, Ether et Ripple, notamment.
Trois experts répondent à nos questions sur les intentions de Facebook et ce que changera l’arrivée de ce nouvel acteur.
Pourquoi Facebook lance-t-il sa propre cryptomonnaie?
Les
monnaies virtuelles ont la cote en ce moment, explique Alexandre Roch,
professeur de finances à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.
Facebook veut en profiter pour entrer dans ce monde-là et faire
compétition au bitcoin, par exemple.
Tout comme le professeur Roch, Geoffroi Garon-Épaule soupçonne le géant du numérique de vouloir monétiser sa plateforme.
Ils
ont besoin de monétiser toutes les interactions, donc de rajouter un
volet paiement dans une monnaie autonome, soutient l'expert en usages
numériques et doctorant en communication à l'UQAM
. C’est un moyen d’offrir aux utilisateurs d’échanger de la valeur à l’intérieur de leur propre environnement.
Pour moi, le côté paiement, c’est ce qui manquait à Facebook pour faire compétition aux géants asiatiques des réseaux sociaux, ajoute-t-il.
Le phénomène est intéressant de par l’ampleur du projet, sachant que Facebook a 2,4 milliards d'utilisateurs,
enchaîne Louis Roy, associé et président de Catallaxy, une filiale de
Raymond Chabot Grant Thornton qui se consacre aux actifs numériques.
Les utilisateurs de Facebook pourront échanger entre eux
sans intervention d’une institution financière, et ces transactions
seront, au départ, sans frais.
À quoi servira la libra?
Facebook
offrira en effet la possibilité aux membres de ses plateformes
(Messenger, Instagram et WhatsApp compris) de payer leurs achats en
ligne en libra.
Ses utilisateurs pourront également échanger des fonds entre eux, sans passer par une institution financière traditionnelle.
La
monnaie virtuelle de Facebook est très différente de ce qu’on connaît
en ce moment, affirme Alexandre Roch. Ce que Facebook semble vouloir
proposer ressemble plutôt à une carte de crédit prépayée. On achète des
crédits dans leur monnaie qu’on peut ensuite dépenser pour des produits
et services.
Cette monnaie numérique pourrait d’ailleurs être utilisée
pour payer ses achats auprès de la vingtaine de partenaires de
Facebook, dont Uber, Spotify et eBay.
Comment la libra se compare-t-elle aux autres monnaies virtuelles?
La libra est très différente de la cryptomonnaie la plus connue, le bitcoin.
Photo : Getty Images / Paul Paladin
Contrairement
au bitcoin, dont le cours évolue en fonction de l’offre et de la
demande, la monnaie de Facebook sera stable, promet l'entreprise.
Le taux de change de la libra sera fixe et indexé sur les
cours de quatre devises traditionnelles, soit le dollar américain,
l’euro, la livre sterling et le yen.
Des réserves d’actifs viendront également sécuriser la
libra. Le géant du numérique a demandé à ses partenaires, tels que Uber,
Spotify, Visa, Mastercard et Paypal, d’investir au minimum 10 millions
de dollars chacun dans le projet.
Ce fonds de réserve se chiffrerait à environ un milliard de dollars au lancement de la libra.
Le
projet de Facebook est supporté par de gros joueurs du milieu
financier, somme toute une première lorsqu’on parle de cryptomonnaie, avance Louis Roy.
Mais la gouvernance reste celle d'une entreprise privée,
Facebook, avec un conseil d'administration et des échéanciers
trimestriels de performance à présenter aux actionnaires, rappelle
Geoffroi Garon-Épaule.
C’est un autre aspect qui distingue la libra des autres devises virtuelles.
La
monnaie bitcoin n’est contrôlée par personne, explique Alexandre Roch.
Il n’y a pas d’entité centrale qui vérifie les transactions. Tout se
fait par un réseau d'utilisateurs et non un certain nombre restreint de
compagnies partenaires comme avec la libra. On passe d’une monnaie
complètement décentralisée à quelque chose de centralisé.
La devise de Facebook sera administrée par Libra
Networks, une fondation enregistrée en Suisse et dont Facebook Global
Holdings est actionnaire.
Qu’est-ce que les utilisateurs de Facebook ont à gagner?
La libra n’a pas été conçue pour faire fructifier son portefeuille électronique.
Son mécanisme garantit plutôt la stabilité de son cours
en vue d’une utilisation comme monnaie courante, un aspect plus
qu’intéressant dans certaines régions du monde.
Les
gens pourront faire des transactions financières et avoir accès à une
monnaie stable, enchaîne Louis Roy. Dans certains pays moins développés,
et où encore beaucoup de personnes n’ont pas accès à des comptes de
banque, ça a beaucoup de valeur.
Il cite l'exemple de l’Inde, un des pays où un grand nombre d’habitants ne sont pas encore « bancarisés ».
Facebook vise aussi à séduire les résidents de pays
corrompus où les gens ont moins confiance aux banques, croit pour sa
part le chercheur Geoffroi Garon-Épaule.
Ils recherchent, selon lui, une monnaie qui ne risque pas
de s'effondrer à cause d’une crise économique ou d’un président
corrompu. Facebook resterait un rempart, une monnaie stable pour ne pas subir ces contrecoups-là, estime-t-il.
Mais,
en contrepartie, si tout le monde commence à mettre de l’argent sur
Facebook, les monnaies locales et connues vont se faire tasser au profit de la libra, prévient-il.
Facebook a-t-il des intentions cachées?
Mark
Zuckerberg témoigne devant la Commission de l'énergie et du commerce, à
Washington, au sujet de l'utilisation des données Facebook pour cibler
les électeurs américains lors des élections de 2016 et de la
confidentialité des données.
Photo : The Associated Press / Andrew Harnik
Mis
à mal par des scandales d’exploitation de données personnelles,
Facebook aura accès aux données financières de ses utilisateurs,
préviennent tous les experts.
Les
transactions financières et commerciales, ce sont des données. C’est de
l’information. Et on sait très bien que Facebook profite beaucoup de
ces données, constate Alexandre Roch.
Bien
sûr que Facebook va capter nos données. La nouvelle richesse de notre
époque, ce sont les données générées par les utilisateurs. Ce seront de
nouvelles données à croiser avec d'autres informations, de nos
comportements en ligne, notamment, acquiesce Geoffroi Garon-Épaule, malgré les garanties de confidentialité annoncées par Facebook.
On est rendus dans des
communautés, des environnements avec notre identité et nos
comportements. Ce sont ces données-là qui sont vendues pour faire des
profits.
Il y a toujours un risque pour vos données personnelles,
selon lui. Mais il rappelle que même dans la tempête, Facebook continue
d’exister et que ses utilisateurs lui sont toujours fidèles.
On
a confiance en Facebook, parce qu’on est tous dessus. Malgré les
différents cas problématiques de confidentialité des données, ça reste
une plateforme perçue comme étant stable et de confiance.
Est-ce que l’arrivée de Facebook dans ce marché va démocratiser les cryptomonnaies?
C’est
fascinant qu’un des gros joueurs du numérique se lance dans l’industrie
du paiement, croit Louis Roy. C’est un signal que la technologie est là
pour rester.
Le système financier
tremblait à l’idée que Google, Amazon ou Apple émette sa monnaie. Ce
n’était qu’une question de temps, et Facebook sera le premier à le faire
à grande échelle.
L’entrée de ce nouvel acteur offre à la fois publicité et crédibilité aux monnaies numériques, estiment les experts.
Avec 2,38 milliards de membres, Facebook compte aussi sur
un énorme bassin d’utilisateurs pour sa devise, un service offert dans
un premier temps gratuitement.
Ça
va démocratiser l’usage, mais l’usage classique, croit Geoffroi
Garon-Épaule. C’est plus le côté ''je clique et je ne comprends pas ce
qui se passe derrière, mais j’ai fait une transaction financière''.
Certains estiment au contraire qu’après avoir goûté à la
libra, d’autres utilisateurs seront convaincus d’entrer dans l’univers
des cryptomonnaies et de se doter de bitcoins, par exemple.
La
nouvelle génération veut être capable d’acheter des produits et des
services à partir d’une monnaie virtuelle qui ne serait pas contrôlée
par l’État ni les services financiers, croit Alexandre Roch. C’est
vraiment un changement culturel qu’on voit à travers le monde.
Il n’y a actuellement qu’environ 50 millions d’utilisateurs de monnaie virtuelle.
USB 4 : deux fois plus rapides, les 1ers périphériques sortiront en 2020
Thèmes : informatique,USB 4,
L’USB 4 arrivera plus tôt que prévu. Selon les informations disponibles, l’USB-IF continue à peaufiner les spécifications techniques. Il ne lui reste plus que 30% du travail.
Par ailleurs, l’organisme en charge de la promotion du protocole
affiche son optimisme. Les premiers appareils compatibles arriveront sur
le marché dès l’année prochaine.
L’USB 4 sera deux fois plus rapide que l’USB 3.2
USB-IF a levé la voile sur les caractéristiques de l’USB 4 en mars
dernier. Il exploitera le protocole Thunderbolt 3. Développé par Intel,
il est seulement présent sur les produits conçus par des marques qui ont
payé les droits de licence à la compagnie américaine. Son intégration à
l’USB 4 change la donne. Les fabricants auront la possibilité de
l’utiliser sans grever leur budget ni augmenter le prix de leurs appareils.
L’USB bénéficiera d’une bande passante allant jusqu’à 40Go/s. il
garantirait une vitesse de transfert deux fois plus rapide que celle
atteinte par l’USB 3.2. Par ailleurs, l’USB-IF assure que cette
nouvelle norme sera rétrocompatible avec les anciennes versions, même l’USB 2.0. Autrement dit, les dispositifs exploitant ces moutures seront pris en charge.
>>> L’USB 3.2 arrive et ça va être horrible pour les consommateurs