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jeudi 1 juillet 2021

Microsoft abandonne Internet Explorer : le navigateur fera ses adieux le 22 juin 2022

 

 

Microsoft abandonne Internet Explorer : le navigateur fera ses adieux le 22 juin 2022

Microsoft vient enfin d’annoncer officiellement la fin d’Internet Explorer. Le fameux navigateur web fera ses adieux le 22 juin 2022 après près de 27 ans de bons et loyaux services. Microsoft compte évidemment le remplacer définitivement par Edge.

La fin d’Internet Explorer lancé en 1995 traîne en longueur depuis déjà plusieurs années. Il y a 6 ans, le directeur marketing de Microsoft indiquait déjà qu’un successeur était en préparation pour le remplacer.


Il s’agissait bien évidemment de Microsoft Edge dont la version basée sur Chromium aura bientôt des mises à jour majeures toutes les 4 semaines. Néanmoins, nous sommes déjà en 2021 et Internet Explorer 11 existe toujours aux côtés d’Edge. Il fallait donc s’attendre à ce que Microsoft annonce le clap de fin officiel à tout moment.

Microsoft 365 et les autres applications ne supporteront plus Internet Explorer après le 17 août 2021

Internet Explorer 11 aurait dû s’arrêter le 17 août 2021, mais Microsoft a finalement repoussé d’un an la date fatidique. L’un des meilleurs navigateurs web (à son époque) prendra donc sa retraite le 22 juin 2022. La société de Redmond l’a officiellement confirmé. En ce qui concerne le support d’Internet Explorer, Microsoft 365 et les autres applications arrêteront de le prendre en charge à partir du 17 août 2021.

Bien entendu, cette décision n’impactera pas Windows 10 Enterprise Long-Term Servicing Channel. Ce système d’exploitation est dédié à des utilisateurs professionnels avec des besoins très spécifiques. Windows 10 Enterprise LTSC est justement utilisé pour des ordinateurs qui doivent fonctionner avec les mêmes applications pendant une longue durée. Cela comprend par exemple les systèmes de contrôle du trafic aérien ou encore ceux de l’imagerie par résonance magnétique (IRM).

De plus, la fin d’Internet Explorer 11 ne concerne pas le moteur de rendu Trident aussi connu en tant que MSHTML. Elle ne touche pas non plus les applications de bureau Server Internet Explorer 11. Microsoft conseille donc à tous les utilisateurs actuels d’Internet Explorer, les irréductibles qui ne craignent pas le navigateur dangereux et obsolète, de s’habituer à un nouveau navigateur web. Bien entendu, Microsoft pousse à choisir Edge, mais il y a d’autres options comme Chrome, Firefox ou même Opera.

Source. : Engadget

Google s’associe à Samsung pour révolutionner Wear OS

 

 

Google s’associe à Samsung pour révolutionner Wear OS

Android

Par Remi Lou le

Non, Google n’a pas abandonné WearOS, son système d’exploitation dédié aux montres connectées. La firme annonce un partenariat d’ampleur avec Samsung pour développer une plateforme commune.



On s’attendait à une montre connectée Pixel, mais finalement, la conférence d’ouverture de la Google I/O ne comportait aucune annonce d’ordre matériel. En revanche, sur le secteur des smartwatches, Google n’est pas resté de marbre et annonce un partenariat avec Samsung pour fusionner Wear OS et Tizen en une seule et même plateforme ne comportant que le meilleur.

Samsung et Google main dans la main

Forte de l’acquisition de Fitbit, Google se rapproche donc de celui qui est à la fois son pire ennemi et son plus grand allié. La nouvelle plateforme, qui devrait conserver le nom de Wear OS, sera de ce fait disponible à fois sur les montres connectées de Samsung et sur toutes les smartwatches qui utilisaient déjà la solution logicielle de Google.

Les constructeurs tiers auront toujours la possibilité d’y ajouter leurs propres surcouches, mais le fonctionnement de la base change quelque peu. Il sera désormais plus aisé de switcher entre plusieurs applications, et Google annonce la possibilité pour les développeurs de créer des « tuiles » de leurs applications, lesquelles seront accessibles depuis l’écran d’accueil.


Si la firme n’a pas dévoilé plus en détail le design de cette refonte majeure de Wear OS, elle nous donne tout de même quelques informations croustillantes sur ses atouts. Ainsi, cette nouvelle plateforme permettrait de booster drastiquement l’autonomie des smartwatches, qui passeraient à deux jours pour certains modèles. Ce nouveau Wear OS devrait également accélérer le lancement des applications — jusqu’à 30% plus rapide — et « toutes vos applications Google favorites » ainsi que les nombreuses applications du Play Store seront désormais disponibles sur les montres connectées de Samsung.


Pour l’heure, Google ne s’avance pas sur une date de sortie précise, si ce n’est un lancement pour « plus tard dans l’année ». Mais puisque Samsung est désormais un acteur majeur de Wear OS, nul doute que nous devrions avoir des nouvelles au moment du lancement de la prochaine Galaxy Watch du constructeur sud-coréen.

 

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YouTube : modification des conditions d’utilisation, quelles conséquences ?

 

 

YouTube : modification des conditions d’utilisation, quelles conséquences ?

Thomas Coëffé / Publié le 19 mai 2021 à 10h30

YouTube prévient ses membres par email : les conditions d’utilisation changent.


YouTube pourra monétiser la plupart des vidéos, sans reverser un centime aux créateurs.

Lorsqu’une plateforme met à jour ses conditions d’utilisation, elle indique généralement que les changements seront bénéfiques pour les utilisateurs. YouTube n’échappe pas à la règle : « nous mettons à jour les Conditions d’utilisation de YouTube afin de les rendre plus claires et d’offrir davantage de transparence à nos utilisateurs ». Pourtant, en y regardant de plus près, les nouveautés semblent un peu plus importantes qu’une simple réécriture des CGU pour les rendre plus lisibles. On fait le point.

Un changement majeur : les droits de monétisation de YouTube

YouTube informe les utilisateurs de son droit de « monétiser tous les contenus de la plateforme ». YouTube peut donc désormais insérer des publicités sur toutes « les vidéos de chaînes qui ne participent pas au Programme Partenaire YouTube ».

Précision importante : les publicités ajoutées par YouTube « ne donne droit à aucun paiement », comme indiqué dans les nouvelles conditions d’utilisation. Autrement dit : YouTube va inclure des publicités sur les vidéos sans rétribuer les créateurs.

Royalties et reconnaissance faciale : les autres nouveautés des CGU

Concernant la monétisation, Google précise que « les revenus versés aux créateurs éligibles seront traités comme des royalties du point de vue fiscal américain ». La plateforme est ainsi disposée à appliquer une retenue à la source, comme l’exige la loi américaine. Les paiements liés au programme partenaire YouTube, les souscriptions aux chaînes et les Super Chats sont concernés.

La clarification apportée par la mise à jour des CGU concerne la reconnaissance faciale. YouTube indiquait déjà « qu’il est interdit de collecter toute information pouvant mener à l’identification d’une personne sans son autorisation ». Les conditions d’utilisation de la plateforme évoquent désormais la reconnaissance faciale de manière explicite.

De nouvelles CGU appliquées dès le 1er juin 2021 en France

Ces conditions d’utilisation sont déjà appliquées aux États-Unis depuis novembre 2020. On se souvient qu’à l’époque, le fait que YouTube puisse « ajouter des publicités sur les vidéos sans rémunérer les créateurs » avait fait grincer quelques dents. Les nouvelles CGU seront appliquées dans le reste du monde – dont la France – à partir du 1er juin 2021. Contrairement à WhatsApp, aucune action de votre part n’est requise. YouTube indique : « si vous continuez à utiliser YouTube après cette date, vous acceptez les nouvelles Conditions. Sachez également que si vous autorisez votre enfant à utiliser YouTube Kids, vous acceptez les nouvelles Conditions en son nom. »

 

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Apple Watch Series 7: Avec les Processeurs double-face S7(double sided)une petite révolution est en route !

 Apple Watch Series 7: Avec les Processeurs double-face S7(double sided)une petite révolution est en route !

 

Watch : une petite révolution serait en route pour le processeur S7:

Avec même une meilleure autonomie au programme ?


Publié le

 

Par;Valentin

Alors que le magazine assure déjà que TSMC est à pleine puissance sur les futures puces A15 Bionic des iPhone 12S, DigiTimes vient d’annoncer que leur équivalent pour montre connectée aurait pour sa part droit à une impression double face. Commençons par une rapide explication de ce procédé, jusque là jamais utilisé sur les Apple Watch commercialisées auparavant.

Pour le comprendre, il faut d’abord savoir que les processeurs classiques, prenant la forme d’un plan en deux dimensions, sont en fait imprimés d’un seul côté. Mais avec la technologie dite double-sided en anglais, il est possible d’y installer des transistors des deux côtés. Par conséquent, le fabricant a besoin de deux fois moins de surface et peut donc faire appel à une carte plus compacte.

Plus de place pour les autres composants ?

De même, si le CPU est plus petit qu’avant, ceci peut alors signifier que le constructeur a la possibilité de repenser l’agencement des différentes pièces de sa montre. Et qui mieux que la batterie, source de nombreuses critiques, pour en profiter ? On sait déjà qu’elle a toutes les chances d’être revue à la hausse du côté des iPhone 12S, alors pourquoi pas avec l’Apple Watch Series 7.

La mouture précédente, pour sa part, s’en tient à 303,8 mAh. Mais ce n’est pas suffisant pour beaucoup, car ce nombre ne permettrait de tenir que jusqu’à dix-huit heures. Et encore : il s’agit évidemment des chiffres officiels, qui contrastent avec les conditions réelles d’utilisation où des programmes gourmands et le réglage de la luminosité peuvent largement changer la donne. Sans compter l’écran always-on, bien sûr.

Meilleur suivi du sommeil

Avec l’annonce de watchOS 7, à savoir le système d’exploitation de l’Apple Watch Series 6, son développeur a présenté une fonctionnalité très attendue : le suivi du sommeil. Sauf que comme la tocante ne peut pas tenir vingt-quatre heures allumée d’affilée, la plupart des utilisateurs profitent justement de la nuit pour la recharger. Et sont donc dans l’incapacité de compter sur le suivi du sommeil pour améliorer leur bien-être.

Mais avec une batterie plus imposante et grâce au processeur double face, le problème est peut-être en passe d’être résolu. Rendez-vous lors du potentiel keynote de fin septembre 2021 pour en avoir le cœur net.

 

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Apple paye 300 millions de dollars à Google pour utiliser leurs serveurs

 

 

Apple paye 300 millions de dollars à Google pour utiliser leurs serveurs

Apple serait obligé de se fournir au près de Google, ses serveurs ne suffisant plus à stocker les données utilisateurs de la Pomme.


Publié le

 

Par :Tristan Carballeda


Apple développe de façon accélérée son service de cloud, iCloud. Utilisée par de plus en plus de propriétaires d’iPhone, iPad et Mac, la solution de stockage à distance de la Pomme s’est faite, en quelques années, une place de choix dans le monde du cloud. Il est donc assez cocasse de savoir qu’Apple dépense près de 300 millions de dollars dans des frais de serveurs auprès de Google. Car si la firme de Cupertino utilise ses propres serveurs pour stocker les montagnes d’informations dont elle dispose, ces derniers ne suffisent pas, et Apple est bien obligé de faire appel à la concurrence pour ranger toutes les données qu’elle a en sa possession.

Selon les informations de The Information, les frais en service de stockage à distance d’Apple auraient augmenté de 50 % d’une année sur l’autre, s’élevant aujourd’hui à plus de 300 millions de dollars. Une somme qui irait pour sa très grande partie directement dans les poches de Google, la firme de Mountain View étant le principal associé de la Pomme dans cette affaire. Au total, le G de GAFA stockerait pas moins de huit exaoctets (8 millions de To) d’informations pour son acolyte et concurrent.

Apple va trop vite pour suivre son propre rythme

Une pratique étrange, qui est finalement assez peu exotique dans le monde des nouvelles technologies. Autre exemple « d’entraide » entre géants du numérique, le stockage des données de Facebook, sur des serveurs d’Amazon. En effet, la grande majorité des données de Facebook sont stockées sur des serveurs appartenant à AWS, une filiale du mieux connu groupe Amazon.

La présence d’Apple dans les serveurs de Google aurait même gagné son petit nom « Bigfoot » selon les sources de The information. Apple paye ici le prix de son développement ultra-rapide, qu’elle-même n’arrive pas à suivre. La Pomme travaillerait fortement en interne pour résoudre ce problème de stockage, la firme de Cupertino ne voulant pas être prise dans un scandale de fuite de données provoqué par Google.

 

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