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vendredi 17 septembre 2021

PlasticARM, le processeur flexible et en plastique va-t-il supplanter le silicium ?

 

 

PlasticARM, le processeur flexible et en plastique va-t-il supplanter le silicium ?

Adieu le silicium, bonjour le plastique ! Une nouvelle recherche a permis de développer un processeur en plastique. L’avantage ? Ce dernier est flexible et peut être logé dans toutes sortes d’objets.

Alors que les processeurs informatiques sont construits en silicium depuis près de 50 ans, un nouveau projet conjointement mené par ARM et PragmalC souhaite réinventer la manière dont ils sont conçus. Baptisé PlasticARM, ce processeur nouvelle génération est fait de plastique et est flexible. De quoi pouvoir le loger partout, des écrans flexibles aux objets connectés en tous genres.


Les résultats de ce projet ont été publiés dans la revue Nature. Très détaillée et complexe, cette recherche permet surtout de retenir qu’un processeur en plastique n’est pas seulement indispensable pour être logé dans toutes sortes d’objets, mais également pour réduire les coûts.

PlasticARM se veut être le « circuit intégré flexible le plus complexe au monde », peut-on lire dans Nature. Cette innovation est rendue possible grâce notamment à une construction à base de TCM d’oxyde métallique. Acronyme de transistors en couche mince, les TCM permettent notamment aux processeurs d’être sur des surfaces flexibles.

Un processeur flexible et pas cher pour aller partout

Aucun prix ni aucune donnée financière n’ont été partagés dans le rapport sur Nature. Néanmoins, les chercheurs derrière PlasticARM se voient intégrer le processeur flexible sur toutes sortes d’objets du quotidien, comme une bouteille de lait ou un emballage alimentaire. L’emballage intelligent pourrait alors vous prévenir si son contenu n’est plus de bonne qualité. En France, ce sont 3,4 milliards de litres qui sont mis en bouteille chaque année. De quoi effectivement laisser présager un coût de production relativement faible pour le processeur PlasticARM.

L’idée n’est évidemment pas de remplacer les processeurs classiques en silicium. Ces derniers conserveront leurs « avantages en termes de performances, de densité et d’efficacité énergétique », peut-on lire dans le rapport. L’objectif ici est plutôt de développer de « nouveaux facteurs de forme et à des coûts inatteignables avec le silicium, élargissant ainsi considérablement la gamme des applications potentielles » Une innovation bienvenue et indispensable pour le développement grandissant de l’Internet des Objets.

Source. : Digitaltrends

Les secrets des CV préférés des recruteurs

 

 

Les secrets des CV préférés des recruteurs

Par Théo Chevalier | Publié le 21/07/2021

Quelles sont les bonnes pratiques à respecter pour que votre CV séduise les recruteurs ? On vous livre les secrets d'un bon CV avec les résultats d'une étude de ResumeLab.


En théorie, un CV c'est simplement un résumé du parcours professionnel. Il suffit de renseigner ses dernières expériences, ses informations de contact, son diplôme... Mais en pratique, l'exercice est plus subtile et rares sont les CV qui répondent exactement à ce que les recruteurs recherchent.

Qu'à cela ne tienne ! Une enquête menée par OnePoll pour ResumeLab et parue le 05/07/21 nous révèle les préférences de 500 recruteurs, spécialistes en RH et responsables du recrutement en matière de CV. De quoi vous donner des pistes pour rédiger le vôtre mais aussi de vous rapprocher de ce qui est attendu par les professionnels du recrutement !

Quelle mise-en-page est attendue dans votre CV ?

Le fond, plus important que la forme

Si la forme du CV est importante, le fond reste sans surprise l'aspect qui compte le plus pour 51% des professionnels interrogés. Seuls 11% d'entre eux jugent que le style et le design du CV sont plus importants que le contenu.

Un CV en couleurs ? Pas forcément

Au niveau de la palette de couleurs utilisée, la majorité des sondés (73%) préfèrent un CV en noir et blanc, contre 27% qui jugent qu'un CV coloré est mieux. Si vous tenez toutefois à ajouter une touche de couleur à votre CV, vous pouvez jeter un coup d'œil à nos conseils.

Le CV à deux colonnes est privilégié

En termes de disposition des rubriques sur le CV, 77% préfèrent le CV sur deux colonnes, qui permet de fluidifier la lecture et de gagner de l'espace.

Un CV simple plutôt qu'un CV créatif

Si vous envisagez de faire un CV original, pesez bien le pour et le contre. Sachez que 71% des recruteurs favorisent le CV simple au CV créatif (7%), qui lui est réservé aux secteurs artistiques et/ou créatifs.

Quelles sont les rubriques à faire figurer dans le CV ?

Dans le CV, vous avez des rubriques obligatoires qui sont nécessaires pour que le recruteur appréhende correctement votre profil, et des sections facultatives qui, si elles ne sont pas obligatoires, peuvent vous aider à vous démarquer des autres candidats.

Voici les rubriques que vous devez toujours faire figurer dans votre CV selon les recruteurs interrogés dans l'étude de ResumeLab, autrement dit les rubriques obligatoires :

  • Les coordonnées personnelles (nom, prénom, numéro de téléphone, adresse mail, localisation, profil LinkedIn)
  • Le profil du CV (une courte phrase qui permet de vous introduire)
  • Les expériences professionnelles
  • Les formations et diplômes
  • Les soft-skills (votre savoir-être, vos compétences comportementales)
  • Les hard-skills (votre savoir-faire, vos compétences techniques)

L'étude nous dit que 76% des recruteurs préfèrent deux rubriques distinctes pour évoquer les soft-skills et les hard-skills, cela pour faciliter la lecture des informations.

CV : le guide des rubriques

Tips : si vous êtes sur LinkedIn (et vous devriez l'être), pensez à ajouter un lien dans vos coordonnées personnelles renvoyant vers votre compte LinkedIn. Les recruteurs sondés sont 96% à estimer que ne pas le faire est une erreur.

Ajouter ou ne pas ajouter des chiffres dans son CV ?

On vous expliquait l'importance d'illustrer vos expériences professionnelles par des chiffres pour démontrer votre savoir-faire. L'étude de ResumeLab le confirme et précise que 85% des recruteurs sont favorables au fait d'"ajouter des chiffres et exemples illustrant ses succès".

En revanche, 38% des professionnels en RH disent qu'en faire trop risque de vous faire passer pour quelqu'un d'arrogant. Des chiffres oui, mais avec parcimonie. On vous explique comment les mentionner dans votre CV et lesquels choisir !

Quelles expériences pros faire figurer dans votre CV ?

La première règle à respecter est de ne jamais faire figurer dans votre CV des expériences qui n'ont aucun lien avec le poste que vous ciblez. Si par exemple vous candidatez à un poste de technico-commercial, vous n'avez pas d'intérêt à mentionner votre expérience en tant que manutentionnaire en intérim, sauf si évidemment vous n'avez pas d'autres expériences à valoriser. Indiquer des expériences qui ne font pas écho au poste visé peut non seulement vous faire perdre en crédibilité, mais va surtout vous faire perdre de la place sur le CV, puisqu'elles n'illustrent en rien vos capacités à exercer le poste.

Vous devez donc indiquer les expériences qui ont du sens vis-à-vis du poste, mais là, méfiez-vous des expériences trop anciennes. L'enquête de ResumeLab nous apprend que 33% des RH ne se soucient pas des emplois occupés il y a plus de 4 ans par les candidats, 28% ne s'intéressent pas aux postes de plus de 6 ans, et seuls 5% déclarent s'intéresser aux expériences datant de plus de 8 ans.

Privilégiez vos expériences les plus récentes et les postes que vous avez occupés durant les 4-5 dernières années.

Comment être sûr que votre CV soit lu ?

Le domaine du recrutement évolue et intègre désormais des outils technologiques pour aider les recruteurs à sélectionner les candidats. 82% des RH indiquent qu'ils utilisent des logiciels de tri de candidats automatiques avant le tri manuel.

Cela veut dire que votre CV passe entre les mains d'un robot qui sélectionne les candidatures sur la base de mots-clés avant d'atterrir sous les yeux du recruteur. Pour booster vos chances de passer cette première étape, pensez à toujours envoyer votre CV sous format PDF et surtout, à ajouter des mots clés dans votre CV : si l’entreprise a besoin d’un profil possédant de “bonnes compétences en réseautage” et de “bonnes compétences en management”, l’ATS (le logiciel de tri) pourrait être configuré afin de ne garder que les candidatures qui mentionnent les mots clés “réseautage” et “management”.

Vous avez maintenant une idée plus précise de ce que les recruteurs attendent d'un CV lorsqu'il recherchent un candidat, c'est maintenant à vous de jouer pour intégrer ces conseils à votre CV et le rendre exceptionnel !

Retrouvez l'étude dans son intégralité et tous nos conseils pour rédiger un CV qui décroche des entretiens !

Bon courage dans votre recherche d'emploi.


Apple ne veut pas de la norme RCS pour ses SMS

 

 

Apple ne veut pas de la norme RCS pour ses SMS

Les iMessage suffisent déjà à la marque à la pomme.


Publié le

 

Par

Tristan Carballeda

Alors qu’Android et les opérateurs de téléphonie mobile prévoient d’adopter la norme RCS de nouvelle génération pour les SMS, Apple semble être le dernier réfractaire à ce changement.

Ce mardi, c’est Verizon, l’un des plus grands opérateurs des États-Unis qui a annoncé adopter la norme Rich Communications Service (RCS) à partir de 2021, rejoignant ainsi d’autres opérateurs historiques dans le pays de l’oncle Sam : AT&T et T-Mobile. Ce changement marque la dernière étape avant le remplacement des SMS par le RCS sur les appareils Android, une nouvelle norme qui devrait se concrétiser dans les prochaines années pour tous.

Face à ce changement que tout le monde définit comme une nécessité, le SMS ayant largement fait son temps, Apple semble être la seule entreprise qui rechigne à l’idée de passer au RCS.

Pour comprendre la position de la Pomme, il faut savoir que les nouvelles fonctionnalités présentes au sein de cette norme RCS sont déjà incluses dans iMessage. Un point très important qui explique, selon The Verge, la position d’Apple sur la question et son absence lors des négociations concernant l’adoption du RCS sur ses appareils.

Car en l’état actuel des choses, un utilisateur qui voudrait échanger depuis un appareil Android vers un iPhone ( et inversement) devrait utiliser des SMS qui ne sont pas chiffrés de bout en bout et qui ne disposent pas des améliorations présentes avec le RCS. Si Apple refuse d’adopter cette nouvelle norme, alors le message échangé à l’avenir entre deux utilisateurs reviendra par défaut au SMS.

Une adoption d’Apple à venir ?

Face à ce manque de synchronisation des différents acteurs de la scène mobile, Apple pourrait finalement lâcher du lest et adopter à son tour la norme RCS sur ses prochains appareils. Cette dernière ne devrait pas remplacer iMessage, qui reste l’outil de conservation par excellence entre utilisateurs d’iPhone mais elle devrait être une nouvelle preuve de l’ouverture d’esprit dont la firme de Cupertino semble faire preuve depuis plusieurs mois.

L’adoption de cette norme pourrait s’inscrire dans une politique d’inclusion des appareils Android au sein de l’écosystème de la Pomme. La firme de Cupertino a déjà permis avec iOS 15 (qui est encore en bêta à l’heure ou nous écrivons ces lignes) de laisser les utilisateurs Android et Windows rejoindre des appels FaceTime. Il ne serait donc pas très étonnant de voir la marque à la pomme adopter cette nouvelle norme dans les prochaines semaines.

 

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Les 17 meilleurs outils Banque d’images

 

 

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

Banque d’images

Retrouvez notre sélection des meilleures banques d’images pour télécharger des photos, des musiques et des vidéos libres de droits. Certains sites sont gratuits, d’autres exigent un abonnement ou un paiement en fonction du nombre d’images téléchargées.

 
 

Les 17 meilleurs outils Banque d’images

Choisir un outil Banque d’images

Une banque d’images est une base de données qui regroupe un ensemble de ressources dédiées à la création graphique : photos, vidéos, icônes, illustrations vectorielles, logos, mockups… Très prisées par les professionnels tels que les chargés de communication, les graphistes, les rédacteurs ou encore les développeurs, les banques d’images permettent de proposer des visuels de qualité et de rendre un contenu plus impactant. Ces visuels peuvent ainsi être utilisés sur des sites Internet, pour illustrer un texte, pour des flyers ou encore des packagings et des supports publicitaires. Parmi les thèmes les plus populaires, nous retrouvons : photos de paysages, fonds d’écran, architecture, affaires et travail, mode, santé, photographie de rue, technologie… Plus que de simples ressources à caractère illustratif, ces contenus visuels doivent transmettre un message, remplir un objectif précis et susciter des émotions.

Pour les professionnels de l’image ou les photographes, il est possible de vendre ses clichés et illustrations via les banques d’images. Le prix des ressources varie selon les licences (standards ou étendues) avec des critères tels que le format, le support de diffusion et la durée d’exploitation. Parmi les principaux acteurs, il existe Shutterstock, Getty Images, Adobe Stock ou encore iStock.

Les fonctionnalités principales des banques d’images destinées aux pros sont les suivantes :

  • Recherche par mot clé : en plus d’offrir des images de bonne qualité, les bibliothèques d’images se veulent simples d’utilisation puisque celles-ci fonctionnent comme des moteurs de recherche. Il existe, dans la plupart des cas, une barre de recherche située en page d’accueil qui permet à l’utilisateur de taper un ou plusieurs mots-clés en rapport avec le visuel recherché. Souvent, un tri par filtre est également possible pour affiner ses recherches.
  • Collection d’images : lorsque vous sélectionnez une image affichée dans les résultats de recherche, certaines banques d’images proposent des collections qui permettent d’accéder à des ressources qui sont similaires à celle choisie. Cette fonctionnalité permet d’accéder facilement à des nouvelles photos dans la même thématique.
  • Multiplicité des formats : les banques d’images proposent en général différents formats de ressources téléchargeables. Vous pouvez choisir votre résolution d’image (basse, moyenne ou haute résolution), le type de fichier (JPEG, PNG, SVG, PDF, AI, EPS, RAW…) et la taille de l’image en pixels. Pour les ressources vidéo, vous pouvez choisir la résolution (480p, 720p, 1080p, HD, 4K ou 8K) et le type de fichier (MP4, MOV, AVI…).
  • Recherche par image : certaines bibliothèques de photos proposent un moteur de recherche par image, qui permet de trouver une base d’images, de photos ou d’illustrations semblable à l’image renseignée.
  • Historique des téléchargements : certaines banques photos ou vidéos proposent un historique des téléchargements. Cette fonctionnalité permet de réutiliser des contenus achetés précédemment et facilite l’organisation de vos nombreuses ressources.

Les meilleures banques d’images gratuites

Pour trouver des visuels de qualité à moindre coût, il existe plusieurs banques d’images gratuites telles que Coverr, Unsplash, Pixabay ou encore Pexels. Certaines banques de ressources sont spécialisées, comme Nappy qui propose à titre gratuit des contenus favorisant la diversité.

Ces banques d’images permettent de télécharger gratuitement des ressources avec leur licence associée. Selon les types d’autorisation, vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser les images, même à des fins commerciales. Dans certains cas, vous n’avez pas besoin d’ajouter d’attribution, même si citer l’auteur est vivement conseillé pour accorder de la visibilité au créateur derrière l’illustration. Il est toutefois nécessaire de respecter certaines règles si vous utilisez la photo à des fins commerciales, car le contenu représenté sur l’image ou la vidéo peut lui être soumis à une réglementation : apparition d’une marque ou d’un logo, personne ou groupe de personnes photographiées, monuments ou œuvres protégés…

Certaines banques d’images gratuites proposent également des API qui permettent aux professionnels de retrouver ces bases de données directement au sein d’autres outils tels que Canva, Trello, Dropbox, Figma ou encore Product Hunt et Zoom.

Les licences des banques d’images : libre de droits, droits gérés, Creative Commons…

Les banques d’images gratuites et payantes proposent des licences différentes en fonction des usages. Il existe deux types de licences : la licence libre de droits et la licence de droits gérés. Dans le cadre d’une licence libre de droits, vous devez payer le contenu une seule fois pour pouvoir l’utiliser comme bon vous semble. Quant à la licence de droits gérés, il est nécessaire de payer des droits à chaque usage. Il est possible de retrouver des contenus sous licence Creative Commons qui permettent de faciliter le partage des photos, vidéos et images selon différents degrés de restrictions.

Enfin, il est important d’effectuer une distinction entre l’usage commercial (contenu utilisé pour commercialiser, vendre, faire de la publicité…) et l’usage éditorial (contenu utilisé pour illustrer un article ou un propos).

Questions fréquentes sur les outils Banque d’images

Quelles sont les meilleures banques d'images gratuites ?

Parmi les meilleures banques d’images gratuites, on retrouve Unsplash, Pixabay, Pexels, Coverr ou encore Pixel Mob.

Une photo libre de droits est-elle une photo gratuite ?
Peut-on utiliser librement une photo trouvée sur Google Images ?
Quelles sont les règles à respecter quand on utilise des photos de banque d'images gratuites ?
 


iPhone 13 : des caractéristiques novatrices confirmées ?

 

 

iPhone 13 : des caractéristiques novatrices confirmées ?

Ça se précise, à un jour de la conférence.


Publié le

 

Par

Pierre Otin 
 
Mark Gurman, analyste et journaliste chez Bloomberg, publie chaque semaine une newsletter à propos d’Apple. Dans celle-ci et sa dernière édition sortie hier, plusieurs caractéristiques concernant l’iPhone 13 ont été appuyées. Au passage, Ming-Chi Kuo, autre grand spécialiste de la firme californienne, a hier également livré des informations sur ce qu’il prévoit pour l’iPhone 13, notamment au niveau des capacités de stockage.

Ainsi, en assemblant le tout, voici les nouveautés notables de la nouvelle gamme iPhone 13 qui devrait être présentée demain soir 19h, lors d’un nouveau keynote d’Apple à suivre à nos côtés :

  • Design : pas de changement de design majeur, mis à part l’encoche du Face ID qui devrait, pour la première fois sur iPhone, être redimensionnée et prendre moins de place à l’écran
  • Taille d’écran et de boitier : mêmes formats que pour la gamme de l’an dernier, à savoir un iPhone à 5,4 pouces de diagonale d’écran, deux iPhone à 6,1 pouces et un iPhone à 6,7 pouces.
  • Vidéo : apparition de l’équivalent, pour la vidéo, du mode Portrait pour la photo (avec fond flouté lorsqu’un visage est ciblé par l’objectif), appelé mode Cinematic Video. Également de la partie, une nouvelle résolution d’enregistrement haute qualité en format ProRes, réservée aux modèles iPhone 13 Pro et 13 Pro Max
  • Photo : nouvelle technologie intelligente appliquant automatiquement des filtres sur les photos
  • Puissance : nouvelle puce A15, au même nombre de coeurs que la A14 des iPhone 12, mais avec une cadence légèrement accélérée
  • Écran : arrivée de la technologie LTPO sous-tendant notamment un rafraichissement à 120 Hz
  • Capacités de stockage : Apple double les capacités cette année et ne proposerait plus de 64 Go. En outre, le 1 To serait au programme pour les modèles Pro. Il faut donc tabler sur 128, 256 et 512 Go pour iPhone 13 et 13 mini, et 128, 256, 512 et 1024 Go pour iPhone 13 Pro et 13 Pro Max

Si à ce stade, il ne s’agit que de confirmation de caractéristiques déjà entendues dans de précédentes rumeurs, il faut toutefois noter que Mark Gurman insiste également sur l’apparition d’une compatibilité, sur les iPhone 13, avec les réseaux satellites LEO. L’analyste précise cependant qu’il est possible qu’Apple déploie la technologie sur la génération iPhone 13, sans activer celle-ci au niveau logiciel avant 2022.

Il ajoute enfin qu’il ne sera pas question de remplacer les réseaux traditionnels, mais uniquement de pouvoir envoyer des signaux dans des situations d’urgence.

 

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