PlasticARM, le processeur flexible et en plastique va-t-il supplanter le silicium ?
par
Edouard le Ricque, le
Adieu le silicium, bonjour le plastique ! Une nouvelle recherche a
permis de développer un processeur en plastique. L’avantage ? Ce dernier
est flexible et peut être logé dans toutes sortes d’objets.
Alors que les processeurs informatiques sont construits en silicium depuis près de 50 ans, un nouveau projet conjointement mené par ARM et PragmalC souhaite réinventer la manière dont ils sont conçus. Baptisé PlasticARM, ce processeur nouvelle génération est fait de plastique et est flexible. De quoi pouvoir le loger partout, des écrans flexibles aux objets connectés en tous genres.
Les résultats de ce projet ont été publiés dans la revue Nature. Très
détaillée et complexe, cette recherche permet surtout de retenir qu’un
processeur en plastique n’est pas seulement indispensable pour être
logé dans toutes sortes d’objets, mais également pour réduire les coûts.
PlasticARM se veut être le « circuit intégré flexible le plus complexe au monde »,
peut-on lire dans Nature. Cette innovation est rendue possible grâce
notamment à une construction à base de TCM d’oxyde métallique. Acronyme
de transistors en couche mince, les TCM permettent notamment aux
processeurs d’être sur des surfaces flexibles.
Un processeur flexible et pas cher pour aller partout
Aucun prix ni aucune donnée financière n’ont été partagés dans le rapport sur Nature. Néanmoins, les chercheurs derrière PlasticARM se voient intégrer le processeur flexible sur toutes sortes d’objets du quotidien, comme une bouteille de lait ou un emballage alimentaire.
L’emballage intelligent pourrait alors vous prévenir si son contenu
n’est plus de bonne qualité. En France, ce sont 3,4 milliards de litres
qui sont mis en bouteille chaque année. De quoi effectivement laisser
présager un coût de production relativement faible pour le processeur
PlasticARM.
L’idée n’est évidemment pas de remplacer les processeurs classiques en silicium.
Ces derniers conserveront leurs « avantages en termes de performances,
de densité et d’efficacité énergétique », peut-on lire dans le rapport. L’objectif
ici est plutôt de développer de « nouveaux facteurs de forme et à des
coûts inatteignables avec le silicium, élargissant ainsi
considérablement la gamme des applications potentielles » Une innovation bienvenue et indispensable pour le développement grandissant de l’Internet des Objets.
Quelles sont les bonnes pratiques à respecter
pour que votre CV séduise les recruteurs ? On vous livre les secrets
d'un bon CV avec les résultats d'une étude de ResumeLab.
En théorie, un CV c'est simplement un résumé du
parcours professionnel. Il suffit de renseigner ses dernières
expériences, ses informations de contact, son diplôme... Mais en
pratique, l'exercice est plus subtile et rares sont les CV qui répondent
exactement à ce que les recruteurs recherchent.
Qu'à cela ne tienne ! Une enquête menée par OnePoll pour
ResumeLab et parue le 05/07/21 nous révèle les préférences de 500
recruteurs, spécialistes en RH et responsables du recrutement en matière
de CV. De quoi vous donner des pistes pour rédiger le vôtre mais aussi
de vous rapprocher de ce qui est attendu par les professionnels du
recrutement !
Quelle mise-en-page est attendue dans votre CV ?
Le fond, plus important que la forme
Si la forme du CV est importante, le fond reste sans surprise l'aspect qui compte le plus pour 51% des professionnels interrogés. Seuls 11% d'entre eux jugent que le style et le design du CV sont plus importants que le contenu.
Un CV en couleurs ? Pas forcément
Au niveau de la palette de couleurs utilisée, la majorité des sondés (73%) préfèrent un CV en noir et blanc, contre 27% qui jugent qu'un CV coloré est mieux. Si vous tenez toutefois à ajouter une touche de couleur à votre CV, vous pouvez jeter un coup d'œil à nos conseils.
Le CV à deux colonnes est privilégié
En termes de disposition des rubriques sur le CV, 77% préfèrent le CV sur deux colonnes, qui permet de fluidifier la lecture et de gagner de l'espace.
Un CV simple plutôt qu'un CV créatif
Si vous envisagez de faire un CV original, pesez bien le pour et le contre. Sachez que 71% des recruteurs favorisent le CV simple au CV créatif (7%), qui lui est réservé aux secteurs artistiques et/ou créatifs.
Quelles sont les rubriques à faire figurer dans le CV ?
Dans le CV, vous avez des rubriques obligatoires qui sont nécessaires pour que le recruteur appréhende correctement votre profil, et des sections facultatives qui, si elles ne sont pas obligatoires, peuvent vous aider à vous démarquer des autres candidats.
Voici les rubriques que vous devez toujours faire figurer dans
votre CV selon les recruteurs interrogés dans l'étude de ResumeLab,
autrement dit les rubriques obligatoires :
Les coordonnées personnelles (nom, prénom, numéro de téléphone, adresse mail, localisation, profil LinkedIn)
Le profil du CV (une courte phrase qui permet de vous introduire)
Les soft-skills (votre savoir-être, vos compétences comportementales)
Les hard-skills (votre savoir-faire, vos compétences techniques)
L'étude nous dit que 76% des recruteurs
préfèrent deux rubriques distinctes pour évoquer les soft-skills et les
hard-skills, cela pour faciliter la lecture des informations.
Tips : si vous êtes sur LinkedIn (et vous
devriez l'être), pensez à ajouter un lien dans vos coordonnées
personnelles renvoyant vers votre compte LinkedIn. Les recruteurs sondés
sont 96% à estimer que ne pas le faire est une erreur.
Ajouter ou ne pas ajouter des chiffres dans son CV ?
On vous expliquait l'importance d'illustrer vos expériences
professionnelles par des chiffres pour démontrer votre savoir-faire.
L'étude de ResumeLab le confirme et précise que 85% des recruteurs sont favorables au fait d'"ajouter des chiffres et exemples illustrant ses succès".
Quelles expériences pros faire figurer dans votre CV ?
La première règle à respecter est de ne jamais faire figurer
dans votre CV des expériences qui n'ont aucun lien avec le poste que
vous ciblez. Si par exemple vous candidatez à un poste de
technico-commercial, vous n'avez pas d'intérêt à mentionner votre
expérience en tant que manutentionnaire en intérim, sauf si évidemment
vous n'avez pas d'autres expériences à valoriser. Indiquer des
expériences qui ne font pas écho au poste visé peut non seulement vous
faire perdre en crédibilité, mais va surtout vous faire perdre de la
place sur le CV, puisqu'elles n'illustrent en rien vos capacités à
exercer le poste.
Vous devez donc indiquer les expériences qui ont du sens vis-à-vis du poste, mais là, méfiez-vous des expériences trop anciennes. L'enquête de ResumeLab nous apprend que 33% des RH ne se soucient pas des emplois occupés il y a plus de 4 ans par les candidats, 28% ne s'intéressent pas aux postes de plus de 6 ans, et seuls 5% déclarent s'intéresser aux expériences datant de plus de 8 ans.
Privilégiez vos expériences les plus récentes et les postes que vous avez occupés durant les 4-5 dernières années.
Comment être sûr que votre CV soit lu ?
Le domaine du recrutement évolue et intègre désormais des
outils technologiques pour aider les recruteurs à sélectionner les
candidats. 82% des RH indiquent qu'ils utilisent des logiciels de tri de candidats automatiques avant le tri manuel.
Cela veut dire que votre CV passe entre les mains d'un robot qui
sélectionne les candidatures sur la base de mots-clés avant d'atterrir
sous les yeux du recruteur. Pour booster vos chances de passer cette
première étape, pensez à toujours envoyer votre CV sous format PDF et surtout, à ajouter des mots clés dans votre CV
: si l’entreprise a besoin d’un profil possédant de “bonnes compétences
en réseautage” et de “bonnes compétences en management”, l’ATS (le
logiciel de tri) pourrait être configuré afin de ne garder que les
candidatures qui mentionnent les mots clés “réseautage” et “management”.
Vous avez maintenant une idée plus précise de ce que les
recruteurs attendent d'un CV lorsqu'il recherchent un candidat, c'est
maintenant à vous de jouer pour intégrer ces conseils à votre CV et le
rendre exceptionnel !
Les iMessage suffisent déjà à la marque à la pomme.
Publié le
Par
Tristan Carballeda
Alors qu’Android et les
opérateurs de téléphonie mobile prévoient d’adopter la norme RCS de
nouvelle génération pour les SMS, Apple semble être le dernier
réfractaire à ce changement.
Ce mardi, c’est Verizon, l’un des plus grands opérateurs des États-Unis qui a annoncé adopter la norme Rich Communications Service (RCS)
à partir de 2021, rejoignant ainsi d’autres opérateurs historiques dans
le pays de l’oncle Sam : AT&T et T-Mobile. Ce changement marque la
dernière étape avant le remplacement des SMS par le RCS sur les
appareils Android, une nouvelle norme qui devrait se concrétiser dans
les prochaines années pour tous.
Face à ce changement que tout le
monde définit comme une nécessité, le SMS ayant largement fait son
temps, Apple semble être la seule entreprise qui rechigne à l’idée de
passer au RCS.
Pour comprendre la position de la Pomme, il faut
savoir que les nouvelles fonctionnalités présentes au sein de cette
norme RCS sont déjà incluses dans iMessage. Un point très important qui explique, selon The Verge, la position d’Apple sur la question et son absence lors des négociations concernant l’adoption du RCS sur ses appareils.
Car en l’état actuel des choses, un utilisateur qui voudrait
échanger depuis un appareil Android vers un iPhone ( et inversement)
devrait utiliser des SMS qui ne sont pas chiffrés de bout en bout et qui
ne disposent pas des améliorations présentes avec le RCS. Si Apple
refuse d’adopter cette nouvelle norme, alors le message échangé à
l’avenir entre deux utilisateurs reviendra par défaut au SMS.
Une adoption d’Apple à venir ?
Face
à ce manque de synchronisation des différents acteurs de la scène
mobile, Apple pourrait finalement lâcher du lest et adopter à son tour
la norme RCS sur ses prochains appareils. Cette dernière ne devrait pas
remplacer iMessage, qui reste l’outil de conservation par excellence
entre utilisateurs d’iPhone mais elle devrait être une nouvelle preuve
de l’ouverture d’esprit dont la firme de Cupertino semble faire preuve
depuis plusieurs mois.
L’adoption de cette norme pourrait
s’inscrire dans une politique d’inclusion des appareils Android au sein
de l’écosystème de la Pomme. La firme de Cupertino a déjà permis avec
iOS 15 (qui est encore en bêta à l’heure ou nous écrivons ces lignes) de
laisser les utilisateurs Android et Windows rejoindre des appels FaceTime. Il ne serait donc pas très étonnant de voir la marque à la pomme adopter cette nouvelle norme dans les prochaines semaines.
Retrouvez notre sélection des meilleures banques
d’images pour télécharger des photos, des musiques et des vidéos libres
de droits. Certains sites sont gratuits, d’autres exigent un abonnement
ou un paiement en fonction du nombre d’images téléchargées.
Une banque d’images est une base de données qui regroupe un
ensemble de ressources dédiées à la création graphique : photos, vidéos,
icônes, illustrations vectorielles, logos, mockups… Très prisées par
les professionnels tels que les chargés de communication, les
graphistes, les rédacteurs ou encore les développeurs, les banques
d’images permettent de proposer des visuels de qualité et de rendre un
contenu plus impactant. Ces visuels peuvent ainsi être utilisés sur des
sites Internet, pour illustrer un texte, pour des flyers ou encore des
packagings et des supports publicitaires. Parmi les thèmes les plus
populaires, nous retrouvons : photos de paysages, fonds d’écran,
architecture, affaires et travail, mode, santé, photographie de rue,
technologie… Plus que de simples ressources à caractère illustratif, ces
contenus visuels doivent transmettre un message, remplir un objectif
précis et susciter des émotions.
Pour les professionnels de l’image ou les photographes, il est
possible de vendre ses clichés et illustrations via les banques
d’images. Le prix des ressources varie selon les licences (standards ou
étendues) avec des critères tels que le format, le support de diffusion
et la durée d’exploitation. Parmi les principaux acteurs, il existe
Shutterstock, Getty Images, Adobe Stock ou encore iStock.
Les fonctionnalités principales des banques d’images destinées aux pros sont les suivantes :
Recherche par mot clé : en plus d’offrir des images
de bonne qualité, les bibliothèques d’images se veulent simples
d’utilisation puisque celles-ci fonctionnent comme des moteurs de
recherche. Il existe, dans la plupart des cas, une barre de recherche
située en page d’accueil qui permet à l’utilisateur de taper un ou
plusieurs mots-clés en rapport avec le visuel recherché. Souvent, un tri
par filtre est également possible pour affiner ses recherches.
Collection d’images : lorsque vous sélectionnez une
image affichée dans les résultats de recherche, certaines banques
d’images proposent des collections qui permettent d’accéder à des
ressources qui sont similaires à celle choisie. Cette fonctionnalité
permet d’accéder facilement à des nouvelles photos dans la même
thématique.
Multiplicité des formats : les banques d’images
proposent en général différents formats de ressources téléchargeables.
Vous pouvez choisir votre résolution d’image (basse, moyenne ou haute
résolution), le type de fichier (JPEG, PNG, SVG, PDF, AI, EPS, RAW…) et
la taille de l’image en pixels. Pour les ressources vidéo, vous pouvez
choisir la résolution (480p, 720p, 1080p, HD, 4K ou 8K) et le type de
fichier (MP4, MOV, AVI…).
Recherche par image : certaines bibliothèques de
photos proposent un moteur de recherche par image, qui permet de trouver
une base d’images, de photos ou d’illustrations semblable à l’image
renseignée.
Historique des téléchargements : certaines banques
photos ou vidéos proposent un historique des téléchargements. Cette
fonctionnalité permet de réutiliser des contenus achetés précédemment et
facilite l’organisation de vos nombreuses ressources.
Les meilleures banques d’images gratuites
Pour trouver des visuels de qualité à moindre coût, il existe
plusieurs banques d’images gratuites telles que Coverr, Unsplash,
Pixabay ou encore Pexels. Certaines banques de ressources sont
spécialisées, comme Nappy qui propose à titre gratuit des contenus
favorisant la diversité.
Ces banques d’images permettent de télécharger gratuitement des
ressources avec leur licence associée. Selon les types d’autorisation,
vous pouvez copier, modifier, distribuer et utiliser les images, même à
des fins commerciales. Dans certains cas, vous n’avez pas besoin
d’ajouter d’attribution, même si citer l’auteur est vivement conseillé
pour accorder de la visibilité au créateur derrière l’illustration. Il
est toutefois nécessaire de respecter certaines règles si vous utilisez
la photo à des fins commerciales, car le contenu représenté sur l’image
ou la vidéo peut lui être soumis à une réglementation : apparition d’une
marque ou d’un logo, personne ou groupe de personnes photographiées,
monuments ou œuvres protégés…
Certaines banques d’images gratuites proposent également des API qui
permettent aux professionnels de retrouver ces bases de données
directement au sein d’autres outils tels que Canva, Trello, Dropbox,
Figma ou encore Product Hunt et Zoom.
Les licences des banques d’images : libre de droits, droits gérés, Creative Commons…
Les banques d’images gratuites et payantes proposent des licences
différentes en fonction des usages. Il existe deux types de licences :
la licence libre de droits et la licence de droits gérés. Dans le cadre
d’une licence libre de droits, vous devez payer le contenu une seule
fois pour pouvoir l’utiliser comme bon vous semble. Quant à la licence
de droits gérés, il est nécessaire de payer des droits à chaque usage.
Il est possible de retrouver des contenus sous licence Creative Commons
qui permettent de faciliter le partage des photos, vidéos et images
selon différents degrés de restrictions.
Enfin, il est important d’effectuer une distinction entre l’usage
commercial (contenu utilisé pour commercialiser, vendre, faire de la
publicité…) et l’usage éditorial (contenu utilisé pour illustrer un
article ou un propos).
Questions fréquentes sur les outils Banque d’images
Quelles sont les meilleures banques d'images gratuites ?
Parmi les meilleures banques d’images gratuites, on retrouve Unsplash, Pixabay, Pexels, Coverr ou encore Pixel Mob.
Une photo libre de droits est-elle une photo gratuite ?
Peut-on utiliser librement une photo trouvée sur Google Images ?
Quelles sont les règles à respecter quand on utilise des photos de banque d'images gratuites ?
iPhone 13 : des caractéristiques novatrices confirmées ?
Ça se précise, à un jour de la conférence.
Publié le
Par
Pierre Otin
Mark Gurman, analyste et
journaliste chez Bloomberg, publie chaque semaine une newsletter à
propos d’Apple. Dans celle-ci et sa dernière édition sortie hier,
plusieurs caractéristiques concernant l’iPhone 13 ont été appuyées. Au
passage, Ming-Chi Kuo, autre grand spécialiste de la firme
californienne, a hier également livré des informations sur ce qu’il
prévoit pour l’iPhone 13, notamment au niveau des capacités de stockage.
Ainsi, en assemblant le tout, voici les nouveautés notables de la
nouvelle gamme iPhone 13 qui devrait être présentée demain soir 19h,
lors d’un nouveau keynote d’Apple à suivre à nos côtés :
Design :
pas de changement de design majeur, mis à part l’encoche du Face ID qui
devrait, pour la première fois sur iPhone, être redimensionnée et
prendre moins de place à l’écran
Taille d’écran et de boitier :
mêmes formats que pour la gamme de l’an dernier, à savoir un iPhone à
5,4 pouces de diagonale d’écran, deux iPhone à 6,1 pouces et un iPhone à
6,7 pouces.
Vidéo : apparition de l’équivalent,
pour la vidéo, du mode Portrait pour la photo (avec fond flouté
lorsqu’un visage est ciblé par l’objectif), appelé mode Cinematic Video.
Également de la partie, une nouvelle résolution d’enregistrement haute
qualité en format ProRes, réservée aux modèles iPhone 13 Pro et 13 Pro
Max
Photo : nouvelle technologie intelligente appliquant automatiquement des filtres sur les photos
Puissance : nouvelle puce A15, au même nombre de coeurs que la A14 des iPhone 12, mais avec une cadence légèrement accélérée
Écran : arrivée de la technologie LTPO sous-tendant notamment un rafraichissement à 120 Hz
Capacités de stockage :
Apple double les capacités cette année et ne proposerait plus de 64 Go.
En outre, le 1 To serait au programme pour les modèles Pro. Il faut
donc tabler sur 128, 256 et 512 Go pour iPhone 13 et 13 mini, et 128,
256, 512 et 1024 Go pour iPhone 13 Pro et 13 Pro Max
Si à
ce stade, il ne s’agit que de confirmation de caractéristiques déjà
entendues dans de précédentes rumeurs, il faut toutefois noter que Mark
Gurman insiste également sur l’apparition d’une compatibilité, sur les
iPhone 13, avec les réseaux satellites LEO. L’analyste précise cependant
qu’il est possible qu’Apple déploie la technologie sur la génération
iPhone 13, sans activer celle-ci au niveau logiciel avant 2022.
Il
ajoute enfin qu’il ne sera pas question de remplacer les réseaux
traditionnels, mais uniquement de pouvoir envoyer des signaux dans des
situations d’urgence.