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mercredi 12 janvier 2022

Decentraleyes,un add-on de Firefox ,Chrome,contre le pîstage:

 

Decentraleyes,un add-on de Firefox ,Chrome,contre le pîstage:

Decentraleyes par Thomas Rientjes

Protège du pistage lié aux diffuseurs de contenus « gratuits », centralisés. Accélère de nombreuses requêtes (Google Hosted Libraries et autres) en les servant localement, allégeant la charge des sites. Complète les bloqueurs de contenus habituels.

 Les sites web dépendent de plus en plus de bibliothèques tierces pour proposer du contenu. En général, annuler les requêtes pour les publicités ou traqueurs ne pose pas de problèmes. Cependant, bloquer le véritable contenu casse évidemment les pages. L'objectif de cet add-on est de supprimer l'intermédiaire en proposant à la vitesse de l'éclair la livraison de fichiers (regroupés) en local afin d'améliorer la protection des données personnelles en ligne.

     • Protège la confidentialité en contournant les diffuseurs de contenus prétendant offrir des services gratuits.
     • Complète les bloqueurs connus tels que uBlock origin (recommandé), Adblock Plus et autres.
     • Fonctionne directement tel quel ne nécessitant aucune configuration préalable.

Remarque: Decentraleyes n'est pas une panacée mais il empêche de nombreux sites de vous contraindre à l'envoi de telles requêtes. Il est possible aussi d'indiquer à Decentraleyes de bloquer les requêtes manquantes.

   > Présentation plus simple: https://git.synz.io/Synzvato/decentraleyes/wikis/Simple-Introduction

Suis-je actuellement protégé ?

Un vérificateur indique si vous êtes correctement protégé. C'est la méthode conseillée et la plus rapide pour savoir si l'add-on est installé, activé et correctement configuré.

   > Lien vers ce vérificateur: https://decentraleyes.org/test

 Adguard,pour ceux qui le connaisse, ne bloque pas le CDN. Vous aurez peut-être besoin de l'extension Decentraleyes dans le navigateur Firefox et la boutique en ligne Chrome pour bloquer le CDN. Decentraleyes pour le navigateur Firefox par Thomas Rientjes Recommandé Vous protège contre le traçage grâce à la livraison de contenu "gratuit" et centralisé. Il empêche de nombreuses demandes d'atteindre des réseaux tels que les bibliothèques hébergées par Google et sert des fichiers locaux pour empêcher les sites de se briser. Complète les bloqueurs de contenu habituels. Protège la confidentialité en évitant les grands réseaux de distribution qui prétendent offrir des services gratuits. • Complète les bloqueurs réguliers tels que uBlock Origin (recommandé), Adblock Plus, et al. • Fonctionne directement hors de la boîte ; absolument aucune configuration préalable requise. Remarque : Decentraleyes n'est pas une solution miracle, mais cela empêche de nombreux sites Web de vous faire envoyer ce genre de demandes. En fin de compte, vous pouvez également faire en sorte que Decentraleyes bloque les demandes pour toutes les ressources CDN manquantes.

REF.:   https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/decentraleyes/?utm_source=addons.mozilla.org&utm_medium=referral&utm_content=search

https://chrome.google.com/webstore/detail/decentraleyes/ldpochfccmkkmhdbclfhpagapcfdljkj

Cloudflare fait appel au service CDN pour masquer les véritables lieux d'hébergement de ces «mauvais acteurs» ....Hackers :

 

Cloudflare fait  appel au service CDN pour masquer les véritables lieux d'hébergement de ces «mauvais acteurs» ....Hackers :

 Des assignations à comparaître ciblant plus de 35 000 noms de domaine de clients Cloudflare en six mois,du déja vu ;-) 

 

Alors beaucoup de nerds emploi d'autres outils pour y parvenir,comme:

 https://www.robtex.com/

 https://urlscan.io/

 https://ipsnoop.com/34.147.109.202 (exemple)

Ces outils vont vous révéler sur quel sites le hackers a enregistrés son site web frauduleux, souvent le site disparaît assez vites  ;-)

 

 Cloudflare ne supprime rien en réponse aux avis de retrait DMCA, à moins qu'il ne stocke le contenu de manière permanente sur son réseau. 

Cependant, la société remettra les données personnelles des clients aux titulaires de droits d'auteur qui obtiennent une citation à comparaître DMCA. Au cours du premier semestre 2021, des citations à comparaître civiles ont ciblé des centaines de clients liés à plus de 35 000 domaines. 

 logo cloudflare

 Service de protection CDN et DDoS populaire Cloudflare a subi de nombreuses pressions de la part des titulaires de droits d'auteur ces dernières années. L'entreprise propose ses services à des millions de sites. Cela inclut les multinationales, les gouvernements, mais aussi certains des principaux sites pirates au monde. Tous les titulaires de droits ne sont pas satisfaits de ce dernier.

 Certains ont accusé Cloudflare de faciliter la violation du droit d'auteur en continuant à fournir l'accès à ces plateformes. Dans le même temps, ils font appel au service CDN pour masquer les véritables lieux d'hébergement de ces «mauvais acteurs». Cloudflare voit les choses différemment. 

L'entreprise se positionne comme un fournisseur de services neutre qui n'héberge aucun contenu illicite. Ils ne font que transmettre des informations qui sont temporairement mises en cache sur ses services.(souvent des faussetés)

Demandes de suppression et de blocage

 Auparavant, les tribunaux avaient ordonné à Cloudflare de bloquer des sites spécifiques, mais aucune nouvelle ordonnance n'est intervenue au cours du premier semestre de l'année dernière(sinon Cloudflare serait en faillite car il coopère aux piéage des hackers avec les services de l'états,un Honeypot légal ). La société a répondu à plusieurs demandes de retrait DMCA. Dans ces cas, le contenu signalé est stocké sur le réseau de Cloudflare. Ces demandes régulières de retrait DMCA ont ciblé 32 comptes et 367 noms de domaine au cours de la période de référence. Il s'agit d'une augmentation significative par rapport à l'année précédente où 4 comptes et 4 noms de domaine avaient été impactés. Domaines ciblés par des avis DMCA réguliers dmca Outre les problèmes de droits d'auteur, Cloudflare répond également à d'autres demandes d'application, notamment les ordres de piégeage et de commerce et les mandats de perquisition(c'est là où est situé la cryptomonnaie,les attaques XSS,les malwares,etc...). Ceux-ci ont également augmenté au fil des ans. 

Ces augmentations ne sont pas vraiment inattendues car Cloudflare a considérablement développé son activité, explique la société. « Bien qu'il y ait eu une augmentation constante du nombre de demandes d'application de la loi depuis notre premier rapport de transparence en 2013, cela est dû en partie à l'augmentation exponentielle du nombre de domaines clients Cloudflare au cours de cette période. » 

Une copie du rapport de transparence complet de Cloudflare est disponible sur le site officiel de la société.(mais c'est seulement du papier sans volonté)

 

Nota: Un CDN c'est, un réseau de diffusion de contenu (RDC) ou en anglais content delivery network (CDN) est constitué d’ordinateurs reliés en réseau à travers Internet et qui coopèrent afin de mettre à disposition du contenu ou des données à des utilisateurs.

Ce réseau est constitué :

  • de serveurs d'origine, d'où les contenus sont « injectés » dans le RDC pour y être répliqués ;
  • de serveurs périphériques, typiquement déployés à plusieurs endroits géographiquement distincts, où les contenus des serveurs d'origine sont répliqués ;
  • d'un mécanisme de routage permettant à une requête utilisateur sur un contenu d'être servie par le serveur le « plus proche », dans le but d’optimiser le mécanisme de transmission / livraison.

Les serveurs (ou nœuds) sont généralement connectés à Internet à travers différentes dorsales Internet.

L’optimisation peut se traduire par la réduction des coûts de bande passante, l’amélioration de l’expérience utilisateur (réduction de la latence), voire les deux.

Le nombre de nœuds et de serveurs qui constituent un RDC varie selon les choix d’architecture, certains pouvant atteindre plusieurs milliers de nœuds et des dizaines de milliers de serveurs.

REF.:   https://torrentfreak.com/subpoenas-targeted-over-35000-cloudflare-customer-domain-names-in-six-months-220109/

jeudi 6 janvier 2022

Windows 11 : l'invite de commandes va tirer sa révérence en 2022

 

 

Windows 11 : l'invite de commandes va tirer sa révérence en 2022

Fanny Dufour
16 décembre 2021 à 13h27

À partir de 2022, Microsoft remplacera peu à peu l'invite de commandes actuelle par le Windows Terminal comme console par défaut sur Windows 11 .

Il est déjà possible de choisir le Windows Terminal comme terminal par défaut dans ses paramètres sur Windows 11.

Un changement qui prendra place en 2022

Depuis longtemps, Windows utilise comme terminal par défaut le Windows Console Host, qui se fait vieillissant. Sentant qu'il était temps que l'expérience soit améliorée, l'entreprise a annoncé en 2019 et rendu disponible pour tous en 2020 le Windows Terminal, une version repensée et plus moderne de l'antédiluvienne console. S'il est déjà possible de le télécharger et de l'utiliser sur Windows 10 et 11, l'ancienne invite de commandes reste pour le moment l'application utilisée par défaut.

Ce ne sera bientôt plus le cas, en tout cas sur Windows 11, puisque l'entreprise a annoncé vouloir faire du Windows Terminal le terminal par défaut à partir de 2022. Les participants au programme Windows Insider seront les premiers à en profiter et le déploiement se fera progressivement, jusqu'à ce que tous les utilisateurs de Windows 11 bénéficient du changement.

Un terminal amélioré

Pour rappel, le Windows Terminal vient avec de nombreuses améliorations par rapport au terminal actuel, comme un moteur de rendu de texte accéléré par GPU, un affichage multi-onglets, des volets et une prise en charge des caractères Unicode et UTF-8. Il possède également de nombreuses options de personnalisation, aussi bien pour les raccourcis que pour le thème. Il peut exécuter toute application dotée d'une interface en ligne de commande et donne la possibilité de créer des profils pour chacune d'entre elles.

Pour les plus impatients des utilisateurs de Windows 11, il est déjà possible d'aller dans les paramètres pour désigner le Windows Terminal comme programme par défaut pour ouvrir toutes les applications en lignes de commandes.

Source : Tom's Hardware

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/microsoft/actualite-399192-windows-11-l-invite-de-commandes-va-tirer-sa-reverence-en-2022.html?_ope=eyJndWlkIjoiNzM2OGQyYTA1M2UxYjUzYTEzZDE0MDAzYWQ0Yzg1YWMifQ%3D%3D

Des appareils ne gérant que le HDMI 2.0 rebadgé en HDMI 2.1, c'est autorisé : attention à ne pas vous faire piéger

 

 

Des appareils ne gérant que le HDMI 2.0 rebadgé en HDMI 2.1, c'est autorisé : attention à ne pas vous faire piéger

18 décembre 2021 à 10h30

 

Sans que l'on ne comprenne pourquoi, l'administration des licences HDMI accepte que les constructeurs mentent sur la norme HDMI 2.1 .

Affichés HDMI 2.1, les moniteurs peuvent tout à fait ne proposer qu'une compatibilité HDMI 2.0 et donc… tromper les acheteurs.

N'est pas 2.1 qui veut

Annoncée en novembre 2017, la norme HDMI 2.1 n'est finalement arrivée aux yeux du très grand public qu'avec la sortie des consoles de salon nouvelle génération, les PlayStation 5 et Xbox Series X . Capables de bien des choses comparées à leurs grandes soeurs, ces deux machines sont arrivées en demandant une compatibilité HDMI 2.1 pour certaines fonctionnalités.

C'est par exemple le cas des jeux pouvant fonctionner en 4K à 120 images par seconde. Un tel flux n'est pas gérable par l'ancienne norme HDMI 2.0, qui ne pourra supporter que du 1080p à 120 images par seconde, ou de la 4K à 60 images par seconde. Quelque chose de tout à fait acceptable, mais de différent. De même, le VRR (taux de rafraîchissement variable) ne peut pas être supporté par un téléviseur ne disposant que de ports HDMI 2.0.

Une réglementation difficile à comprendre

C'est donc là tout le problème : si un téléviseur HDMI 2.0 est vendu en tant que HDMI 2.1, l'acheteuse ou l'acheteur ne pourra pas profiter de certaines fonctionnalités sans nul doute désirées lors de l'achat. Par rapport à cela, l'administration des licences HDMI explique de façon assez floue que les fonctionnalités propres au 2.1 sont « totalement facultatives » et qu'il appartient aux constructeurs de préciser la liste de celles prises en charge par l'écran. Il incombera ensuite aux consommateurs de consulter ladite liste afin de vérifier si elle correspond dans son intégralité à ce qu'on attend de la norme 2.1.

Il peut être compréhensible pour l'administration de vouloir homogénéiser les normes HDMI pour ne pas se retrouver avec des hésitations quant à, par exemple, le simple achat d'un câble. En outre, un câble HDMI 2.1 peut se connecter à un téléviseur 2.0 et inversement, il ne sera simplement pas possible de profiter de toutes les fonctionnalités selon la compatibilité.

Mais l'autorisation donnée pour l'affichage d'une norme HDMI 2.1 fantôme risque de porter à confusion bien des personnes, qui penseront pouvoir profiter au maximum de leur nouveau téléviseur et de leur nouvelle console, sans que ce ne soit finalement le cas.

Source : Wcctech

 

REF.:   https://www.clubic.com/television-tv/televiseur/actualite-399498-des-appareils-ne-gerant-que-le-hdmi-2-0-rebadge-en-hdmi-2-1-c-est-autorise-attention-a-ne-pas-vous-faire-pieger.html

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

 

 

Comment bien débuter avec le Terminal de macOS ?

Laurent Mancini
17 décembre 2021 à 16h03

Le système d’exploitation macOS dispose d’une application native nommée Terminal. Celle-ci permet de piloter l’ordinateur, au travers d’une interface textuelle, grâce à des lignes de commandes. Elle est héritée de l’environnement Unix originel, sur lequel sont basés de nombreux OS.

Quiconque s’intéresse un tant soit peu à l’informatique a déjà entendu le terme de « Terminal  ». On le retrouve d’ailleurs, sous la même dénomination, dans les OS Windows ou Linux . Le Terminal confère un gain de temps important. Il est ainsi possible de l’utiliser quotidiennement, avec des commandes basiques. Les utilisateurs avancés peuvent également faire appel à lui pour des tâches plus évoluées. Une fois découvert et pris en main, il devient rapidement indispensable. Le terminal offre un niveau de contrôle absolu sur votre machine. Il est donc essentiel de bien débuter avec cette application.

Comment ouvrir Terminal avec un Mac ?

Terminal est un utilitaire, il est accessible de plusieurs manières. Vous pouvez ainsi passer par le Finder (command+F), l’onglet Applications (shift+command+A), Utilitaires (shift+command+U) ou via le moteur de recherche Spotlight (command+espace). Si vous préférez passer par l’interface graphique, il suffit alors d’utiliser Launchpad (F4). Cet outil permet d’afficher, d’ouvrir et d’organiser les différentes applications installées sur l’ordinateur.

 

Une fois l’application Terminal lancée, il est possible de la conserver sur votre bureau, en faisant un clic droit, puis « Options » et enfin « Garder dans le dock ».

Ne soyez pas surpris par l’aspect rébarbatif de l’interface textuelle

Point de fioritures ici… Le Terminal de commande s’adresse aux pros et vise l’efficacité. Il n’est pas vraiment question d’ergonomie. Cette application ne cherche pas à favoriser « l’expérience utilisateur  ». 

Lors de l’ouverture de l’application, une fenêtre quasiment vide apparaît. Selon l’OS utilisé, un message peut vous mettre en alerte :

The default interactive shell is now zsh.

To update your account to use zsh, please run `chsh -s /bin/zsh`.

En effet, depuis macOS Catlina , zsh est le shell par défaut, au lieu de bash sur les OS antérieurs.

Mais qu’est-ce qu’un shell ?

Ce n’est rien d’autre que le terme anglais pour désigner l’interface système. Le shell représente la partie primaire de votre système d’exploitation. C’est de cette couche logicielle essentielle que découle le reste. Ainsi, on parle de commandes en ligne ou CLI (Commande Line Interface) pour le terminal et de commandes graphiques ou GUI (Graphical User Interface). 

Les utilisateurs novices, se contenteront de connaître ces différents termes. Pour une première prise en main du Terminal, il n’est pas forcément utile d’approfondir cet aspect technique. Les commandes basiques que nous évoquerons par la suite peuvent être utilisées sans crainte, quel que soit votre OS. Celles et ceux qui souhaitent en savoir plus sur le sujet, pourront se référer à cet article du support Apple .

L’usage du Terminal est-il risqué ?

Oui ! Il est impératif d’en avoir conscience. Comme nous l’avons indiqué plus haut, les lignes de commande agissent directement sur la couche primaire du système d’exploitation. Si elles permettent de gagner un temps considérable sur certaines tâches, elles peuvent aussi causer d’importants dégâts. Il est ainsi possible de générer des requêtes en boucle, appelées « bombes à fourche » qui satureront rapidement l’ordinateur. 

Des fichiers systèmes essentiels peuvent également être déplacés ou effacés par mégarde. Il s’agit donc d’être particulièrement attentif lors de manipulations sur le Terminal. Des utilisateurs confirmés peuvent aussi être piégés par malveillance. En effet, les commandes avancées étant parfois très longues, il est tentant de les copier/coller directement dans la console administrateur, sans toujours prendre soin de les relire attentivement.

Heureusement, les commandes administrateurs ne sont pas aisément accessibles. Celles-ci doivent être saisies en mode admin (aussi appelé utilisateur root ou super-utilisateur). Les fans des M. Robot ou Person of Interest seront sans doute familiarisés avec ces termes techniques.

Prise en main du Terminal sur macOS

Le Terminal utilise le thème par défaut de l’ordinateur. Si vous êtes gêné(e) par le fond blanc de la fenêtre du Terminal, il est possible d’en changer. Pour cela, il suffit d’utiliser le menu Shell de l’application, puis de choisir d’ouvrir un nouvel onglet. Vous pourrez alors choisir le thème qui vous conviendra le mieux. D’autres options ou fonctions avancées sont également disponibles et accessibles dans les préférences (command+,). La fenêtre peut être déplacée, agrandie ou réduite, à l’instar des autres applications.

 

Lorsque la fenêtre de travail s’ouvre, un curseur clignotant indique l’attente de commande. Une ligne de commande Terminal se comporte de différentes parties. Elle est exclusivement rédigée en anglais. Les commandes sont instantanément exécutées, dès que vous appuyez sur la touche Entrée. Il convient donc de les relire attentivement avant tout geste inconsidéré.

Les commandes basiques

De nombreuses commandes doivent être complétées par une indication précise. Celle-ci représente le fichier ou le dossier ciblé. Les commandes sont systématiquement séparées par un espace ou un tiret.

Par exemple, pour visualiser le contenu d’un dossier, on écrira :

ls [nom du dossier]

Si on souhaite déplacer un fichier vers un dossier, il faudra procéder de la même façon :

mv [nom du fichier origine] /home/Utilisateur/Bureau/[nom du dossier cible]

Une petite astuce mérite d’être signalée ici : pour éviter de taper l’intégralité du chemin souhaité, il est possible de glisser le fichier directement vers la fenêtre du Terminal. On peut aussi copier (command+C) le dossier ou le fichier voulu, puis le coller (command+V). En lançant le Terminal, on démarre la session en étant sur le répertoire de travail /[utilisateurs]/[nom de l’utilisateur].

Les chemins d'accès

Les chemins d’accès sont de forme absolue ou relative.

  • Un chemin absolu débute à la racine de notre disque dur. Il ne dépend pas du répertoire courant.
  • À l’inverse, un chemin relatif est défini par l’endroit à partir duquel nous naviguons. Il est symbolisé par « ./. »

Une application peut être ouverte à l’aide de la commande :

Open -a [nom de l’application]

La navigation entre les lignes se fait à l’aide des touches fléchées. Comme indiqué précédemment, un appui sur la touche Entrée déclenche l’ordre.

Naviguer dans les dossiers

Pour se déplacer au sein des différents dossiers et répertoires il faut utiliser la fonction cd. Ainsi, cd.. vous fait remonter d’un niveau, tandis que cd / vous fait remonter à la racine de l’arborescence. Attention, car les différentes lignes de commande agissent sur le répertoire courant… Vous êtes perdu(e) ? Pas de panique : la commande pwd vous indique où vous vous situez dans l’arborescence.

Ceci peut paraître un peu compliqué, mais une fois le principe saisi, vous gagnerez un temps considérable. En cas d’erreur les messages à caractère informatif « command not found », « no such file or directory exist » apparaîtront. Ils sont sans conséquence sur l’intégrité de votre système. Il vous suffira de ré-écrire votre ligne de commande, en veillant au respect des espaces, de la casse des caractères et des tirets. Il faudra aussi vérifier la conformité des ordres lancés et des chemins renseignés.

Certaines commandes déclencheront l’apparition d’un processus. Plusieurs lignes apparaîtront alors, avec parfois un pourcentage indiquant l’avancée de l’ordre donné. D’autres, au contraire, ne paraîtront avoir aucun impact. Une nouvelle ligne surgira, avec un curseur clignotant, indiquant l’attente d’une action de votre part. Pourtant, la commande aura bien été exécutée.

Les différents ordres disponibles correspondent en majorité à des abréviations anglaises. Vous trouvez ainsi par exemple les commandes mkdir pour Make Directory ou cd pour Change Directory.

Si vous souhaitez aller plus loin

Le Terminal donne directement accès aux entrailles de votre ordinateur. Il s’agit donc d’utiliser cet outil puissant avec précaution. Une fois aguerri(e) avec les commandes basiques, vous pourrez envisager d’exploiter tout son potentiel.

Vous pourrez intervenir sur votre réseau domestique ou écrire vos propres scripts pour automatiser certaines tâches. Il est aussi possible d’utiliser plus finement le Terminal.

Si vous utilisez la commande ls pour visualiser le contenu d’un dossier par exemple, il est possible de lui adjoindre des attributs complémentaires.

L’option -i permettra de visualiser les détails des fichiers, leurs tailles, protections éventuelles et de nombreuses autres informations.

L’option -a rendra visible les fichiers cachés.

Vous pourrez aussi créer de nouveaux répertoires en utilisant la commande

mkdir [nom du répertoire].


Plus de 1400 commandes sont aujourd’hui répertoriées. Il est d’ailleurs possible de les afficher sur un Terminal actif, en appuyant deux fois sur la touche escape (esc).

Les usages du Terminal n’ont quasiment aucune limite. On peut télécharger des fichiers depuis une url, modifier les paramètres et préférences systèmes ou supprimer des dossiers. 

C’est un outil puissant, qui se maîtrise petit à petit…

 

REF.:   https://www.clubic.com/pro/entreprises/apple/dossier-397719-comment-bien-debuter-avec-le-terminal-de-macos.html