Une Électrolyste passionnée ,J'aime sa vie !
Et qui aime la vie !
Une Électrolyste passionnée ,J'aime sa vie !
Et qui aime la vie !
@Korben —
Inspiré du projet In-Home-Switching et SkyNX, ce projet dispo sur Github va vous permettre de jouer à des jeux PC à partir de votre Nintendo Switch.
Alors non, vous n’allez pas installer le jeu sur la Switch. Il s’agit là plutôt de « remote gaming », c’est-à-dire de jeu à distance avec une application Streamer / Client qui s’installe à la fois sur le PC et à la fois sur la console (crackée évidemment).
Le logiciel qui va vous permettre de jouer sur votre PC au travers de la Nintendo Switch s’appelle Switch Remote Play. Cela streame la vidéo, l’audio, connecte automatiquement le PC et la Switch, se reconnecte également si besoin et le jeu reste dispo même après une sortie de veille de la console.
L’application Serveur est dispo pour Windows, mais il y a également un portage pour Mac pour les courageux qui savent compiler des projets macOS.
REF.: https://korben.info/jouer-jeu-pc-switch.html
Nouvelle percée sur l’alzheimer
Une étude pourrait aider le traitement de la maladie
Le 30 oct. 2021
WASHINGTON | (AFP) Une nouvelle étude sur le déclin cognitif des personnes atteintes d’alzheimer pourrait dorénavant influencer la façon dont on traite la maladie.
Des amas de protéines toxiques, qu’on pense responsables du déclin cognitif associé à la maladie d’alzheimer, atteignent différentes zones du cerveau et s’y accumulent au fil des décennies, selon un article publié hier dans Science advances.
L’étude est la première à utiliser des données humaines pour quantifier la vitesse des processus moléculaires menant à cette maladie neurodégénérative, et pourrait influencer la façon dont les traitements sont conçus.
Elle bouleverse également la théorie selon laquelle les amas se forment à un seul endroit et déclenchent une réaction en chaîne dans d’autres zones, un schéma constaté chez la souris.
400 ÉCHANTILLONS DE CERVEAU
« Deux éléments ont rendu ce travail possible », explique à L’AFP Georg Meisl, chimiste à l’université de Cambridge et l’un des auteurs principaux de l’article.
« D’abord l’étude de données très détaillées venant de Tep-scan [un type d’examen par imagerie médicale, NLDR] et de divers ensembles de données rassemblés, et les modèles mathématiques qui ont été développés au cours des dix dernières années. »
« D’abord l’étude de données très détaillées venant de Tep-scan [un type d’examen par imagerie médicale, NLDR] et de divers ensembles de données rassemblés, et les modèles mathématiques qui ont été développés au cours des dix dernières années. »
Les chercheurs ont utilisé 400 échantillons de cerveau prélevés après la mort de personnes atteintes d’alzheimer et 100 Tep-scan effectués sur des personnes qui vivent avec la maladie pour suivre l’agrégation de protéine tau.
Cette dernière et une autre protéine appelée bêta-amyloïde s’accumulent, provoquant la mort des cellules cérébrales ainsi qu’un rétrécissement du cerveau.
Cela cause notamment des pertes de mémoire et une incapacité à accomplir des tâches quotidiennes. Cette maladie est un des principaux problèmes de santé publique et touche plus de 40 millions de personnes dans le monde.
CINQ ANS POUR DOUBLER
Les chercheurs ont aussi découvert que cinq ans étaient nécessaires aux agrégats pour que leur nombre double. C’est un chiffre « encourageant », selon Georg Meisl, car il montre que les neurones sont déjà capables de combattre les agrégats.
Les chercheurs ont aussi découvert que cinq ans étaient nécessaires aux agrégats pour que leur nombre double. C’est un chiffre « encourageant », selon Georg Meisl, car il montre que les neurones sont déjà capables de combattre les agrégats.
« Peut-être que si nous parvenons à les améliorer un peu, nous pourrons retarder considérablement l’apparition de la maladie grave. »
La maladie d’alzheimer est classifiée en suivant les « stades de Braak », et les scientifiques ont découvert qu’il fallait environ 35 ans pour passer du stade 3, où des symptômes légers apparaissent, au stade 6, le plus avancé.
Les agrégats suivent une croissance exponentielle, ce qui explique « pourquoi la maladie met si longtemps à se développer, et pourquoi l’état des personnes a tendance à s’aggraver rapidement », selon Georg Meisl.
L’équipe veut appliquer les mêmes méthodes pour étudier les lésions cérébrales traumatiques et la démence fronto-temporale, dans laquelle la protéine tau joue aussi un rôle.
REF.: https://www.pressreader.com/canada/le-journal-de-quebec/20211030/281792812245141
@Korben —
Hello, je ne vais pas revenir en détails sur le fonctionnement du DNS over HTTPS puisque j’ai déjà mis en ligne 2 merveilleux articles sur le sujet :
Mais pour résumer, il s’agit simplement de chiffrer vos requêtes DNS pour plus de confidentialité.
Dans le cadre de mon Patreon, j’ai mis en ligne il y a quelques semaines une vidéo qui explique comment activer le DNS over HTTPS (DoH) directement sous Windows 11. Aujourd’hui, est venu le moment de la rendre publique.
C’est super simple et je vous recommande vivement de le faire.
REF.: https://korben.info/dns-over-https-windows-11-doh.html?fbclid=IwAR0YXQN1NKVJ89Nl2SGLPpcohY5tTieh_eTts_n6dFL-B431ZFpLLJxZauM
Il prend sa revanche en mettant hors service tout le réseau Internet de la Corée du Nord
Parce qu’il s’est fait pirater par la Corée du Nord, un informaticien habile a pris une solide revanche en mettant hors service tout le réseau Internet de l’État-voyou. Rien de moins!
Pirate indépendant au nom de code P4x, il a lui-même été piraté il y a un an par des agents nord-coréens qui visaient des chercheurs en sécurité occidentaux. Ces espions voulaient voler des logiciels de piratage et des informations sur les vulnérabilités des logiciels.
Bien que ces espions n’ont pu lui subtiliser quoi que ce soit, il s’est senti profondément troublé d’avoir été visé par des pirates parrainés par un État-voyou comme la Corée du Nord et aussi par le manque de soutien du gouvernement américain.
Un an plus tard, se disant que si on ne faisait rien, les pirates allaient poursuivre les attaques. P4x ne prit les choses en main avec rien de moins que l’objectif de faire tomber tout le réseau nord-coréen! «Je veux qu'ils comprennent que si vous vous en prenez à nous, cela signifie qu'une partie de votre infrastructure va tomber pour un moment», dit-il au magazine Wired.
À partir de vulnérabilités non corrigées dans les systèmes nord-coréens, P4x a trouvé le moyen de mettre à genoux les réseaux et serveurs de l’État-voyou. Comment? Par une cyberattaque somme toute très classique par déni de service (DDoS) qui submerge de requêtes les systèmes informatiques d’une organisation ou d’un pays afin de le rendre inopérant et d’en bloquer l’accès aux utilisateurs.
Sans révéler publiquement toutes les vulnérabilités exploitées, il a indiqué à titre d’exemple un bogue connu du logiciel de serveur Web NginX qui gère mal les en-têtes d’adresses http, lequel a servi à inonder de requêtes les serveurs.
Fait intéressant, on apprend par P4x que le système d’exploitation du pays, connu sous le nom de Red Star OS, n’est rien d’autre qu’une ancienne version du système Linux probablement vulnérable.
P4x qui exécute des simulations d’attaques pour tester la solidité des réseaux de ses clients précise que sa cyberattaque menée en Corée du Nord fut un test de pénétration réseau moyennement facile, toujours selon le magazine Wired.
Résultat du piratage, presque tous les sites Web nord-coréens étaient hors service et seuls ceux situés en dehors du pays n’ont pas été affectés, comme le site d'informations Uriminzokkiri.com.
Le chercheur en cybersécurité, Junade Ali, qui surveille les réseaux nord-coréens a confirmé les mystérieuses attaques à grande échelle sur les réseaux du pays, et ce sans savoir la moindre idée de qui les menait. Il a vu d’importants routeurs tomber en cascade au point de fermer l’accès Web, mais aussi les messageries : «une panne totale d’Internet affectant tout le pays». P4x précise que sa cyberattaque n’a pas coupé l’accès sortant des Nord-Coréens au reste d’Internet.
Si l’exploit technique est bien réel, surtout pour un seul pirate anonyme, sur l’ensemble du pays, il faut quand même relativiser cette panne d’Internet où seule une petite minorité a accès à des ordinateurs connectés à Internet, souligne le chercheur Martyn Williams, du projet 38 North. Il précise que la population n’a accès qu’à l’intranet déconnecté du pays et que la cyberattaque n’a mis hors service que les serveurs surtout utilisés pour la propagande et les autres fonctions destinées à un public international.
P4x confirme cela en disant qu’il n’avait pas l’intention de cibler la population du pays, mais autant que possible le gouvernement.
L’expert P4x a maintenant l'intention d'essayer de pirater plus à fond les systèmes nord-coréens, dit-il, pour voler des informations et les partager avec des experts. En même temps, il espère recruter d'autres hacktivistes pour sa cause grâce à un site Web obscur appelé Projet FUNK, c'est-à-dire "FU North Korea" (inutile de traduire), dans l'espoir de générer une plus grande force de frappe collective.
REF.: https://www.journaldemontreal.com/2022/02/08/il-prend-sa-revanche-en-mettant-hors-service-tout-le-reseau-internet-de-la-coree-du-nord