lundi 17 juillet 2023
vendredi 14 juillet 2023
Implanter des puces électroniques dans le corps des prisonniers de Guantanamo ?
Implanter des puces électroniques dans le corps des prisonniers de Guantanamo ?
Lors d'une réunion en mars 2009, Abdallah a vivement salué le leadership du Président Obama, tout en critiquant la pratique américaine instaurée sous Bush et poursuivie sous Obama, consistant a libérer certains prisonniers détenus à Guantánamo.
Abdalah craignait notamment que certains détenus libérés cherchent a rejoindre al-Qaida, même s'ils n'avaient jamais mené aucune intervention terroriste avant leur capture. Il a donc suggéré de suivre leurs mouvements : « Vous n'avez qu'à leur implanter des puces électroniques dans le corps et les suivre par Bluetooth, a déclaré le monarque octogénaire avec un regard satisfait sur son visage.(ndlr. faut lire entre les lignes cet extrait du Livre de l'ancien de la CIA qui a été censurer avant sa publication)
Nous le faisons tout le temps avec nos chevaux, nos chameaux et nos faucons afin de pouvoir les retrouver si jamais ils s'enfuient dans le désert. » Un peu surpris, j'ai répondu avec la première idée qui m'est venue à l'esprit. « Eh bien, les détenus de Guantánamo ont de meilleurs avocats que vos chevaux, vos chameaux et vos faucons, et donc nous ne pouvons pas leur implanter de puces électroniques dans le corps. » Abdallah s'est contenté de sourire.(ça veut tout dire donc, pour un arabe)
Dans plusieurs de nos réunions, Abdallah s'est exprimé avec colère au sujet d'Oussama ben Laden et d'al-Qaida. « Ils ne sont pas Musulmans: Ce sont des hérétiques, des meurtriers !», disait-il.
Nota:Si ça existe au niveau de la CIA , ce serait déjà expérimenté avec une technologie meilleure que le Bluetooth (les neurorobots ? qui saient?)sur les Seals ou les NOC (Non-Official cover operative)(agents secrets non officiellement reconnu par l’état) ou tout autres agents secrets ou taupes des agences NSA,CIA etc pour les reconnaître et aussi pour récupérer leurs corps afin de les identifiers plus rapidement à distance(comme des militaires en missions secrètes, morts en missions)!
REF.: extrait du Livre: Diriger la CIA, mon combat contre le terrorisme. par John O. Brennan
lundi 10 juillet 2023
Les "polluants éternels" dans 45% de l'eau des robinets américains
Les "polluants éternels" dans 45% de l'eau des robinets américains
Au moins 45% de l'eau des robinets aux Etats-Unis est contaminée aux PFAS, surnommés les "polluants éternels", selon une vaste étude d'une agence gouvernementale américaine, qui pointe vers des contaminations encore plus élevées dans les zones urbaines.
Les perfluorés et polyfluoroalkylés (PFAS) sont une famille de composés chimiques de synthèse nocifs pour la santé, qui selon des études peuvent être liés à certains cancers ou d'autres maladies.En gros, c’est une famille de plusieurs milliers de composés chimiques qui sont utilisés comme antiadhésifs, imperméabilisants ou antitaches. Ils sont aussi connus pour leur résistance aux flammes. On en retrouve dans les poêles antiadhésives, des produits cosmétiques, des emballages alimentaires, des vêtements, des meubles et nombre d’autres produits d’utilisation courante.
Ces polluants, qui doivent leur surnom d'"éternels" à leur cycle de vie très long, peuvent se retrouver dans des rejets industriels et des sites d'enfouissement et ainsi contaminer différentes sources d'eau. En cas d'exposition sur une longue période, ils peuvent s'accumuler dans le corps humain.
De quels problèmes s’agit-il ? C’est sérieux ?
La liste est longue. Les PFAS peuvent endommager le foie, les reins, la glande thyroïde, le système immunitaire et le système nerveux. Ils peuvent aussi affecter le poids corporel, la reproduction et le développement.
"L'étude de l'Institut géologique américain (USGS) est la première à comparer à l'échelle d'un pays entier la présence de PFAS dans l'eau distribuée à la fois par des fournisseurs privés et publics", a déclaré vendredi à l'AFP Kelly Smalling, autrice principale de l'étude.
Dans son étude, publiée cette semaine dans la revue Environment International, l'USGS estime à 75% la possibilité de trouver des PFAS dans l'eau dans les zones urbaines contre 25% dans les zones rurales.
"Les scientifiques de l'USGS ont testé des échantillons d'eau collectée directement des robinets dans les cuisines à travers le pays", a indiqué Kelly Smalling, chercheuse à l'USGS.
"Les concentrations en PFAS des réserves publiques et des puits privés étaient similaires", a-t-elle ajouté précisant que les recherches s'étaient concentrées sur 32 types de PFAS, sur plus de 12.000, dont certains ne sont pas détectables par les technologies actuelles.
L'équipe de chercheurs a collecté des échantillons à plus de 700 endroits représentatifs.
Les risques d'exposition étaient plus forts sur les côtes est et ouest américaines, ainsi que dans la région des grands lacs au nord-est.
- Filtres recommandés -
Les autorités américaines ont annoncé en mars l'instauration de normes pour limiter les niveaux de pollution de certains PFAS dans l'eau courante.
L'agence américaine de protection de l'environnement (EPA) note que l'installation de filtres sur les robinets peut se révéler efficace.
Boire de l'eau en bouteille n'est en revanche pas forcément une solution, une autre étude de l'USGS en 2022 ayant montré qu'elle pouvait contenir des composés nocifs, comme du plomb, de l'arsenic ou de l'uranium.
Le groupe américain 3M, déjà mis en cause notamment en Belgique et aux Pays-Bas, a annoncé le mois dernier qu'il verserait jusqu'à 12,5 milliards de dollars pour mettre fin aux poursuites engagées aux Etats-Unis par plusieurs réseaux publics de distribution d'eau potable pour la contamination par les PFAS.
L'entreprise a dit prévoir d'arrêter d'ici fin 2025 la production de ces polluants.
Trois autres groupes américains, Chemours, DuPont et Corteva, ont conclu en juin un accord de près de 1,2 milliard de dollars, afin d'éviter des poursuites pour la contamination de l'eau potable aux Etats-Unis par des PFAS.
Tout ça est terrifiant. Mais que font nos gouvernements ?
Santé Canada et Environnement Canada viennent de proposer d’inscrire les PFAS sur la liste des produits toxiques en vertu de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement. « En raison de l’utilisation répandue des PFAS et de l’omniprésence de ces substances dans l’environnement, les humains sont continuellement exposés à de multiples PFAS, ce qui pourrait causer des effets négatifs préoccupants », concluait d’ailleurs un rapport du gouvernement fédéral dévoilé en mai dernier. Une fois que ces composés chimiques seraient sur cette liste, leur utilisation pourrait ensuite être revue par Ottawa. De son côté, l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis (EPA) veut faire adopter une réglementation qui serait parmi les plus sévères au monde.
Et au Québec ?
Une étude québécoise dirigée par le professeur de chimie environnementale de l’Université de Montréal Sébastien Sauvé a permis d’établir que l’eau potable de presque toutes les municipalités au Québec avait des traces de PFAS. Les prélèvements à Saint-Donat, dans Lanaudière, et à Val-d’Or, en Abitibi, ont montré des taux « très élevés », selon les scientifiques. « Depuis une dizaine d’années, on a revu les seuils de toxicité [des PFAS]. Ce qu’on pensait être relativement sécuritaire ne l’est plus plus », souligne Sébastien Sauvé, précisant que ces seuils sont maintenant 1 million de fois plus bas que ceux proposés il y a 10 ans.
Les résultats de Saint-Donat montrent la présence d’un total de 68 à 82 nanogrammes/litre (ng/L) de PFAS par échantillon.
À Val-d’Or, les échantillons varient de 35 à 171 ng/L.
Il n’existe aucune norme au Québec sur la présence de PFAS dans l'eau. Toutefois, le 7 février 2023, Santé Canada a proposé un nouveau seuil. L’agence canadienne prône une approche de précaution, car elle n'a pas de détails sur l'occurrence et la gravité des effets des PFAS sur la santé.
Il est proposé de fixer à 30 ng/L l'objectif pour la somme des concentrations de PFAS totales détectées dans l'eau potable
,
a indiqué Santé Canada dans le document qui fait l’objet de
consultation jusqu’au 12 avril. Une nouvelle recommandation officielle
sera ensuite établie.
Les échantillons de Saint-Donat dépasseraient donc de plus du double cette proposition si elle était adoptée. À Val-d’Or, la concentration d’un des échantillons serait presque six fois plus élevée. Deux autres municipalités excèdent cette proposition : Sainte-Adèle, dans les Laurentides, et Sainte-Cécile-de-Milton, en Estrie. Leurs taux varient entre 30 et 36 ng/L.
D’où proviennent les PFAS à Saint-Donat et à Val-d’Or?
La signature chimique des échantillons d’eau prélevés à Saint-Donat permet d’émettre des hypothèses sur la source de contamination.
Selon le chercheur Sauvé, l’utilisation de mousse extinctrice lors d’incendies serait en cause. La contamination viendrait du site d'enfouissement, mais probablement plus des mousses qui ont été ajoutées sur le site.
Une étude hydrogéologique serait nécessaire pour en avoir le cœur net. La Municipalité tente d’en savoir plus sur cette piste.
Les
concentrations de PFAS dans l'environnement pourraient être plus
importantes dans les zones avoisinant les installations qui utilisent de
grandes quantités de ces produits chimiques et près des endroits où les
mousses extinctrices contenant des PFAS ont été utilisées pour éteindre
des incendies.
Source : Santé Canada
REF.: https://fr.news.yahoo.com/polluants-%C3%A9ternels-45-leau-robinets-070806046.html?guccounter=1
https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/2023-07-03/famille-chimique-des-pfas/les-polluants-eternels-dans-la-mire-de-nombreux-etats.php
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1959068/contaminants-eternels-eau-potable-villes-quebecoises
mercredi 5 juillet 2023
LES ROUAGES DE L'HORLOGE BIOLOGIQUE/protéine clock
LES ROUAGES DE L'HORLOGE BIOLOGIQUE/protéine clock
Tous les organismes vivant sur la Terre, y compris l’être humain, sont le fruit d’une longue évolution. Or cette évolution est depuis toujours soumise au rythme du jour et de la nuit causé par la rotation de la Terre sur elle-même.
Il était donc prévisible que quelque chose ait évolué dans notre organisme pour coordonner ses grandes fonctions avec les différents moments de la journée. La vigilance, la température corporelle ou la sécrétion de certaines hormones gagne en effet à être ajustée selon qu'il fait jour ou qu'il fait nuit.
Les premiers indices d’une telle « horloge biologique » sont venues des études de volontaires qui sont restés plusieurs semaines coupés de tout indicateur du jour et de la nuit (souvent en campant dans des grottes). Or dans ces conditions, un rythme d’environ 24 heures persiste tant dans les comportements que dans les paramètres physiologiques de ces individus.
Des variations cycliques se maintiennent même à l’intérieur de cellules du corps humain isolées dans un milieu de culture soumis à un éclairage constant. L’activité de certains gènes et la sécrétion de certaines substances continuent de fluctuer selon un rythme de plus ou moins 24 heures.
Notre horloge biologique réside donc au cœur même de nos cellules et ses rouages ne sont pas faits de ressorts et de roues dentelées, mais bien de molécules. Lesquelles, et comment interagissent-elles pour maintenir des cycles de 24 heures ? Difficile question qu’on n’a commencé à répondre qu’au début des années 1970 avec la découverte chez la mouche drosophile du premier gènes impliqué dans l’horloge biologique.
Difficulté d’autant plus grande qu’on s’est rendu compte que chaque espèce possède des variantes qui lui sont propres. L’horloge biologique humaine possède par exemple certaines molécules qui sont les mêmes que l’horloge biologique de la mouche drosophile, mais aussi d’autres qui lui sont propres. Mais dans tous les cas, l’horloge fonctionne grâce à ce qu’on appelle couramment une boucle de rétroaction négative.
Le point de départ de cette boucle, ce sont des gènes, donc des bouts d’ADN qui fournissent les plans pour fabriquer des protéines. Ces plans sont transmis du gène au cytoplasme, lieu de production des protéines, par une molécule appelée ARN messager (ou ARNm). Mais alors que la plupart des protéines demeurent habituellement dans le cytoplasme où elles remplissent différentes fonctions (on les appellent parfois « les briques du vivant »), celles qui sont impliquées dans notre horloge biologique retournent dans le noyau où se trouvent l’ADN et se fixent sur le gène qui les a produites. Ce faisant, elles arrêtent l’activité de leur propre gène. Moins de protéines sont alors fabriquées, si bien qu’à un moment donné, il n’y a plus assez de protéines qui retournent dans le noyau pour empêcher leur production et celle-ci reprend. Environ 24 heures se sont alors écoulées. Les protéines commencent ensuite à s’accumuler à nouveau, initiant du même coup un nouveau cycle.
REF.: https://lecerveau.mcgill.ca/flash/d/d_11/d_11_m/d_11_m_hor/d_11_m_hor.html
Comment la protéine Clock rythme notre biologieL'horloge
biologique régule les fonctions physiologiques et le comportement de la
plupart des organismes vivants, en général sur un rythme jour/nuit dit
circadien. Son dérèglement peut entraîner chez l'être humain des
maladies et des syndromes tels que les troubles du sommeil. Les derniers
résultats de l'équipe de Paolo Sassone-Corsi de l'Institut de génétique
et biologie moléculaire et cellulaire (1), publiés dans Cell le 5 mai
2006, montrent que la protéine Clock, élément central du contrôle de
l'horloge circadienne, possède une activité enzymatique qui modifie le
compactage de l'ADN et donc l'accessibilité des gènes. C'est la première
fois qu'un lien direct est établi entre l'horloge biologique et le mode
de régulation de l'expression des gènes par compactage de l'ADN. Cela vous intéressera aussi L'horloge
circadienne permet d'anticiper les variations journalières des
conditions environnementales selon un rythme de 24h, en alternance
jour/nuit. L'horloge centrale des mammifères est située dans l'hypothalamus
antérieur. Les recherches de différentes équipes, dont celle de Paolo
Sassone-Corsi, ont montré qu'il existe des horloges périphériques dans
divers tissus et même dans chaque cellule. Les mécanismes moléculaires responsables de l'établissement et du maintien des rythmes biologiques ont commencé à être mis au jour. Chez tous les organismes étudiés, ces mécanismes sont contrôlés par différents facteurs dont le principal est la protéine Clock, codée par les gènes du même nom. Cette protéine est un facteur de contrôle de l'expression des gènes. Elle participe à des mécanismes de régulation en boucle qui sont à la base du fonctionnement de l'horloge circadienne. L'équipe de Paolo Sassone-Corsi vient de montrer que la protéine Clock possède également une activité enzymatique qui peut modifier le degré de compaction de l'ADN au sein de la cellule et de ce fait l'accessibilité des gènes et leur expression (2). Clock induit ainsi un remodelage de l'ADN au niveau des gènes contrôlés par l'horloge circadienne et régule leur expression. Clock relie donc rythme biologique et expression des gènes via le compactage de l'ADN. Le fait que cette protéine soit une enzyme a de multiples implications physiologiques. Son activité, et donc son action sur l'ADN, peut être régulée par le métabolisme cellulaire ainsi que par différentes voies de signalisation cellulaire activées par les facteurs de croissance, les hormones ou les neurotransmetteurs. Les
chercheurs vont maintenant s'intéresser à d'éventuels liens entre
l'activité enzymatique de Clock et la division cellulaire. On sait en effet que dans le cas de maladies comme le cancer,
les traitements, qui agissent principalement sur la division
cellulaire, semblent être dépendants des rythmes biologiques, étant plus
efficaces à certains moments de la journée. Clock pourrait être un élément essentiel de ce lien entre chronobiologie et division cellulaire. Notes : REF.: https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/vie-proteine-clock-rythme-notre-biologie-8857/ Références : |
Comment télécharger des cartes sur Google Maps pour économiser des données mobiles en voyage
Comment télécharger des cartes sur Google Maps pour économiser des données mobiles en voyage
Est-ce que je peux utiliser Google Maps sans internet? Oui! Évitez de payer inutilement pour des données mobiles en itinérance lors de votre prochain voyage. On vous explique comment se servir de Google Maps hors connexion en téléchargeant les cartes à partir de l’application Google Maps sur téléphone Android ou iPhone.
Lorsqu'on visite une ville étrangère ou un pays étranger, Google Maps peut s'avérer vraiment pratique pour éviter de tourner en rond pendant des heures et retrouver son chemin.
Mais qui dit voyage dit aussi frais d'itinérance, notamment pour utiliser le Web sur notre téléphone et profiter d'applications comme Google Maps dans un endroit où il n'y a pas de réseau Wi-Fi disponible.
On pourrait notamment se tourner vers une eSIM pour profiter de notre téléphone en voyage sans payer des sommes folles. Mais un des trucs pour réduire sa consommation de données en voyage est de télécharger nos cartes Google Maps.
Utiliser Google Map hors ligne, en français, pour ses trajets GPS
À travers l'application Google Maps, il est possible de télécharger sur au préalable sur son smartphone les cartes du pays ou la région que l'on visite.
Ceci fonctionne autant sur iPhone que sur téléphone Android.
En téléchargeant au préalable nos cartes sur l’application Google Maps, non seulement pouvons-nous les consulter sans connexion internet, mais Google peut même nous guider via la navigation GPS à travers l’accéléromètre de notre téléphone.
On peut donc marcher ou conduire et l’application sera en mesure de nous situer (à quelques mètres près) sur la carte sans que nous ayons de réseau internet!
Étapes pour télécharger et enregistrer des cartes sur l’application Google Maps
Ainsi, pour télécharger des cartes à partir de l’application Google Maps sur son téléphone Android ou iPhone, il faut:
Ouvrir l’application Google Maps
Taper la ville ou le pays qu’on va visiter
Appuyer sur sa photo de profil dans le coin supérieur droit
Sélectionner l’option: Cartes hors ligne
Appuyer sur: Sélectionnez votre propre carte
Ajuster la dimension de la carte que l’on veut
Appuyer sur: Télécharger
REF.: https://francoischarron.com/sur-le-web/trucs-conseils/comment-telecharger-des-cartes-sur-google-maps-pour-economiser-des-donnees-mobiles-en-voyage/IG6pPSwUGV/