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vendredi 1 mars 2024

Voici l'astuce toute simple pour utiliser Windows sans compte Microsoft - même Elon Musk ne la connaît pas

 Voici l'astuce toute simple pour utiliser Windows sans compte Microsoft - même Elon Musk ne la connaît pas


Par: Téo Marciano

26/02/24 11:13

Dans un tweet indigné, Elon Musk s'étonne de devoir créer un compte Microsoft pour pouvoir utiliser Windows sur son nouveau PC. Le célèbre milliardaire ne connaît visiblement l'astuce toute simple pour contourner cette obligation.


Elon Musk, l'exubérant patron de Tesla et SpaceX, est un habitué des coups de gueule et de sang sur les réseaux sociaux, réseaux sur lesquels il ne manque jamais une occasion de faire connaître son opinion ou son mécontentement. Sur sa plateforme préférée, X (ex-Twitter, qu'il a rachetée en 2022 avant de la rebaptiser), la magnat des nouvelles technologies vient justement de pester contre Windows. Dans un billet publié le 25 février 2024, le milliardaire raconte qu'après avoir acheté un nouveau PC, il a découvert à sa grande surprise qu'il devait créer un compte Microsoft pour pouvoir l'utiliser, en demandant au passage si c'était le cas pour tout le monde.




Une surprise  étonnante dans la mesure où cette exigence n'est pas nouvelle. En effet, depuis plusieurs années déjà, Microsoft impose de créer un compte pour utiliser son système d'exploitation. Et de préférence un compte Microsoft. Lors du premier démarrage d'un nouveau PC ou de la réinstallation de Windows, l'assistant de configuration demande ainsi de se connecter à un compte Microsoft existant ou d'en créer un, sans proposer d'autre option pour poursuivre le processus. Certes, l'utilisation d'un compte Microsoft offre de nombreux avantages comme un espace de stockage en ligne gratuit sur OneDrive, le partage de données et de fichiers entre plusieurs appareils ou encore l'accès aux versions gratuites de Word, Excel et PowerPoint. Mais cette obligation n'est pas du goût de tout le monde, d'autant que la connexion à un compte Microsoft permet à l'entreprise de pister ses utilisateurs à travers leurs différents appareils et leurs activités.



Il existe pourtant une astuce très simple permettant de contourner cette contrainte pour utiliser Windows, qu'Elon semble ne pas connaître (ou feint de ne pas connaître). Si certains recommandent de déconnecter son ordinateur d'Internet lors de l'installation de Windows, cette façon de procéder n'est pas pratique car il n'est pas facile de désactiver la carte Wi-Fi intégrée à un ordinateur portable, par exemple. Une méthode beaucoup plus simple consiste à se connecter avec un compte Microsoft... qui n'existe pas ! Durant le processus de configuration de Windows, lorsque vous arrivez sur l'écran "Ajoutez votre compte Microsoft", saisissez simplement une adresse inexistante, comme 0@0.com, et un mot de passe tout aussi inexistant, tel que 0. Lorsque vous cliquerez sur le bouton Suivant, un message vous dira qu'une erreur est survenue… et vous proposera de continuer en utilisant un compte local ! Il nous vous restera alors plus qu'à choisir un nom d'utilisateur, un mot de passe pour ouvrir Windows et trois questions secrètes auxquelles répondre en cas d'oubli de votre mot de passe.



Bien que cette astuce soit d'une facilité déconcertante, on peut regretter que Microsoft ne propose plus d'option explicite pour installer Windows avec un compte local en cherche à forcer la main aux utilisateurs pour se connecter avec un compte en ligne. Cette stratégie pour rendre ses clients captifs de son écosystème n'est pas venue de nulle part. Elle s'inspire directement des pratiques d'un autre acteur majeur : Apple. La marque à la pomme croquée impose en effet depuis des lustres l'utilisation d'un compte Apple pour utiliser ses ordinateurs, sans que cette obligation ne soulève aucune protestation parmi ses aficionados. Une différence de perception étonnante, que certains justifieront peut-être par la gestion des données personnelles prétendument vertueuse d'Apple, mais qui rappelle surtout qu'avec un marketing savamment travaillé, une politique de rétention des utilisateurs finit paraître acceptable.


REF.: https://www.commentcamarche.net/

Google Messages avec Gemini : l'IA arrive dans l'appli de messagerie

 Google Messages avec Gemini : l'IA arrive dans l'appli de messagerie


Par: Maurine Briantais

26/02/24 14:32

Google est bien décidé à mettre de l'IA partout ! Y compris dans Google Messages, son appli de messagerie, qui intégrera bientôt son chatbot Gemini pour rédiger des messages et vous aidez à ajuster le ton de vos discussions.


Avec l'intégration de Gemini Pro, un des plus puissants grands modèles de langage (LLM) de l'entreprise, dans son IA il y a quelques semaines, Google a décidé de renommer son chatbot Bard en Gemini afin de clarifier ses services (voir notre article). Course de l'intelligence artificielle oblige, le géant de Mountain View compte intégrer Gemini à l'ensemble de ses outils et services, que ce soit sur mobile, sur des objets connectés ou même en ligne. Depuis plusieurs semaines, des rumeurs circulent comme quoi l'entreprise allait l'intégrer à Google Messages, sa messagerie instantanée prenant en charge les SMS, MMS et le RCS. Lors du MWC 2024 de Barcelone, elle a confirmé officiellement que son déploiement avait commencé. Ainsi, l'IA vous aidera à "rédiger des messages, réfléchir à des idées, planifier des événements ou simplement avoir une conversation amusante".


Gemini dans Google Messages : un assistant à portée de doigts

"Vous pouvez discuter avec Gemini dans l'application Google Messages pour rédiger des messages, réfléchir à des idées, planifier des événements ou simplement avoir une conversation amusante", peut-on lire sur la page de support. Plus globalement, l'outil devrait être en mesure de réaliser ce que font les assistants IA qui sont poussés par l'intelligence artificielle générative. En plus d'offrir une aide à l'écriture, Google Gemini se nourrira des images que vous lui proposerez, mais il ne pourra pour l'instant pas vous en générer de nouvelles – étant donné les dernières polémiques sur les nazis noirs et autres représentations historiques erronées, ce n'est peut-être pas plus mal.




Nos confrères de 9to5google avaient pu avoir un aperçu de l'intégration du chatbot, lorsqu'il s'appelait encore Bard. D'après l'APK – une collection de fichiers pour Android ("package") assemblés et compressés sous la forme d'une archive au format ZIP – sur lequel ils étaient parvenus à mettre la main, il vous suffira, pour converser avec l'IA, de lancer la discussion avec le contact présent dans votre liste des conversations. Gemini devrait en effet apparaître lorsque vous cliquerez sur "Nouvelle conversation". Il s'affichera alors comme un chat autonome avec le logo et le nom de Gemini. Car, oui, Google semble avoir misé sur la simplicité pour cette prochaine mise à jour. Quoi de mieux que de discuter avec un assistant accessible au même endroit que toutes les autres conversations ?


Attention cependant, cette discussion ne sera pas protégée de la même manière par le géant de Mountain View. Si les échanges avec vos proches sont chiffrés de bout en bout grâce à la technologie RCS de Google Messages, ce n'est pas le cas de la discussion avec le bot. Mais ce n'est pas tout ! Vos requêtes pourraient même être lues par un humain. Comme le rapporte 9to5Google, Google explique que Bard est un modèle basé sur le machine learning. En d'autres termes, des employés pourraient être amenés à récolter des données afin d'entraîner leur outil. Ces données pourraient alors être conservées pour une durée de trois ans maximum.


L'intégration de Gemini ans Google Messages est disponible en version bêta pour 165 pays en langue anglaise, mais pas encore en Europe. Et pour en profiter dès à présent, il faut e plus utiliser un Google Pixel 6, un Pixel Fold ou encore un Samsung Galaxy S22, Z Flip ou Z Fold, être inscrit au programme de beta test du géant américain et posséder un compte Google en anglais. Souhaitons donc que Google lève rapidement ces contraintes pour pouvoir offrir son IA à tout le monde, y compris en France !


REF.: https://www.commentcamarche.net

mardi 20 février 2024

Il faut toujours être vrai dans la vie: Vrai ou Faux ?

Il faut toujours être vrai dans la vie: Vrai ou Faux ?


On dit qu'il faut toujours être vrai dans la vie. Mais si en faisant cela ça me blesse moi ainsi que mon ami, pourquoi je me sens mal après ? 


Pourquoi j'ai toujours l'impression d'être là méchante a chaque fois ?


10 févr.

Bonjour en français il y a une expression : "tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler". Cela signifie qu'il est sage de réfléchir attentivement avant de dire quelque chose, de prendre le temps de choisir ses mots avec précaution pour éviter de dire quelque chose de regrettable ou de mal interprété.


… Il faut reconnaître que des fois nous sommes plus tournés vers nos propres réactions et notre petite propos que vers l'écoute. Notre réponse fut-elle vraie et juste pour nous, elle laisse peu de place à l'autre.


Je retrouve les mots de Nisargadatta Maharaj qui m'accompagnent souvent lors de mon accompagnement thérapeutique :


"que savez-vous de moi alors que notre discussion ne se déroule que dans votre monde ?"


La vraie curiosité pour l'autre et son monde, sa vérité à lui, est peut-être la clé d'une communication saine.


23 déc.

Coucou ;)


Je me permets d'essayer de répondre à ta question.


Par "vrai" j'entends "authenticité", et c'est une très belle qualité… L'honnêteté qui va souvent de pair est formidable. Ce sont deux traits de personnalité à conserver coûte que coûte ^-^


Faut il toujours être "vrai" dans la vie ? Peut être pas dans les situations où, justement, cela peut se révéler blessant pour les autres. Certaines remarques peu importantes peuvent être gardées pour soi. C'est faire preuve d'empathie et de clémence, de bienveillance.


Si c'est important, alors oui il est utile de dire les choses, et il est généralement souhaitable d'arriver à communiquer avec du recul et/ou un peu d' humour ;) Cela t'évitera peut être ce sentiment de passer pour la "méchante" parce que tu dis les choses trop abruptement sans doute ;)


J'espère avoir pu t'aiguiller, bon courage à toi ✨


29 déc.

L'on vous a menti. La vérité n'est pas toujours bonne à dire. Et tout le monde n'est pas prêt à l'entendre.


REF.: https://psychopathologiedelavraievie.quora.com

Kawasaki va lancer la première moto thermique à l'hydrogène !

 

23 décembre 2023 à 16h02

Le constructeur japonais vient de dévoiler sa future moto à hydrogène, la Ninja H2 H2. Elle ne sera, en revanche, pas équipée d'un moteur électrique, mais d'un bon vieux thermique.

Si de nombreuses marques se sont lancées dans les motos électriques, Kawasaki prend un peu tout le monde à contre courant avec sa nouvelle H2 H2. Plutôt révolutionnaire dans sa conception, son moteur à combustion sera alimenté à l'hydrogène. Un modèle complètement à la marge de son plan d'électrification, qui devrait apporter 10 modèles à sa gamme d'ici 2025.

Réinventer la moto thermique grâce à l'hydrogène

Si Kawasaki a choisi de s'orienter vers l'hydrogène comme carburant, ce n'est pas pour se mettre des bâtons dans les roues, loin de là. C'est que celui-ci propose un rapport poids/puissance plus intéressant qu'un groupe motopropulseur électrique, alourdi par ses batteries. Le plein se fait également bien plus rapidement, à la manière d'un plein d'essence.

La Ninja H2 H2 est basée sur le modèle H2 SX et permettra donc au motard de conserver les sensations classiques de la moto : vrombissement du moteur, passage des rapports, retours au pots d'échappement etc. Tout ce que ne peut pas proposer l'électrique, malgré l'existence de modèles très performants comme ceux proposés par la marque Zero Motorcycles.

Un design plutôt particulier, que l'on doit aux deux réservoirs latéraux contenant l'hydrogène © Kawasaki
Un design plutôt particulier, que l'on doit aux deux réservoirs latéraux contenant l'hydrogène © Kawasaki

Une technologie avancée au service de la performance

Au cœur du moteur de la H2 se loge une réelle innovation : un compresseur aux performances exceptionnelles, puisqu'il est capable d'atteindre 130 000 tr/min. Un dispositif unique en son genre, qui permet de faire avaler au moteur une immense quantité d'air, car l'hydrogène en nécessite énormément pour brûler correctement. Celui-ci est un quatre cylindres de 1 000 cm3, faisant rentrer d'office la H2 H2 dans la catégorie des motos très performantes.

Les premières images du concept de la H2 montrent une moto plutôt massive. Sur les côtés, on peut y apercevoir les deux gros réservoirs où est stocké l'hydrogène à haute pression. Ces deux compartiments font penser à des sacoches de voyage, et cassent légèrement la ligne sportive de la moto. On ne peut pas tout avoir. En revanche, on peut se poser la question de la sécurité en cas de chute.

Pour le moment, aucune information n'a filtrée sur les performances et l'autonomie du modèle. Les tests auront lieu l'an prochain et fourniront les premières données. Vivement les résultats ! Kawasaki, à l'instar de la Z H2 et son moteur suralimenté lancée en 2020, montre qu'elle est encore capable de sortir des sentiers battus.

Source : Futura Sciences

Voies réservées au covoiturage: La Solution par les radars thermiques ? Bientôt !

Voies réservées au covoiturage: La Solution par les radars thermiques ? Bientôt !


 Les premiers radars thermiques de covoiturage opérationnels dès le début janvier : tout ce qu'il faut savoir

Par: Fred Delavie

23 décembre 2023 à 15h03


Des amendes pour les resquilleurs (Fraudeurs) ?

Lyon s'apprête à devenir la première ville française à expérimenter les radars thermiques de covoiturage dès janvier 2024. Ces dispositifs visent à renforcer le respect des voies réservées au covoiturage et à encourager une mobilité plus durable. Un beau projet… sur le papier.


Dans un effort pour promouvoir le covoiturage et réduire les embouteillages, la ville de Lyon a annoncé l'installation de radars thermiques sur les boulevards urbains M6-M7. Ces radars, une première en France, seront opérationnels dès le début de l'année 2024 et visent à détecter le nombre d'usagers dans les véhicules empruntant les voies dédiées au covoiturage.



En surveillant le respect des voies de covoiturage, ces dispositifs pourraient jouer un rôle dans la réduction des embouteillages et la promotion d'une mobilité plus responsable. Toutefois, leur succès dépendra des infrastructures alternatives mises en place et l'acceptation des usagers à ces nouvelles règles, toujours plus restrictives.


135 € d'amendes pour les contrevenants

Ces radars thermiques, installés en amont et en aval du tunnel de Fourvière, permettront de vérifier la présence d'au moins deux personnes dans les voitures circulant sur la voie réservée. Ces deux radars seront installés sur les anciennes A6-A7 déclassées en boulevard périurbain M6-M7. Dans le sens Sud en amont du tunnel de Fourvière sur la M6, près de l'échangeur du Pérollier. En direction du Nord, il sera positionné autour de la pointe de la Confluence à priori.

En cas de non-respect, des amendes électroniques de 135 € seront envoyées aux contrevenants. La gestion de ces radars sera assurée par la police municipale de Lyon, qui traitera les images captées et dressera les procès-verbaux. Toute la problématique était de savoir qui pourrait s'occuper de traiter les clichés, la Métropole n'ayant pas les moyens policiers pour le faire, alors qu'elle a la possibilité légale de recruter des agents depuis 2014. La ville de Lyon, qui manifestement considère que sa police municipale n'est pas assez occupée, va donc dédier cette activité une demi-journée par semaine à un de ses agents afin que celui-ci dresse le PV de constat et l'adresse à l'ANTAI.


Si cette initiative fait suite à un taux de fraude élevé estimé à 50 % en l'absence de contrôles selon la municipalité, le syndicat FO pointe déjà du doigt un cruel sous-effectif de ces agents pour les missions quotidiennes de sécurisation.


Un radar pour la voie réservée au covoiturage © Pryntec

Un radar pour la voie réservée au covoiturage © Pryntec

Les initiatives pour développer le covoiturage


L'expérimentation de ces radars s'inscrit dans une démarche plus large visant à optimiser l'utilisation des infrastructures routières et à lutter contre l'autosolisme. En encourageant le covoiturage, la ville de Lyon espère réduire la congestion routière et les émissions polluantes. Cette initiative pourrait également servir de modèle pour d'autres villes françaises.


Au-delà de Lyon, le covoiturage en France tente de se développer. Des projets comme Trapèze, lancé par Vinci Autoroutes, visent à développer des services de covoiturage interconnectés, offrant des alternatives de mobilité plus diversifiées. De même, la prime au covoiturage, introduite en 2023, subit des modifications en 2024 pour se concentrer sur les trajets courts et encourager une mobilité plus durable.


Mais des questions demeurent quant à leur efficacité réelle dans la promotion du covoiturage au quotidien. De nombreuses applications existent comme BlaBlaCar ou encore Covoit'ici, mais la gestion des déplacements professionnels et personnels, ainsi que la logistique des activités familiales, constituent clairement des obstacles à l'adoption généralisée du covoiturage pour les trajets courts, et qui ne semblent pas prise en compte par les collectivités qui souhaitent punir plutôt que prévenir.


Il faut être minimum 2 personnes à bord pour emprunter la voie de covoiturage© BlablaCar

Il faut être minimum 2 personnes à bord pour emprunter la voie de covoiturage© BlablaCar

En outre, même s'il reste à voir si ces initiatives inciteront réellement les automobilistes à changer leurs habitudes de déplacement, quand on regarde la carte des aires de covoiturages sur les grandes villes on reste un peu dubitatif : que ce soit en région parisienne ou dans l'agglomération de Lyon, il n'y a aucune aire en proche banlieue.


Pour finir, notons que les voies réservées au covoiturage sont accessibles dès lors qu'un véhicule transporte au moins deux personnes, y compris un bébé. Ces voies sont également ouvertes aux véhicules d'urgence, aux transports en commun, aux taxis en service, ainsi qu'aux véhicules classés Crit'Air 0.


Source : Le Figaro