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jeudi 13 mars 2008

Les policiers sont Islamophones

WoW ! après la haine des preachers , et des terroristes aux USA,voila que nous aussi nous haissons les turbannés.A Rawdon ,il n'ont pas ce problême la,malgré que c'est un endroit au Québec qu'il y a le plus d'émmigrants.


Le 1 Decembre 2005 ,un policier se défendant suite a une altercation avec un islamique tourne au pire,avec 2 balles tues le jeune Bennis Anas dans des circonstances nébuleuses.Les videos du meurte ne seront jamais montrées.Et aucune accusations criminelles ne seront portées contre le policier.


D'autres cas,de 2006 a 2007 il y a eut 157 décès,dont le deux tiers sont des décès par mort naturel,accidentel ou par suicide.Mais les 52 autres restants ,ont peut se poser des questions ; ou au moins 6 seront vraiment tuées par balles a bout portant par la police.Des cas de code d'éthique.



Des faits qui soulèvent plusieurs questions
Le 1er décembre, une descente policière a pour objet d’arrêter et de déloger un groupe de maghrébins trafiquants de cartes de crédit. Mohammed Anas, par malchance, se trouvait à proximité des lieux. Il sortait d’une mosquée au moment de la descente policière. Malheureusement, pour l’heure, seule la version de la police est connue. Or, elle présente de nombreuses zones d’ombres. En effet, la police reconnaît volontiers que Mohammed Anas n’avait aucun lien avec cette descente. Mais, elle affirme que Mohammed Anas Bennis s’est attaqué avec un couteau à un policier en le blessant au cou et à la cuisse. Anas aurait été simplement sommé de lever les mains en l’air. Mais il ne fait aucun doute que son apparence Arabe avec son habillement n’ont pas plaidé en sa faveur. Loin s’en faut ! Toujours selon la police, c’est après les blessures infligées à l’un des agents qu’un autre a réagi. Réaction foudroyante. L’agent a tiré deux balles avec une précision d’orfèvre. La première a atteint Mohamed Anas en plein cœur. Et comme si le Lucky Luke canadien avait eu peur qu’elle ne suffise pas, il en a tiré une seconde venue se loger juste à côté de la première. Pourtant, Mohamed Anas ne pesait que 66 kilos, à peine le poids moyen d’une jeune femme. En somme, il n’avait pas une corpulence pouvant faire croire à une réelle menace. La question se pose donc de savoir pourquoi le policier n’a pas visé une autre partie du corps. Une balle dans les jambes suffirait à immobiliser un agresseur, le cas échéant. De plus, l’intervention était menée par plusieurs agents, plus d’une dizaine. Selon les témoins, les policiers n’ont pas tenté d’utiliser une manière moins meurtrière de le maîtriser. L’opération policière était importante, elle comprenait deux corps de police : celui de la ville de Montréal et celui, provincial, du Québec. Pourquoi alors, s’interrogent les proches d’Anas, autant de personnes entraînées pour maîtriser des malfaiteurs ont-elles eu besoin de recourir à une force aussi disproportionnée. Ce n’est là que l’une des nombreuses questions que se pose la famille d’Anas.

ici

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Mais ou était le gun taser,ont l'aurait tué pareille.Avec 2 décharges de taser peut être ;o)
Et le taser n'aurait pas été dans les jambes non plus,mais plutôt droit au coeur mettons !