Alexandre Litvinenko et la journaliste Anna Politkovskaia, assassinés à un mois d'intervalle à l'automne 2006, sont les victimes les plus connues en Occident. Au-delà de ces deux affaires, ce documentaire révèle comment tous ceux qui ont enquêté sur l'accession à la présidence de Vladimir Poutine, comme sur la corruption du FSB (ex-KGB) ou sur ses liens avec le crime organisé, ont été systématiquement éliminés. Députés, journalistes, etc. La liste noire n’a fait que s’allonger…
Bonne émission,mais mise a part les meutres d'anciens agents de l'ex-KGB devenu le FSB,ça racontre la corruption des agents du KGB face a Poutine.
Pourquoi ? la réponse $$$ .
Oui,c'est pareille pour Bush(mais plus civilisé pour les américains) ,les 2 prisidents sont soumis aux influences des grosses cie du pétrole,car l'or noir dirige le monde et les oligarques de la Russies ne veulent pas perdre une cenne.Les agents du KGB fesaient des actes contre ceux qui nuisaient aux intérêts $$$ de la Russie et non contre les intérêts du pays comme tel.Beaucoup d'argents sont en jeux et la Russie doit survivre aux envahisseurs,y compris les USA,la Chine,les Tchéchennes.Poutine a sorti une loi ,qui sert a emprisonner autant les terroristes que les extrémistes.Si Poutine veut rester au pouvoir,il doit tout comme Bush,plaire pas seulement au peuple,mais aux Cie qui contrôle l'économie du Pays tout entier.
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LONDRES - La Russie a affirmé qu'elle avait repéré les assassins présumés de l'ex-agent russe Alexandre Litvinenko avant que celui-ci ne meure empoisonné à Londres en 2006 mais que les Britanniques l'avaient dissuadé d'agir, selon une note diplomatique américaine datée de la même année révélée par WikiLeaks.
Litvinenko, devenu opposant à Vladimir Poutine, alors président de la Russie, est mort d'un empoisonnement au polonium 210 dans un hôtel londonien en novembre 2006. La police britannique a accusé l'ex-agent du KGB Andreï Lougovoï du meurtre mais la Russie a refusé de l'extrader.
Une note diplomatique envoyée à Washington par l'ambassade des Etats-Unis à Paris en décembre 2006, publiée samedi par Le Guardian, rend compte d'un "dîner amical" réunissant l'ambassadeur des Etats-Unis pour le contre-terrorisme, Henry Crumpton, et le représentant spécial de la présidence russe Anatoli Safonov.
«Safonov a indiqué que les autorités russes à Londres avaient eu connaissance de la présence d'individus transportant des substances radioactives dans la ville et les avaient suivis mais que les Britanniques leur avaient dit qu'ils étaient sous contrôle avant que l'empoisonnement n'ait lieu», précise la note.
Le Guardian affirme avoir interrogé plusieurs personnes proches du dossier au sujet des déclarations de Safonov qui les ont qualifiées «d'invraisemblables».
Safonov affirmait également que Moscou n'était pas impliqué dans le meurtre, comme le proclamait publiquement le gouvernement russe, mais sans donner aucune explication, selon la note diplomatique.
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