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dimanche 9 avril 2023

Encore de la Corruption aux Philippines:-) Oui avec la Police,la Ultra Elec­tro­nics Foren­sic Tech­no­logy inc opéré par le mont­réa­lais Robert Walsh ,il ne manque que la corruption seXXXuelle ?

 Encore de la Corruption aux Philippines:-) Oui avec la Police,la Ultra Elec­tro­nics Foren­sic Tech­no­logy inc opéré par le mont­réa­lais Robert Walsh ,il ne manque que la corruption seXXXuelle ?

 

Une enquête de la GRC sur la corruption internationale mène à des accusations contre une entreprise montréalaise

21 septembre 2022
Ottawa (Ontario)

Communiqué de presse

Une entreprise montréalaise et quatre anciens dirigeants font face à des accusations de corruption et de fraude en vertu de la Loi sur la corruption d'agents publics étrangers et du Code criminel, en lien avec une enquête de la Gendarmerie royale du Canada sur la corruption internationale.

L'enquête menée par la section des Enquêtes internationales et de nature délicate de la Division nationale de la GRC a débuté en août 2018.

Le 20 septembre 2022, Ultra Electronics Forensic Technology Inc. (UEFTI), Robert Andrew Walsh (Montréal, QC), Philip Timothy Heaney (Montréal, QC), René Bélanger (Saint-Lambert, QC) et Michael McLean (Beaconsfield, QC) ont chacun été accusés des infractions criminelles suivantes :

  • Corruption d'un agent public étranger – LCAPE 3(1)a)
  • Corruption d'un agent public étranger – LCAPE 3(1)b)
  • Fraude envers le public – CC 380(1)a)

Il est allégué que l'entreprise et les individus accusés ont incité des agents locaux aux Philippines à corrompre des agents publics étrangers pour influencer et accélérer un contrat de plusieurs millions de dollars.

Les quatre personnes et des représentants de l'UEFTI doivent comparaître devant la cour provinciale de Montréal le 28 septembre.

La section des Enquêtes internationales et de nature délicate de la GRC concentre son expertise sur les enquêtes de nature délicate et à haut risque impliquant des menaces sérieuses pour les institutions gouvernementales, les fonctionnaires, l'intégrité de l'État, ou qui pourraient mettre en péril l'intégrité politique, économique et sociale du Canada. La GRC reste déterminée à perturber, à dissuader et à prévenir la corruption, tant au pays qu'à l'étranger, et notre objectif est de traduire en justice les personnes et les entreprises impliquées dans ces types de crimes.

 https://www.rcmp-grc.gc.ca/fr/nouvelles/2022/enquete-grc-corruption-internationale-mene-a-des-accusations-entreprise-montrealaise

 

 

Le Journal de Montréal

+1 plus– Avec la col­la­bo­ra­tion de Nico­las Bras­seur et Phi­lippe Lan­glois

Cor­rup­tion aux Phi­lip­pines diri­gée depuis Mont­réal

Une firme basée dans la métro­pole paiera 10,5 M$ d’amende pour gar­der ses contrats publics ici

  • +1 plus
  • – Avec la col­la­bo­ra­tion de Nico­las Bras­seur et Phi­lippe Lan­glois
1. Les cas de cor­rup­tion en lien avec la police natio­nale des Phi­lip­pines se sont mul­ti­pliés dans les der­nières années. 2. Glo­ria Maca­pa­gal-Arroyo, pré­si­dente des Phi­lip­pines de 2001 à 2010. 3. Ultra Elec­tro­nics Foren­sic Tech­no­logy inc. com­mer­cia­lise un sys­tème sophis­ti­qué de recon­nais­sance balis­tique auprès de corps poli­ciers dans de nom­breux pays.

 Basée à Montréal, au Canada, Ultra Electronics Forensic Technology fournit des technologies et des solutions qui aident les forces de l'ordre et les agences de sécurité frontalière du monde entier à prévenir et à résoudre les crimes. L'un des clients de l'entreprise est la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Récemment, la GRC a annoncé qu'Ultra Electronics Forensic Technology Inc. (UEFTI) et quatre anciens dirigeants (Robert Andrew Walsh, Philip Timothy Heaney, René Bélanger et Michael McLean) ont chacun été accusés de corruption et de fraude en vertu de la Loi sur la corruption d'agents publics étrangers. (LCAPE) et le Code criminel dans le cadre d'une enquête de la GRC sur la corruption internationale. Selon le communiqué, "il est allégué que la société et les individus accusés ont ordonné à des agents locaux aux Philippines de soudoyer des agents publics étrangers pour influencer et accélérer un contrat de plusieurs millions de dollars". La LCAPE est la version canadienne de la FCPA.

 Parmi les clients de l’entreprise, notons la Gendarmerie royale du Canada, la police d’Israël, le Bureau américain de l’alcool, du tabac, des armes à feu et des explosifs (l’ATF) et le service de police d’Afrique du Sud(NDLR. Facilement corruptible ? ). La société, qui compte des clients dans 65 pays, est aussi partenaire de l’organisation internationale de police Interpol. L’identification balistique permet d'associer des projectiles et des douilles d’armes à feu et est notamment utilisée dans la lutte contre le crime.

Et déja en 2014 Robert Walsh vendait sa firme : L'entreprise montréalaise Forensic Technology, qui offre entre autres une solution d’identification balistique automatisée, est achetée par la société britannique Ultra Electronics pour un montant de 100 millions de dollars.(NDLR. Dit nous Robert pourrait-tu nous dire les vrai raisons de la vente par obligation ???)

 https://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/services-professionnels/la-montrealaise-forensic-technology-vendue-a-une-societe-britannique/568582

-Une firme mont­réa­laise répu­tée qui a cor­rompu les auto­ri­tés aux Phi­lip­pines pour y décro­cher d’impor­tants contrats publics paiera 10,5 M$ en amendes pour pou­voir conti­nuer à faire affaire avec Ottawa et Qué­bec.

Élus phi­lip­pins sou­doyés, com­mis­sions dou­teuses à des agents com­mer­ciaux étran­gers, contrats publics gon­flés pour finan­cer les pots-de-vin. Pen­dant 12 ans, la firme Ultra Elec­tro­nics Foren­sic Tech­no­logy inc. (UEFTI), basée dans l’arron­dis­se­ment Saint-Laurent à Mont­réal, a mul­ti­plié les manoeuvres illé­gales dans ce pays de 111 mil­lions d’habi­tants en Asie du Sud-Est.

Élus phi­lip­pins sou­doyés, com­mis­sions dou­teuses à des agents com­mer­ciaux étran­gers, contrats publics gon­flés pour finan­cer les pots-de-vin. Pen­dant 12 ans, la firme Ultra Elec­tro­nics Foren­sic Tech­no­logy inc. (UEFTI), basée dans l’arron­dis­se­ment Saint-Laurent à Mont­réal, a mul­ti­plié les manoeuvres illé­gales dans ce pays de 111 mil­lions d’habi­tants en Asie du Sud-Est.

Cette firme fon­dée par le mont­réa­lais Robert Walsh com­mer­cia­lise un sys­tème d’iden­ti­fi­ca­tion balis­tique, IBIS, qui aide les corps poli­ciers à résoudre des crimes par armes à feu (voir enca­dré).

Elle compte 250 employés et fait affaire avec les gou­ver­ne­ments du Qué­bec, du Canada et de nom­breux pays dans le monde.

Depuis sep­tembre der­nier, elle fai­sait face à deux chefs d’accu­sa­tion de cor­rup­tion d’agents publics étran­gers et un chef de fraude en lien avec ses acti­vi­tés aux Phi­lip­pines. Iro­ni­que­ment, c’est la GRC qui a mené l’enquête, alors qu’elle uti­lise la tech­no­lo­gie de l’entre­prise mont­réa­laise.

 L’enquête menée par la section des Enquêtes internationales et de nature délicate de la Division nationale de la GRC a commencé en août 2018.

 La GRC explique que la section des Enquêtes internationales et de nature délicate concentre son expertise sur les enquêtes de nature délicate et à haut risque impliquant des menaces sérieuses pour les institutions gouvernementales, les fonctionnaires, l’intégrité de l’État, ou encore qui pourraient mettre en péril l’intégrité politique, économique et sociale du Canada.La section des enquêtes sensibles et internationales de la GRC concentre son expertise sur les enquêtes sensibles à haut risque impliquant des menaces graves pour les institutions gouvernementales, les fonctionnaires, l'intégrité de l'État, ou qui pourraient compromettre l'intégrité politique, économique et sociale du Canada.

NÉGOCIATIONS SECRÈTES

Mais dans les der­nières semaines, UEFTI est dis­crè­te­ment deve­nue la deuxième firme, après SNC-Lava­lin, à béné­fi­cier d’un accord de répa­ra­tion auprès de la jus­tice cana­dienne.

Cette nou­velle dis­po­si­tion du Code cri­mi­nel, en vigueur depuis sep­tembre 2018, s’applique dans des cas de crimes éco­no­miques comme la cor­rup­tion et la fraude. Elle per­met à la Cou­ronne d’invi­ter une firme accu­sée à négo­cier le paie­ment d’une amende plu­tôt que de subir un pro­cès.

UEFTI paiera donc au total un peu plus de 10,5 mil­lions $ aux gou­ver­ne­ments du Canada et du Qué­bec, mais pourra conti­nuer à obte­nir des contrats publics, dont elle aurait été pri­vée si elle avait été décla­rée cou­pable au terme d’un pro­cès.

L’entente scel­lée par le juge Marc David, de la Cour supé­rieure, a été négo­ciée en secret, et cer­tains détails sont encore frap­pés d’une ordon­nance de non-publi­ca­tion.

ndlr (xxx = ? peut-être ?ou impliquant des politiciens ou des hauts gradés Canadien ?  )

L’entente scel­lée par le juge Marc David, de la Cour supé­rieure, a été négo­ciée en secret, et cer­tains détails sont encore frap­pés d’une ordon­nance de non-publi­ca­tion.

« La conduite et les offenses [com­mises par UEFTI] sont sérieuses et méritent une péna­lité sévère », estime le juge dans sa déci­sion.

Le magis­trat croit néan­moins qu’il est sou­hai­table que la firme puisse conti­nuer à obte­nir des contrats publics, car elle a fait preuve d’une « coopé­ra­tion exem­plaire » avec les auto­ri­tés en cours d’enquête.

« UEFTI a démon­tré son désir de chan­ger sa culture d’entre­prise et de res­pec­ter les lois anti­cor­rup­tion », écrit-il.

« UEFTI a démon­tré son désir de chan­ger sa culture d’entre­prise et de res­pec­ter les lois anti­cor­rup­tion », écrit-il.

QUATRE EX-DIRIGEANTS ACCUSÉS

Néan­moins, quatre ex-diri­geants de la firme, dont son ex-grand patron Robert Walsh, font tou­jours face indi­vi­duel­le­ment à des accu­sa­tions cri­mi­nelles de cor­rup­tion et de fraude (voir ci-contre).

En mai 2022, SNC-Lava­lin avait convenu de payer près de 30 M$ pour évi­ter un pro­cès cri­mi­nel. Elle était accu­sée d’avoir versé des pots-de-vin de 2,23 M$ pour obte­nir un contrat de 128 M$ pour la réno­va­tion du pont Jacques-Car­tier au début des années 2000.

La firme avait déclaré que cela lui per­met­trait de « pour­suivre ses acti­vi­tés et de pro­té­ger les emplois de son per­son­nel de plus de 30 000 employés, tout en pré­ser­vant l’inté­rêt de ses clients, inves­tis­seurs et autres par­ties pre­nantes ».

 

REF.:  https://jdm.pressreader.com/article/281659669319290

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