mardi 16 septembre 2008
Lotus Symphony : suite bureautique gratuite chez IBM
La firme américaine IBM annonce cette semaine son intention de prochainement investir le secteur des suites bureautiques avec un produit nommé Lotus Symphony qui sera disponible gratuitement sur Internet. Composée d'un traitement de texte, d'un tableur et d'un outil de présentation, Lotus Symphony est basée sur la célèbre suite bureautique libre et gratuite OpenOffice.org et utilisera donc le format OpenDocument. En outre, elle disposera sans doute de facultés d'intégration avec la suite Lotus Notes, commercialisée par IBM auprès des entreprises.Un nouveau concurrent de taille pour Microsoft ? Les initiatives visant à proposer des alternatives à la suite Microsoft Office ne cessent de se multiplier, à l'image d'OpenOffice.org sur le plan du logiciel, ou de Google Apps dans le domaine des applications en ligne. Aujourd'hui, elles fédèrent certains poids lourds des technologies de l'information. Après Sun et son StarOffice, suite bureautique commerciale basée sur OpenOffice arrive IBM qui opte pour sa part pour la gratuité totale. Prémisses à la sortie de Lotus Symphony, Big Blue déclarait la semaine dernière avoir décidé de s'impliquer fortement dans le développement d'OpenOffice.org.Cette annonce intervient alors que Microsoft vient d'échouer dans sa tentative visant à faire ratifier son format OpenXML auprès de l'ISO. Certains représentants de l'éditeur affirmaient à cette occasion qu'IBM n'était sans doute pas étranger à ce refus. Aujourd'hui, Microsoft revendique environ 500 millions de clients entreprise pour sa suite Microsoft Office.
La fin de la TV analogique pour 2011 en France
La fin de la TV analogique en France, programmée au 30 novembre 2011, va permettre de récupérer les fréquences hertziennes que ce mode de diffusion utilisait. Ce fameux « dividende numérique » pourra servir à la télévision en haute définition ou la télévision mobile personnelle (TMP).
Vendues aux acteurs de l'audiovisuel, dont les chaînes de TV, mais aussi aux opérateurs télécoms, les fréquences hertziennes devraient permettre à l'État d'engranger un beau pactole, rapporte Les Echos. Selon le quotidien économique, citant un récent rapport de Bercy, la vente du dividende numérique pourrait au moins rapporter une « recette substantielle, de l'ordre de 1,4 milliard d'euros ».
Mais d'après cette fois les estimations de l'American Chamber of Commerce in France, la valeur marchande de ces fréquences atteindrait plutôt les 3 milliards d'euros.
Leur vente pourrait se faire dès 2009 sous la forme d'enchères pour un déploiement des services au plus tôt à la fin de 2011. Selon les Echos, le président de la République devrait faire des annonces en ce sens ce mois-ci.
Par la rédaction, ZDNet France
Vendues aux acteurs de l'audiovisuel, dont les chaînes de TV, mais aussi aux opérateurs télécoms, les fréquences hertziennes devraient permettre à l'État d'engranger un beau pactole, rapporte Les Echos. Selon le quotidien économique, citant un récent rapport de Bercy, la vente du dividende numérique pourrait au moins rapporter une « recette substantielle, de l'ordre de 1,4 milliard d'euros ».
Mais d'après cette fois les estimations de l'American Chamber of Commerce in France, la valeur marchande de ces fréquences atteindrait plutôt les 3 milliards d'euros.
Leur vente pourrait se faire dès 2009 sous la forme d'enchères pour un déploiement des services au plus tôt à la fin de 2011. Selon les Echos, le président de la République devrait faire des annonces en ce sens ce mois-ci.
Par la rédaction, ZDNet France
L'internet gratuit partout au USA ?
Après le centre ville de San Francisco,maintenant les USA !
Internet haute vitesse, gratuit pour tous?
Une petite entreprise en développement a de très grands projets: elle veut offrir gratuitement l’Internet haute vitesse à toute la population américaine, d’ici un an.
La compagnie en question s’appelle M2Z. Elle se prépare à participer à un encan, organisé au début de 2009 par le gouvernement américain, dans le but d’acheter une partie du spectre nécessaire. Cette partie du spectre, appelé AWS-3, pourrait permettre à une société de réserver environ 25% de la capacité du spectre pour offrir un service gratuit, plus rapide encore que plusieurs services payants et de se servir de la capacité restante pour vendre des produits plus performants.
D’ailleurs, le gouvernement américain verrait d’un bon œil l’arrivée d’un tel service. Dans une entrevue au USA Today, Kevin Martin, le président de la FCC (l’équivalent de notre CRTC) a dit souhaiter l’arrivée d’un tel service, sans pornographie, dans le but de brancher tous les Américains, d’ici 10 ans.
Selon certains chiffres, quelque 100 millions d’Américains n’ont pas accès à la haute vitesse, parce que le service n’est pas offert dans leur région ou qu’ils n’en ont pas les moyens. Environ 40 millions d’usagers utilisent une ligne téléphonique basse vitesse, se privant ainsi d’une bonne partie des nouveaux services. Du côté des bas salariés, le taux de pénétration n’est que de 25%, puisque, comme au Canada, l’abonnement mensuel tourne autour des 40 dollars.
La technologie utilisée serait nouvelle. Les gens achèteraient des appareils avec une puce spéciale intégrée; une fois l’appareil sous tension, le service Internet serait disponible, à l’intérieur ou à l’extérieur. Fait à noter: le service ne serait pas disponible pour un appareil en mouvement. Le but est d’offrir une alternative aux services du câble et du téléphone et non pas aux services des compagnies de cellulaires.
Le président de M2Z, Milo Medin se dit confiant en son projet. Il est appuyé financièrement par des joueurs majeurs et par le géant des équipements de télécommunications Cisco. Si son projet voit le jour, il dit que ce sera la fin du service internet basse vitesse par téléphone.
Si son projet ne voit pas le jour, il affirme que ce sera le projet d’un autre: «À mon avis, le temps est venu d’offrir gratuitement la haute vitesse à tout le monde. Peu importe le futur pour ma compagnie, cette idée est tellement porteuse d’avenir pour la population américaine qu’un jour ou l’autre, elle va se réaliser».
REF.:
Internet haute vitesse, gratuit pour tous?
Une petite entreprise en développement a de très grands projets: elle veut offrir gratuitement l’Internet haute vitesse à toute la population américaine, d’ici un an.
La compagnie en question s’appelle M2Z. Elle se prépare à participer à un encan, organisé au début de 2009 par le gouvernement américain, dans le but d’acheter une partie du spectre nécessaire. Cette partie du spectre, appelé AWS-3, pourrait permettre à une société de réserver environ 25% de la capacité du spectre pour offrir un service gratuit, plus rapide encore que plusieurs services payants et de se servir de la capacité restante pour vendre des produits plus performants.
D’ailleurs, le gouvernement américain verrait d’un bon œil l’arrivée d’un tel service. Dans une entrevue au USA Today, Kevin Martin, le président de la FCC (l’équivalent de notre CRTC) a dit souhaiter l’arrivée d’un tel service, sans pornographie, dans le but de brancher tous les Américains, d’ici 10 ans.
Selon certains chiffres, quelque 100 millions d’Américains n’ont pas accès à la haute vitesse, parce que le service n’est pas offert dans leur région ou qu’ils n’en ont pas les moyens. Environ 40 millions d’usagers utilisent une ligne téléphonique basse vitesse, se privant ainsi d’une bonne partie des nouveaux services. Du côté des bas salariés, le taux de pénétration n’est que de 25%, puisque, comme au Canada, l’abonnement mensuel tourne autour des 40 dollars.
La technologie utilisée serait nouvelle. Les gens achèteraient des appareils avec une puce spéciale intégrée; une fois l’appareil sous tension, le service Internet serait disponible, à l’intérieur ou à l’extérieur. Fait à noter: le service ne serait pas disponible pour un appareil en mouvement. Le but est d’offrir une alternative aux services du câble et du téléphone et non pas aux services des compagnies de cellulaires.
Le président de M2Z, Milo Medin se dit confiant en son projet. Il est appuyé financièrement par des joueurs majeurs et par le géant des équipements de télécommunications Cisco. Si son projet voit le jour, il dit que ce sera la fin du service internet basse vitesse par téléphone.
Si son projet ne voit pas le jour, il affirme que ce sera le projet d’un autre: «À mon avis, le temps est venu d’offrir gratuitement la haute vitesse à tout le monde. Peu importe le futur pour ma compagnie, cette idée est tellement porteuse d’avenir pour la population américaine qu’un jour ou l’autre, elle va se réaliser».
REF.:
Le " POT " éloigne du bonheur !
Le «pot» éloigne du bonheur!
Depuis le temps qu’on se le demandait, la réponse est maintenant connue. Le «pot» ne contribue pas au bonheur même que l’opposé s’avère plus exact. La dernière enquête de l’IRB nous apprend que 59% de la population affirme avoir déjà consommé ou consomme actuellement ce type de drogue. Or, l’IRB moyen de ces répondants n’est que de 76,00, soit 4 points de moins que l’IRB moyen de ceux et celles qui n’en n’ont jamais consommé (80,20).
Cet écart, sans être considérable, est toutefois significatif et démontre une corrélation entre les deux éléments. L’étude n’a cependant pas demandé la fréquence de consommation des répondants.
Cette consommation passée ou présente de marijuana passe du simple au double entre les personnes plus âgées (35% chez les 55-64 ans) et celles plus jeunes (70% chez les 18-24 ans). Le même phénomène s’observe en ce qui à trait aux revenus, les répondants avec des revenus de 80 000$ et plus sont presque 2 fois moins nombreux à avoir déjà consommé du pot (40% vs 74%) que ceux qui affichent les revenus les plus faibles.
Les hommes sont légèrement plus nombreux que les femmes (61% vs 56%) à consommer ou avoir consommé de la marijuana et les personnes monoparentales composent l’un des segments où la consommation passée ou actuelle de pot est la plus forte (65%).
REF.:
Depuis le temps qu’on se le demandait, la réponse est maintenant connue. Le «pot» ne contribue pas au bonheur même que l’opposé s’avère plus exact. La dernière enquête de l’IRB nous apprend que 59% de la population affirme avoir déjà consommé ou consomme actuellement ce type de drogue. Or, l’IRB moyen de ces répondants n’est que de 76,00, soit 4 points de moins que l’IRB moyen de ceux et celles qui n’en n’ont jamais consommé (80,20).
Cet écart, sans être considérable, est toutefois significatif et démontre une corrélation entre les deux éléments. L’étude n’a cependant pas demandé la fréquence de consommation des répondants.
Cette consommation passée ou présente de marijuana passe du simple au double entre les personnes plus âgées (35% chez les 55-64 ans) et celles plus jeunes (70% chez les 18-24 ans). Le même phénomène s’observe en ce qui à trait aux revenus, les répondants avec des revenus de 80 000$ et plus sont presque 2 fois moins nombreux à avoir déjà consommé du pot (40% vs 74%) que ceux qui affichent les revenus les plus faibles.
Les hommes sont légèrement plus nombreux que les femmes (61% vs 56%) à consommer ou avoir consommé de la marijuana et les personnes monoparentales composent l’un des segments où la consommation passée ou actuelle de pot est la plus forte (65%).
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