La théorie réincarnationniste a beaucoup progressé en Occident. On peut sans doute expliquer l'intérêt croissant que soulève cette théorie par la recherche en général d'un nouveau paradigme spirituel, à une époque où se désarticule le mythe religieux qui a dominé en Occident pendant près de 2000 ans. La théorie réincarnationniste semble donc profiter de l'émergence d'une nouvelle spiritualité qui vient combler le vide laissé par l'éclatement des structures traditionnelles. Elle profite aussi des recherches sur l'après-vie, qui se poursuivent présentement, que ce soit à la faveur du phénomène de channeling et, en général, de la communication avec une autre réalité; ou encore des expériences hors-corps – ou projection astrale – et en particulier des NDE. Ces recherches, qui s'appuient sur de nombreux témoignages, appellent une vision nouvelle de l'après-vie, que prolonge pour certains la théorie de la réincarnation. Par ailleurs, la réincarnation est de plus en plus acceptée par la psychologie. Plusieurs psychothérapeutes s'intéressent désormais aux vies antérieures et aux techniques de régression qui permettraient de les explorer, afin d'éclairer la présente incarnation. Mais la réincarnation fait elle-même l'objet de recherches depuis plusieurs années déjà, de la part de chercheurs qui considèrent cette théorie comme une hypothèse sérieuse. Parmi ces chercheurs, le Dr Ian Stevenson occupe certainement la première place. | ||
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Dr Ian Stevenson, The Evidence for Survival from Claimed Memories of Former Incarnations (Virginia University Press), 1960. | Montréalais d'origine, le Dr Ian Stevenson a terminé ses études de psychiatrie à l'Université Mc Gill pour ensuite s'établir aux Etats-Unis où il vit depuis plusieurs années. Il est aujourd'hui professeur de psychiatrie à l'Université Carlson et directeur du Département des études sur la personnalité à la faculté de psychiatrie de l'Université de la Virginie où il poursuit avec la plus grande rigueur des recherches sur la réincarnation. Son premier essai, paru en 1960 et intitulé The Evidence for Survival from Claimed Memories of Former Incarnations devait attirer l'attention de Chester Carlson, inventeur du procédé de xérographie, qui créa un fonds pour financer ses recherches. | |
Le Dr Stevenson a depuis poursuivi activement ses recherches et fait plusieurs communications sur la réincarnation lors de congrès scientifiques. Il a aussi écrit de nombreux articles dans des publications scientifiques, non seulement sur la réincarnation mais aussi sur plusieurs questions connexes. C'est ainsi qu'il devait à un moment s'intéresser au phénomène de la xénoglossie qui consiste à parler une langue qu'on a jamais apprise. "Ce phénomène, précise-t-il, est rare. Mais il se produit et j'ai pu l'observer." Il a décrit dans un de ses essais le cas d'une femme qui sous hypnose parvenait à parler l'allemand, langue qu'elle n'avait pas pu apprendre dans son incarnation présente, sans compter qu'il s'agissait de l'allemand tel qu'on le parlait vers la fin du XIXe siècle... Le Dr Stevenson a consacré un ouvrage à cette question : Unlearned language : New Studies in Xenoglossy. Mais sa plus importante contribution aura été jusqu'ici un ouvrage qui marque un tournant dans l'étude de la réincarnation : Twenty Cases Suggestive of Reincarnation. Il s'agit sans contredit de l'ouvrage le plus documenté et le plus rigoureux qu'on puisse trouver sur cette question. Pour cet ouvrage, le Dr Stevenson a retenu, comme le titre l'indique, 20 cas – parmi les 2500 qu'il a étudiés. Il s'agit pour la plupart de jeunes enfants qui ont conservé des souvenirs précis et vérifiables d'une vie antérieure. Comme la plupart des chercheurs sérieux, le Dr Stevenson ne s'intéresse pas aux sujets qui disent avoir été un personnage célèbre dans une vie antérieure... Je crois intéressant de préciser, à propos des expériences de régression sous hypnose, que le Dr Stevenson est formel : "La plupart des personnalités qui émergent sous hypnose sont entièrement imaginaires et résultent du désir qu'éprouve le sujet d'obéir aux suggestions de l'hypnotiseur (...); la plus grande partie de ce qui se produit sous hypnose est purement fantaisiste." Dans son introduction, le Dr Stevenson précise qu'il s'a-dresse avant tout à des lecteurs de formation scientifique. Pourtant, et malgré l'austérité de la démarche, la plupart des lecteurs de cet ouvrage sont des non-scientifiques. Devenu un best-seller, ce livre a même depuis été traduit en sept langues. Ce qui pourtant ne satisfait qu'à moitié le Dr Stevenson qui espérait qu'à la suite de la parution de cet ouvrage, le monde scientifique allait s'intéresser davantage à cette question, qui lui paraît importante du point de vue psychologique et médical. Il y a plus de dix ans, il a écrit un article intitulé : The Explanatory Value of the Idea of Reincarnation, dans lequel il suggère que l'étude de certains cas pourrait éclairer sous un jour nouveau certains problèmes rencontrés en psychologie et même en médecine. "Je suis devenu insatisfait de certaines méthodes qui ont été développées en psychiatrie, déclare le Dr Stevenson. Selon la théorie scientifique la plus généralement acceptée, on conçoit la personnalité comme le produit du matériel génétique hérité des parents, et de l'environnement prénatal et post-natal. Mais j'ai découvert que certains cas ne peuvent être expliqués ni par la génétique, ni par l'influence de l'environnement, ni même par une combinaison de ces deux facteurs. Je pense ici, par exemple, à certaines phobies de l'enfance, à certaines habitudes qui se développent spontanément, aux enfants qui sont convaincus ne n'être pas du sexe auquel ils devraient appartenir, à certaines difformités congénitales, à la différence qui existe entre les jumeaux qui sont d'un même ovule, et même à des questions aussi irrationnelles que certaines préférences alimentaires..." Le Dr Stevenson a depuis écrit un autre ouvrage :Children Who Remember Previous Lives. Et plusieurs autres doivent paraître dans les prochaines années, dont Cases of the Reincarnation Type en quatre volumes dans lesquels il traitera en particulier de la question troublante des marques de naissance attribuables à un incident d'une incarnation passée... Le Dr Stevenson a toujours fait de ces marques de naissance un critère pour les cas retenus. Il s'intéresse donc tout particulièrement aux signes physiques, tels que marques et défauts de naissance qui reproduisent les cicatrices de blessures faites, ou d'interventions chirurgicales subies, au cours de la précédente incarnation et authentifiées par plusieurs témoins des deux incarnations. Le Dr Stevenson estime que le nombre de cas documentés est assez considérable pour rendre toute autre interprétation difficile à défendre. "J'ai maintenant recueilli à peu près vingt cas de ce genre, dont quinze particulièrement intéressants parce que j'ai pu comparer mes propres observations avec les descriptions post-mortem de la précédente incarnation." Dans certains cas, il a même eu accès à des rapports d'autopsie : "De tels rapports représentent sans doute la preuve la plus solide que nous ayons de la réincarnation." Pour étonnant que puisse paraître au premier abord l'existence de marques de naissance qu'on peut consider comme la répercussion de blessures faites dans une incarnation précédente, cette explication va pourtant dans le sens de ce que nous savons aujourd'hui de l'interaction du corps et du psychisme. À cette interaction généralement admise s'ajoute ici la dimension que représente la survivance dans le psychisme après la mort du corps, d'un traumatisme et son influence sur la formation d'un nouveau véhicule physique. La question des marques de naissance est très importante. Si on parvient en effet à démontrer que certains traumatismes physiques sont répercutés d'une incarnation à l'autre au niveau du corps, il apparaîtra d'autant plus acceptable que des traumatismes psychiques le soient également. C'est ainsi par exemple que le Dr Stevenson dit avoir trouvé jusqu'ici vingt-trois cas de personnes qui redoutaient dans la présente incarnation les conséquences d'un suicide commis dans une incarnation précédente. Il précise même que "plusieurs de ces personnes entretenaient une phobie à l'endroit de l'instrument du suicide, tel que fusil ou poison..." | ||
IN Jeanne Laval, L'heure des révélations (éd. de Mortagne). | Le point de vue de la pensée traditionnelle | |
Le Dr Stevenson rapporte aussi que quelques-uns des sujets étudiés ont certains dons psychiques : précognition, perception télépathique, etc. Ce qui, du point de vue de la pensée ésotérique s'explique par le déphasage du corps astral : comme si les corps, physique et astral, n'étaient pas parfaitement imbriqués l'un dans l'autre. Or, pour se souvenir d'une existence antérieure, un certain déphasage du corps astral paraît nécessaire, ce qui est aussi souvent le cas pour que se manifestent certains dons psychiques. | ||
Du processus de l'anamnèseDans ses entrevues avec les sujets qui font l'objet d'une étude poussée, le Dr Stevenson s'intéresse particulièrement à la façon dont se manifeste le souvenir d'une vie antérieure. Il rapporte que, dans la plupart des cas, le sujet commence d'abord par voir mentalement se dérouler certains événements mais sans soupçonner qu'il est en train de se souvenir... Il se demande même parfois ce que représentent ces événements dans le champ de sa conscience. À l'étape suivante de l'anamnèse, le sujet en vient à s'intéresser plus précisément à l'un des acteurs de ces événements mais auquel il ne s'identifie pas encore. Il le voit de l'extérieur comme s'il s'agissait d'un acteur. Enfin, il en vient éventuellement à reconnaître ces événements comme des souvenirs et à s'identifier à cet ‘autre’ qu'il perçoit maintenant comme un double de lui-même. J'ai eu personnellement connaissance d'une expérience poussée de régression dans plusieurs vies antérieures qui s'est déroulée exactement selon la même structure. Le Dr Stevenson précise que certains aspects du méca-nisme d'identification ne sont pas sans évoquer ce qui se passe dans certains cas de schizophrénie ou de personnalités multiples. Pour un ésotériste, ce rapprochement n'a rien d'étonnant : certaines formes de dédoublement d'ordre psychique peuvent parfois s'expliquer par le souvenir d'une existence antérieure. Le processus d'anamnèse et le mécanisme d'identification que je viens de décrire à partir des commentaires du Dr Stevenson ne sont pas non plus sans évoquer la façon dont se déroule la revue de la vie après la mort, alors que l'entité voit des événements de la vie qui vient de s'achever sans soupçonner non plus qu'elle est en train de se souvenir, pour ensuite s'attacher à l'un des acteurs de ces événements... auquel elle en viendra à s'identifier. Le Dr Stevenson précise par ailleurs que l'identité de l'incarnation antérieure n'est jamais tout à fait la même que celle de la présente incarnation. Pour la raison que, d'une incarnation à l'autre, on ne peut pas être exactement le même... Ce que je suis maintenant, je ne l'ai jamais été dans une vie antérieure. Et je ne le serai jamais non plus dans une prochaine incarnation... Puisque la personnalité évolue d'une incarnation à l'autre. Le Dr Stevenson rapporte aussi que la plupart des sujets qu'il a étudiés possèdent des qualités (aptitudes, etc.) qu'ils n'ont pas eu l'occasion de développer au cours de la présente incarnation et qui sont précisément, selon les témoins interrogés, des qualités que possédaient les personnalités antérieures. Les observations du Dr Stevenson paraissent bien confirmer sur ce point ce qu'enseigne la pensée ésotérique, lorsqu'il note la persistance de similitudes mais aussi de différences entre les personnalités de deux incarnations successives. Mais le lien entre les deux paraît pourtant bien réel. "Il n'y a pas de substitution d'une personnalité par une autre, précise-t-il, mais continuité de l'une à l'autre." Et plus loin, ce commentaire qui me paraît particulièrement important dans le présent contexte : "Chez la plupart des sujets, la continuité entre leur personnalité présente et celle de leur vie antérieure correspond exactement à la continuité que chacun de nous éprouve entre sa personnalité présente et celle de l'enfant qu'il a été." Ce commentaire recoupe, encore une fois ce qu'enseigne la pensée ésotérique. Je vous propose maintenant un résumé d'un des cas rapportés dans Twenty Cases Suggestive of Reincarnation. Mais je crois nécessaire de rappeler qu'on ne doit porter de jugement sur les recherches du Dr Stevenson qu'à partir de ses propres communications et non à partir du résumé forcément succinct que j'en dois faire ici. | ||
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Si j'ai consacré plusieurs pages à la démarche du Dr Stevenson c'est qu'il me paraît celui qui est allé le plus loin dans ses recherches sur cette question difficile, et celui dont la méthodologie est la plus valable du point de vue scientifique. Il n'y a pas de doute dans mon esprit que si l'hypothèse de la réincarnation doit un jour être confirmée, nous le devrons en grande partie aux travaux du Dr Stevenson. Je partage là-dessus l'opinion exprimée par le Dr Harold Lief dans le même numéro de Journal of Nervous and Mental Diseases : "Ou bien il (Stevenson) fait une erreur colossale... ou bien il sera un jour considéré comme le Galilée du XXe siècle." Et comme lui, je suis enclin à penser que le Dr Stevenson occupera un jour une place importante dans l'histoire de la pensée scientifique. REF.: |
vendredi 13 novembre 2009
La réincarnation explorée par un scientifique
jeudi 12 novembre 2009
Cancer du sein: Le réseau de la santé doit mette en place un programme d'assurance-qualité
Des tests erronés au Québec
Il y a moins d'un an, à Terre-Neuve-et-Labrador, la commission d'enquête Cameron révélait que 400 femmes atteintes du cancer du sein avaient reçu un traitement inutile, ou pas de traitement du tout, en raison d'erreurs sur des tests réalisés dans un laboratoire de pathologie.
Or, il semble que cette situation ne soit pas unique et qu'elle pourrait se reproduire ailleurs au pays, notamment au Québec, où, chaque année, environ 6000 femmes reçoivent un diagnostic de cancer du sein.
Le Dr Louis A. Gaboury, président de l'Association des pathologistes du Québec, a révélé à Radio-Canada les résultats d'une vaste étude de contrôle de qualité qu'il a réalisée récemment. On y apprend qu'il y a peu de différence entre la performance des laboratoires terre-neuviens impliqués dans le scandale révélé en 2005 et celle des laboratoires du Québec.
Je pense qu'on est certainement à un pas de la situation qu'on a retrouvée à Terre-Neuve, il y a quelques années.
— Le Dr Louis A. Gaboury
L'étude portait sur les tests de marqueurs du cancer du sein. Ceux-ci permettent de déterminer si le cancer d'une patiente est hormonodépendant et quel traitement on doit lui offrir: soit l'hormonothérapie ou encore l'Herceptin. Les 25 plus importants laboratoires du Québec ont participé à l'étude.
En moyenne, l'étude révèle que 15 % à 20 % des tests sur les marqueurs pour l'hormonothérapie (ER/PR) étaient erronés. Et le pourcentage grimpe à 30 % sur les marqueurs pour le Herceptin (Her-2/neu). On parle ici d'un traitement qui coûte 50 000 $ par patiente.
Des marges d'erreur aussi importantes, dans un grand nombre de laboratoires, signifient que de mauvais diagnostics de traitement ont déjà pu être établis pour des patientes. « S'il y a 10 % de variation, ce qui veut dire que ce test est fait de façon routinière, qu'il y a des milliers de patientes qui ont des cancers du sein au Québec, ça veut dire qu'il y a plusieurs centaines de patientes au Québec qui ont, peut-être, un résultat qui n'est pas correct », s'inquiète le Dr Gaboury.
Refaire les tests?
Après avoir consulté l'étude, le chirurgien-oncologue André Robidoux, du Groupe de recherche en cancer du sein, au CHUM, pense qu'il pourrait être nécessaire de refaire les tests réalisés par certains des laboratoires les moins performants, comme ce fut le cas à Terre-Neuve. Il ne peut toutefois se prononcer sur le nombre d'années qu'il faudrait rattraper.
Le Dr Gaboury croit lui aussi qu'il faut refaire les tests, bien qu'il reconnaît que cet exercice pourrait s'avérer pénible et stressant pour beaucoup de femmes. À son avis, la décision appartiendra aux autorités gouvernementales. Il estime qu'il faut, dans un premier temps, « prendre l'exacte mesure de ce qui se passe, savoir combien, exactement, il y a de patientes qui pourraient avoir eu un test qui n'est pas tout à fait exact ».
Le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, le Dr Gaétan Barrette, abonde dans le même sens. « On est rendus là, et des actions doivent être prises, pour des raisons simples que les gens vont comprendre: va-t-il falloir vivre au Québec ce que Terre-Neuve a vécu pour que quelque chose se fasse? »
L'Association des pathologistes du Québec demande depuis longtemps au ministère de la Santé un budget pour mettre sur pied un programme complet de contrôle de qualité de ses laboratoires. C'est la seule façon, disent les pathologistes, de protéger les patientes contre un mauvais diagnostic. Toutefois, pour l'instant, ils n'ont pas obtenu de réponse du ministère.
Québec préoccupé
En entrevue au Téléjournal mercredi soir, le ministre de la Santé du Québec, Yves Bolduc, a déclaré que l'étude du Dr Gaboury était portée pour la première fois à son attention.
Il a ajouté qu'il la prenait très au sérieux et la trouvait préoccupante. Il entend scruter l'étude à la loupe, notamment sa méthodologie et sa rigueur scientifique.
Le ministre dit avoir mandaté l'Institut national de la santé publique (INSP) et le Collège des médecins afin de faire enquête sur la situation et de vérifier cette étude. L'INSP fera part de recommandations sur la marche à suivre, tant pour les cas passés que pour les cas actuels.
Le gouvernement compte agir rapidement dans ce dossier, a-t-il conclu.
D'après un reportage de Normand Grondin
Veut-on un nouveau scandale comme a Terre-Neuve !
* Pour les victimes de tests médicaux erronés en matière de cancer du sein à Terre-Neuve-et-Labrador et les autorités médicales avaient concluent une entente de de dédommagement 17,5 millions de dollars.http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/10/30/005-TNL-reglement-cancer.shtml
* «L'étude du Dr Gaboury, de ce qu'on a pu voir, c'est quand même une étude qui est bien faite», a reconnu M. Bolduc, qui, mettait en doute la rigueur de l'étude menée par le Dr Louis Gaboury, président de l'Association des pathologistes du Québec, parce qu'elle était financée par la compagnie pharmaceutique Hoffman-Laroche, le fabricant de la molécule anti-cancer Herceptin. Mais dans les faits,c'est simplement que le Dr Gaboury est le seul a dire que les Labos ainsi que les test de Cancer,ne sont pas safe au Québec,et qu'un Scandale comme Terre-Neuve nous guettent!!!
* Des contre-tests fait au USA ,au moins 5 patientes Québécoises auraient eu des tests erronnés.
Nota: Et la,on ne parle pas d'appareils désuets dans les hôpitaux,comme les rayons-X,autoclave,etc.........
mercredi 11 novembre 2009
Un pavé dans la mare?
En lançant un livre sur la souveraineté du Québec, l'ex-premier ministre du Québec Jacques Parizeau a réellement l'intention de prendre part au débat. À tel point qu'il a lui-même insisté pour lancer un blogue sur Internet afin d'échanger avec le public.
Quand on sait toute l'influence exercée par Jacques Parizeau sur le mouvement souverainiste québécois, on comprend que le lancement prochain de La Souveraineté : hier, aujourd'hui et demain est attendu avec une certaine appréhension dans les cercles politiques québécois.
Surtout que M. Parizeau, qui est âgé de 79 ans, n'a pas l'intention de lancer son livre et de se taire. Déjà, sa présence à l'émission Tout le monde en parle, dimanche prochain, est confirmée. Le bouquin, publié aux Éditions Michel Brûlé, sera lancé le lendemain, en même temps qu'un blogue qui sera en ligne pendant un mois sur le site de l'éditeur.
«C'est M. Parizeau lui-même qui a eu l'idée de ce blogue. M. Parizeau est très branché et souhaitait avoir ce moyen de discuter et d'échanger avec ses lecteurs et avec la population», explique la directrice des communications des Éditions Michel Brûlé, Dominique Spénard.
Michel Brûlé dit avoir fait savoir, il y a longtemps, à Jacques Parizeau qu'il n'avait qu'à lui faire signe s'il voulait publier un livre. Selon l'éditeur, le livre «tombe à un bon moment», alors que le Québec politique est dans un creux de vague et que les deux leaders souverainistes que sont Pauline Marois et Louise Harel «manquent de charisme».
La peur de la «belle-mère»
D'ailleurs, la chef du Parti Québécois, Pauline Marois, soutient ne pas craindre la sortie du livre de M. Parizeau, même si elle a indiqué ne pas avoir eu d'indications sur son contenu. «Je ne crains pas le livre de monsieur Parizeau. Il porte sur la souveraineté, et on a besoin de gens qui continuent de réfléchir et de nous alimenter sur la souveraineté», a-t-elle dit.
Une source au sein du Parti Québécois a quand même admis devant nous que ce n'était pas tant le livre de Jacques Parizeau que les entrevues qu'il accordera dans la foulée du lancement qui font peur à certains.
«Monsieur Parizeau a parfois le don de lancer des phrases qui portent à interprétation. C'est pour ça que certains craignent que ses déclarations puissent nuire politiquement à Mme Marois», nous a indiqué cette source.
* Le livre sera lancé en librairie officiellement le 18 novembre.
* Une édition en anglais, publiée sous le nom An Independent Quebec, the past, the present and the future sera aussi mise en vente au printemps 2010 par la maison d'édition Baraka Books. C'est l'auteur Robin Philpot qui a traduit l'ouvrage.
Un ver qui s’en prend à Google
Le ver Koobface vous dit peut-être déjà quelque chose. Il s’agit en effet d’un ver friand de réseaux sociaux, puisqu’il se répand notamment via Twitter, Facebook ou Myspace. Il a désormais trouvé un nouveau moyen de contamination, puisqu’il exploite désormais les comptes Google Reader de ses victimes.
Google reader également attaqué
Le ver se contente donc de détourner le compte Google Reader de sa victime, et se répand de cette manière en contactant d’autres utilisateurs. Concrètement, il envoie à ceux-ci une invitation à regarder une vidéo YouTube, et propose même une imitation de l’interface du site de vidéos de Google. Si l’utilisateur clique sur le lien, point de vidéo, mais à la place une invitation à installer une nouvelle version du plug-in flash, qui cache en réalité ledit ver.
Selon Trend Micro, 1300 comptes Google seraient déjà infectés par ce ver. Évidemment, une fois infecté, l’utilisateur verra son propre compte utilisé à son insu pour diffuser le fameux virus. Le ver agit de manière d’autant plus vicieuse qu’il utilise l’identité de personnes censées être fiables et qu’il propose en théorie du contenu venant d’un site connu (Google ou YouTube).
H1N1: Bêta testeur de vaccin, a notre insus
C'est un peu ce qui dit ,Guylaine Lanctôt,l'auteur de "La Mafia Médicale" édité en 1994 et réédité en 2002.
Nos soldats en Afghanistan vaccine leurs détenus Afghans, a tour de bras :O)
Et que la Cie GlaxoSmithKline,vient de signer un accord avec l'OMS pour faire don de 50 millions de doses de vaccin H1N1 aux pays en développement. Ce don, salué par Margaret Chan, intervient en même temps que l’homologation aux Etats-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) du nouveau vaccin anti H1N1 sans adjuvant de GSK et qu’une nouvelle commande du Département de la santé américain de 7,6 millions de doses.
Ça c'est du Bêta Testage !!!$$$!!! a grand échelle !
«Nous saluons ce don très généreux de GlaxoSmithKline qui permettra de protéger la santé des populations les plus démunies dans le monde. C’est un geste réel de solidarité mondiale envers ceux qui, autrement, ne pourraient pas avoir accès à ces vaccins », a déclaré le Dr. Margaret Chan.
Oui,mais pourquoi on n'est pas capable de faire pareille avec le vaccin du Sida,et autres maladies mortelles ??? ,,,,,,,,.......................Pensez-s'y :O)
REF.: