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vendredi 14 mai 2010

Facebook : certains sites Web ajoutent secrètement des applications à votre compte

C'est Macworld qui a révélé l'information. Les sites qui exploitent Open Graph installent automatiquement une application sur le profil Facebook de l'internaute quand ils sont visités.

Rappelons qu'Open Graph est le remplaçant de Facebook Connect. Il permet l'échange d'informations entre Facebook et les sites qui l'intègrent sur les visiteurs connectés simultanément au site et au réseau social. Le but est d'offrir une navigation personnalisée et des interactions plus poussées, comme l'ajout d'un film sur le profil Facebook à partir d'une fiche sur IMDB.

Concrètement, chaque site qui veut permettre la connexion via le protocole doit créer une application spécifique à son nom. Cette méthode est populaire chez les sites d'information et blogs pour permettre de laisser des commentaires sans s'inscrire. « Le réseau de blogs Gawker, le Washington Post, TechCrunch, CNET, New York Magazine et formspring.me » l'utilisent par exemple, selon Macworld.

Problème : cette installation automatique qui se justifie avec la personnalisation instantanée activée ou une identification volontaire l'est moins quand on accède à un site en simple visiteur. Même dans ce cas, l'application est ajoutée au profil de l'internaute, dans la catégorie « récemment utilisées ».

Aucune désactivation possible

Autre conséquence, quelque peu orwellienne, un utilisateur peut savoir qui de ses amis a visité tel site en se rendant sur la page Facebook de l'application officielle.

David Swain, le porte parole du réseau, affirme à Macworld que ce comportement est « un bug » désormais corrigé et « qu'aucune information n'a été partagée avec ces applications ». Aucune application non autorisée ne sera désormais ajoutée, assure-t-il, même si celles déjà présentes devront être supprimées manuellement.

Après les récents déboires sur la confidentialité du service, ce nouveau couac peut tout de même prêter à inquiétude.

Si ce « bug » persiste, il est impossible d'empêcher cette installation automatique. Il est toujours possible de les supprimer à la main et de se déconnecter de Facebook avant d'aller sur ces sites. A juger entre praticité et vie privée donc.

Bientôt la localisation des statuts

Selon AdvertisingAge, Facebook serait également sur le point d'introduire la possibilité de géolocaliser les statuts. Une information supplémentaire que Kevin Colleran, directeur américain des ventes pour Facebook, indique ne pas voir être monétisés tout de suite.

McDonald's serait pourtant déjà intéressé par les nouvelles possibilités qu'offriraient des options de géolocalisation, notamment sur les ventes en magasin. Selon Mashable, « cette intégration impliquera leurs utilisateurs en se présentant aux restaurants McDonald's et en mettant en avant des produits dans leurs publications. La publicité numérique et les entreprises de marketing de tout le pays se préparent à construire des campagnes autour de ces nouvelles fonctionnalités. »

Facebook pourrait donc rapidement mettre à mal le fragile écosystème de la géolocalisation sociale, notamment Foursquare ou Brightkite en leur prenant le juteux marché de la publicité locale.



REF.:

samedi 8 mai 2010

Québec: Bientôt,800 000 baby-boomers malades dont 240,000 n'auront pas les moyens de payer leurs soins

BABY-BOOMERS ET RETRAITE

La Santé et les Services sociaux vont devoir s'adapter


Plus de la moitié des baby-boomers du Québec vont probablement devoir recourir à l'aide des CLSC au moment de leur retraite, selon un sondage réalisé pour le compte de l'association qui regroupe les établissements du réseau.

En effet, selon ce sondage CROP, 21 % des personnes âgées de 50 à 64 ans disent qu'elles se préparent pour leur retraite, mais estiment quand même qu'elles vont devoir recourir aux services de l'État. 19 % de ces personnes ne se préoccupent pas de leur retraite et, donc, ne s'y préparent pas. Enfin 16 % des baby-boomers se voient vieillir isolés, pauvres et en mauvaise santé.

Or, si on compte 1,6 million de baby-boomers dans la population québécoise, ce sont plus de 800 000 personnes qui vont massivement partir à la retraite au cours des prochaines années et, éventuellement, recourir aux services d'aide à la vie quotidienne des CLSC : repas, ménage, soins d'hygiène, etc. Présentement 174 000 personnes y ont recours.

À l'Association des établissements de santé et de services sociaux, on dit qu'il va falloir travailler en prévention pour s'assurer que les baby-boomers demeurent autonomes et en bonne santé le plus longtemps possible et puis, qu'éventuellement, il va falloir s'organiser pour répondre à la demande.

Car demande, il y aura. En effet, seulement 30 % des baby-boomers estiment qu'ils vont avoir les moyens de payer pour ces services, une fois à la retraite.



vendredi 7 mai 2010

When a member play with Tagged Staff what can happen ?




Come On Tagged...You did it again and again, Deleting innocent Pets Players!
You did a Great Job! How many Percentage of commisions you earned in cheating your members?
hahahahaha...Buying Golds and Change it into Cash??? Wow, Huge Profit...hahaha
Come On Tagged Admin.... Share your profits or donate some in my Foundations (Crown Love of Royal Blood Foundations) You will help a lot of People in my Foundations uplifting their life style...hahaha, instead of cheating your members, ..be fair and help me.
Good Deeds Broings Luck to your Site!
Please Repost my message so that TAGGED will noticed it.
Thank you!
With Love and Care,
DEO☺♥P.W.♥ ¶RoyalBLooD☻
Founder Of CLORBF, and
CEO of NHRRC
You and 1 person like this

Fini l'accès internet illimité !

Le CRTC a tranché: tous les abonnés aux services Internet de Bell, qu'il s'agisse de particuliers ou d'acheteurs en gros, pourront se voir facturer des frais supplémentaires en fonction de leur utilisation de la bande passante.

La décision du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes s'applique aux personnes qui ont encore des contrats sans restriction, mais aussi aux acheteurs en gros, qui achètent chez Bell et revendent à leur tour la connexion aux particuliers.

Concrètement, cela signifie que la limite de consommation sera fixée à 60 gigaoctets pour une connexion de 5 mégabits par seconde, à 20 gigaoctets pour une connexion de 2 mégabits par seconde et à 2 gigaoctets pour une connexion de 512 kilobits par seconde. Une fois ces limites dépassées, Bell pourra exiger de son client qu'il paie 1,12 dollar par gigaoctet de plus, jusqu'à concurrence de 22,50 dollars par mois.

Cette nouvelle grille sera mise en application auprès des grossistes dès que Bell l'aura appliqué à l'ensemble de ses abonnés particuliers.

Les audiences relatives à cette décision ont eu lieu en août dernier et les consommateurs s'étaient massivement opposés à la volonté de Bell d'introduire la facturation à l'utilisation.

D'ailleurs, le spécialiste des questions de télécommunications de l'Union des consommateurs, Me Anthony Hémond estime que «c'est une décision extrêmement malheureuse» qui signe l'arrêt de mort des offres d'accès internet illimités, en plus de décourager la concurrence, car elle impose un mode de facturation unique.

Pour sa part, Bell estime que cette décision va lui permettre de réduire la congestion sur son réseau. L'entreprise avait déjà avancé cet argument en 2008 pour convaincre le CRTC de lui permettre de ralentir le trafic des clients de fournisseurs indépendants qui achètent leur capacité sur le réseau téléphonique de la division Bell Canada.

Le Conseil avait là aussi tranché en faveur de Bell bien que l'Association canadienne des fournisseurs Internet (ACFI) se soit plainte que les pratiques de l'entreprise étaient discriminatoires.



REF.:

Antivirus de la frime !

Gare aux faux antivirus




Étude de Google - Gare aux faux antivirus
Sur cette image, une alerte en apparence légitime cache en fait un logiciel malveillant prêt à s'installer.
© Google

Une étude publiée par Google indique que les fenêtres contextuelles (pop-up) de faux antivirus représentent à elles seules 15% de tous les logiciels malveillants sur Internet.

Les faux antivirus se manifestent sous forme de fenêtres contextuelles en ligne signalant qu'un virus ou un logiciel espion a été détecté, invitant l'utilisateur à installer ou à démarrer une mise à jour ou un nouvel antivirus.

Ces fenêtres n'ont toutefois rien à voir avec les programmes antivirus légitimes. Lorsque l'utilisateur clique sur ce genre de fenêtre intruse, celle-ci installe un logiciel malveillant — un programme malicieux destiné à infiltrer l'ordinateur et à y foutre le chaos, à soutirer des renseignements personnels ou encore à en faire une station d'envoi de pourriels au sein d'un botnet.

Dans certains cas, le design des fenêtres peut être fort convaincant d'authenticité, installant chez l'internaute un faux sentiment de sécurité.

«De plus en plus de faux sites antivirus évoluent en intégrant du code JavaScript complexe pour imiter l'allure et l'ergonomie de l'interface Windows», selon le rapport de Google. «Dans certains cas, le faux antivirus identifie le système d'exploitation animant la machine ciblée et ajuste son interface en conséquence.»

Google a analysé 240 millions de pages Web entre janvier 2009 et février 2010, découvrant 11 000 domaines impliquant la distribution de faux antivirus. Les faux antivirus constituent la moitié de tous les logiciels malveillants distribués au moyen de publicités.

Ces chiffres sont malheureusement à la hausse. Au cours de la première semaine de janvier 2009, Google a identifié 93 faux domaines antivirus uniques. Lors de la dernière semaine de janvier 2010, le moteur de recherche en a trouvé 587.

Au cours de cette étude de 13 mois, la proportion de faux antivirus est passée de 3% à 15% dans la comptabilisation de logiciels malveillants.

Google souligne que la sécurité logicielle améliorée encourage la croissance d'arnaques ciblant particulièrement l'utilisateur. Plus il est difficile d'exploiter des faiblesses dans les logiciels, plus il devient logique de s'en prendre aux failles dans les connaissances des internautes.

«Les systèmes informatiques sont de plus en plus difficiles à piéger et les stratégies d'ingénierie sociale ou de piratage psychologique constituent un vecteur d'attaque de plus en plus populaire pour inciter des utilisateurs à livrer les mêmes renseignements sans avoir à passer par une brèche particulière», de conclure Google.