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jeudi 24 juin 2010

La SQ reprend la surveillance aérienne

Les automobilistes au pied pesant qui circulaient sur l’autoroute 10 en Estrie, samedi dernier, ont eu une mauvaise surprise. C’est à cet endroit que la Sûreté du Québec a repris la surveillance aérienne, une mesure qu’elle avait abandonnée il y a douze ans.

Samedi, à Sherbrooke, en deux heures et demie, seize constats d'infraction ont été émis; treize pour des excès de vitesse, un pour un dépassement par la droite et deux pour un virage en U.

Ces contraventions ont été distribuées dans le cadre de la première opération d’un nouveau projet pilote. Jusqu’au mois de septembre, un Cessna de la SQ survolera certaines autoroutes. En tout, 212 heures de vol sont prévues dans quatre régions du Québec.

Ces opérations de surveillance de la vitesse auront lieu à des lieux déjà identifiés soit en Estrie, sur l’autoroute 10, au Saguenay-Lac St-Jean sur la route 175 et l’autoroute 70, en Montérégie sur les autoroutes 10 et 20 et dans la région de la Capitale nationale, sur les autoroutes 440 et 40.

Pour être efficace, la surveillance de ces endroits doit se faire sur un tronçon d’au moins deux kilomètres. C'est à partir de marques au sol que le policier à bord de l'avion peut établir la vitesse d'un véhicule en utilisant un chronomètre. La SQ se donne l’été pour évaluer la pertinence de l’opération.

Les chantiers de construction à l’oeil

Mais les 212 heures de vols serviront aussi à surveiller le reste du réseau routier, souvent très occupé en raison de la période estivale avec les nombreux chantiers de construction.

«Les appareils aériens peuvent être utilisés au niveau des sites de construction, au niveau d'autres axes routiers qui peuvent être identifiés plus tard ou être ciblés comme problématiques», explique Louis-Philippe Ruel, de la SQ.

L'ancien responsable de la Sécurité routière pour la Sûreté du Québec, Robert Poëti, approuve une telle initiative. «On va chercher probablement les infractions qui sont beaucoup plus difficiles à aller travailler pour les policiers; les téméraires impatients vont doubler par le côté, vont utiliser la voie de la mauvaise façon, vont rouler beaucoup trop vite à l’intérieur des sites de construction.»



REF.:

Poem a mon Père:

On ecrit,on parle pour soi,même si je parle de mon père,je parle pour vous,je parle pour l'homme,qui véhicule l'énergie Christique!
Ça prend toute une vie pour le comprendre ,mais un instant pour le réaliser!
C'est instantané ! Ne vous en faites pas !


La maladie ,non je ne la voit pas ,tout comme un clown ou le père noel ,je voit l'homme derrière,je voit l'homme et son âme, tel qu'il est !

Non je ne refuse pas la maladie,je ne crois pas au pere noel non plus, non je voit ce qui est derriere et ce qui l'anime!

Ce qui l'anime c'est la vie, c'est le présent, c'est le divin, tout comme de regarder un papillon qui prend son vol vers son destin , le destin ,c'est rien , c'est pas le future, non .......c'est le présent................. c'est sentir le frottement de l'air sur les ailes du papillon, et non son destin ,quel qu'il soit !

La vie c'est ça !
L'Alzheimer, c est le destin de mon père, le present c'est l homme qu'il est,c'est l'âme ,c'est le christ dans l homme sans mémoire ,c'est le Christ dans l'homme présent qui ne pense pas , c'est le Christ dans l'homme malade tel qu'il est au présent dans cette instant,...... le voyez vous!

Non, pas besoin de verre fumée ,cette lumière éblouissante ne vous aveuglera pas, elle vous envahira tout simplement,et allant vers votre coeur pour vous éclairez , laissez-vous envahir , accepter cette lumiere le temps d'un instant et garder la, dans votre coeur pour la faire grandir, elle est a vous ,elle n'appartient a personne ,elle ne sera jamais posséder ,elle voyage seulement dans le présent , la gouter c'est la vivre, c'est votre étincelle qui provient du feu sacré de l'éternel !

Oui,mais quoi faire avec un Alzheimer ?
La maladie vous montre le chemin,élèvera votre conscience.
Perdu dans ses pensées,faut retrouver le file,suivre sa pensée, c'est de vivre le présent dans sa folie ,je suis fou,oui,nous aussi, mais tous les 2 nous savons que nous sommes fou !
La folie n'est rien quand on se rejoint dans cet instant présent.
Je m'abandonne a lui,tout comme a mon Père des cieux.

Tel que je le voit,Oui,Je l'ai toujours vu tel quil est!
L'avez vous vu ?
Non ,enlever vos lunettes fumées,mettez-vous a nu,accepter le tel qu'il est,c'est l'accueillir.Il n'aura pas d'autre choix que de vous retourner votre amour!

Pas de douleur,pas de rancune, pas d'orgeuil,pas d'égo,pas de peine,juste l'âme mise a nue pour vivre le divin!
Vivez pleinement et penser plus tard ,votre conscience veillera sur vous!
Donner et vous recevrez plus tard.
En d'autres mots: L'instabilité de la matière,vous prépare a accepter la lumière du Divin.Cette lumière qui vous est imposée,pulvérisera votre égo,pour que vous puissiez enfin voir ce que vous avez refuser durant toute votre vie ,dans votre recherche de la stabilité du bonheur.
L'illusion que vous créez,par votre refus du réel,ne fait que vous revenir en pleine face.Elle n'est que votre propre création ,et vous n'êtes que la solution !
L'extérieur,ne peut que vous démontrer ,de ce qui est le plus beau a l'intérieur de vous.
Et l'intérieur rayonnera pour devenir ,libre et rempli d'amour!

mardi 15 juin 2010

Le bilan du H1N1 est de 18 156 morts,c'est moins qu'une grippe saisonnière !


Alerte pandémique - Le bilan du H1N1 est de 18 156 morts
Le virus, qui a fait frémir la planète pendant plusieurs mois.
© AFP

GENÈVE - La grippe H1N1, déclarée première pandémie du 21ème siècle il y a un an jour pour jour, a provoqué la mort avérée de 18 156 personnes, soit considérablement moins qu'une grippe saisonnière, a annoncé vendredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Le virus, qui a fait frémir la planète pendant plusieurs mois après l'alerte pandémique lancée par l'OMS le 11 juin 2009, est désormais «globalement peu actif» dans le monde, a indiqué un porte-parole de l'agence onusienne à l'AFP, Gregory Hartl.

Selon une note de l'organisation, le virus évolue de manière «sporadique» dans les zones tempérées de l'hémisphère sud qui entre dans l'hiver austral alors qu'une «transmission active mais déclinante» est relevée dans les régions tropicales.

La «vigilance» reste toutefois de mise, en particulier pour les personnes à risque comme les femmes enceintes et les jeunes, a mis en garde M. Hartl car, a-t-il dit, «le H1N1 devrait très certainement rester le virus dominant l'hiver prochain».

Le porte-parole a d'ailleurs souligné que les données rapportées par l'OMS étaient «sans aucun doute sous-estimées».

«Il est difficile de donner des chiffres exacts, nous les aurons d'ici deux ans», quand le virus aura disparu, a-t-il ajouté estimant que les vraies données étaient «probablement plusieurs fois» supérieures à celles annoncées.

Il n'en reste pas moins que les grippes saisonnières font habituellement au niveau mondial 250 000 à 500 000 décès, selon l'OMS, soit largement plus que ces projections.


Les anticorps mutant de la grippe Espagnol de 1918 se sont reliés de façon plus solide que d'autres anticorps aux cellules des malades.Ce qui les rends plus efficaces!

Un fait intéressant ,quand les scientifiques ont testé les anticorps provenant des survivants(de ceux qui ont eut la grippe Espagnol de 1918) sur des souris infectées,ils l'ont fait dans un laboratoire de biosécurité des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) d'Atlanta ,en Géorgie.Test sur 32 personnes de 92 a 102 ans,toutes exposées au virus de la grippe espagnol de 1918.

L'idée a surgi a la suite de la diffusion d'un épisode de la série télévisée Medical Investigation ,explique le Dr Altschuler.Une ville était infectée par le virus de 1918 et des médecins traitaient les habitants avec du sang donné a contrecoeur par un vieux maître d'hôtel survivant de l'épidémie . C'est ce qui a conduit ce scientifique a rechercher des anticorps chez les gens âgés de plus de 90 ans.


Ce qu'ont n'en dit:un an après(26-10-2010)

Un an après le début de la vaccination massive, Marc Zaffran persiste et signe. Le médecin d'origine française estime que la vaccination massive était inutile et basée sur des craintes non fondées.

À LIRE ÉGALEMENT:

  • Il y a un an, c'était le chaos

  • Vous n'êtes pas protégés cette année

  • «J'ai toujours été très ferme là-dessus ; on n'avait pas besoin de vacciner tout le monde, même si c'était légitime de vacciner les gens plus fragiles», dit le chercheur invité du Centre de recherche en éthique de l'Université de Montréal.

    Il donne en exemple la Pologne, où l'on n'a donné aucun vaccin et où l'on n'a pas vu une hécatombe. Même chose en France, où la vaccination a été très peu populaire, notamment à cause de l'opposition très visible de certains médecins. «C'était prévisible. Dans les mois précédant la vaccination, il y avait eu la saison de grippe dans l'hémisphère sud. Il n'y a pas eu de catastrophe dans des pays comme la Nouvelle-Zélande, l'Australie et, même, le Brésil.

    Il reproche aux autorités de santé publique de la province d'avoir voulu culpabiliser ceux qui ne se faisaient pas vacciner. «Ce n'est pas normal de faire peur aux gens, de les faire culpabiliser s'ils ne se font pas fait vacciner, de leur dire qu'ils seront dangereux pour les autres personnes», déplore-t-il.

    Marc Zaffran va plus loin en disant qu'une épidémie comme la grippe espagnole est impossible dans les pays occidentaux modernes. «La fragilité des gens a diminué depuis 100 ans. Je pense personnellement que l'idée d'un virus mortel qui tuerait 40 millions de personnes est un fantasme qui ne repose sur aucune évidence scientifique», soutient celui qui n'a pas reçu de vaccin contre la grippe depuis au moins quinze ans.

    REF.: canoe, du 19 Août 2008,26 Dec 2010; Dr Eric Altschuler,de l'Université de médecine du New Jersey,

    Garda : 1 vs SPVM : 0

    Inquiétudes sur la «police à deux vitesses» - Sortie de Garda contre le SPVM
    Stephan Crétier
    © TVA Nouvelles

    MONTRÉAL - Stephan Crétier, PDG de l'entreprise de sécurité Garda (GW), a fait une sortie en règle contre la police de Montréal qui n'aurait pas sa place dans les services de sécurité privés.

    «Si vous voulez vous amuser, allez sur le site Web de ce cher SPVM Inc et passez à travers les services offerts. On offre des escortes pour des cortèges funéraires. On fait du transport de valeurs. Ils vont faire quoi, acheter les camions de BCIA?», a dit Stephan Crétier.
    Le PDG de Garda en a donc long à dire sur la stratégie d’autofinancement de la police. «Ça ne fait pas très sérieux. J’aimerais passer quelques conseils à notre jovialiste de maire de Montréal en lui disant qu’il serait peut-être important que le mandat du prochain directeur de police soit de desservir la population et de s’assurer que nous soyons en sécurité à Montréal, non pas de créer la Corporation de sécurité SPVM», a-t-il dit.
    Stéphan Crétier s’en donne à cœur joie pour brandir les journaux de vendredi matin. Citant un texte de l’Agence QMI repris dans le Journal de Montréal, il rappelle que la commercialisation des services policiers, c’est 527 mandats pour 1,6 M$ en 2007. En 2009, il y a eu 803 mandats valant 4,2 M$.
    Montrant la Une du journal La Presse, il souligne que la police est toutefois trop débordée pour réagir devant les agressions sexuelles.
    C’est sans oublier d’autres crimes, a dit M. Crétier. «Quand une réponse d’alarme est gérée par deux policiers payés 70 000 $ par année plus les avantages, quand ce sont des services privés qui font ça dans les grandes villes du Canada et des États-Unis […] c’est ridicule.»
    «Laissez votre auto au centre-ville, poursuit-il. Je suis président d’une compagnie de sécurité et je ne sais pas combien de fois on a défoncé les vitres de ma voiture. Mais passez devant la ligne blanche sur Crémazie à l’angle de Papineau et vous verrez dix policiers. Il faut se plaindre de ces choses-là.»
    Des PPP comme solution
    Garda suggère d’aller en sens inverse. L’entreprise aimerait que l’on confie la surveillance d’événements et de parcs à des sociétés privées, même si ce n’est pas la sienne.
    Il dit se porter à la défense des petits acteurs de son industrie, qui compte 35 000 agents dont la compétence est reconnue au Québec. «Nous ne sommes pas touchés en raison de notre taille. Mais pensez aux entreprises familiales qui doivent concurrencer le SPVM», a dit le patron de Garda.
    Le public serait-il aussi bien servi par des entreprises demandant moins d’argent que des policiers? Stéphan Crétier en est convaincu.

    Tâches administratives pour un sergent du SPVM


    Le juge donne des bonbons,même quand c'est pas l'Halloween !
    Reconnu coupable de voies de fait - Un sergent du SPVM destitué


    MONTRÉAL - Près de cinq ans après avoir commis des voies de fait sur un suspect arrêté pour conduite avec facultés affaiblies, le sergent Serge Germain du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a finalement été destitué de son poste, une mesure exceptionnelle.

    Dans une décision rendue le 4 juin, le Comité de déontologie policière rappelle que le sergent Germain a dérogé au code de déontologie des policiers du Québec en frappant au visage un détenu, Michael Helps, en juin 2005 et que, conséquence de ces actes, le policier serait destitué.

    Libération houleuse

    Les faits à l’origine de ce dossier remontent au 26 juin 2005, alors que des agents du SPVM interceptent la victime dans cette affaire, Michael Helps, 25 ans, pour ivresse au volant.

    Le détenu, agressif et intoxiqué, est arrêté et emmené au poste opérationnel-sud pour y subir un test d'ivressomètre à la suite duquel il sera incarcéré.

    Selon les faits rapportés, Michael Helps serait demeuré agité durant toute la nuit, mais les policiers ont tout de même pris la décision de le relâcher.

    Dans les instants suivant la sortie de sa cellule, le détenu s'en est pris aux trois policiers qui procédaient à sa remise en liberté. C’est à ce moment que le sergent Germain est intervenu en assénant deux coups de poing au visage de la victime.

    Lors du procès, qui s’est conclu le 7 mai 2009, M. Germain a admis avoir frappé le détenu, mais il soutenait, à ce sujet, avoir agi en légitime défense. Cet argument a été rejeté par le juge qui a conclu à la culpabilité du policier.

    À cette occasion, le procureur de la couronne, Vincent Martineau avait plaidé «qu’un policier doit être traité comme tout citoyen. Donc s'il pose des gestes qui sont répréhensibles, il sera traduit en justice et sera sanctionné pour les gestes qu'il a posés».

    Sanction grave?

    Il est rare qu’un policier soit destitué de son poste. Dans les quelques cas ou les policiers sont démis de leurs fonctions, c’est en raison de faits graves.

    Dans le cas présent, le procureur de la Couronne a rappelé qu’en plus d’avoir enfreint le code de déontologie policière, le sergent Germain avait aussi enfreint l’article 266b du Code criminel qui consiste à employer la force sur une autre personne sans son consentement.

    Il peut s’agir d’un simple toucher de la main, de cracher sur la personne ou encore de la frapper: le degré de force utilisé importe peu. Les voies de fait peuvent aussi consister en la menace d’utiliser la force, ou encore en importunant une personne à l’aide d’une arme.

    «L’acte reproché au policier est considéré comme criminel», mentionne Me Mario Bilodeau, avocat au Comité de déontologie. La décision de la Ville de Montréal de destituer le policier s’explique plus aisément puisque c’est la Loi sur la police qui a été enfreinte.

    En ce qui a trait à une suite dans ce dossier, comme les deux parties dans ce dossier s’étaient montrées d’accord avec la sanction, Me Bilodeau, affirme que la décision ne sera pas appelée.

    Jusqu’au moment de la décision rendue par le Comité de déontologie policière, le sergent Germain avait été confiné à des tâches administratives.



    REF.: