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lundi 11 octobre 2010

Le premier écran 3D sans lunettes,par Toshiba commercialisé en fin 2010

Le conglomérat industriel japonais Toshiba va commercialiser à la fin de cette année des téléviseurs de petite et moyenne tailles qui permettent de voir des images en trois dimensions (3D) sans porter de lunettes spécifiques, une première, a annoncé lundi le groupe nippon.


Toshiba 3D Regza GL1
Toshiba va proposer en décembre au Japon deux modèles à écran à cristaux liquides (ACL), de diagonale de 12 et 21 pouces (30,5 et 54 centimètres).

Jusqu'à présent, tous les téléviseurs compatibles 3D disponibles exigent le port de lunettes spéciales qui agissent comme des filtres pour séparer les images destinées à chacun des deux yeux.

Toshiba, qui prévoit d'offrir par la suite des modèles de dimensions supérieures, avait déjà à plusieurs reprises fait état de ses avancées et ambitions dans ce domaine.

«Le développement de téléviseurs 3D sans lunettes n'est pas qu'un simple programme de recherche, c'est un engagement industriel», avait récemment affirmé un chercheur impliqué dans ces travaux.

La technique choisie par Toshiba s'appuie sur un dispositif optique à la surface de l'écran, assimilable à un ensemble de micro-lentilles, et à un dispositif de traitement numérique complexe. Le tout permet d'orienter les faisceaux lumineux de telle sorte que le téléspectateur voie des images en relief, et ce en exploitant des données correspondant à neuf angles de vue d'une même scène originale.

Toshiba assure que cette technologie ne fatigue pas tant les yeux que celle des écrans requérant des lunettes, même en cas de visionnage prolongé.

Le compatriote de Toshiba, Sharp, a également mis au point des écrans de diverses tailles qui ne nécessitent pas de lunettes. Toutefois, il faut se positionner à un endroit précis en face pour effectivement voir le relief, ce qui n'est pas adapté aux téléviseurs, souvent regardés par plusieurs personnes placées côte à côte.

Les écrans de Sharp sont en revanche parfaits pour les petits appareils personnels comme les consoles de jeu vidéo portables, telle que la Nintendo 3DS qui sortira en février 2011 au Japon.REF.:

Cellulaire Android: Comment choisir son multifonctions Android

Google Phone Gallery - Comment choisir son multifonctions Android
Pour les consommateurs qui s'intéressent aux téléphones sous Android, le système d'exploitation de Google, le processus du choix vient tout juste de se simplifier.

Si vous êtes à la recherche d'un nouveau téléphone intelligent, vous avez probablement passé des heures à essayer de déterminer lequel est le mieux adapté à vos besoins. Voici un petit tour d'horizon du marché pour vous aider à faire votre choix.


L'offre est tellement vaste qu'il n'est pas aisé de faire son choix, surtout si vous prenez en compte les achats de téléphones intelligents qui s'accompagnent d'un engagement de deux ans (comme c'est souvent le cas).

Il y a cinq ans, les deux facteurs d'achat les plus importants étaient le nom de l'opérateur et la marque du téléphone, mais d'autres facteurs sont venus s'y ajouter au fil des ans.

Les clients doivent dorénavant faire un choix entre les téléphones multifonctions et les téléphones intelligents, l'écran tactile et les boutons, le pavé numérique ou le clavier QWERTY, un contrat qui inclut le téléchargement de données ou non, le système d'exploitation multitâches ou facile d'utilisation, «ouvert» ou «fermé», etc. Tous ces facteurs doivent être pris en compte avant de décider le nom de l'opérateur ou la marque du téléphone!

Pour les consommateurs qui s'intéressent aux téléphones sous Android, le système d'exploitation de Google, le choix vient tout juste de se simplifier.

«Ici, chez Google, nous sommes ravis de l'adoption d'Android à travers le monde et de la grande qualité des téléphones qui arrivent sur le marché. Puisqu'il existe autant de téléphones de grande qualité, nous voulions rendre le processus de décision un peu plus simple pour les personnes qui veulent s'acheter un nouveau téléphone», a annoncé Google sur sonblogue, le 29 septembre.

Le géant d'Internet vient de mettre en ligne le siteGoogle Phone Gallery, qui permet de comparer les différentes caractéristiques (fonctionnalités, design) de chaque téléphone sous Android en vente dans votre pays.

Ce nouveau service est le bienvenu dans un marché de plus en plus fragmenté, et les consommateurs apprécieront de ne plus avoir à consulter les sites des différentes marques et opérateurs pour faire leurs études comparatives.

Le site de Google aide les clients en phase de prospection à faire leur choix, en faisant une recherche par pays, fabricant ou opérateur, et en proposant des comparaisons techniques entre les téléphones qui les intéressent.

Le site http://www.google.com/phone contient des infos sur les téléphones sous Android qui donnent accès à la boutique d'applications Android Market, Google Search et d'autres services Google Mobile (comme Gmail, Maps et YouTube) pour l'Argentine, l'Australie, le Brésil, le Canada, la France, l'Allemagne, l'Italie, le Japon, la Corée du Sud, le Mexique, la Pologne, Singapour, l'Espagne, le Royaume-Uni et les États-Unis.

Le site devrait bientôt s'étoffer avec davantage d'infos sur les téléphones sous Android, et un plus grand choix de pays et d'appareils sous contrat avec d'autres opérateurs.

Si vous n'avez pas encore trouvé le téléphone intelligent de vos rêves, les liens ci-dessous vous fourniront des informations supplémentaires pour vous aider à faire votre choix. On y trouve des conseils utiles pour identifier vos besoins, des conseils concernant la signature du contrat, et des tests et critiques des derniers modèles de téléphones intelligents sur le marché.

http://cnettv.cnet.com/choosing-right-smartphone/9742-1_53-50070738.html

http://cell-phones.toptenreviews.com/smartphones/

http://reviews.cnet.com/best-smartphones/

http://www.engadget.com/2010/06/07/iphone-4-vs-the-smartphone-elite-evo-4g-n8-pre-plus-and-hd2/

http://www.consumersearch.com/cell-phones/best-smartphones

http://www.geektown.ca/2010/04/how-to-choose-a-smartphone.html


REF.:

GoogleTV sur : des téléviseurs des lecteurs de DVD Blu-Ray de Sony,sur des décodeurs Logitech,et arrive Netflix avec Amazon

Internet - Google lance Google TV


NEW YORK — Le groupe internet Google a lancé une offensive médiatique lundi, avec des pages de publicité, un nouveau site et l'ouverture d'un blog, pour présenter son système «Google TV» qui permettra de regarder sur un même écran les chaînes de télévision et les programmes de l'internet.

Sur un blog qui lui est dédié, un responsable de ce nouveau produit, Ambarish Kenghe, a expliqué que «des appareils fonctionnant avec Google TV vont faire leurs débuts ce mois-ci», avec des téléviseurs et lecteurs de DVD Blu-Ray de marque Sony, et des décodeurs Logitech.

Sony doit présenter ses appareils la semaine prochaine à New York.

Côté programme, Google a expliqué que plusieurs poids lourds de la télévision américaine, Turner Broadcasting (groupe Time Warner), NBC Universal et HBO (groupe Time Warner), ainsi que l'organisateur du championnat de basket la NBA, travaillaient à des applications pour optimiser la réception de leurs chaînes sur le nouveau système.

Parmi les grands noms du web, Amazon et Netflix fourniront des films à la demande, tandis que les journaux New York Times et USA Today, les diffuseurs de musique comme Pandora, Vevo et Napster, ou encore le site de microblogs Twitter travaillent à l'expérience.

«Les gens "tweetent" sur les émissions de télévision au moment où ils les regardent. De leur côté les médias trouvent de plus en plus de nouveaux moyens d'incorporer les "tweets" dans leur programme», ont fait valoir des responsables de Twitter sur leur blog officiel pour annoncer «Twitter pour Google TV»: «cela amène Twitter sur une plateforme qui marie l'internet et la télévision dans une seule expérience». En mai, Google avait indiqué que le fabricant de microprocesseur Intel, l'éditeur de logiciels Adobe, le distributeur Best Buy et le bouquet satellite Dish Network étaient également partenaires de Google TV.

Les nouveaux appareils offrant cette fonctionnalité arriveront sur un marché où existent déjà plusieurs téléviseurs connectables à internet.REF.:

samedi 9 octobre 2010

Industrie de la construction Fraude: une escouade spéciale

Fraude: une escouade spéciale

Agence QMI Éric Thibault
05/10/2010 23h24

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QUÉBEC – Promise il y a presque un an par le gouvernement Charest, la nouvelle «escouade tactique d’intervention» de la CCQ vient de plonger dans les eaux troubles de l’industrie de la construction.

À LIRE ÉGALEMENT:

375 millions $ de moins «au noir»

Cette brigade d’une quarantaine d’«investigateurs d’élite» – d’ex-policiers, des avocats, des juricomptables et des inspecteurs d’expérience au sein de la CCQ − a discrètement commencé son travail depuis quelques semaines, et ce, bien qu’il manque encore une dizaine de joueurs pour compléter l’équipe. «Les effectifs seront complets d’ici les prochaines semaines. Mais l’escouade fonctionne déjà. On est sur le terrain», a indiqué André Martin, porte-parole de la CCQ.

L’escouade tactique de la «police de la construction» a le mandat de s’attaquer au blanchiment d’argent et à la fausse facturation, en plus d’appuyer les efforts déjà entrepris pour contrer l’évasion fiscale dans ce secteur.

En marge de la mise sur pied de l’opération Marteau (l’escouade policière chargée de réprimer la corruption et la malversation), le gouvernement avait annoncé, à l’automne 2009, que la nouvelle unité d’enquête de la CCQ serait surtout présente dans les régions métropolitaines de Montréal et de Québec.

L’escouade tactique a rapidement amorcé une «collaboration très active» avec le ministère des Transports et son unité anti-collusion, dirigée par l’ex-directeur du SPVM Jacques Duchesneau, au sujet de l’attribution des contrats publics d’infrastructures routières. Des travaux qui coûteront plus de 3 milliards $ à Québec au cours du présent exercice financier.

«On s’assure entre autres que la probité des entrepreneurs est vérifiée, tant au niveau des antécédents judiciaires que des antécédents fiscaux. On veut responsabiliser les grands donneurs d’ouvrage public», d’après M. Martin.

La CCQ dit avoir intensifié les échanges d’informations avec la Sûreté du Québec, le ministère du Revenu et le Directeur des poursuites criminelles et pénales afin de mieux traquer les illégaux. Elle compte également sur la coopération des «honnêtes» travailleurs et employeurs pour dénoncer les pratiques louches dont ils sont témoins. «C’est un travail que la Commission ne peut faire seule», a fait valoir M. Martin.


REF,:canoe

Prix du logement en hausse de 29% ,pire que le taux d'inflation Canadienne

Logements - Le RCLALQ réclame un registre des baux
Ce registre permettrait de connaître le loyer antérieur appliqué à un logement, ce qui aiderait les nouveaux locataires à contester les augmentations abusives.
© Archives

Agence QMI ST-HYACINTHE - Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) a réclamé la mise en place d’un registre des baux, lundi, à l'occasion de la Journée mondiale de l'habitat.

Ce registre permettrait de connaître le loyer antérieur appliqué à un logement, ce qui aiderait les nouveaux locataires à contester les augmentations abusives.

«Pour garantir le droit fondamental au logement, le gouvernement a l'obligation de protéger les locataires contre les hausses abusives de loyers», a déclaré France Emond, porte-parole du RCLALQ.

L’organisme a rappelé que le loyer est la dépense principale d'un ménage locataire. Le nombre de locataires qui déboursent plus de 30 % de leurs revenus pour se loger se chiffrait à 448 840 selon les dernières données de Statistique Canada. Les loyers ont augmenté de 145 $ entre 2000 et 2009, ce qui représente une hausse de 29 %.

Une pétition de plus de 12 000 signataires a déjà été déposée en juin dernier à l'Assemblée nationale pour revendiquer la création d’un tel registre. Deux cent quatre-vingt-dix organisations et 31 députés ont aussi demandé au gouvernement de mettre ce registre en place.

«D’un point de vue technologique, ce serait facile à instaurer, ça ne coûterait pas très cher et les locataires disposeraient d'un outil pour faire respecter leurs droits», a affirmé France Emond.REF.: