Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mercredi 1 décembre 2010

Galaxy Tab,le premier aspirant sérieux à la couronne du iPad

Tablette informatique - Captivante polyvalence pour le Galaxy Tab
Les dimensions réduites facilitent l’utilisation du Tab à une main.
© Samsung

Si l’on se fie uniquement aux ventes du iPad, Steve Jobs, PDG d’Apple, doit posséder une piscine de dimensions olympiques, remplie de coupures de 1 000$. Tandis que M. MacPicsou nage de bonheur avec l’insouciance d’un Scrooge dans son bain géant de billets vert pomme, ses rivaux s’enfargent nerveusement à essayer de produire une réponse valable à la tablette «magique et révolutionnaire» de verre et de silicium.

Samsung a produit le premier aspirant sérieux à la couronne du iPad sous forme du Galaxy Tab (de 540 $ à 675 $, en fonction de l’opérateur et du contrat), en quelque sorte une version XXL de l’excellente gamme de téléphones intelligents Galaxy du fabricant sud-coréen. Animé par Android, la technologie mobile polyvalente et astucieuse de Google, l’appareil fait figure de David s’opposant au Goliath/iPad. ::encart::

Doté d’un écran tactile de 7 pouces, le Tab est significativement plus petit que le iPad avec son écran de 10 pouces. Voilà toutefois une des forces du Tab: ses dimensions réduites en facilitent l’utilisation à une main et l’appareil est donc assez petit pour qu’on puisse le glisser sans hésitation dans un sac à dos, une serviette ou un sac à main.

AVANTAGES

D’autre part, puisqu’il s’agit d’une version plus grande d’un téléphone Android, (moins la capacité de téléphoner), le Tab bénéficie de tous les avantages de ses «petits cousins»: personnalisation, flexibilité, multifonctionnalité harmonieuse, Wi-Fi, transfert de données mobiles à haut débit et autres bonnes choses propres à l’univers en expansion de la technologie mobile de Google.

Aussi, la présence de la fonction performante de transfert de la voix au texte de Google et du renversant système Swype d’entrée automatisée de texte à un doigt, faire passer les mots de son cerveau à un courriel, à un document ou à un twit sur le Tab est un véritable jeu d’enfant.

Si le Tab était le seul appareil de son genre, on le qualifierait sans aucun doute de merveille et les consommateurs seraient en pâmoison devant la diminutive tablette. À l’essai, nous avons effectivement eu un élan de ferveur pour le produit de Samsung lors des premières heures de son utilisation. Mais le Tab n’existe pas dans un vide absolu et à titre de réplique directe au succès du iPad, l’appareil doit faire face en bonne et due forme à la proposition complète du Béhémoth d’Apple. Et c’est là que tiédit l’enthousiasme initial.

Le Tab peut accomplir une foule de choses que ne peut faire le iPad, comme prendre des photos et enregistrer des vidéos (incluant la vidéoconférence en face à face au moyen d’applications externes) ou permettre à l’utilisateur d’ajouter à la mémoire interne du Tab au moyen de cartes de mémoire.

JEUX ET VIDÉO

Autre avantage de taille de l’appareil de Samsung: son navigateur Web intégré supporte le langage Flash. Cela signifie qu’un tas de sites comportant de l’animation, des jeux en ligne et de la vidéo (outre YouTube, qui fonctionne sur la plupart des appareils mobiles) s’afficheront et fonctionneront correctement sur le Tab, mais pas sur le iPad.

En théorie, du moins. En pratique, la vidéo Web et les jeux complexes ont eu tendance à écraser le système de notre tablette à l’essai. Celle-ci fonctionnait ainsi au ralenti, voire pas du tout dans ces circonstances. Le Tab n’est, semble-t-il, qu’un autre appareil mobile à mettre à rude épreuve la patience des technophiles.

DÉFAUTS

Le Tab ne peut donc prétendre à cette fameuse expérience optimale de l’utilisateur qui est la marque de commerce d’Apple. Les applications plantent plus souvent, les fonctions de rapprochement et de défilement sont un peu moins précises, celles de lecture de musique et autres médias ne sont pas aussi conviviales… des détails, mais qui n’en finissent plus de s’additionner.

Malgré ces défauts, le Tab est un sérieux petit appareil. C’est un bon navigateur Web mobile, un lecteur électronique hors pair et oui, l’on peut y jouer à Angry Birds.

La tablette semble toutefois cibler particulièrement les adeptes d’appareils Android plutôt qu’être destinée à convertir à Samsung les fidèles d’Apple. Le bassin d’argent de M. MacPicsou ne risque pas de sitôt d’être miné par des fuites majeures.

VERDICT

Le Galaxy Tab est le premier aspirant sérieux à s’amener dans l’arène des tablettes face au champion iPad, mais pour chaque fonction exclusive au Tab, l’appareil de Samsung semble souffrir d’une lacune ou d’un défaut qui l’empêche de prétendre à la grandeur d’Apple.

GALAXY TAB DE SAMSUNG

Prix: de 539,99 $ (avec plan de services de trois ans) à 674,99 $ (sans contrat) avec Rogers; 649,95 $ (sans contrat) avec Bell. Plus de détails sur les sites Web des opérateurs.


REF.:

mardi 30 novembre 2010

Sur le Web ,faudra s'y habituer a compresser les Data ,comme OpéraMini le fait, déja !


Le trafic mondial de données via l'internet mobile a enregistré en octobre son rythme de croissance le plus élevé en sept mois, a annoncé mercredi Opera, le leader mondial des navigateurs pour l'internet mobile.

Le trafic internet transitant via son navigateur Opera Mini a progressé de 15% entre septembre et octobre, affichant une hausse de 134% par rapport à l'année précédente.

L'éditeur norvégien a accru sa prééminence au cours des derniers mois, avec une part de marché de 24,5% en octobre selon le cabinet d'études StatCounter. Les navigateurs mobiles concurrents - ceux de RIM, Apple et Nokia - affichent quant à eux une part de marché comprise entre 16 et 18%.

Le navigateur Opera Mini compte 76,3 millions d'utilisateurs ayant généré un trafic de 616 millions de mégaoctets à travers le monde le mois dernier.

Ces données transitent via des serveurs intermédiaires («proxy») qui les compriment avant de les réexpédier via le réseau mobile, permettant à Opera de collecter des statistiques sur l'utilisation de l'internet mobile.

Le marché de l'internet mobile a connu une croissance fulgurante depuis le lancement de l'iPhone d'Apple en 2007.

Si les opérateurs mobiles sont ravis de profiter de ce nouveau marché pour accroître leur chiffre d'affaires et compenser l'érosion de leurs revenus tirés des communications vocales traditionnelles, ils se heurtent à des problèmes de saturation des réseaux.

Cette congestion croissante des réseaux profite à l'éditeur norvégien, dont le navigateur permet de comprimer jusqu'à 90% des données pour économiser de la bande passante.

Les équipementiers télécoms Nokia Siemens, Ericsson et Alcatel-Lucent, voient également d'un bon œil l'essor de l'internet itinérant, qui pourrait leur attirer de nouvelles commandes.


REF.:

samedi 27 novembre 2010

Créateur de jeux,et Gamers,un nouveau portail

«Show Me The Games» - Nouveau portail de jeux vidéo indépendants
ShowMeTheGames.com est un projet collaboratif entre les meilleurs développeurs indépendants.
©2010 by positech games.

Un nouveau site met en vitrine le meilleur de la production vidéoludique indépendante: c'est l'endroit idéal pour trouver des titres créatifs et divertissants pour les utilisateurs de PC, de Mac et de Linux. L'offre est disponible exclusivement sur internet.

Les internautes qui visitent le site peuvent consulter une sélection aléatoire de titres proposés par «Show Me The Games», avec des liens pour tester le jeu gratuitement et d'autres vers les sites officiels des jeux.

Chaque fois que la page d'accueil est rafraîchie, les titres apparaissent dans un ordre différent, afin que chacun d'entre eux puisse se retrouver en haut de la pile.

On y trouve notamment World of Goo (10/10 sur GameShark, 9/10 sur Eurogamer), Mr. Robot (9/10 sur Dark Zero, 7.9/10 sur IGN), Aaaaa! A Reckless Disregard for Gravity (9/10 sur GamesRadar, 8/10 sur Armchair Empire) et Eschalon: Book II (9/10 sur HonestGamers, 8/10 sur GameReactor).

«Le site offre les services publicitaires et de catalogage d'un portail, mais nous restons indépendants, et les développeurs reçoivent 100% du prix de vente des jeux», explique le fondateur de SMTG, Cliff Harris, dont le jeu Gratuitous Space Battles fait également partie du catalogue du site.

Le site est pour l'instant minimaliste, mais il projette de se diversifier en proposant de bonnes affaires et en organisant des concours.

A l'instar de Bytejacker.com , d' IndieGames.com et de la mine d'or de jeux vidéo dePixelProspector.com, «Show Me The Games» offre une plateforme publicitaire pour la communauté des développeurs indépendants.


REF.:

vendredi 26 novembre 2010

Un escalier multimédia HD LCD a Montreal

 Centre-ville de Montréal - Vidéotron présente sa vision du futur
L'une des grandes attractions du magasin est son escalier multimédia. Muni de 150 écrans de type LED haute définition, cet escalier est unique en Amérique du Nord.
© Agence QMI

Vidéotron a procédé mardi à l’ouverture de son magasin phare situé au 1192 rue Sainte-Catherine à Montréal. Cette nouvelle boutique de plus de 4500 pieds carrés est dotée d’équipements à la fine pointe des technologies de communication.

« L’ouverture de la nouvelle boutique Vidéotron s’inscrit dans notre volonté de faire vivre la meilleure expérience possible à notre clientèle, d’anticiper ses besoins en matière de technologie et de divertissement et de se différencier dans le marché. En tant que chef de file, établir une adresse de prestige sur l'artère commerciale la plus importante au Canada allait de soi », a précisé Robert Dépatie, président et chef de la direction de Vidéotron.

L'une des grandes attractions du magasin est son escalier multimédia. Muni de 150 écrans de type LED haute définition, cet escalier est unique en Amérique du Nord. Seules Rome et Hong Kong peuvent se targuer d’en héberger un du même genre.

De plus, la boutique comprend une Zone multiproduit où les gens peuvent se familiariser avec les produits, services et forfaits de Vidéotron principalement destinés au foyer branché, soit la téléphonie résidentielle et mobile, la télé numérique illico et Internet.

À l’étage supérieur, la Zone Service Affaires a été aménagée pour les entreprises clientes qui désirent connaître les produits et services de Vidéotron.

Le magasin phare de Vidéotron s'inscrit dans sa stratégie commerciale visant à étendre ses services dans les grands centres de l'ensemble de son territoire de desserte. À ce jour, Vidéotron compte 72 boutiques en SuperClub Vidéotron, 11 boutiques dans les magasins Archambault, 19 kiosques et 19 magasins dans les centres commerciaux du Québec.


REF.:

Écran 3D sans lunette,sombre avenir !

Innovation - Création d' écrans 3D sans lunette
C’est surtout le jaillissement qui impressionne, c'est-à-dire les objets qui semblent sortir de l’écran.
© Nümerix

Les écrans 3D actuels, ainsi que la prochaine génération, dite passive (voir les précisions en fin texte) qui sortira en 2011 nécessitent de porter des lunettes pour voir la 3D. Mais le rêve, c’est quand même des écrans 3D sans lunette, ce qui n’arrivera pas en magasin avant au moins cinq ans. Eh bien, cette technologie existe déjà, et nous l’avons essayé à Montréal.

Sony et Samsung ont déjà présenté des prototypes d’écrans 3D, mais ceux-ci se limitent à 20 pouces. La technologie développée par Alioscopy, une société française représentée en Amérique du Nord par Nümerix, peut être utilisée sur des écrans allant jusqu’à 47 pouces. Alioscopy travaille sur des surfaces plus grandes encore, comme 55 ou 60 pouces, mais aucune date de disponibilité n’a été annoncée.

Fonctionnement

Ces écrans 3D comportent des filtres lenticulaires sur l’écran permettant d’afficher le rendu 3D. Mais en amont, les scènes filmées en 3D, le sont avec une caméra à huit objectifs. Pourquoi huit caméras? Comme l’explique Jean Blais de chez Nümerix «Les recherches faites par Alioscopy ont démontré que la meilleure image avec le meilleur jaillissement, et le plus large angle de vue s’obtenait avec huit caméras. Avec moins de caméras on perd de l’effet 3D, avec plus de caméras on perd de l’angle de vision».

Chaque microprisme sur l’écran reproduit huit images en même temps sous différents angles. Le cerveau remet tout en ordre et permet alors de voir cette 3D sans lunettes. Quant à l’angle de vision, il est de 45 degrés. Et même si ça n’atteint pas l’angle des téléviseurs 2D actuels, on peut quand même les regarder de côté et voir la 3D.

Il est aussi possible de modéliser des objets en 3D, et de les intégrer directement dans une vidéo en temps réel, où ils auront un rendu 3D grâce à un programme informatique.

Impressions

Franchement, on ne pensait pas que cette technologie était aussi incroyable. L’effet de profondeur est saisissant. C’est surtout le jaillissement qui impressionne, c'est-à-dire les objets qui semblent sortir de l’écran. Sur une séquence qui montrait des pièces de monnaie en chute libre, celles-ci jaillissent à 2,5 mètres de l’écran. Le démonstrateur, assis à deux mètres de l'écran, plaçait son bras dans le champ et les pièces passaient par-dessus littéralement.

Pour quand?

Pour l'instant, à un tarif de 5900$ pour un 24 pouces et de 14 900$ pour un 47 pouces, ça reste dispendieux et réservé aux entreprises, ou à Bill Gates qui voudrait impressionner ses amis.(c'est entre 243,83$/pouce et 317,02$/pouce)

Mais il y a encore des contraintes techniques, comme l’obligation d’être à trois mètres d’un écran 47 pouces sous peine de voir une image floue (les 24 pouces n’ont pas ce problème).

Mais le fait qu’il y ait huit caméras inclut que le signal est multiplié par 8, une séquence de 2 minutes tient donc sur 10GO (un Blu Ray contient 50GO). Pour l’instant, aucun support numérique ou opérateur comme Vidéotron n’ont la capacité ou l’infrastructure pour de tels débits. Nümerix table donc sur un lancement dans cinq ans au minimum quand la technologie aura évolué.

Précisions

Technologie active
les écrans 3D actuels exigent des lunettes actives. Ces lunettes comportent un système électronique qui obstrue chaque œil en alternance 100 fois par seconde, le cerveau en reconstituant l’image donne l’impression d’une image 3D. Le défaut de cette technologie est qu’elle peut causer des maux de tête, malgré le fait que de nombreux constructeurs nient ce problème.

Technologie passive
La technologie passive fait quant à elle appel à des lunettes dont la polarité des verres est différente. Deux images sont affichées à l’écran, et chaque verre voit une image différente. Le cerveau recrée donc un effet 3D. Cette technologie est utilisée dans les cinémas actuellement, tandis que les premiers écrans passifs apparaîtront en 2011.


REF.: