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vendredi 18 février 2011

Editeurs de Press: Le service «One Pass» de Google Vs App Store d'Apple

Presse

Google lance aussi un service d'abonnement


Presse - Google lance aussi un service d'abonnement
Le service «One Pass» est une plate-forme destinée aux éditeurs pour qu'ils puissent vendre un abonnement.
© AFP/ Peter Muhly

PARIS - Le groupe internet américain Google a lancé mercredi dans sept pays d'Amérique du Nord et d'Europe son service de vente en ligne pour les éditeurs de presse, auxquels il propose une plate-forme d'où ils pourront vendre abonnements et articles à l'unité.

À LIRE ÉGALEMENT:

Google veut concurrencer iTunes

Le service «One Pass» a été lancé en France, aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, au Canada, en Italie et en Espagne, a indiqué depuis Paris Philippe Colombet, directeur de «Google Actualités» pour Google France.

«One Pass n'est pas un site ou une application opérée par Google, mais une plate-forme destinée aux éditeurs pour qu'ils puissent, depuis leur propre site internet ou depuis leurs applications, vendre de manière très simple un abonnement ou un accès à un article», a-t-il expliqué.

Ce service «est une étape dans la valorisation de l'information payante, c'est une plate-forme technologique pour faciliter ces micro-paiements aussi bien pour l'éditeur que pour l'internaute», a ajouté M. Colombet.

«L'intérêt pour l'internaute est qu'il peut depuis tout type d'appareil - via le web ou le mobile - payer de manière très simple et fluide pour des articles ou des abonnements, et passer d'un titre à un autre», selon lui.

Cette offre se fait en partenariat avec l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur en France,Tomorrow Focus, Gruner & Jahr, Axel Springer en Allemagne, Prisa en Espagne et Rust Communications aux États-Unis, a précisé Google.

Service abonnement App Store

Le fabricant informatique américain Apple a dévoilé mardi son propre service d'abonnements à diverses formes de médias (presse, musique, vidéos) à travers son magasin en ligne App Store. Il prendra une commission de 30% des recettes d'abonnements à travers son App Store.

Interrogé par l'AFP sur le fait de savoir si «One Pass» était une réponse à l'offre d'Apple, Philippe Colombet a indiqué qu'il s'agissait d'un «développement prévu» par Google «et pas d'une annonce de circonstance».

«L'outil technologique est fourni gratuitement à l'éditeur et lorsqu'il y a une transaction - un abonnement ou un paiement à l'acte - l'éditeur reçoit la très grande majorité du revenu sur chaque transaction, environ 90%», a indiqué M. Colombet.


REF.:

Vents solaire Vs la Terre

Phénomène météorologique

Violente éruption solaire


Phénomène météorologique - Violente éruption solaire
La précédente éruption solaire de cette importance avait été observée en décembre 2006.
© AFP

Une violente éruption de particules ionisées s’est produite sur la surface du Soleil, mardi, faisant retentir les sonneries d'alarme de différents observatoires. C’est que ce phénomène pourrait avoir des impacts sur la Terre.

Un nuage de plasma se dirige maintenant vers la Terre à une vitesse présumée de 1000 km à la seconde. Il devrait arriver jeudi.

Un satellite a déjà enregistré la présence d'un courant de particules énergétiques.

Impacts sur la Terre

Les météorologues spatiaux tentent d'établir la structure magnétique du nuage, ce qui leur permettrait prévoir comment le bouclier magnétique de la Terre réagira à l'impact.

Des conditions météo extrêmes dans l'espace peuvent entraîner une défaillance et une perte de contrôle des satellites et avoir des conséquences sur la distribution d'électricité sur Terre.

Aussi, il pourrait être possible d'observer des aurores boréales à divers endroits sur la planète.

La précédente éruption solaire de cette importance avait été observée en décembre 2006. D'après le site spécialisé SpaceWeather.com, c’est le premier nuage de plasma du nouveau cycle solaire, qui dure 11 ans.

Déjà vu

Le 10 mars 1989, un puissant nuage de particules ionisées quittait le Soleil à destination de la Terre. Deux jours plus tard, les premières variations de tension étaient observées sur le réseau de transport d'Hydro-Québec.

À 2 h 44 le 13 mars, le champ magnétique terrestre subissait une variation brusque et importante. Les systèmes de protection d'Hydro-Québec se sont alors déclenchés et une panne générale a plongé le Québec dans le noir pendant plus de neuf heures.

Une violente éruption de particules ionisées survenue à la surface du Soleil, mardi, n’inquiète pas Hydro-Québec qui se dit bien préparée pour faire face à l’influx d’énergie qui devait arriver sur Terre jeudi.

Conséquence de cette éruption solaire, un nuage de plasma se dirige vers notre planète à une vitesse approximative de 1000 kilomètres à la seconde, créant un important courant de particules énergétiques.

Ces conditions dans l'espace peuvent entre autres entraîner une défaillance et une perte de contrôle des satellites, puis avoir des conséquences sur la distribution d'électricité dans le monde.

Un tel phénomène a notamment été observé en mars 1989, lorsqu’un puissant nuage de particules avait engendré une variation brusque et considérable sur le réseau de transport d'Hydro-Québec. Ses systèmes de protection se sont alors déclenchés et une panne générale a plongé le Québec dans le noir durant plus de neuf heures.

«Un réseau plus fort»

Depuis, il semble que la société d’État se soit munie d’un équipement pour limiter les dégâts.

«Évidemment, on surveille cette nouvelle éruption de près et on réagira au besoin. Il faut préciser qu’on a déjà, au cours des dernières années, ajusté la stratégie d’exploitation du réseau. En fait, plusieurs changements ont été apportés», a expliqué la porte-parole d’Hydro-Québec, Danielle Chabot.

La compagnie aurait réduit le transit sur ses lignes, diminué la circulation du courant géomagnétique et la distorsion de voltage qui s’en suit, puis ajouté des compensateurs sur de nombreuses lignes.

Selon Mme Chabot, le réseau est plus fiable qu’auparavant.

Du côté des télécommunications, les compagnies utilisant du cuivre sur leur réseau pourraient être incommodées. C’est du moins ce qu’avance le directeur général des infrastructures à Sun Média Corporation, Réal Forget. «Ce phénomène implique surtout les réseaux aériens basés sur des câbles de métal, dont le cuivre. Chez nous, le dérangement est peu probable. Notre réseau et nos installations sont en fibre. Seulement une petite part de mes équipements sont en cuivre.»

La précédente éruption solaire de cette importance a été observée en décembre 2006.

REF.: canoe,

Cyberattaque: Plusieurs ministères canadiens visés par des pirates Chinois

Cyberattaque - Des ministères canadiens visés par des pirates
Le gouvernement canadien a été victime en janvier d'une cyberattaque majeure en provenance de Chine.





MONTRÉAL - Le gouvernement canadien a été victime en janvier d'une cyberattaque majeure en provenance de Chine durant laquelle des pirates ont réussi à prendre le contrôle de systèmes clés du ministère des Finances et du Conseil du Trésor, ont rapporté mercredi soir des médias locaux.

À LIRE ÉGALEMENT:

Harper refuse de confirmer un rôle éventuel de la Chine

Contacté par l'AFP, le Secrétariat du Conseil du Trésor a reconnu «une tentative non autorisée d'accéder à son réseau». Suite à cette intrusion, «l'accès à internet des employés a été restreint pour le moment», a dit un porte-parole du Secrétariat, Jay Denney.

Les pirates, dont les serveurs ont été localisés en Chine, ont réussi à prendre possession d'ordinateurs de hauts fonctionnaires canadiens de ces deux administrations stratégiques, indique la télévision publique , qui cite des sources «haut-placées» au sein du gouvernement conservateur.Plus précisément, les attaques ont atteint des systèmes informatiques au ministère des Finances du gouvernement du Canada Ministère et du Conseil du Trésor pour tenter de capturer des mots de passe pour les bases de données

gouvernementales.

Impossible de confirmer les auteurs

Ces sources ont souligné qu'il était impossible de déterminer si les auteurs de cette attaque étaient chinois ou si, d'une autre nationalité, ils avaient simplement utilisé des serveurs basés dans le pays communiste.

Mais selon la chaîne privée CTV, il s'agit de pirates employés par le gouvernement chinois. «L'espionnage en provenance de Chine est devenu un problème majeur pour le Canada», a dit à CTV un fonctionnaire «haut placé» qui a conservé l'anonymat.

«Le Service canadien du renseignement de sécurité (SCRS, services-secrets) a conseillé aux responsables du gouvernement de ne pas nommer la Chine comme étant le pays d'où l'attaque a été lancée, ou même de parler de cette situation», écrit cette télévision privée sur son site web.

M. Denney a pour sa part refusé de confirmer l'origine chinoise de l'opération, expliquant ne pas vouloir divulguer de «détails sur des incidents liés à la sécurité» du Canada.

Pékin a démenti toute implication, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Ma Zhaoxu, assurant que «les allégations selon lesquelles le gouvernement chinois soutient le piratage informatique sont infondées».

Le but des pirates lors de cette attaque était de mettre la main sur les mots de passe des systèmes afin «de débloquer toutes les bases de données du gouvernement», souligne CBC.

D'autres ministères auraient pu être également affectés, note la télévision publique sur son site internet.

Les services-secrets canadiens ont été mobilisés afin de déterminer le volume d'informations dérobées et l'identité des auteurs de cette cyberattaque, présentée par CBC comme «sans précédente».

Le porte-parole du Secrétariat du Conseil du Trésor, Jay Denney, a insisté qu'«il n'y a aucune indication que des données privées de Canadiens aient été compromises lors de cette tentative d'intrusion».

La Chine fait l'objet de plusieurs soupçons

Ces révélations ne font que s'ajouter aux nombreux soupçons pesant déjà sur la Chine et le piratage informatique.

La semaine dernière encore, la société de sécurité informatique McAfee rapportaient que plusieurs grands groupes pétroliers internationaux sont victimes depuis plus d'un an de pirates informatiques chinois qui cherchent à voler des informations confidentielles.

Et l'an dernier une commission du Congrès américain avait accusé Pékin de piloter des attaques «massives» contre les systèmes informatiques des États-Unis.

En janvier 2010, c'était Google qui se disait victime d'attaques originaires de Chine qui visaient notamment des comptes Google appartenant à des militants des droits de l'Homme.

Les autorités chinoises avaient nié toute implication. Mais selon des câbles diplomatiques révélés depuis lors par WikiLeaks, des diplomates américains en poste à Pékin ont mis en cause de très hauts responsables chinois dans les cyberattaques visant le géant d'internet.

La vulnérabilité des systèmes informatiques du fédéral a déjà été soulignée par le passé, notamment par la vérificatrice générale Sheila Fraser.

REF.:

jeudi 17 février 2011

Internet a-t-il rendu la génération « C » (1987-2001) plus intelligente que nous?


La génération C désigne, selon le Centre francophone d'informatisation des organisations (CEFRIO)1, l'ensemble des personnes nées entre 1984 et 1996. Elle se caractérise par le fait qu'elle a grandi avec les technologies de l'information et Internet, dont elle se sert pour communiquer, collaborer et créer.

Au Québec, la génération C regroupe un million et demi de personnes.


L'informatique,comme la venue des calculatrices,ramollit le cerveau,les gens perdent la mémoire et l'attention,au profil du multitâche,ce qui ne veut pas dire rapidité d'exécution.Car il est prouvé que le multitâche du genre web 2,0, CHAT, Youtube ,Twitter,Facebook,Wikipédia,Google Street,foursquare,et tout ce qui est interactif,n'est pas contributaire d'une performance d'exécution des tâches a faire pour un travail précis dans un but précis. Ça fait juste diversifier les tâches d'exécution d'un travail ,et l'attention du cerveau en prend un coup !

Cette génération est victime de la technologie interactive et devra redéfinir ,les vrai valeurs,soient: celles entre le travail et le loisir ou entre le social et le virtuel ! Car il est permit de douter que les 3 C : communication,collaboration et céation,ne sont pas vraiment exprimés dans un sens de productivité réel.

Le problê,me du multitâche est un problême de dédoublement des services pour une même travail; il suffit de s'appercevoir que vous n'avez pas nécessairement pas besoin de sms,si vous avez Twitter ou pas besoinde twitter si vous avez le eMail, ou pas besoin de tout ça si tu as un cellulaire ;-)

Votre internet(bande passante) se dédouble(donc vous payer pour le même service ) ,si vous avez un smartphone,une TV internet interactive,une console ,et un PC ou laptop,sans compter que le wifi se retrouve dans tout votre réseau résidentiel.


Et on risque d'avoir des réactions comme celle-ci:


Étude d'Avira - 39% des utilisateurs pestent contre leur PC
39% des utilisateurs d'ordinateurs hurler sur leur machine lorsque ce dernier ne fait pas ce qu'on lui demande.
© Peter Bernik

Quelle est la meilleure approche pour faire entendre la voix de la raison à un ordinateur récalcitrant? Êtes-vous plutôt de ceux qui le traitent de tous les noms d'oiseaux, ou de ceux qui murmurent à son oreille?

À LIRE ÉGALEMENT:

Fin de la suprématie des ordinateurs en 2011

D'après une nouvelle étude menée par l'éditeur de logiciels antivirus Avira, 39% des utilisateurs d'ordinateurs délaissent la méthode douce pour hurler sur leur ordi lorsque ce dernier ne fait pas ce qu'on lui demande.

9% des personnes interrogées ont avoué avoir déjà frappé leur ordinateur avec un autre objet, comme leur poing ou une batte de baseball, indique Avira dans l'étude, publiée le 8 février.

3% des utilisateurs ont répondu qu'ils avait déjà lancé leur ordinateur au sol ou qu'ils l'avaient fracassé contre un meuble sous l'emprise de la colère.

Certains utilisateurs ont simplement dit qu'ils ont prié pour qu'une catastrophe quelconque s'abatte sur les locaux de l'entreprise qui a créé le système d'exploitation ou l'ordinateur défaillant.

La plupart des utilisateurs ont avoué avoir déjà évacué leur colère sur leur ordi à un moment ou un autre de leur vie, et 38% des utilisateurs ont indiqué qu'ils n'élèveraient jamais la voix sur leur ordinateur, parce qu'il est «trop sensible».

Le sondage d'Avira a été mené en décembre 2010 auprès de plus de 14 280 personnes des quatre coins du monde.


REF.: Mnet, wiki,canoe,

Ces riches qui ne paient toujours pas d'impôts



Économie





Il y a quelques années, la fiscaliste Brigitte Alepin pointait du doigt « ces riches qui ne paient pas d’impôt ».

Aujourd’hui, sept ans plus tard, elle constate que rien n’a changé et qu’une véritable crise fiscale risque d’étouffer les contribuables de la classe moyenne.

Dans son dernier livre, La Crise qui vient, la fiscaliste engagée démontre, chiffres et exemples à l’appui, que si rien n’est fait, les multinationales finiront par ne plus payer un sou d’impôt, en faisant du « shopping fiscal » d’un pays à l’autre et en multipliant les astuces pour éviter de passer à la caisse.

Et on ne parle plus simplement de paradis fiscaux, soutient-elle, mais aussi de fondations privées qui se multiplient et de commerce électronique par lequel se transigent maintenant des milliards de dollars, trop souvent à l’abri de l’impôt.

« Si on met tout ça ensemble, ça fait un manque à gagner qui est énorme. Si on enlevait 10 à 15 % de revenus à une multinationale qui a un chiffre d’affaires de 260 milliards $, comme le Canada, elle ferait face à un énorme problème. C’est la même chose pour les États. Je pense que si on ne fait pas quelque chose, on s’en va vers un scénario de crise », prévient Mme Alepin.

Cette crise, c’est la classe moyenne – celle des contribuables particuliers – qui la subira.

Car les gouvernements, dit-elle, ont les mains liées et sont incapables d’aller chercher ces milliards de dollars.

« Puisqu’on ne peut pas aller le chercher ce manque à gagner, les gouvernements sont pognés. Qui va payer ? Où va-t-on aller le chercher ? Pas chez les pauvres, ils ne paient pas d’impôts. Finalement c’est la classe moyenne qui va écoper, encore et plus que jamais », prédit-elle.

Un fardeau à la hausse

Selon Brigitte Alepin, nos gouvernements peinent à réduire leurs dépenses, car ils veulent conserver le « pacte social ». « À partir du moment où on dit qu’on veut s’offrir des services qui valent 60 milliards de dollars, il faut que quelqu’un paie. Actuellement, tout le manque à gagner causé par cette situation, on n’a pas le choix d’aller le chercher d’une manière ou d’une autre. Et comme augmenter les impôts, ça fait peur aux politiciens et aux contribuables, on trouve d’autres moyens en haussant des tarifs par exemple. On augmente tout de même le fardeau fiscal des contribuables », note la fiscaliste, diplômée de Harvard en administration publique.

De 1961 à 2009, souligne-t-elle, le fardeau fiscal des particuliers (c’est-à-dire la part qu’ils supportent dans tous les revenus du gouvernement) est passé de 33 % à 42 %. Pendant ce temps, le fardeau des entreprises est passé de 14 % à 11 %, au cours des dernières années.

« L’impôt sur le revenu a presque 100 ans. Il est temps de le réformer », plaide la spécialiste.

Que faire?

Les pays industrialisés n’auront pas le choix. Mondialisation oblige, ils devront trouver ensemble des mécanismes pour imposer les grandes entreprises multinationales.

« Les ministres des Finances dans nos provinces et nos pays n’ont plus vraiment de pouvoir. Ils ne peuvent plus décider de grandchose. On est rendu dans une situation où les États ne peuvent plus rien faire tout seuls de leur côté », fait-elle remarquer.

L’une des solutions, selon elle, serait que les 34 pays de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques) s’entendent sur un taux d’imposition minimum pour les grandes entreprises.

« C’est sûr que ça va arriver, dit-elle. Il faut juste que les sociétés se préparent à ça. C'est pas facile, ça va demander aux pays de laisser tomber une certaine autonomie, mais de toute façon, ils ne l'ont pas cette autonomie à l’heure actuelle. »

Les fondations

Par ailleurs, Brigitte Alepin croit aussi qu’il faudrait, comme l’envisage actuellement Barack Obama aux États-Unis, obliger les fondations à donner plus d’argent chaque année. Les plus importantes fondations, même si elles détiennent des centaines de millions de dollars à l’abri de l’impôt, ne sont pas toujours les plus généreuses », souligne-t-elle.

« La deuxième fondation la plus riche au Canada, la Fondation Chagnon, n’apparaît pas dans la liste des 10 fondations les plus généreuses. »


REF.: