mardi 8 mars 2011
lundi 7 mars 2011
Micro paiement et jeux sociaux(web 2,0)
À l’occasion de l’arrivée de Playfish au Québec, nous sommes allés rencontrer le directeur du nouveau studio Montréalais Alex Hyder pour en savoir plus sur la stratégie de cette compagnie spécialisée dans les jeux sociaux gratuits, et qui a fondé ses revenus sur les micros paiements.
Alex Hayder, président de Playfish nous explique cette décision : «Je suis un ancien d’EA Montréal. Playfish voulait lancer un groupe pour développer sur plateforme mobile et cherchait une place pour développer des jeux. Montréal est une place qui compte beaucoup de talent, le choix a donc été facile de décider de s’implanter ici».
D’ici la fin de l’année, Playfish devrait embaucher cinquante personnes. Outre les programmeurs artistes et designers habituels, une partie des programmeurs sera affectée à gérer l’infrastructure de Playfish.
«Dans les programmeurs, il y a de la programmation serveur à haut rendement et hautes performances, ça ne va pas être des gens qui viennent du milieu du jeu, mais qui peuvent venir de la finance ou d’autres domaines où ils développent des systèmes de serveurs».
La petite équipe déjà en place a commencé à travailler sur son premier jeu qui devrait sortir dans le courant de cette année.
Rentabilité des micro paiementsPlayfish est l’un des plus importants studios mondiaux de développement de jeux sociaux. Disponibles gratuitement sur Facebook, ils sont joués par plusieurs millions de personnes, à l’image de Pet Society fort d’une communauté de plus de 11 millions de joueurs.
Mais comment faire de l’argent alors avec un jeu gratuit? C’est là qu’entrent en ligne les micros paiements. Des contenus supplémentaires sont disponibles pour des sommes dérisoires. Le joueur achète une carte de points ou verse quelques dollars de réserve à Playfish, et peut ainsi se procurer de nouveaux éléments de jeu qui seront déduits de la somme versée.
«L’une des forces de Playfish c’est de connaître le modèle des micros paiement et de savoir comment ça marche. Avoir un jeu qui est gratuit dès le début est l’assurance que beaucoup de monde va embarquer. Playfish a développé une économie qui fonctionne. Je ne peux pas donner de chiffres, mais ça représente une somme importante, c’est un business qui est rentable», explique Alex Hayder.
Quant à la façon de faire connaître le jeu, la méthode de communication est différente. «Dans le jeu social, le plus important c’est les connexions entre les gens et qu’ils s’invitent entre eux, c’est totalement viral. Le meilleur moyen d’attirer les gens, ce sont des réseaux d’amis qui s’invitent à jouer ensemble», explique Alex Hyder.
Le suivi d’un jeu est lui aussi très important, une fois le jeu lancé, le développement peut continuer plusieurs années tant que le jeu reste rentable.
Alex Hyder conclut : «Le online change continuellement, on a le luxe de créer le jeu en fonction de la réaction des joueurs, on imagine ce que les gens vont aimer, puis on s’assoit pour voir la réaction des joueurs. Quand ils n’aiment pas, on crée du contenu et on améliore le jeu en fonction des critiques».
Astuce OpenOffice : transformez les chiffres en lettres
Bien qu'OpenOffice n'offre pas cette possibilité, il existe une macro, disponible gratuitement sur le site des extensions OpenOffice, permettant la conversion de valeurs financières en texte français. Cette macro peut tenir compte des spécifications locales (quatre-vingt-dix en France ou nonante en Belgique, par exemple).
Pour l'obtenir, ouvrez dans votre navigateur sur cette page. Cliquez sur le bouton Get it!. Cliquez sur le bouton Ouvrir afin de lancer automatiquement le gestionnaire de macro. Cliquez surOK puis Accepter pour confirmer l'installation.
Cliquez sur Fermer puis quittez et relancez OpenOffice (Calc par exemple). Une barre d'outils (Chiffres en lettres) de deux icônes est créée. Déroulez le menu Outils, Add-ons, Réglages chiffres en lettres. Cochez les cases France Canada, Demande choix, A droite etdemande confirmation. Validez par OK.
Pour transformer un nombre en texte, saisissez ce nombre dans une cellule puis cliquez sur l'icône 1un ou déroulez le menu Outils, Add-ons, Conversion chiffres en lettres. Le texte apparaît dans la cellule voisine.
jeudi 3 mars 2011
programme de subventions intitulé «Couches lavables»
Montréal Verdun opte pour les couches lavables | ||
MONTRÉAL - «Fini, les couches jetables !», se diront désormais quelque 200 familles de Verdun. L’arrondissement a lancé mercredi un programme de subventions intitulé «Couches lavables», une première à Montréal.
Dès maintenant, les familles désireuses d’opter pour l’alternative écologique en matière de couches pourront bénéficier d’un montant de 100 $ annuellement, gracieuseté de l’arrondissement.
Pour avoir accès à ce financement, les familles participantes devront remplir un formulaire auprès de la Maison de l’environnement et «s’engager à utiliser uniquement les couches lavables pendant la période durant laquelle leur enfant sera aux couches».
L’arrondissement, qui financera le projet d’une valeur de 24 000 $, a confié le mandat à Nature-Action Québec, un organisme spécialisé en gestion de projets environnementaux.
Le président de la Commission du développement communautaire de l’arrondissement, Alain Tassé, a raconté que l’initiative était née à la demande d’une citoyenne, qui lui aurait demandé s’il existait des subventions pour l’achat de couches lavables.
La revendication de cette dame a pour le moins porté fruit, puisque les parents d’un enfant de moins de six mois pourront dorénavant en faire la demande auprès de l’arrondissement de Verdun.
S’il y a plus de 200 familles qui réclament leur droit à ces subventions d’ici le 31 décembre prochain, M. Tassé assure que l’administration pourra sans doute répondre à la demande.
«S’il n’y a plus de subventions disponibles d’ici le mois d’août, par exemple, on adaptera le programme en conséquence», a-t-il indiqué.
Pas juste bon pour l’écologie
M. Tassé croit même que le projet, qui s’inscrit dans une logique de développement durable, pourrait générer des économies à l’arrondissement.
«Ça pourrait coûter moins cher pour le service d’enfouissement des déchets», a-t-il mentionné, soulignant qu’un seul bambin nécessite, en moyenne, l’utilisation de 6000 couches jetables avant de devenir propre.(initiative Européenne)
Une seule couche lavable remplace quelque 230 couches jetables. L’utilisation de couches lavables peut entraîner des économies de l’ordre de 1 000 $ par année.
Selon le site subventioncoucheslavables.com, 80 villes et municipalités de la province se sont dotées d’un tel programme jusqu’à présent.
mercredi 2 mars 2011
CLSC Jeanne-Mance,après une coupure de 1,5 Millions$ ,il coupe sa subvention a "La Marmite"(dépannage aliment)
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MONTRÉAL – Un service de dépannage alimentaire pour les aînés montréalais doit cesser ses activités, faute d’aides financières suffisantes.
L'organisme La Petite Marmite remet chaque jour un repas chaud du midi à plus d'une cinquantaine de personnes âgées du Plateau-Mont-Royal. Mais le CSSS Jeanne-Mance, qui tente de réduire un déficit de sept millions de dollars, a décidé d’annuler la subvention qu’elle lui accordait.
Selon les informations obtenues par TVA Nouvelles, le manque à gagner pour La Petite Marmite est estimé à 40 000 $.
«On s'en prend à ceux qui ne sont vraiment pas capables de se défendre, a dénoncé Robert Robichaud, proche d'une bénéficiaire des services de l'organisme. C'est triste.» D’autres services du même genre pourraient faire les frais de ces restrictions budgétaires.
Le CSSS Jeanne-Mance(qui coupe 1,5 Million $ dans son budget) devait s’expliquer mercredi après-midi.C'est bien ,celui-ci qui invistissait dernièrement ,dans un projet de Tablette PC pour ses employés,..........HUUuuuummm, c'est quoi 40,000$ ,des peanuts !$!
Pour arriver à mieux répondre à la demande tout en respectant l'équilibre budgétaire, la direction a embauché la firme Proaction (ProAction ou ProDollars???)au coût de 400 000 $. «Pour nous, ce n'est pas une dépense, c'est un investissement.
Ou vont,les soins de santé a Domicile ?
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/03/20110303-175159.html