lundi 22 août 2011
24% des usagers se lasse de Facebook
Pour ma part, la première expérience avec ces créatures devenues incontournables, ce fut avec Myspace, qui en son temps, on parle de 2005 ici, était l’objet de beaucoup de convoitises, en plus de provoquer une véritable petite révolution qui a permis à des artistes comme Lilly Allen et Coeur de Pirate d’émerger par elles-mêmes, alors qu’elles publiaient deux ou trois chansons sur ce site, devenu aujourd’hui carrément moribond. Il en va ainsi des médias sociaux, la courbe de leur popularité est particulièrement abrupte.
Pour Facebook, je me souviens en avoir entendu parler pour la première fois au début de 2006, alors qu’un jeune créatif d’une boîte publicitaire, un verre de martini à la main, parlait de ses photographies de voyage, qu’il venait de publier sur sa page, à l’intention de ses quelques dizaines d’«amis». Me souviens m’être dit que ça faisait «école primaire» comme concept. Et bien voilà qu’après des années de suprématie, une fortune évaluée à des milliards, un film, plusieurs poursuites et une complète révolution des communications, les médias sociaux commencent à perdre de leur attrait. C’est du moins de ce que rapporte une étude de la firme américaine Gartner, réalisée entre décembre 2010 et janvier 2011, auprès de plus de 6000 personnes entre 13 et 74 ans dans 11 pays différents. Les résultats ont été rendus public lundi dernier.
Sans surprise, on découvre que beaucoup de gens commencent à s’ennuyer ferme sur les réseaux sociaux, surtout sur Facebook, le plus connu et le plus fréquenté d’entre tous. Ainsi, 24% des répondants affirment qu’ils visitent moins assidûment leur page Facebook qu’au début de leur inscription. Sur son site, Gartner publie le texte suivant: «Les tendances montrent une fatigue des réseaux sociaux auprès des primo-adoptants et le fait que 31 % des jeunes actifs indiquent qu’ils se lassent de ces sites est une situation que les médias sociaux devraient surveiller, ils devraient innover et se diversifier pour conserver l’attention des consommateurs.»
Belle ironie pour ces médias qui bouffent la pérennité de chaque chose et qui confèrent à tout le monde l’impression perpétuelle d’être dépassé. Pour Facebook, Twitter ou Google +, l’heure est donc venue de goûter à leur propre médecine.
Les femmes sont plus enclines à supprimer des «amis» sur les réseaux sociaux en ligne que les hommes et elles ont aussi tendance à choisir des paramètres de confidentialité plus restrictifs, selon une étude parue vendredi aux États-Unis.
L'enquête réalisée par l'institut de recherche Pew révèle en outre que les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à publier des contenus qu'ils regrettent ensuite.
Selon ce sondage réalisé entre avril et mai 2011 auprès de 2277 adultes, 63 % en moyenne des utilisateurs de réseaux sociaux ont effacé des personnes de leur liste d'amis, contre 56 % en 2009. Ce chiffre atteint 67 % chez les femmes contre 58 % chez les hommes.
Sur le plan de la protection de la vie privée, 58 % des utilisateurs de réseaux sociaux sélectionnent des paramètres de confidentialité leur permettant de ne laisser leur profil accessible qu'à leurs "amis".
Seulement 19 % des utilisateurs autorisent cet accès aux «amis d'amis», tandis que 20 % d'entre eux laissent leur profil accessible au large public.
En la matière, les femmes sont beaucoup plus disposées que les hommes à installer des paramètres de confidentialité plus restrictifs et à n'autoriser l'accès à leur profil qu'à leurs amis. Elles sont ainsi 67 % contre 48 % pour les hommes.
Quelque 93 % des personnes interrogées pour cette enquête de 2011 ont un profil Facebook contre 73 % en 2009. Par ailleurs, 23 % ont un profil Myspace contre 48 % en 2009, et 11 % ont un compte Twitter contre 6 % en 2009.
REF.:
canoe,
Pour Facebook, je me souviens en avoir entendu parler pour la première fois au début de 2006, alors qu’un jeune créatif d’une boîte publicitaire, un verre de martini à la main, parlait de ses photographies de voyage, qu’il venait de publier sur sa page, à l’intention de ses quelques dizaines d’«amis». Me souviens m’être dit que ça faisait «école primaire» comme concept. Et bien voilà qu’après des années de suprématie, une fortune évaluée à des milliards, un film, plusieurs poursuites et une complète révolution des communications, les médias sociaux commencent à perdre de leur attrait. C’est du moins de ce que rapporte une étude de la firme américaine Gartner, réalisée entre décembre 2010 et janvier 2011, auprès de plus de 6000 personnes entre 13 et 74 ans dans 11 pays différents. Les résultats ont été rendus public lundi dernier.
Sans surprise, on découvre que beaucoup de gens commencent à s’ennuyer ferme sur les réseaux sociaux, surtout sur Facebook, le plus connu et le plus fréquenté d’entre tous. Ainsi, 24% des répondants affirment qu’ils visitent moins assidûment leur page Facebook qu’au début de leur inscription. Sur son site, Gartner publie le texte suivant: «Les tendances montrent une fatigue des réseaux sociaux auprès des primo-adoptants et le fait que 31 % des jeunes actifs indiquent qu’ils se lassent de ces sites est une situation que les médias sociaux devraient surveiller, ils devraient innover et se diversifier pour conserver l’attention des consommateurs.»
Belle ironie pour ces médias qui bouffent la pérennité de chaque chose et qui confèrent à tout le monde l’impression perpétuelle d’être dépassé. Pour Facebook, Twitter ou Google +, l’heure est donc venue de goûter à leur propre médecine.
Les femmes sont plus enclines à supprimer des «amis» sur les réseaux sociaux en ligne que les hommes et elles ont aussi tendance à choisir des paramètres de confidentialité plus restrictifs, selon une étude parue vendredi aux États-Unis.
L'enquête réalisée par l'institut de recherche Pew révèle en outre que les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à publier des contenus qu'ils regrettent ensuite.
Selon ce sondage réalisé entre avril et mai 2011 auprès de 2277 adultes, 63 % en moyenne des utilisateurs de réseaux sociaux ont effacé des personnes de leur liste d'amis, contre 56 % en 2009. Ce chiffre atteint 67 % chez les femmes contre 58 % chez les hommes.
Sur le plan de la protection de la vie privée, 58 % des utilisateurs de réseaux sociaux sélectionnent des paramètres de confidentialité leur permettant de ne laisser leur profil accessible qu'à leurs "amis".
Seulement 19 % des utilisateurs autorisent cet accès aux «amis d'amis», tandis que 20 % d'entre eux laissent leur profil accessible au large public.
En la matière, les femmes sont beaucoup plus disposées que les hommes à installer des paramètres de confidentialité plus restrictifs et à n'autoriser l'accès à leur profil qu'à leurs amis. Elles sont ainsi 67 % contre 48 % pour les hommes.
Quelque 93 % des personnes interrogées pour cette enquête de 2011 ont un profil Facebook contre 73 % en 2009. Par ailleurs, 23 % ont un profil Myspace contre 48 % en 2009, et 11 % ont un compte Twitter contre 6 % en 2009.
REF.:
canoe,
jeudi 18 août 2011
Trouver son médecin sur Internet
Exaspéré par la lenteur du système de santé, un jeune médecin lavallois vient de lancer un site internet pour aider la population à se trouver un médecin de famille et à éviter les longues heures d’attente dans les urgences.
Le site elodoc.com a été entièrement conçu par Hanna Nicolas, un jeune docteur qui a quitté les bancs de l’école de médecine il y a à peine deux ans.
Découragé par les faiblesses du réseau de la santé, ce « crack » de l’informatique a décidé de prendre le taureau par les cornes pour « offrir enfin un service de qualité aux patients».
Diagnostics en ligne, consultations personnalisées avec des médecins, détails des listes d’attente dans les urgences des hôpitaux ainsi que pour certaines chirurgies, le site elodoc.com vise surtout à désengorger les hôpitaux du Québec.
« À l’urgence de ma clinique, on voit défiler près de 300 patients par jour et plus de 50 % d’entre eux n’auraient pas eu besoin de se présenter à l’urgence s’ils avaient eu accès à de l’information de qualité », déplore M. Nicolas. Mon site permet au patient de faire le tri de ses symptômes pour voir s’il est nécessaire ou non pour lui de se présenter à l’hôpital. »
Un médecin à portée de main
Ce service, ouvert à tous les Québécois et entièrement gratuit, comprend également une section où il est possible de poser des questions directement à un médecin.
Actuellement, une vingtaine de docteurs, une nutritionniste et même un dentiste ont accepté de participer bénévolement au projet.
« Les réponses seront four nies en moins de 24 heures », promet Hanna Nicolas.
Ce dernier croit que d’autres médecins s’ajouteront bientôt à la liste des volontaires, puisque la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec a donné son aval au site internet.
« D’ici quelques mois, nous pourrons donc jumeler les patients qui se cherchent un médecin de famille avec un docteur de leur région », dit M. Nicolas.
Plus rapide que Québec
Le jeune omnipraticien affirme ne pas être intéressé à développer son portail avec le ministère de la Santé du Québec.
« C’est trop long et trop compliqué de travailler avec les fonctionnaires, dit-il en riant. Cela prendrait dix ans au gouvernement pour accomplir ce que j’ai fait en deux ans. »
« Ce n’est qu’une petite contribution pour régler les nombreux problèmes que nous avons dans notre système de santé. Mais il faut bien commencer quelque part si on veut enfin aller de l’avant. »
Les services offerts par elodoc.com
Une encyclopédie médicale: les symptômes de plus de 150 maladies sont décrits dans des articles et des vidéos.
Consultation: une vingtaine de spécialistes de la santé répondent aux questions de la population par courriel.
Temps d’attente: les temps d’attente dans les urgences des hôpitaux du Québec ainsi que pour certaines chirurgies sont détaillés en temps réel.
Source: Elodoc.com
Mantra a découvrir: Hélène Dalair
En sanskrit, mantra provient du verbe « man », qui signifie penser, et du mot « trâna » qui veut dire protection. Un mantra est donc une formule mentale qui protège notre esprit : c'est par la résonance et la répétition du son que l’énergie du mantra est libérée. Hélène Dalair donne ici une nouvelle dimension à des mantras traditionnels pour en faire des chansons qu’on se fera volontiers un plaisir de répéter! Ces mantras invoquent tour à tour le courage, la sagesse, l’harmonie, la joie, la paix ou encore l’amour.
Interprétés avec une sensibilité nord-américaine, ces chants de mantras, qui servent habituellement de soutien à la pratique de la méditation, prennent une couleur unique grâce aux arrangements inspirés qui flirtent aussi bien avec la ballade, la pop, le reggae ou le folk.
En résultent neuf chansons envoûtantes qui jettent un pont entre les cultures orientales et la modernité occidentale. La flûte bansuri et l’esraj, des instruments traditionnels indiens, y côtoient des sonorités plus familières de guitares et de claviers. Tout à la fois lumineux, apaisant et résolument joyeux, Mantra étonne et séduit par son originalité et sa fraîcheur.
Composé, arrangé, produit et réalisé par Hélène Dalair, qui y joue également du piano, des claviers et de l’harmonium, Mantra bénéficie notamment de la collaboration de Hugo Perreault (Richard Séguin, Laurence Jalbert) aux guitares et de Lauréat Cormier à la basse. Deux artistes de réputation internationale, Manose, à la flûte bansuri, et Benjy Wertheimer, à l’esraj, ont participé à l’enregistrement de cet opus mixé par Ben Leinbach (Deva Premal), un réalisateur réputé de musique méditative qui vit en Californie, où ce style de musique a la cote.
Parions que cet opus, qui a tout pour plaire aux adeptes de musiques orientales et de méditation, saura aussi s’attirer la faveur du grand public, en raison de sa grande accessibilité, des mélodies accrocheuses et de l’interprétation à saveur pop qu’en fait Hélène Dalair.
vendredi 12 août 2011
Le vrai Wall-E est Canadien !
A Calgary, DJ Sures a réalisé un petit exploit. Il a en effet construit un prototype du petit robot du film de Walt Disney.
Comment oublier Wall•E? Ce petit robot vraiment mignon du film d'animation du même nom sorti en 2008.
Ce Wall•E là est assez intelligent, puisqu'il est capable de reconnaître les voix, les visages et peut se déplacer ou réaliser certains mouvements dès qu'on lui en donne l'ordre. Il peut suivre visuellement un mouvement, la couleur et les visages en deux dimensions. Dj Sures l'a aussi doté des effets sonores et visuels que l'on peut entendre dans le film. Il danse même assez bien!
DJ Sures est parti du jouet WALL•E U Command de Planet Fun Toys. Par la suite, il lui a rajouté le logiciel EZ-Builder, un contrôleur EZ-Bluetooth, cinq servomoteurs, une caméra et un levier de commande.
Alimenté par des piles AAA, ce Wall•E n'est par contre pas capable de compacter des déchets. Et puis, peut-être que l'Albertain décidera de construire un prototype de l'âme soeur du petit robot: EVE.
Sur le site Internet du projet, DJ Sures présente deux vidéos, dont l'une où l'on peut découvrir Wall•E poursuivant une balle. Voici l'autre vidéo où l'on peut voir ce petit robot en action... la danse vaut vraiment le coup d'oeil!
REF.: BV,
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