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jeudi 18 avril 2013

Streaming: Visiter Napster.fm

Lecteur de musique - Napster.fm: nouveau service de streaming sur la toile?
 
Photo Foxy A / Fotolia

Napster.fm: nouveau service de streaming sur la toile?

Ces derniers jours, un nouveau site de streaming musical a vu le jour sur internet, Napster.fm. Créé par un étudiant, il s'inspire beaucoup du site éponyme de partage de musique, mais n'y est pas du tout affilié.

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Napster, qui a vu le jour en 1999, proposait d'abord du partage gratuit de fichiers de poste-à-poste («peer-to-peer»), avec une forte prédominance pour les fichiers audios, mais s'est rapidement fait rattraper par la loi. Le service a dû mettre la clé sous la porte en 2001, suite à quoi la marque et le logo Napster ont été acquis par Roxio pour le lancement d'une version payante du site appelée Napster 2.0, avant que Rhapsody ne le rachète.
Mais comme l'explique TechCrunch dans un article, ce nouveau service de streaming de musique appelé Napster.fm qui vient de voir le jour sur la toile ne serait pas du tout affilié à Napster.
Napster.fm a été conçu par un étudiant de Carnegie Mellon (Pittsburgh) dénommé Ryan Lester et n'est autre qu'un lecteur de musique sur internet qui incorpore les fonctionnalités des réseaux sociaux, comme la possibilité de créer des listes de lecture et de les partager avec ses amis. Pour ceux qui cherchent à connaître de nouveaux artistes, Napster.fm propose aussi le «service de découvertes» qui permet de visualiser les morceaux que les autres ont écoutés.
Ce site permet aussi de créer des groupes d'amis et de désigner un «DJ» parmi ses membres qui choisira le prochain morceau à écouter. Le service partage certaines similitudes avec le Napster d'origine comme la fonction de clavardage et la possibilité de transférer des chansons entre amis.
Contrairement à d'autres services de streaming en ligne comme Spotify, pas besoin de télécharger de logiciel pour accéder à Napster.fm et les utilisateurs peuvent aussi synchroniser le service sur tous leurs navigateurs.
Par ailleurs, Ryan Lester a un bon sens de l'humour et n'hésite pas à lancer dans l'onglet des questions les plus fréquentes: «Serai-je poursuivi en justice en utilisant ce service?», et de répondre: «Absolument», question suivante : «Oh putain c'est vrai?» à laquelle il répond un laconique: «Non».
La nature de source libre de Napster.fm fait que le service pourrait perdurer même s'il devait fermer.
Visiter Napster.fm sur: http://napster.fm 



REF.:

Windows « Blue » : plus qu’un simple Windows 9



Technologie : D’après des informations de ZDNet, Blue désigne une mise à jour majeure. Mise à jour qui ne concernera pas seulement Windows, mais aussi Windows Phone, Windows Server et les services en ligne. Objectif pour l’éditeur : une évolution Blue à un rythme annuel.Présentée initialement comme la prochaine mise à jour majeure de Windows, un Windows 9, Windows Blue devrait être bien plus que cela. Dès novembre dernier, The Verge avançait l’hypothèse selon laquelle « Blue » introduirait une approche commune pour Windows et Windows Phone.
Mais d’après des informations recueillies par ZDNet, Blue est même un peu plus que cela encore. D’après une source, qui souhaite rester anonyme, le nom de code « Blue » ferait référence à la prochaine évolution majeure de Windows Phone, les services Windows (SkyDrive, Hotmail…) et Windows Server.
En clair, Blue est une vague de mises à jour logicielles. Des mises à jour qui par ailleurs ne devraient pas s’effectuer toutes à une date identique. En plus de ces évolutions Blue, Microsoft continuera naturellement de procéder à des changements mineurs, dont l’ajout de fonctionnalités pour Windows 8, Windows RT, Windows Services, et Windows Phone.
Pour Windows Phone, cette prochaine mise à jour a ainsi pour nom de code Portico. Avec Blue, une étape de mise à jour majeure, Microsoft ambitionne ainsi de changer le cycle d’évolution de ses produits, jusqu’à présent de deux à trois. Avec Blue, la mise à jour de la plate-forme (Server, Windows, etc) devient annuelle.


La plateforme Films/DVD UltraViolet s'étend de plus en plus en Europe


En effet, le directeur général du DECE (Digital Entertainment Content Ecosystem), l’organisation qui supporte le projet UltraViolet, Mark Teitell, a annoncé officiellement que la France et l’Allemagne seraient les prochains pays à accueillir UltraViolet. Viendront ensuite la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Mark Teitell en a profité pour réaffirmer sa volonté de passer à la vitesse supérieure au Royaume-Uni où l’on compte 500.000 comptes ouverts, tandis qu’il y en a plus de 11 millions aux Etats-Unis. Il vise le million de comptes pour la fin de l’année chez nos voisins anglais. Désormais, les géants de la distribution comme Tesco (au Royaume-Uni) et Wal-Mart (aux Etats-Unis) ont rejoint le projet.
Dans une interview à Homemedia Magazine, Mark Teitell revient également sur le fait que les plus grandes plateformes de l’internet ne sont pas (encore) dans le projet UltraViolet. En effet, iTunes, Amazon, Google Play et Xbox Video Store ne sont pas compatibles avec UltraViolet . Néanmoins il déclare : « la porte reste ouverte pour chacune de ces sociétés. Concernant Apple, le point essentiel pour les consommateurs est que UltraViolet fonctionne avec iPad et iPhone à travers des applications tierces ». Nous n’avons pas pu vérifier ce dernier point, mais il est vrai qu’une interopérabilité qui ne prend pas en compte ces acteurs et les programmes de Disney n’est pas une véritable interopérabilité pour le consommateur final.
Pour ce qui est du marché français, très peu d’informations sont disponibles concernant le lancement d’UltraViolet. A date, aucune grande enseigne de la grande distribution n’a confirmé sa participation au projet, mais surtout aucun éditeur vidéo n’a fait d’annonce en ce sens. On peut légitimement penser que l’annonce faite au PEVE va déclencher la mise en œuvre opérationnelle et que tous les aspects relatifs au coût de la plateforme, aux relations entre les acteurs du projet et que les questions concernant la propriété des données ont été résolues. Point positif, le coût d'accès à la plateforme aurait été nettement revu à la baisse : 50.000 euros au lieu de plusieurs centaines de milliers d'euros dans sa version initiale de 2012, selon les informations obtenues au Royaume-Uni. Mais cela suffira-t-il a attirer les petits éditeurs français, ceux là même qui sont les ambassadeurs de l'exception culturelle ? Nous en saurons plus lors de la venue à Paris des représentants du DECE fin juin.
Reste à savoir si cette forme d’interopérabilité rencontrera le succès auprès d’un public certes multiéquipé, mais pas forcément bien informé des procédures d’enregistrement de tous ses terminaux. Car au final, ce que n’a pas dit le Directeur de DECE, c’est le niveau d’usage des programmes labellisés UltraViolet.
Alors, UltraViolet, rempart efficace contre le piratage, booster des ventes de DVD et de Blu-Ray et solution de partage universelle, cela reste à démontrer.


Les caméras de surveillance sont des passoires



Alors qu’elles sont censées nous protéger, les caméras de surveillance sur IP ont en fait un très faible niveau de sécurité informatique et peuvent facilement être hackées.

C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé. Très à la mode dans nos sociétés hypersécuritaires, les caméras de surveillance sur IP sont censées nous apporter un meilleur niveau de protection des biens et des personnes. Or, en vérité, un grand nombre de ces caméras sont des passoires informatiques. Résultat : des cybercriminels peuvent, sans grande difficulté, y accéder, visionner les flux vidéos, espionner des réseaux locaux, voire les transformer en botnet. C’est un comble.
En effet, deux chercheurs en sécurité de la société Qualys – Sergey Shekyan et Artem Haruthunya – se sont récemment penchés sur le problème. Ils ont présenté leurs conclusions lors de la conférence Hack in the Box, qui s’est déroulée à Amsterdam les 10 et 11 avril derniers. Grâce à Shodan, un service qui référence tout un tas d’appareils connectés sur internet, ils ont identifié plus de 100 000 caméras dans le monde. En dépit d’un grand nombre de modèles et de marques différentes, la plupart d’entre elles s’appuient sur des bases matérielles et logicielles similaires, et de surcroît faiblement sécurisées.  

Un toolkit pour hacker les caméras

Souriez, vous êtes filmés.
agrandir la photo
Ainsi, environ 20 % des caméras identifiées sont totalement ouvertes, et accessibles sans mot de passe par l’identifiant « admin ». Et dans 99 % des cas, le système d’exploitation des caméras identifiées (firmware) est suffisamment vulnérable pour court-circuiter la procédure d’authentification, grâce à une faille critique découverte en mars 2013. Une fois pénétré dans le Saint des Saints, presque tout est possible. A titre d’exemple, les chercheurs ont fait une démonstration avec des caméras de la marque Foscam, qui est particulièrement présente dans le marché des caméras de surveillance low-cost. Les chercheurs ont développé un toolkit qui permet de créer une porte dérobée et de modifier le firmware pour y insérer, par exemple, un service proxy.
Ce n’est pas la première fois que les caméras IP sont pointées du doigt. En janvier dernier, les webcams de la marque TrendNet ont été épinglées, car elles sont très facilement accessibles. Des hackers avaient même créé une carte Google mondiale des webcams ouvertes à tous, histoire d’attirer l’attention sur cette faille de sécurité béante. Le problème, c’est que ces appareils sont rarement mis à jour par leurs propriétaires. Donc même quand une faille est découverte et documentée, les vulnérabilités subsistent longtemps...  
Lire aussi :
Google désactive la carte mondiale des webcams privées ouvertes à tous        
REF.: 
Sources :
La faille critique de mars 2013
La présentation de Sergey Shekyan et Artem Haruthunya
Le service Shodan, également appelé le « Google des hackers »



mardi 16 avril 2013

Médicaments pour réussir ?


PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, PIERRE-PAUL POULIN
François (nom fictif), étudiant en génie à l’École de technologie supérieure, a admis avoir consommé du Ritalin pendant ses examens lors d’une fin de session entière.

Médicaments pour réussir

Des étudiants achètent des cachets sous le manteau pour améliorer leur performance.