A chaque année que se renouvelle automatiquement votre police d'assurance auto ou habitation,vous perdez votre rabais.
Je parle de l'escompte de l'assurance habitation jumelé a celle de l'auto.Ce rabais qui est accordé a votre assurance auto vous le perderez, l'année suivante, si vous le demandez pas.C'est comme ça que les cie d'assurance deviennent riche,selon les dire d'un courtier indépendant !
Alors, pour un assurance habitation donnée ,votre assurance auto ,meetons pour 2 auto,vous donnera facilement un rabais de 16,22%, soit:
pour 2 auto de plus de 10 ans d'usure qui coûtera environ 329,18$ pour un an.
ça représenta un rabais de 53,41$ en économie pour un an.
Si vous les appeler trop tard ,vous perderez les mois ,ou années que vous avez omis de les avertir.Et bien sûr, ils ne vous payeront pas le rétroactif, de leurs erreurs !
Dans mon cas , ils mon fourrer de facilement 160$ en 3 ans,donc ce montant représente une assurance auto pour 1 an de ma vielle auto 2002 ! C'est tu pas du vol ça !
Imaginez pour une voiture assurée sur les 2 côtés,de l'année ou les assurances coûteront facilement 2,000/année. C'est 324,40$ que vous perdez par année ! Alors si vous ne magasiner pas,pendant 3 ans, vous perdez presque 1,000$ d'assurance que vous donnez a l'assureur !
C'est ça des capitalistes de l'assurance auto-Habitation !
Vous vous faîtes fourrrez d'applomb, par tout ce qui est gratis............,acheter en un et l'autre moitié prix, les collants monopoly McDo,les collants IGA pour la marmite avec achat de 1,000$ d'épicerie pour l'avoir gratis,etc etc etc.....
En larmes, la ministre Thériault confie l'enquête au SPVM
La vice-première ministre et ministre de la Sécurité publique, Lise Thériault, s'est dite extrêmement préoccupée par les allégations d'abus sur des femmes autochtones qui pèsent sur des policiers de Val-d'Or et a fait savoir qu'elle ne tolérerait aucun écart de conduite.
Mme Thériault a d'ailleurs demandé à la sous-ministre associée à la Direction générale des affaires policières, Marie Gagnon, de se rendre sur place dès vendredi pour qu'elle puisse dresser un bilan clair de la situation.
Le directeur général de la Sûreté du Québec a aussi demandé vendredi à la ministre Thériault que les enquêtes en cours soient transférées au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
«Je
vous informe que j'ai acquiescé à cette demande et que j'ai chargé le
SPVM de prendre la relève pour la suite de ces dossiers», a confirmé la
ministre.
(TVA Nouvelles)
Le
SPVM reprendra donc les enquêtes concernant ces allégations et aura la
responsabilité de soumettre les dossiers au Directeur des poursuites
criminelles et pénales.
Il assurera également le traitement de toute autre allégation qui pourrait être formulée à l'égard des policiers de la MRC de la Vallée-de-l'Or.
«Si
ces allégations criminelles sont fondées, les contrevenants seront
traduits en justice», a déclaré la ministre ajoutant en larmes être
«aussi choquée que la population», lors d'un point de presse. Neuf policiers et policières, dont un aujourd'hui décédé, sont concernés par les 14 allégations, dont certaines remontent à plus de 10 ans. Deux des allégations concernent l'inconduite sexuelle.
«Le
type de comportements qui sont allégués est inacceptable, a souligné de
son côté le capitaine Guy Lapointe de la Sûreté du Québec. Les huit
policiers actifs visés par les allégations seront relevés administrativement dès aujourd'hui et assignés à domicile.»
Jusqu'à vendredi matin, cinq d'entre eux étaient toujours assignés à la patrouille au poste de la MRC de La Vallée-de-l-Or, alors que les deux autres occupaient des fonctions semblables ailleurs au Québec.
Par ailleurs, la capitaine Ginette Séguin, qui travaillait jusqu'à maintenant dans la grande région de Montréal, occupera le poste de directeur par intérim.
En
conférence de presse, le capitaine Lapointe a toutefois tenu à préciser
que l'ancien directeur n'est pas visé par les allégations.
Enquête indépendante demandée
Pour sa part, l'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) a exhorté le gouvernement à mettre en place une enquête indépendante.
L'APNQL
a fait savoir par voie de communiqué vendredi que selon elle, «une
simple enquête interne n'apportera pas des réponses suffisantes aux
allégations qui pèsent sur le corps policier provincial».
«Il est
profondément troublant de constater qu'il faille une accumulation de
drames humains et collectifs pour faire réagir (...) Une commission
d'enquête indépendante chargée d'examiner comment s'applique la justice
pour les Premières Nations est la seule option», a soutenu le chef de
l'APNQL, Ghislain Picard.
De son côté, le Conseil de la Première Nation Abitibiwinni,
communauté directement concernée, a demandé aux gouvernements du Canada
et du Québec «de prendre des moyens exceptionnels, notamment la mise
sur pied d'enquêtes publiques conjointes, pour mettre fin à des
situations inacceptables à l'égard des Premières Nations,
particulièrement des femmes et des enfants».
Confiance ébranlée
Le
Gouvernement de la Nation crie a déclaré par voie de communiqué que la
confiance envers le système de sécurité publique et judiciaire a été
«fortement ébranlée».
«...il serait plus approprié d'avoir une
enquête de la Gendarmerie royale du Canada (GRC), surtout en raison du
fait que la situation à Val-d'Or est une préoccupation nationale»,
estime le Gouvernement de la Nation crie.
«En tant que premier
ministre, il est impératif que M. Trudeau réagisse rapidement pour
mettre fin à ce scandale national», peut-on lire dans le communiqué.
Rappelons
que le 12 mai 2015, la Sûreté du Québec a été informée d'allégations
criminelles visant certains policiers du poste de la MRC de la
Vallée-de-l'Or.
Les faits avaient été révélés à des journalistes de l'émission Enquête qui
réalisaient un reportage dans la région. Le reportage a été diffusé
cette semaine sur les ondes Radio-Canada. Des abus de pouvoir et des
actes de violence auraient été commis envers des femmes autochtones par
des policiers de la Sûreté du Québec.
La nouvelle Apple TV (4e génération)Tim
Cook a annoncé lors d’un entretien avec le Wall Street Journal que la
prochaine version de l’Apple TV sera en précommande à partir de lundi
prochain (le 26 octobre) et que les premières livraisons auront lieu
quelques jours plus tard à la fin de cette même semaine. Pour rappel, la firme a présenté sa set-top box le mois dernier (cf. « Apple présente son nouvel Apple TV
»). Elle intègre un SoC Apple A8 un module Bluetooth 4.0, un module
802.11ac MIMO et un capteur à infrarouge. Comme on a pu le voir lors de
son démontage, le design a le mérite d’être original (cf. « La nouvelle Apple TV est démontée
»). Sa grande particularité est aussi de pouvoir accueillir des
applications tierces. Tim Cook estime que cela pourrait profondément
changer la façon dont nous consommons du contenu sur nos télévisions.
Apple n’a pas encore officiellement communiqué les prix en euros, mais
la version 32 Go est attendue à 179 €, contre 239 € pour la version 64
Go, selon les prix affichés par plusieurs revendeurs européens. iFixit vient de démonter le dernier Apple TV présenté au début du mois par Apple et la nouvelle télécommande qui va avec.
On remarque que contrairement aux habitudes de la société à la pomme,
l’appareil est facile a démonté et les vis sont des modèles standards
classiques contrairement aux versions personnalisées de ses autres
produits (cf. « Les nouvelles vis « diaboliques » de l’iPhone »). L'Apple TV de quatrième génération devrait être commercialisé à la fin du mois d'octobre.
Un design original
On retrouve sur la carte mère le SoC Apple A8 utilisant 2 Go de
LPDDR3 signés SK Hynix, un contrôleur mémoire Apple similaire à ce que
l’on trouve dans les MacBook Retina de cette année et un contrôleur USB
2.0 vers port Ethernet SMSC LAN9730. Ce composant est très critiqué
parce que beaucoup estiment qu’Apple aurait au moins pu mettre un
contrôleur Gigabit Ethernet de qualité vu que de nombreuses personnes
préfèrent utiliser une connexion filaire. Vu le faible débit du port
Ethernet, il sera plus avantageux d’utiliser le module Wi-Fi ac
d’Universal Scientific Industrial. Enfin, les 32 Go de NAND du modèle
démonté provenaient aussi de SK Hynix. Le site a aussi révélé une
prouesse intéressante d’Apple. Le circuit d’alimentation est encastré
dans le dissipateur thermique et il n’est pas relié à la carte mère à
l’aide d’un câble. Si l’on se penche sur le design, on se rend compte
que l’électricité est transportée du circuit d’alimentation à la carte
mère par les vis reliant les deux, ce qui est assez original.
La télécommande est aussi très intéressante. L’ensemble est géré par
un SoC Cortex-M3 de STMicroelectronics, le STM32L 151QD, qui a le mérite
de consommer très peu d’énergie. Le contrôleur de la surface tactile
est signé Broadcom, le module Bluetooth vient de Qualcomm et le
gyroscope est un InvenSense ITG–3600.
John Pierpont Morgan, dit J. P. Morgan, (né le à Hartford dans le Connecticut - mort le à Rome en Italie) est un financier et un banquieraméricain.
Tout d'abord centré sur les banques, l'empire de Morgan s'est
progressivement étendu à de nombreux autres domaines comme
l'électricité, l'acier, le chemin de fer et la navigation. Dans ce
dernier domaine, il est le fondateur de l’International Mercantile Marine Company, compagnie maritime regroupant nombre de compagnies américaines mais également britanniques (notamment la White Star Line). À ce titre, Morgan est de fait le propriétaire du Titanic qui sombre un an avant sa mort.
Gérant un capital colossal, il a souvent été décrit comme un magnat
des finances à l'influence redoutable. Il se montre également un grand
collectionneur d'œuvres d'art, de livres et de montres. Ses collections
sont notamment visibles au Metropolitan Museum of Art et à la Pierpont Morgan Library de New York.
Son nom est à l'origine de celui de la banque JPMorgan Chase issue de la fusion de la J.P. Morgan & Co. et de la Chase Manhattan Bank.
Il est le fils du financier Junius Spencer Morgan(en) et de Juliet Pierpont. Son père travaille notamment avec George Peabody, influent banquier dont il prend la succession[1]. Désireux de voir son fils recevoir une bonne éducation, il envoie celui-ci faire des études en Europe dans un pensionnat suisse puis à l'université de Göttingen en Allemagne[2]. JP apprend le français et l'allemand, qu'il parle couramment, et devient féru d'art et de culture européenne[3]. Il quitte l'université avec un diplôme d'histoire de l'art et effectue un voyage à Londres[4].
Carrière
Débuts
John Pierpont Morgan dans sa jeunesse
Morgan est admis grâce à son père dans la firme new-yorkaise Duncan, Sherman, & Company en 1857.
Par la suite, il avoue avoir utilisé l'argent de la banque pour
s'enrichir personnellement en spéculant sur le commerce de grains de café[5]. Il rejoint la firme de son père en 1861 en travaillant à New York dans la J. Pierpont Morgan Company[2].
En octobre 1861, il épouse Memy alors que celle-ci est déjà atteinte de
tuberculose. La mort de cette dernière en février 1862 le marque
profondément et fait de lui un homme d'affaires avec plus de scrupules
que les autres « titans » de l'industrie du Gilded Age (littéralement « âge doré ») que sont Rockefeller, Astor, Vanderbilt ou Carnegie[6],[7].
En 1864 et jusqu'en 1872, il devient membre de la Dabney, Morgan & Company. En 1871, il forme avec Anthony J. Drexel, de Philadelphie, la Drexel, Morgan & Company de New York.
Bourreau de travail, il invente la finance moderne en rachetant de
petites entreprises, en les réorganisant et en les revendant plus cher[8].
Durant la Guerre de Sécession,
Morgan s'investit dans la vente d'armes, achetant des fusils obsolètes à
l'armée avant de les faire remettre en état, puis de les revendre à
l'armée beaucoup plus cher. Cependant, de telles armes sont défectueuses
et un scandale éclate. Le gouvernement refuse de payer Morgan, qui doit
le poursuivre à deux reprises[9]. Comme beaucoup de gens riches de l'époque, Morgan échappe à l'engagement militaire en payant 300 dollars de compensation[10].
À la mort de son père en 1890, puis de son associé Anthony J. Drexel en 1893, Morgan prend le contrôle de la J.P. Morgan & Co.
(renommée en 1910 Morgan, Grenfell & Company). Cette firme est
reconnue dans le monde entier comme l'une des plus puissantes de
l'époque[11]. De plus, Morgan se tourne vers de nouveaux marchés. Dès 1885, il participe à la formation d'un trust entre deux compagnies ferroviaires en difficulté qui, débarrassées du problème de la concurrence, font de grands profits[2]. En 1905,
Morgan possède 5 000 miles de chemin de fer. Il investit également dans
le domaine de l'électricité, et finance les travaux de Thomas Edison et Nikola Tesla dans les années 1870 et 1880. Il fonde également l'Edison Electric Company.
L'industrie ferroviaire demandant beaucoup d'acier, il se tourne
aussi vers la sidérurgie : il entreprend en 1900 des négociations avec
Charles M. Schwab et Andrew Carnegie
en vue de racheter leurs parts dans Carnegie & Co. et de créer, par
regroupement avec d'autres forges et usines sidérurgiques, un géant
américain de l'acier, United States Steel Corporation[12]. Carnegie accepte l'offre de Morgan de quelque 487 millions de $[12] ;
cette transaction est conclue sans avocats ni même aucune trace écrite.
La nouvelle de cette concentration ne parviendra aux journaux qu'à la
mi-janvier 1901. U.S. Steel ne voit le jour que plus tard dans l'année ;
c'est alors la première compagnie au monde dont le capital atteint le
milliard de dollars, avec une capitalisation autorisée de 1,4 milliards de $[13],[11].
Une autre filière dans laquelle il investit par la suite est le
transport maritime. Soucieux de créer une grande compagnie maritime
américaine, il rassemble plusieurs compagnies des États-Unis au sein de l'International Navigation Company (IMM). En 1902, il réalise un coup de maître en s'emparant de la Leyland Line, une importante compagnie des cargos britanniques, et surtout de la White Star Line,
compagnie de même nationalité. Il signe également des partenariats avec
les grandes compagnies allemandes et son trust, renommé International Mercantile Marine Company, ne semble plus connaître d'opposition, à l'exception de la Cunard Line,
à laquelle le gouvernement britannique verse même des subsides pour
contrer cette nouvelle concurrence. Pour autant, l'IMM Co. n'était pas
aussi rentable que prévu et subira plusieurs coups durs, notamment le naufrage du Titanic et les torpillages allemands de la Première Guerre mondiale.
Conscient qu'il était défiguré par la couperose, Morgan détestait être pris en photo.
Son monument funéraire à Hartford, Connecticut, sa ville natale
Cependant, les affaires de Morgan sont florissantes et celui-ci se
permet même de prêter de grosses sommes d'argent lors des crises de 1895
et 1907, au grand dam des ennemis des trusts.À cette époque, il n'existait pas de banque centrale américaine pour réinjecter des liquidités sur le marché.Le processus allait aboutir le 22 décembre 1913 à la création de la Réserve fédérale des États-Unis(FED).J.P. Morgan tomba gravement malade, et s'éteignit le , neuf mois avant que sa banque ne soit remplacée officiellement comme instance de dernier recours par la réserve fédérale.Les associés de Morgan siégeaient dans les conseils d'administration de
112 grosses entreprises avec un capital de 22,5 milliards USD (le volume
des capitaux sur la bourse de New York s'élevait environ alors à 26,5
milliards USD).
Il utilise également sa
fortune pour agrémenter ses collections[3] et fait de nombreux dons philanthropiques à des écoles, des hôpitaux et autres œuvres de charité.
Morgan est le fondateur du Metropolitan Club de New York qu'il
préside de 1891 à 1900. Il a pris cette initiative à la suite de l'exclusion
d'un de ses amis, Frank King, de l'Union Club de New York pour avoir
exercé un travail manuel dans sa jeunesse. Morgan fait don au
Metropolitan des terrains de la 5e Avenue et de la 60e
rue (montant estimé à l'époque à 125 000 $) et charge Stanford White de
construire l'hôtel particulier qui abritera les membres, sans se
soucier du montant des travaux[14].
Indirectement propriétaire du Titanic, il voulait participer à son voyage inaugural. Il préfère au dernier moment annuler sa traversée[15] et rester à Aix-les-Bains pour fêter son anniversaire avec sa maîtresse[16],
échappant ainsi au naufrage. Un journaliste l’aurait vu dans la station
thermale quelques jours après la tragédie en compagnie de sa maîtresse
et apparemment insouciant ; cette attitude a, toutefois, été
complètement oubliée face au comportement de Joseph Bruce Ismay.
Morgan meurt dans son sommeil le 31 mars 1913 au Grand Hôtel de Rome alors qu'il voyage en Europe. On met en berne les drapeaux dans Wall Street ; la bourse de New York suspend son activité pendant deux heures à l'occasion du passage de son convoi funèbre[17].
À sa mort, il ne détenait en capital que 19 % de sa fortune, un
patrimoine d'une valeur de 68,3 millions de $ de l'époque (soit
1,39 milliards de dollars actuels selon CPI, ou 25,2 milliards d'après relative share of GDP),
dont 30 millions environ en actions dans les banques de New York et
Philadelphie. La valeur de ses collections était estimée à 50 millions
de $[18].
Il est inhumé dans le cimetière de Cedar Hill de sa ville natale, Hartford (Connecticut). Son fils, J. P. Morgan Jr, hérite de son empire bancaire[19].
Divers
Après la guerre franco-prussienne de 1870, son père aida la France en lançant « l'emprunt Morgan » qui activa la libération du territoire.
On peut noter quelques financements qui lui sont attribués (par l'intermédiaire de ses sociétés) :
dans le transport, une grande partie de la réorganisation ferroviaire des États-Unis, et la construction du Titanic par l'intermédiaire de la White Star Line détenue par l'International Mercantile Marine Co., dont il était propriétaire ;
dans la recherche, une partie des travaux de Nikola Tesla ;
en politique, en 1895,
il fut un temps créancier du gouvernement des États-Unis, pour un prêt
de 62 millions de dollars qui rapporta 100 millions de dollars de
bénéfice.
Son portrait figura longtemps sur les billets du Monopoly. Il a souvent été caricaturé de façon à rappeler un rapace[21].
Morgan considérait, au début du vingtième siècle, qu'un président de
grande société ne devait pas gagner plus de vingt fois la moyenne de
ses employés.
Il s'est illustré en volant une bouteille de cognac « Fine Napoléon » rarissime dans les caves de La Tour d'Argent
à Paris. Le restaurant, qui n'en possédait que deux, a accepté la
lettre d'excuses du milliardaire et lui a retourné le chèque en blanc
qu'il leur avait adressé en guise de dédommagement[23].
L'USCYBERCOM « planifie, coordonne, intègre, synchronise et conduit
des activités pour : diriger les opérations et la défense de certains
réseaux d'information du Département de la Défense, et prépare et, au
besoin, conduit, tout le spectre d'opérations militaires du cyberespace
dans le but de permettre des actions dans tous les domaines, assurer la
liberté d'action des États-Unis et de leurs alliés dans le cyberespace,
et le dénier à nos adversaires ». L'emblème de l'USCYBERCOM contient la
mention « 9ec4c12949a4f31474f299058ce2b22a » qui est le hachage MD5 de leur mission[2].
On prévoit qu'il dispose de trois types de forces placées sous le commandement cybernétique:
En janvier 2013, il compte 900 personnes. À cette date, on spécule
sur une augmentation des effectifs dans les prochaines années à 4 900
militaires et civils[3].
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