Sécurité : Le service de partage de
documents de Microsoft, Docs.com, a été mis en cause par des experts en
sécurité pour la mise à disposition de nombreux fichiers sensibles et
personnels.
Microsoft
a retiré une fonctionnalité de son site de partage de documents,
Docs.com. Cette fonction permettait à n’importe qui de lancer des
recherches sur les millions de fichiers hébergés sur le service, dont
des documents personnels.
Des utilisateurs se sont émus,
notamment sur Twitter, que n’importe qui pouvait utiliser la boîte de
recherche pour naviguer à travers les documents accessibles au public et
les fichiers stockés sur le site, qui devaient clairement rester
privés.
Parmi les dossiers examinés par ZDNet, et qui ont été
vus par d'autres internautes, on trouve des listes de mots de passe, des
lettres d’embauche, des portefeuilles de placement, des règlements de
divorce et des relevés de cartes de crédit – certains des documents
contiennent des numéros de sécurité sociale et de permis de conduire,
des dates de naissance, numéros de téléphone et adresses postales. Microsoft a supprimé la fonctionnalité de recherche
du site tard samedi, mais d'autres ont observé que les fichiers étaient
toujours mis en cache dans les résultats de recherche de Google, ainsi
que sur le propre moteur de recherche de Microsoft, Bing.
Nous ne publions ni ne fournissons aucun lien vers ces documents ou fichiers.
À
l'ère des vols et fuites de données, cet incident relève uniquement des
paramètres du service Docs.com. Microsoft n'a pas fait l’objet d’une
intrusion et d’une fuite de données, même si ses utilisateurs voient
leurs données exposées.
Qui est à blâmer ? C’est une question
de point de vue. Tous les documents auraient été téléchargés par leurs
propriétaires. Mais ceux-ci n'auraient visiblement pas réalisé que
chaque document pouvait être rendu public. Par défaut, ce paramètre est
activé sur les fichiers créés ou modifiés avec Word et Excel Online.
Mais
les efforts de Microsoft pour retirer la fonctionnalité de recherche
montrent que l’éditeur prend une part de responsabilité.
Un
porte-parole de Microsoft a déclaré que la compagnie prenait « des
mesures pour aider ceux qui peuvent avoir par inadvertance publié des
documents avec des informations sensibles". La firme conseille aux
utilisateurs d'examiner et de mettre à jour leurs paramètres en se
connectant à leur compte.
La dernière mise à jour de l'application de messagerie instantanée
inclut donc ce nouveau bouton, une petite révolution culturelle pour le
roi des réseaux sociaux.
Après une courte période de test, Facebook généralise donc le très
attendu bouton "J'aime Pas" (pouce à l'envers) mais comme prévu, cette
fonction est pour le moment réservée à Messenger, son application de
messagerie instantanée. La nouveauté est donc disponible depuis la
dernière mise à jour de l'outil.
C'est
une petite révolution culturelle pour le roi des réseaux sociaux.
Longtemps la positive attitude fut la seule possibilité offerte par
Facebook. L'utilisateur pouvait "mettre un pouce bleu" pour signifier
son soutien à tel ou tel message. Puis il fut possible d'adorer, de
rire, d'être étonné, d'être triste, ou encore d'être en colère (février
2016) à travers l'ajout d'émoticônes colorés. Mais ne pas aimer, ça,
non.
Le bouton "j'aime pas" est une fonctionnalité qui était
réclamée à cors et à cris par de nombreux utilisateurs du réseau social.
Mais l'éditeur avait jusqu'à présent refusé une telle demande.
«
Nous testons toujours des façons de rendre Messenger plus fun et
intéressant. Dans ce petit test, nous avons permis aux utilisateurs de
partager l'emoji qui représente le mieux le sentiment que leur procure
un message » a mentionné un porte-parole de Facebook au site Techcrunch.
Le nouveau bouton est à droite à côté des autres réactions
Etre
positif est pour Facebook également une nécessité économique : il
convient de faire montre d'une bonne humeur tenace pour séduire les
publicitaires. Sur ce plan le géant américain affiche 3,6 milliards de
dollars de bénéfices en progression de 129% sur un an. Un record absolu.
Les revenus flambent de 51% à 8,8 milliards de dollars.
Cette
machine à cash est évidemment alimentée par la publicité vidéo et
surtout sur mobile où Facebook (avec Google) domine très largement. 84%
de ses recettes publicitaires proviennent désormais de services sur
smartphones ou tablettes, contre 80% l'an passé. Trop de "j'aime pas"
en-dessous des pubs pourrait faire mauvais effet, de quoi expliquer
peut-être sa limitation à Messenger dont les conversations ne sont pas
publiques.
Wikileaks : de nouveaux documents détaillent les efforts de la CIA pour pirater les produits d'Apple. Mais... [MAJ]
Sécurité : Cette nouvelle publication
est moins massive que la première et ne révéle que huit nouveaux
documents issus de la CIA, contrairement à Vault7 qui révélait d'un seul
coup plusieurs milliers de pages issues des serveurs de la CIA. Mais la
plupart des documents sont datés.
Lors de la publication des premiers documents tirés des serveurs de
la CIA, Wikileaks avait prévenu que de nouvelles publications étaient à
prévoir. La seconde volée de documents publiés par l'organisation de
Julian Assange remet donc le couvert et détaille cette fois ci les capacités de la CIA à l’égard des appareils Apple.
Cette nouvelle publication est moins massive que la première et ne
révèle que huit nouveaux documents issus de la CIA, contrairement à
Vault7 qui révélait d'un seul coup plusieurs milliers de pages issues
des serveurs de la CIA.
Cette fois, Wikileaks semble vouloir détailler plus spécifiquement les
capacités de piratage de la CIA à l’égard des produits Apple. Les
documents révèlent ainsi plusieurs programmes mis en place par la CIA
aux alentours de 2008 pour s'attaquer aux produits Apple : le programme Sonic Screwdriver
décrit dans les documents de la CIA permettait ainsi aux agents
d'utiliser un périphérique malveillant qui, une fois branché sur un
Macbook, pouvait permettre à un agent d'infecter un Mac et d’exécuter du
code malveillant lors de sa séquence de boot. Celui ci fonctionne sur
de nombreux appareils Apple disposant d'un port Firewire.
Cette
technique permet notamment de contourner sans peine les protections et
mots de passe mis en place sur la machine de la cible.
Outre leur tournevis sonique, les agents de la CIA disposaient d 'outils
qui permettaient d'installer une backdoor persistante sur les machines
cibles : baptisé DarkSeaSkies, ces différents malwares permettaient de
s'attaquer à différentes composantes de la machine et de s'assurer qu'un
reboot ou une réinstallation de l'OS ne viendraient pas compromettre
l'infection.
Enfin, les documents révèlent également l'existence du programme « NightSkies » un
malware destiné cette fois à infecter des iPhones 3G Celui ci agit
comme un logiciel espion classique et peut permettre l'installation de
nouvelles fonctionnalités selon les besoins. Mais comme le note
Wikileaks, le manuel fait notamment mention du fait que ce malware est
pensé pour être installé sur des iPhones à peine sortis d'usine. Selon
Wikileaks, cela laisse entendre que la CIA ne se privait pas d'infecter
des iPhones directement dans la chaîne d'approvisionnement, avant que
ceux ci n'arrivent sur le marché.
Ces nouveaux documents sont néanmoins datés, la plupart semblent avoir
été initialement écrits aux alentours de 2008. La fuite donne un bon
aperçu des capacités de la CIA à l’époque de la sortie du 1er iPhone et
montre que les équipes de R&D de l'agence de renseignement ne
ménagent pas leurs efforts pour s'attaquer aux appareils Apple.
Suite à cette publication, Apple a réagi assez vertement auprès de TechCrunch.
Le constructeur explique que les différentes failles détaillées dans
ces nouveaux documents sont datées et ont été corrigées depuis longtemps
par ses équipes. Celle concernant l'iPhone a été corrigée en 2009 et
celle concernant les Macbook en 2013.Et c'est pas pour rien qu'Apple change son systrème de fichier en APFS,et qu'avec Mac OS X 10.3, Apple met à jour son désuet HFS Plus,qui était de la marde selon Linus Torvalds ,on va enfin vers de la performance et la sécurité !
"Nous avons analysé les
révélations de Wikileaks publiées ce matin : la vulnérabilité présumée
de l'iPhone ne concernait que l'iPhone 3G et a été corrigée en 2009
quand l'iPhone 3GS a été lancé. Par ailleurs, notre évaluation
préliminaire montre que les vulnérabilités présumées touchant les Mac
ont été corrigées sur tous les modèles lancés après 2013. Nous n'avons
pas négocié avec Wikileaks pour obtenir ces informations. Nous leur
avons proposé de soumettre toutes les données qu'ils souhaitaient via
notre processus classique. Jusqu'à présent, nous n'avons pas reçu
d'informations de leur part qui ne soient pas disponibles publiquement.
Nous sommes des défenseurs infatigables de la sécurité et de la vie
privée de nos utilisateurs, mais nous ne cautionnons pas le vol ni ne
collaborons avec ceux qui menacent de mettre en danger nos
utilisateurs.", peut-on lire.
Alors
qu’on n’y croyait plus, la société de Tim Cook vient d’annoncer à une
poignée de journalistes américains travailler à un nouveau Mac Pro, une
station de travail qui serait totalement repensée. Elle ne devrait
toutefois pas être lancée avant 2018.
« Apple ne sait plus innover, mon cul ! » lançait Phil
Schiller en 2013 pour les premiers pas du Mac Pro cylindrique. Quatre
ans plus tard, la machine la plus puissante d’Apple a été plus ou moins
laissée à l'abandon... Jusqu’à aujourd’hui : les équipes de Tim Cook
viennent d'annoncer une mise à niveau des cartes graphiques et des
processeurs disponibles, a minima, le tout accompagné d'une baisse des
prix.
Un pas en avant timoré qu’on aurait pu juger catastrophique si Apple
n’avait pas pris la peine de briser une de ses règles : garder le secret
sur les produits en cours de développement.
Un design à revoir car trop peu évolutif
Devant l’absence de nouveautés du côté du Mac Pro et des MacBook Pro pas bien pensés pour les power users,
on se disait que c’était fini. La relation de longue date entre Apple
et les professionnels du graphisme, de l’édition vidéo ou même du
développement était terminée. On avait tort. Apple vient en effet
d’annoncer, en invitant une poignée de journalistes américains au sein
de son Mac Shop, que ses ingénieurs travaillent d’arrache-pied à « repenser totalement le Mac Pro ».
Pourquoi refondre la chose ? Parce que le design
d’une architecture triangulaire comprise dans un cylindre servant à
créer un puits de ventilation naturelle avait un défaut majeur : il ne
permettait pas de faire évoluer la configuration au fil du temps – une
question d’enveloppe thermique insoluble.
Un problème dont Apple ne s’est apparemment pas rendu compte
immédiatement. La nouvelle mouture du Mac Pro devra donc éviter ce
travers – sans pour autant retourner au design des Mac Pro au format
tour classique, on imagine. L’objectif est de rendre le changement des
différents composants simple et rapide et d’assurer la pérennité et
pertinence du Mac Pro sur plusieurs années, pas de revenir complètement
en arrière.
Un nouveau design modulaire
Pour y arriver, les ingénieurs travaillent sur une architecture
modulaire, à tel point qu’Apple prépare même un moniteur pour
accompagner ce nouveau produit. La consigne donnée aux équipes est de
prendre leur temps pour fournir le produit le plus abouti possible, pour
être sûr que la machine puisse suivre l’utilisateur dans le temps et
évoluer au fil de l’évolution de ses besoins.
Un des usages cités est la réalité virtuelle : côté production,
plutôt que consommation. A en croire John Gruber, de Daring Fireball,
Craig Federighi aurait cité cet usage en plus de celui de la production
cinématographique pour justifier du besoin d’une nouvelle machine
puissante.
Encore un peu de patience
En revanche, Phil Schiller est clair, cette nouvelle machine ne verra
pas le jour cette année. Peut-être pas non plus l’année prochaine,
d’ailleurs. Difficile d’établir un pronostic tant il est extrêmement
rare qu’Apple sorte de son silence pour présenter un produit qui n’est
pas prêt à être commercialisé.
Pour être tout à fait franc, une des premières et dernières fois où
la firme de Cupertino a rompu le sceau du secret, c’était déjà pour
présenter les Mac Pro, bien en amont de leur commercialisation … Les
machines avaient été dévoilées en juin 2013 lors de la conférence
d’ouverture de la WWDC mais n’avaient été commercialisées qu’en décembre
de la même année. Six mois pour un produit dont le prototypage était a
priori terminé. Cette fois, si les grandes lignes du design du prochain
Mac Pro semblent arrêtées, pas sûr que son développement soit si avancé.
Il y a donc fort à parier qu’on puisse attendre plus d'un an avant d’en
voir le bout du nez…
Un iMac pour cette année
Cette projection dans un futur plus ou moins lointain explique sans
doute l’absence de détails techniques. Mais Apple n’était pas au bout de
ses annonces. Phil Schiller a en effet également annoncé qu’un nouvel
iMac était en préparation et devrait, lui, sortir cette année. Il faut
dire que la dernière mise à jour du tout-en-un d’Apple remonte au mois
d’octobre 2015 ! Si le prochain iMac n’arrive pas avant l’été, il aura
donc fallu attendre près de deux ans pour voir les équipes de Tim Cook
sortir une nouvelle machine de bureau. Pas étonnant que les MacBook
représentent 80% des ventes d’ordinateurs siglés d’une pomme.
En tout cas, il est intéressant de noter qu’Apple semble vouloir
conforter une gamme pro pour ses Mac, alors que les iMac haut de gamme
sont souvent vendus comme des machines pro déguisées. Les équipes de Tim
Cook chercheraient donc à toucher les pros parmi les pros, ceux qui ne
sont pas satisfaits des iMac et des Mac Pro actuels.
On peut ainsi imaginer que les passionnés exigeants,
qui aiment pouvoir contrôler et faire évoluer leur machine, pourraient
être intéressés. Sans penser aux gamers, pour des raisons de coût mais
surtout de choix dans les composants retenus (les cartes graphiques pro
ne sont pas les mieux adaptées aux besoins des joueurs), Apple pourrait
renouer avec une partie de ses utilisateurs historiques qu’il semble
négliger depuis quelques années.
En tout cas, au-delà de la question des Mac Pro et des prochains iMac,
Apple avait un message à faire passer : toute l’entreprise n’est pas
tournée vers l’iPhone et les iPad. Le Mac reste au cœur de la stratégie
du groupe et représente tout de même 23 milliards de dollars annuels de
revenus. Ce n’est pas rien, même si cela peut paraître bien peu par
rapport aux 137 milliards de dollars générés par l’iPhone. Mais quel
produit ne paraît pas accessoire à côté du smartphone star ?
Il existe plusieurs façons d'obtenir une vitesse Internet plus rapide dans Microsoft Windows. Aujourd'hui, je vais vous montrer un simple piratage DNS qui peut accélérer votre navigation sur le Web de façon spectaculaire. Tout
d'abord, je dois vous rappeler une chose évidente qui arrive avec la
plupart d'entre nous lorsque nous utilisons une connexion Internet
lente. La
seule chose que nous reprochons est notre fournisseur de services
Internet (FAI) pour une connexion Internet lente, mais ce n'est pas le
seul cas tout le temps. Parfois, le problème réside dans notre système DNS (Domain Name System). Alors, permettez-moi de vous expliquer quelque chose au sujet du DNS
avant de vous indiquer la méthode pour obtenir une vitesse rapide sur
Internet.Qu'est-ce qu'un DNS?DNS - Système de noms de domaine (Service / Serveur) - est quelque chose qui convertit vos noms de domaine en adresses IP. Les
noms de domaine sont généralement alphabétiques pour nous nous souvenir
facilement, mais en réalité, Internet fonctionne sur les adresses IP. Le DNS convertit le nom de domaine en son adresse IP correspondante, chaque fois qu'il est utilisé comme tel. Le DNS possède un réseau propre, c'est-à-dire qu'un serveur DNS peut
demander à d'autres serveurs DNS de traduire un nom de domaine
spécifique sur son adresse IP correspondante jusqu'à ce qu'il obtienne
le résultat correct. Les
ordinateurs et autres appareils utilisent l'adresse IP pour acheminer
le trafic et il est très semblable à la numérotation d'un numéro de
téléphone. DNS agit comme un opérateur intelligent qui nous aide à contourner le carnet d'adresses infinie des adresses IP. Votre DNS gère cette énorme tâche.Comment un service DNS alternatif accélérera votre navigation? Comme
je l'ai mentionné plus tôt, votre vitesse de l'Internet sans tortue
n'est pas toujours la faute de votre fournisseur d'accès Internet, à la
place, il se peut que votre DNS soit responsable. Alors, pourquoi ne pas utiliser un autre service DNS? Comme les pages Web actuelles continuent de devenir de plus en plus complexes en inculquant d'innombrables choses. Ainsi, les clients recherchent plusieurs recherches DNS pour rendre une seule page Web. Avec la croissance continue du Web, l'infrastructure DNS existante est plus chargée chaque jour. Maintenant, je vais vous dire d'utiliser un service DNS public gratuit
qui informera votre ordinateur d'utiliser ce service plutôt que
d'utiliser votre service prescrit par le fournisseur d'accès Internet et
vous aidera à obtenir une vitesse plus rapide sur Internet Recommandé: Qu'est-ce que le DNS (Domain Name System) et comment ça marche ? Comment accélérer la navigation sur le Web en utilisant DNS Hack? Pour obtenir une vitesse internet plus rapide, je vais vous parler du service gratuit OpenDNS. Vous pouvez également utiliser Google DNS pour accélérer votre connexion Internet. OpenDNS
est l'un des services DNS gratuits les plus populaires qui a commencé à
fournir une méthode alternative à ceux qui étaient mécontents de leurs
DNS existants. Par la suite, je parle de OpenDNS; Trouver Google DNS après cela. En suivant ces étapes simples, vous pouvez indiquer à votre ordinateur
d'utiliser les serveurs DNS OpenDNS au lieu de ceux que votre
fournisseur de services utilise automatiquement:Ouvrir DNS: Étape 1: Pour obtenir une vitesse Internet plus rapide à l'aide de OpenDNS, ouvrez le panneau de configuration. Étape 2: Aller à Network and Internet options.network-and-internet Étape 3: Maintenant, cliquez sur Réseau et Centre de partage. centre de réseau et partage Étape 4: Cliquez sur votre connexion Internet, puis cliquez sur Propriétés. connexion Internet Étape 5: Cliquez sur Internet Protocol Version 4 (TCP / IPv4) et cliquez sur Propriétés. DNS-hack-fast-browse Étape 6: Choisissez maintenant les adresses de serveur DNS suivantes pour obtenir une vitesse d'Internet plus rapide:
Serveur DNS préféré: 208.67.222.222 Serveur DNS alternatif: 208.67.220.220 Ipv4-config-speedup-browsing Vous utilisez maintenant les serveurs OpenDNS qui vous permettent d'obtenir une vitesse internet plus rapide. Pour configurer IPv6: Mettez en surbrillance le protocole Internet Version 6 (TCP /
IPv6) et cliquez sur Propriétés, et choisissez les adresses de serveur
DNS suivantes:
Serveur DNS préféré: 2620: 0: ccc :: 2 Serveur DNS alternatif: 2620: 0: ccd :: 2DNS-hack-faster-browsing Google DNS: Remplacez ces adresses par les adresses IP des serveurs DNS Google à l'étape 6. Pour IPv4: 8.8.8.8 et / ou 8.8.4.4. Pour IPv6: 2001: 4860: 4860 :: 8888 et / ou 2001: 4860: 4860 :: 8844 Conclusion: Il existe plus d'avantages de OpenDNS et de Google DNS que d'obtenir une vitesse internet plus rapide. Habituellement, si le serveur DNS de votre fournisseur de services
diminue, vous devenez incapable d'utiliser Internet, mais avec la
méthode OpenDNS et Google DNS, même si le serveur DNS du fournisseur de
services est en panne, vous pouvez naviguer sur Internet normalement. Google DNS et OpenDNS fonctionnent très bien, mais les gens préfèrent Google DNS ces jours-ci. Vous pouvez choisir d'aller pour l'un de ces derniers et voir si votre Internet accélère. Avez-vous aimé cette méthode pour obtenir une vitesse internet plus rapide en utilisant un simple DNS hack? Dites-nous dans les commentaires! En savoir plus sur le DNS (Domain Name System) et son travail ici.