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mercredi 10 janvier 2018

Poème : Deux heurs de bonheur intense !



Deux heurs de bonheur intense,
Tic,tac,tic,tac,tic,tac.....le temps s'est arrêté,
Mes sœurs Lynda , Sylvie et moi pour s’occuper du petit oiseau
Le petit oiseau qui voulait s’envoler hors de son nid,
Il s’ exprime comme Lulu,
ôtez-vous de son chemin ,car elle veut retrouver le sien,
Cest ce caractère la, digne de cette race d’oiseau rare,
 
Tout se bouscule dans sa tête,c'est le refus,la lutte au réel
La raison,la compréhension est devenu abstraite
On est dans un monde parallèle,tout est quantique
C'est tu le réel,....ou....l'invisible,..ou... et les deux a la fois,
Je crois que c'est les deux a la fois.
Car je sais que si je le vit et ne l'observe pas ,
C'est la que je comprend tout !
C'est plus que du 60 Hertz ,car cette lumière la est intense,

 

Linda lime ses ongles d’orteils,
Sylvie et moi l’occupons à jouer au bonhomme allumette ,
pendant que le bonheur passait par la, en cette après- midi de soleil,
Un répit s’impose, car le préposé de la voilière est la,
Il a bien vu en nous regardant qu’ il aurait réagit comme moi ,
Lorsqu’on retrouve un oiseau avec une patte cassée,on le protège.
Le Soleil c’est la bonheur qui nous éclaire tous,
Il faut s'arrêter un moment,arrêter le temps.
Il est ici-maintenant !


Par: T30

mardi 9 janvier 2018

Inondation planétaire, ou et quand ?





D’après l’ONU, 250 millions d’humains vont être concernés par la montée des eaux dans les prochaines années soit en 2050 environ !

Ce sont les Naufragés de l’île Jean-Charles en Louisiane en premier !

Une île de Louisiane, l’Île de Jean Charles, est en train de disparaître. La cause, ou plutôt les causes, la montée des eaux mais aussi l’érosion provoquée par l’exploitation pétrolière. Comme l’Île de Jean Charles, la Louisiane est en train de couler. L’équivalent de la surface d’un terrain de foot disparaît toutes les heures dans la mer…
Les habitants de l’île de Jean Charles sont des indiens. Depuis que le gouvernement leur a alloué 48 millions de dollars pour s’installer ailleurs, ils sont devenus les premiers réfugiés climatiques américains. Le gouvernement reconnaît enfin être victime du réchauffement climatique. Un événement aux États Unis. Mais tout ne se déroule pas comme prévu, l’argent tarde à venir. Trouver un nouveau territoire pour toute la tribu n’est pas si simple.Dans ce secteur le Port fourchon situer a Galliano possède des digues pour protéger son terminal pétrolier ou transite 90% du pétrole off shore et 20% du pétrole et du gaz consommé par les USA.

 « Cette montée des océans inondera les côtes du monde entier et affectera environ 70 % de la population mondiale » dit H. Richard Lane (Directeur de programme à la division Géologie de la National Science Foundation, qui finance cette recherche). Shanghai, Le Caire, Londres ou La Nouvelle-Orléans seraient alors totalement englouties sous les eaux, et une partie de la Floride, le Bangladesh, le Cambodge ou les Pays-Bas, une grande partie de la Belgique et du nord de la France effacée des cartes. La réalisation de ce scénario (qui, avec + 2 °C n'est pas le plus alarmant) obligerait l’humanité à densifier ses populations sur des territoires toujours plus petits.


  • Pour l'instant l'arctique fond plus vite que l'antarctique. Les glaciers continentaux pourraient apporter assez d'eau pour faire monter les mers d'environ 40 cm. La fonte du Groenland apporterait assez d'eau pour élever la mer de 6 à 8 mètres (tout en privant les terres d'eau douce). L'Antarctique-Ouest (qui s'érode aussi37) contient assez d'eau pour une élévation de 5-6 m, alors que l'Antarctique-Est s'il fondait élèverait la mer de 70 mètres supplémentaire. Les modèles ne permettent pas encore de prédire à quelles vitesse et dans quelle proportion ces fontes se feront. Les courbes ont été relativement linéaires au XXe siècle, mais des effets d'albédo et de libération massives de méthane pourraient accélérer le réchauffement, et donc la montée des mers38.
  • Enfin, les prédictions régionales sont rendues difficiles par le caractère non uniforme de l'élévation marine39 (détails ci-dessous). Certaines régions subissent une élévation plus importante que la moyenne (souvent, plus que deux fois la moyenne), et d'autres une chute40. Les modèles divergent encore quant aux probabilités de changement du niveau marin41.


Les mégapoles côtières sont de plus en plus exposées aux inondations. 
 Comment faire face ? 
De New York à Bangkok en passant par Tokyo, une ambitieuse enquête.
29 octobre 2012 : la moitié de New York, envahie par les eaux, est plongée dans le noir à la suite du passage de l’ouragan Sandy. Après Katrina et ses 1 800 morts, ce nouveau cataclysme alerte sur la vulnérabilité des mégapoles côtières face aux ondes de tempête (raz-de-marée) et aux inondations. Dans le monde, quelque 136 villes portuaires, riches ou pauvres, sont menacées, en particulier celles situées sur des deltas. À l’origine de ce phénomène : le réchauffement climatique et la montée des eaux bien sûr, mais aussi l’affaissement des sols (la subsidence) et leur liquéfaction, liés à l’urbanisation chaotique et au pompage excessif des nappes phréatiques, ainsi que la multiplication des barrages (45 000 à la surface du globe). Shanghai, Bangkok, Tokyo, Dacca ou Djakarta... : les cités asiatiques, à la croissance foudroyante, sont les plus exposées.
"Résilience urbaine"
Comment prévenir ces catastrophes, aux conséquences humaines et économiques désastreuses ? Faudra-t-il un jour abandonner ces grandes métropoles qui sombrent inexorablement ? Aujourd’hui, les habitants du littoral fuient ou s’adaptent, en surélevant leurs maisons, tandis que des digues édifiées dans l’urgence tendent à protéger les quartiers des nantis, au détriment des plus démunis. À Tokyo, le pompage des eaux souterraines est interdit et des zones rurales tampons ont été aménagées. Shanghai, dont les gratte-ciel ne cessent de s’élever toujours plus haut, met en œuvre un ambitieux programme de surveillance de la subsidence. Mais la prise en compte du phénomène relève en réalité du choix de société. Repenser l’urbanisme et vivre avec l’eau plutôt que la combattre : le modèle séculaire des Pays-Bas inspire désormais d’autres démarches de "résilience urbaine". Ainsi, à Hambourg, l'audacieuse "HafenCity" revisite le concept de pilotis, tandis qu'à New York un programme collaboratif, "Rebuild by design", reconstruit dans le respect de la nature. À travers témoignages sur le terrain et avis d’experts, cette passionnante enquête fait le point sur les inondations et les solutions qui s’ébauchent pour y répondre.

 Le phénomène des migrations climatiques est susceptible de causer des conflits dans les régions déjà sensibles de la planète. Ainsi, au Bangladesh, des conflits externes ont explosé à cause de la migration élevée vers l'Inde qui aggrave la concurrence pour l’accaparement de ressources déjà rares. Cette concurrence entraine le déclenchement de tensions ethniques à la frontière et a l’intérieur des terres118.


REF.:

Société civilisée de demain : Plus tolérant ou plus responsable ?



A mesure que notre technologie avance ,surtout en neuroscience,nous deviendrons plus responsable et tolérant,simplement par une meilleure connaissance des différentes maladies du cerveau et du comportement humain.
Les troubles du cerveau connus seront bien identifiés et répertoriés, dans un prochain avenir, avec ce que nous ne connaissons pas encore assez du cerveau actuellement !



Autrefois l'épilepsie,schizophrénie,dépression,bipolaire,tumeur au cerveau,TDAH,Trouble de Stress post-traumatique(TSPT ou SSPT),etc....maintenant les Juges devront ainsi que la société(surtout le jurie) être au courant de certains trouble de personnalité ,et d'avoir un meilleur jugement concernant les condanations a mort ou a perpétuité ,en matière de fautes ou de responsabilités.
Surtout,pour certaines catégories de personnes ayant été non responsable de leurs actes,en fonction du développemnent du cerveau selon la maladie ou de son l'âge .
Tout est dans la prévention maintenant !

Plus on en apprendra sur le cerveau et le comportement criminel,plus le système juridique sera forcé de changer.Il devra accorder une importance accrue au traitement et a la réhabilitation des criminels,dont les responsabilité des actes incombe a leur cerveau.

 Il est vrai que la question est particulièrement controversée et ravive de houleux débats autour de la distinction entre la peine et le soin. L’une et l’autre ne sont, en principe, pas superposables : l’on ne soigne pas en punissant et l’on ne punit pas en soignant. Mais, peut-être peut-on punir et soigner en même temps . Par exemple, la prise d’inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine afin de prévenir des accès de violence, ou de traitements anti-androgènes destinés à réduire la libido .S’agissant tout particulièrement du traitement inhibiteur de la libido, parfois appelé à tort « castration chimique », il est aujourd’hui employé aux États-Unis et dans certains pays européens.
 En effet, des propositions d’intervention chirurgicale consistant à détruire une petite région du cortex chez les criminels sexuels de façon à réduire leurs pulsions, font aujourd’hui resurgir le spectre de la lobotomie , ce qui nous amène à envisager dès à présent les risques éthiques de l’application des neurosciences en matière juridique.

La lutte contre la criminalité, conformément aux anticipations futuristes de la nouvelle « Minority Report » écrite par Philip K. Dick en 1956.En France, la détection des signes avant-coureurs de la délinquance chez les jeunes enfants, l’instauration d’une peine de sûreté préventive pour garder en détention les criminels ayant purgé leur peine mais susceptibles de récidiver, etc., manifestent une tendance similaire et effraient.
Par exemple, la rétention de sûreté, instaurée dans notre droit par une loi de 2008, qui prévoit l’incarcération dans des centres de rétention de criminels dangereux à l’expiration de leur peine, participe de cette volonté de prévention de la criminalité.Sans entrer dans les débats sur le caractère récupérable ou non de certains individus, la nature de certains désordres cérébraux est telle que s’il est possible d’agir avant le passage à l’acte criminel, en détectant des comportements futurs ou des probabilités de récidive au moyen de l’imagerie cérébrale, pourquoi refuserions-nous d’en faire application ? C’est là une belle et généreuse idée à laquelle on ne peut que souscrire.

 En conclusion, nous retiendrons tout simplement qu’il n’est pas possible de conclure … De tout temps, des données scientifiques ont pu être admises après avoir été réfutées et ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera peut être plus demain. Les neurosciences pourront probablement, dans un avenir plus ou moins proche, recevoir d’autres applications dans le domaine juridique, sans que l’une ou l’autre de ces disciplines ne s’en trouve dénaturée. Toutefois, s’il est un point sur lequel les neurosciences et le droit se rejoignent déjà, c’est celui de la plasticité : plasticité du cerveau et plasticité du droit. Car, si le cerveau de l’homme est plastique, c’est-à-dire susceptible d’évoluer à tous les âges de la vie, parce que les synapses ont la faculté de modifier leur capacité de transmission de l’information , le droit, fait par les hommes pour les hommes, est quant à lui suffisamment flexible, non seulement pour s’adapter à l’évolution des techniques, mais pour accompagner, voire même précéder, les métamorphoses de l’existence.

Nota:
La neuroscience, définie comme l'étude de la structure et du fonctionnement du système nerveux, forme une discipline scientifique en pleine expansion dont les applications potentielles en dehors des laboratoires de recherche sont nombreuses. Leur impact sur les différentes sciences sociales, c'est-à-dire la philosophie, la psychologie, le marketing, les sciences de l'éducation, etc. est aujourd'hui accompagné d'une apparence juridique intéressante. Les données des neurosciences suscitent un intérêt croissant dans la sphère juridique (ou juridique) tout au long de l'utilisation des méthodes d'imagerie cérébrale ou de la prescription de traitements neuropharmacologiques. Derrière le neuro-légal et la neuro-loi, le néologisme permettant de traduire le terme anglo-saxon "neurolaw" sont des perspectives émergentes riches et des enjeux intéressants liés à l'éthique.


REF.:

vendredi 5 janvier 2018

Mesurer la vitesse de son disque dur



Il peut parfois être utile de mesurer la vitesse de son disque dur lors du lenteur général de l’ordinateur.
Cet article vous explique et donne une liste de quelques outils afin de tester la vitesse de son disque dur.



Vitesse disque dur HDD VS SSD

Il existe trois type de disque dur avec des vitesses nominales différentes :
  • HDD : c’est le plus lent, il est composé d’élément mécanique. Le temps d’accès en lecture est lié à la vitesse de rotation du disque et au temps de positionnement des têtes de lectures. La vitesse de rotation est exprimée en tour par minute. Par exemple : 7200 t/min
  • SSD : Ne comporte aucun élément mécanisme mais de la mémoire flash. La vitesse d’accès est bien meilleure que les disque HDD mais ces derniers sont plus onéreux et les capacités de stockage moindre.
  • SSHD : À mi-chemin entre le disque dur et le SSD, les disques durs hybrides (SSHD) sont des disques magnétiques classiques accompagnés d’un petit module de mémoire Flash (8 à 64 Go selon le fabricant) et d’une mémoire cache (8 à 64 Mo selon le fabricant).
La vitesse est aussi liée à la mémoire cache du disque qui peut aller de 8 Mo à 256 Mo selon le modèle de disque dur.
Ces informations et spécifications techniques sont données lors de l’achat d’un disque dur.
Exemple sur cette fiche d’achat :
Comment mesurer la vitesse de son disque dur
Selon la vitesse de rotation et la mémoire cache, les vitesses mesurées peuvent être très différentes.
Ces vitesse d’écriture et de lecture s’expiment en Mo/s, voici un exemple de comparatif :
Comment mesurer la vitesse de son disque dur

Comment mesurer la vitesse du disque dur

Comme c’est souvent le cas, il existe une multitude d’utilitaire pour mesurer la vitesse de votre disque dur.
Il faut bien entendu fermer un maximum de programmes durant le test.

CrystalDiskMark

CrystalDiskMark est un utilitaire complet pour mesurer la vitesse d’écriture et de lecture de votre disque dur.
> Télécharger CrystalDiskMark
Il suffit ensuite de lancer CrystalDiskMark et de cliquer sur All pour lancer tous les tests successifs puis patienter.
Comment mesurer la vitesse de son disque dur
Le résultat s’affiche alors, mais on peut aussi le récupérer au format texte depuis le menu Fichier / Copier, ce qui donne :
* MB/s = 1,000,000 bytes/s [SATA/600 = 600,000,000 bytes/s]
* KB = 1000 bytes, KiB = 1024 bytes

Sequential Read (Q= 32,T= 1) : 93.635 MB/s
 Sequential Write (Q= 32,T= 1) : 53.418 MB/s
 Random Read 4KiB (Q= 8,T= 8) : 0.804 MB/s [ 196.3 IOPS]
 Random Write 4KiB (Q= 8,T= 8) : 5.464 MB/s [ 1334.0 IOPS]
 Random Read 4KiB (Q= 32,T= 1) : 0.915 MB/s [ 223.4 IOPS]
 Random Write 4KiB (Q= 32,T= 1) : 4.601 MB/s [ 1123.3 IOPS]
 Random Read 4KiB (Q= 1,T= 1) : 0.387 MB/s [ 94.5 IOPS]
 Random Write 4KiB (Q= 1,T= 1) : 5.932 MB/s [ 1448.2 IOPS]

Test : 1024 MiB [C: 4.6% (85.0/1862.3 GiB)] (x5) [Interval=5 sec]
 Date : 2017/12/28 16:56:29
 OS : Windows 10 [10.0 Build 16299] (x64)

HD Tune

Le programme HD Tune Pro permet d’effectuer un bench du disque dur afin d’évaluer la vitesse de lecture ou écriture (I/O).
=> HD Tune
Ci-dessous, le débit en lecture lorsque l’UDMA n’est pas activé.
Comment mesurer la vitesse de son disque durLe même disque dur lorsque l’UDMA est activé.Comment mesurer la vitesse de son disque dur

QuickAccess

QuickAccess est capable d’effectuer un test brut du disque dur mais aussi en copie de fichiers si vous désirez testés la vitesse d’accès par le réseau.
=> Télécharger QuickAccess
Comment mesurer la vitesse de son disque dur

SuperCopier

Le programme SuperCopier permet d’évaluer la copie lors d’un transfert de fichier, à tester sur de gros fichier donc. Cela peux aussi être iintéressantafin d’évaluer le débit lors de la copie de fichiers sur un réseau.
=> http://supercopier.sfxteam.org/?q=fr
Comment mesurer la vitesse de son disque dur
Le débit normal d’un disque dur est d’environ 50 MB/s (ou donc 50 Mo/s). Si vous êtes bien en dessous, il y a un souci.
Pensez à aller voir du côté de l’observateur d’évènements, si vous avez  d’éventuelle erreur : Tutoriel ‘observateur d’événements 

Liens Connexes

Quelques liens relatifs aux problème de disque ou lenteur :
REF.:

Les opérateurs vont pouvoir masquer la puissance de leur signal sur Android P



Google laisserait la possibilité aux opérateurs de masquer par défaut les barres de réseau dans la prochaine version de son système d'exploitation.