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mercredi 9 juillet 2008

Lively vs Second Life

Google lance un monde virtuel sur InternetComme si Google n'avait pas déjà assez à regrouper toutes les connaissances qui existent dans notre monde, à prendre en photo toutes nos rues et à cartographier le reste de notre galaxie, voilà que le géant américain vient de se lancer dans l'univers des mondes virtuels. Google vient de mettre en ligne sa version améliorée de Second Life, Lively. La grande différence de Lively, c'est qu'on peut y accéder de partout du moment qu'un petit logiciel est installé sur l'ordinateur du visiteur. Une entreprise ou un groupe communautaire pourrait donc y avoir un lieu de rendez-vous virtuel pour se rencontrer sur Internet à partir du site Web de l'entreprise, d'un blogue ou à partir de Facebook. Rassurez-vous, on peut également aller y construire sa super demeure ou créer son île de rêve est cela sans frais, un autre avantage sur Second Life.Pour le moment, Google ne prévoit pas vendre de publicité sur Lively. Ce qui n'empêche pas Google d'en profiter pour venter ses divers services. En visitant les lieux, j'ai notamment vu un endroit où trônait un immense écran sur lequel on pouvait visionner un document disponible sur YouTube. Reste à voir maintenant si les villes et îles virtuelles seront disponibles sur Google Maps et Google Streets.

REF.: Google est mon ami;0)

mardi 8 juillet 2008

Le marché des piles pour voitures, va a Sanyo

La guerre des piles rechargeables pour voitures;

Aujourd’hui plus que jamais, la tendance est aux voitures vertes. Les prix du pétrole aidant, tous les grands constructeurs se tournent vers d’autres sources d’énergie et à ce chapitre, la pile rechargeable arrive au premier rang.
La compagnie Toyota, qui est certainement le leader mondial en termes de véhicules hybrides, a annoncé cette semaine que ses premières piles au lithium-ion sortiront des usines dès l’an prochain et équiperont plusieurs modèles 2010. Toyota s’est associée à Matsushita Electric Industrial pour la production de ces piles. Il y a quelques mois, GM avait annoncé que sa propre pile, développée grâce à un partenariat avec la firme A123 System, était de loin supérieure à celle de Toyota, ce qui a fait sourire les Japonais. Les gens de Toyota ont répondu que GM «bluffait encore une fois!»
Toyota domine
En fait, les deux géants de l’automobile sont au coude à coude pour le titre de fabricant no 1 mondial, mais tous les spécialistes affirment qu’en matière de véhicules électriques, Toyota domine tous ses concurrents. D’ailleurs, Toyota a fait savoir que déjà, des ingénieurs travaillaient à mettre au point une batterie plus performante que les piles lithium-ion.
Depuis plusieurs années, les piles lithium-ion sont utilisées dans les voitures, mais de nombreux problèmes de sécurité sont survenus, ce qui a donné lieu à des rappels, un peu comme dans le monde informatique où ce type de pile se retrouve pratiquement partout.
Récemment, Nissan s’est associée à NEC pour le développement conjoint d’une pile de même genre pouvant équiper ses véhicules. Il en va de même pour Volkswagen, qui s’est associée à Sanyo. Enfin, Ford a annoncé cette semaine avoir commandé à la coentreprise Johnson Controls-Saft une vingtaine de batteries lithium-ion pour équiper autant de véhicules Ford Escape, dans le cadre d’expériences de route dans différents états américains.
Dans ce milieu, les choses évoluent très rapidement, mais à l’heure actuelle, c’est Sanyo qui semble dominer le marché pour les différentes piles destinées aux voitures.

REF.:Canoe

Une tasse d'eau seulement pour laver son linge

Des chercheurs de l’université de Leeds en Grande-Bretagne affirment avoir mis au point un nouveau type de machine à laver, dont le processus de nettoyage ne requiert qu’une tasse d’eau, à laquelle on a ajouté un peu de détergent.
L’appareil se nomme Xeros (ne pas confondre avec Xérox); Conçu dans le but de sauver des milliards de litres d’eau chaque année, celui-ci n’utilise qu’une tasse d’eau et laisse le linge pratiquement sec, ce qui fait que la sécheuse n’est plus nécessaire…Trop beau pour être vrai?
Le principe est le suivant: les vêtements dans la machine à laver sont mélangés à une tasse d’eau, contenant un détergent et à 20 kilos de particules de plastique, qui frottent le linge et absorbent la saleté. Ces particules sont récupérées, à la fin du cycle, dans un tiroir situé sous la cuvette de lavage et peuvent être réutilisées une centaine de fois, l’équivalent d’environ six mois d’utilisation normale.
Le professeur Stephen Burkinshaw, l’inventeur de la machine dit que les résultats obtenus sont carrément étonnants: «Nous avons fait différentes expériences avec toutes sortes de taches, incluant du rouge à lèvres et du café; notre conclusion est que la machine fait disparaitre toutes les taches normales».
Si tout se passe comme prévu, ce nouveau modèle de machine à laver devrait être commercialisé, sur une petite échelle, d’ici la fin de 2009. Certains observateurs estiment que le principe d’économie d’eau et d’énergie est excellent puisque selon les responsables, un cycle normal ne requiert que 2% de l’énergie nécessaire à l’utilisation d’une laveuse et d’une sécheuse normale.
Cela dit, le plus difficile sera certainement de convaincre les gens que leur linge sera aussi propre et aussi net qu’avec les techniques actuelles. De plus, on peut présumer que les grands noms de cette industrie auront des arguments-chocs pour convaincre les ménagères que la recette actuelle est encore la meilleure.


REF.:Canoe

Cellulaire: la 4G déja ,en 2010 au Japon

Qui aurait prédit que le cellulaire deviendrait indispensable pour une partie de la population canadienne? Avec la miniaturisation et l’ajout de fonctions toujours plus évoluées, d’indispensable, le cellulaire risque de devenir obligatoire. D’ici deux ans, les évolutions vont être énormes.
Retournons dix ans en arrière: les téléphones vedettes s’appelaient Nokia 8810 ou Motorola Startac; Sony et Ericsson étaient encore deux entreprises distinctes. Et dans leurs cellulaires, pas grand-chose à part la fonction téléphone et quelques jeux de base.
Dix ans plus tard, prenons le Nokia N95, le plus gros succès actuel dans le haut de gamme: lecteurs vidéo et MP3, mémoire de 8 Go, navigation Internet, GPS, caméra vidéo, et même Wiimote… Et ce n’est rien à côté de ce qui nous attend.
Évolution
Si l’on observe la courbe d’évolution des cellulaires, les fonctions évoluées des téléphones «haut de gamme» se retrouvent d’habitude l’année suivante sur le «milieu de gamme», puis se répercutent ensuite à plus ou moins long terme sur l’«entrée de gamme».
Dans deux ans donc, outre le GPS et des capteurs photo plus évolués, la 3G sera plus que jamais de la partie, aidée en cela par des téléphones mieux conçus pour la navigation Internet.
La mémoire bénéficiera aussi d’une nette augmentation: dans le haut de gamme (comme le futur N96), la capacité offerte sera de 16 Go en septembre. Côté batterie, des procédés prometteurs à l’essai en ce moment pourraient allonger considérablement la durée de vie des batteries.
Le cellulaire fera toutefois bien plus et mutera en un véritable porte-monnaie numérique: des achats dans les magasins jusqu’au stationnement pourront être réglés par cellulaire, qui pourra remplacer la carte de crédit. La 3G, présente en France depuis 2005 (le Japon en est à la version 3.5), arrive enfin tardivement ici, et avec des débits de 2 Mbits/s en téléchargement, la consommation d’Internet sur mobile va aller en augmentant.
Et ce n’est pas tout. Apple, qui s’est lancé depuis peu sur le marché de la téléphonie mobile, a déposé un brevet pour des capteurs solaires directement intégrés à l’écran LCD. Apple a aussi acquis cette année la société P.A. Semi. Si ce nom ne vous dit rien, le processeur pour appareils nomades sur lequel ils travaillent risque d’assurer dans un proche futur une puissance incomparable et exclusive aux futurs iPhone.
Japon, le vrai futur
S’il est un pays où la téléphonie est en avance sur le reste du monde, c’est assurément le Japon. Les fonctions de lecture MP3 faisaient à peine leur apparition chez nous que déjà, les Japonais regardaient leurs programmes télés sur leurs cellulaires.
Là-bas, les géants NTT Docomo ou KDDI Corp ont proposé des offres agressives comme Internet illimité, y compris en téléchargement, en se rattrapant avec des tarifs relativement élevés pour la téléphonie.
Le Japon reste un véritable vivier des nouvelles fonctions: le cellulaire y sert depuis des années pour les paiements, Internet et même pour ouvrir sa porte de garage. Actuellement, la téléphonie sur IP par cellulaire est lancée, les cellulaires compatibles 4G vont faire leur apparition cette année, tandis que les essais concluants réalisés par Docomo laissent présager une implantation rapide de la 4G en 2010. Cette technologie permettra des vitesses de téléchargement de plusieurs dizaines de Mbits/s, de quoi télécharger un film en quelques minutes. Pour ceux qui aiment les fonctions plus... exotiques, un capteur qui mesure la qualité de l’air va apparaître en 2010.
* * *
Pour en savoir un peu plus sur l’avenir du cellulaire, nous nous sommes entretenus avec Louie Scarfo, directeur des ventes de Nokia pour l’Est du Canada.
Est-ce que la taille des cellulaires va changer?
Louie Scarfo: Les téléphones doivent rester petits, ils auront la même taille que maintenant, mais avec un maximum de capacités.
Où en est le paiement par téléphone cellulaire?
L.S.: En Europe, le système se met en place actuellement, et Mastercard fait des essais chez Tim Hortons, où l’on peut payer en passant le cellulaire à la caisse. Nous avons lancé le 6131 prêt pour le NFC (Near Field Communication).
À part le GPS et des fonctions et capacités plus évoluées, quelles seront les prochaines fonctions?
L.S.: Bien sûr, les fonctions vont être améliorées: meilleurs capteurs photo, plus de mémoire, mais le GPS sera réservé aux téléphones 3G. Nos téléphones utiliseront la norme NFC. L’idée est de pouvoir régler ses achats, billets, stationnement avec son cellulaire. Une autre fonction va apparaître, le «Service Discovery»: vous vous promenez et voyez une affiche de film; il suffit d’approcher le cellulaire pour, par exemple, voir la bande-annonce. On pourra également échanger les contenus entre cellulaires par Bluetooth.
Vous avez présenté des cellulaires composés en partie de matériaux recyclés. Vont-il se retrouver dans votre gamme et quel pourcentage sera recyclé?
L.S.: Nos prototypes préfigurent une suite plus écologique, nous allons mettre sur le marché des cellulaires en partie recyclés, mais nous ne pouvons pas encore donner de détails sur le pourcentage de matières recyclées.
Allez-vous offrir des modèles à 25$ pour l’entrée de gamme, pour ceux qui veulent un téléphone juste pour téléphoner?
L.S.: Effectivement, nous allons mettre sur le marché des produits simples, destinés comme en ce moment à l’Inde. Il y aura toujours de la place pour ceux qui appellent pour dire «bonjour».

REF.:Canoe

Les Québécois achètent de plus en plus en ligne

REF.: Canoë Yvon Laporte

Les Québécois sont de plus en plus nombreux à se servir d’Internet pour acheter des produits et des services. La dernière enquête à ce sujet, publiée aujourd’hui, a été réalisée par le CEFRIO, en collaboration avec SOM et l’agence Internet VDL 2.
L’indice du commerce électronique du Québec pour le mois d’avril indique que 14% des adultes québécois ont acheté pour plus de 250 M$ sur Internet. C’est l’équivalent de 800 000 personnes qui ont dépensé en moyenne 298$. De ce nombre, environ 120 000 ont effectué des achats en ligne dont la valeur dépasse 1000$.
Achats en ligne
Depuis un an maintenant, 1000 adultes sont sondés tous les mois pour connaître leurs habitudes de consommation en ligne. Au fil des mois, les responsables de l’étude ont donc été en mesure de classer les produits et services achetés en trois grandes catégories.
C’est ainsi qu’en avril, 21% des achats ont porté sur des livres, revues ou journaux, 19% des achats ont été effectués pour des vêtements, des bijoux et autres accessoires du genre et 12% ont été faits pour des appareils électroniques grand public.
Au cours des 12 derniers mois, les Québécois ont acheté pour un total de 3,3G$ par le biais d'Internet. Selon Philippe Le Roux, président de la firme VDL2, une bonne partie de cet argent a quitté le pays: «Il y a quelques semaines, nous avons réalisé que 36% des achats se faisaient sur des sites situés à l’extérieur du pays. En extrapolant, c’est 1,2 milliard $ qui échappe ainsi à notre économie».
L’indice du commerce électronique du Québec permet aux dirigeants des entreprises québécoises de prendre des décisions de plus en plus éclairées concernant leur stratégie d’affaires sur Internet. Selon Statistique Canada, en 2007, seulement 8% des entreprises privées et 16% des entreprises publiques vendaient des biens et des services en ligne au pays.