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lundi 13 décembre 2010

La télévision transmet aussi l'internet à haut débit

Innovation technologique - La télévision transmet aussi l'internet à haut débit
La technologie n'est efficace que dans les villes de moins de 1000 maisons, elle n'est pas adaptée aux ensembles urbains où les immeubles perturbent le signal.
©Panom

Des scientifiques australiens sont parvenus à transmettre de l'internet très haut débit via les ondes hertziennes de télévision, ce qui pourrait représenter une avancée majeure pour les communautés isolées du monde entier.

Des chercheurs de l'agence scientifique gouvernementale ont assuré avoir mis au point une technologie permettant de transmettre de l'internet jusqu'à 144 mégabits par seconde vers six utilisateurs sur un seul canal de télévision de 7 mégahertz.

«C'est actuellement le système le plus efficace en termes de transmission à notre connaissance», a indiqué le responsable du projet, Ian Oppermann.

En utilisant quatre canaux hertziens, 12 utilisateurs peuvent disposer d'une liaison symétrique (permettant d'envoyer et de recevoir des données) d'un débit de 100 mégabits par seconde, soit le débit minimum promis par le gouvernement dans le cadre du vaste réseau national à haut débit (NBN), qui vise à connecter 93% du pays à l'internet à haut débit par la fibre optique.

Le projet de l'équipe d'Opermann est donc d'utiliser les ondes de télévision hertziennes analogiques pour connecter les 7% d'Australiens qui ne seront pas reliés à ce vaste réseau à fibre optique.

Réseau analogique

Comme de nombreux autres pays à travers le monde - notamment en France avec la fameuse TNT (télévision numérique terrestre) -, l'Australie abandonne peu à peu la transmission analogique des programmes de télévision et a commencé la migration vers une transmission numérique, qui devrait être achevée fin 2013.

Le réseau analogique pourra alors être destiné à d'autres usages et sera mis aux enchères.

Sur un immense territoire, la population australienne est parfois très clairsemée, parfois calculée en «nano-habitant par km/2», explique M. Oppermann.

Mais grâce aux basses fréquences utilisées, la plupart des habitants, y compris dans les régions les plus reculées, recevaient un signal de télévision de bonne qualité, avec peu d'interférence, des conditions idéales pour transmettre de l'internet sur les bandes VHF/UHF.

«Le principe de base, c'est que si vous recevez un bon signal de télévision analogique, vous devez pouvoir recevoir des communications à haut-débit dans des conditions fiables», ajoute-t-il.

De nombreux pays ayant basculé vers la diffusion numérique ou en passe de le faire, observent avec intérêt l'expérience australienne.

«De nombreuses régions australiennes sont un peu semblables au Canada, à la Russie, à la Chine, à des régions américaines ou à l'Afrique en termes de densité de population et dans une perspective liée à la problématique des moyens de communication», souligne le chercheur.

«L'Australie peut donc servir de test au niveau mondial. Si l'on réussit, il y a une bonne chance que d'autres pays suivent la même voie», estime-t-il.

Contrairement au GSM ou à la technologie 3G où le débit diminue de façon exponentielle en fonction du nombre d'utilisateurs, le signal analogique offre un débit constant peu importe le nombre d'utilisateurs, explique le chercheur.

Un premier test va être mené dans six fermes de l'île de Tasmanie. La technologie n'est efficace que dans les villes de moins de 1000 maisons, elle n'est pas adaptée aux ensembles urbains où les immeubles perturbent le signal.

«Ce n'est plus seulement une idée. Nous démontrons qu'il s'agit de quelque chose d'utile», conclut M. Oppermann.


REF.:

dimanche 12 décembre 2010

Openleaks : des dissidents de Wikileaks montent un projet concurrent

D'anciens membres de Wikileaks se sont réunis autour d'un nouveau projet. Intitulé Openleaks, le site veut également collecter des informations envoyées par des lanceurs d'alerte. Mais à la différence de Wikileaks, qui a longtemps publié les informations en brut, Openleaks veut une diffusion de l'information a priori plus responsable.

Jusqu'à l'été 2010, la politique de Wikileaks vis-à-vis des documents confidentiels était fort simple. Depuis son lancement en 2006, le site web lanceur d'alerte avait toujours choisi de diffuser lesinformations en brut, sans effectuer le moindre contrôle a priori. Wikileaks croyait, à tort, que "l'intelligence collective" des internautes suffirait à trier et analyser ces contenus.

Les partenariats dressés avec les grands titres de la presse occidentale tendent évidemment à montrer le contraire. Le web, seul, n'est pas parvenu à être une caisse de résonance suffisamment audible pour attirer l'attention du grand public. Dans l'affaire des War Logs, Wikileaks s'est associé au Guardian, au New York Times et au Spiegel pour diffuser 91 000 documents militaires américains relatifs à la guerre en Afghanistan.

Devant le succès de l'opération, Wikileaks a renouvelé l'expérience avec une fuite composée cette fois de plus de 391 000 documents concernant la guerre en Irak. À nouveau, les trois quotidiens se sont impliqués pour traiter et trier cette masse d'information. Dernièrement, le site web s'est également appuyé sur la presse française (Le Monde) et espagnole (El Pais) pour publier 251 000 câbles diplomatiques américains.

Cette communication est évidemment loin de faire l'unanimité. En octobre, nous évoquions ainsi l'article au vitriol rédigé par l'universitaire Antonin Grégoire, spécialiste des questions de sécurité et de terrorisme, qui accusait Wikileaks de privilégier la médiatisation plutôt que l'information. Manifestement, elle fait également débat au sein de Wikileaks, puisque d'anciens membres de Wikileaks, "fâchés" avec Julian Assange selon l'AFP, ont monté un projet concurrent.

Baptisé Openleaks, le site doit ouvrir ses portes prochainement. À la différence de Wikileaks qui a fait de la diffusion brute sa spécialité - du moins au début -, Openleaks veut présenter un profil plus responsable, moins controversé et moins centré autour d'une personnalité, en référence à Julian Assange, qui est devenu par la force des choses le visage et la voix de Wikileaks. Les informations reçues ne seront pas diffusées directement sur Internet, mais seront envoyées à des médias partenaires.

Pour l'heure, difficile de savoir comment Openleaks sélectionnera les médias "partenaires". Néanmoins, il est très probable que le site ou le média concerné opérera un contrôle a priori des informations, notamment pour masquer l'identité de personnes menacées d'une façon ou d'une autre. Dans l'affaire des télégrammes diplomatiques obtenus par Wikileaks, une surveillance similaire est en place pour éviter de compromettre la sécurité d'autrui.

Par ailleurs, le journaliste suédois Jesper Huor nous a indiqué que la télévision suédoise SVT (Sveriges Television) a diffusé un documentaire (en anglais) intitulé WikiRebels. Il revient notamment sur l'histoire de Wikileaks, sur la controverse des fuites de documents confidentiels et sur l'arrivée prochaine d'Openleaks.org.


«Si le journal X est un de nos partenaires, ce journal aura un lien Envoyez-nous des informations anonymes sur son site. Les gens pourront cliquer sur ce lien et faire suivre leurs informations sans risque que l'information permette de les retrouver», explique-t-il.

«Si le journal X ne veut pas faire fuiter l'information qu'il a reçue, un système permettra aux autres médias partenaires d'y avoir accès», même s'ils n'en étaient pas directement destinataires, ajoute le jeune Islandais qui avait déjà exposé à l'AFP fin novembre une partie du projet.

Dans le documentaire de SVT, Daniel Domscheit-Berg et Herbert Snorrason expliquent avoir quitté WikiLeaks en raison de désaccords avec Julian Assange sur la stratégie à mener pour le site, ainsi que de conflits personnels.


REF.: http://openleaks.org/

samedi 11 décembre 2010

Le Noel manqué d'un itinérant de l'an 1999

Vers 2h30 du matin le 5 septembre 1999, Jean Pierre Lizotte, un itinérant est expulsé d'un bar sur la rue St-Laurent pour avoir, selon la police, commis des actes indécents. Il est expulsé une seconde fois d'un bar adjacent par le portier pour des raisons non spécifiées. C'est alors que Maxime Leroux, attiré par le brouhaha voit ce qui ce passe et témoigne de la brutalité sauvage avec laquelle les policiers se sont défoulés sur le sans-abri:

«J'ai vu le portier frapper solidement l'homme à deux reprises. Je peux vous assurer que ce n'était ni de la légitime défense ni un acte de bravoure pour sauver la veuve et l'orphelin. L'itinérant ne menaçait personne.»

«Évidemment, les policiers sont allés voir directement le sans-abri. Pendant ce temps-là, des amis du portier le félicitaient. Alors que les agents enfilaient leurs gants de cuir, l'homme a eu le malheur de s'éloigner de cinq ou six pieds. Rattrapé, il s'est débattu, tentant de frapper les policiers. C'est à ce moment que les agents ont commencé à "varger solide" à grands coups de poing. Le portier a alors saisi les mains de l'itinérant dans son dos, le temps que les policiers frappent cinq ou six coups. L'homme s'est effondré sur le sol et les policiers ont continué à frapper. Des passants se sont approchés pour intervenir au moment où les agents s'éloignaient. L'homme gisait sans bouger dans une mare de sang.»

Selon M. Leroux, les policiers ont agi de façon «vraiment exagérée». «Même que les passants ont tenté d'arrêter les policiers qui battaient l'itinérant.»

Lizotte a été mené à l'hôpital Hôtel Dieu par les policiers puis transféré à Notre Dame pour y subir une intervention chirurgicale. Il est demeuré hospitalisé et est mort le 16 octobre. Il avait deux vertèbres fracturées, était paralysé de la nuque au orteils, et avait subi un affaissement des poumons.

Entre-temps, une enquête interne du SPCUM a été déclenchée du 9 au 28 septembre puis, le jour du décès, la Sûreté du Québec (SQ) a pris la relève de l'enquête criminelle. Ce n'est que 53 jours plus tard lorsque que ces événements ont été rendus publics.

REF.: Blogue: Le monde a l'envers,

Mourir dans la dignité ,dans sa maison avec les siens

Confusion sur l'euthanasie et la sédation palliative


Il demeure une zone grise, et le corps médical s'expose à des poursuites pour un acte criminel, explique Gaétan Barette.

Le Dr Vinay, de son côté, estime que les médecins sont mal informés et c'est ce qui explique cette confusion. Il fait état également d'une fausse perception qui consiste à désigner les sédatifs comme une molécule qui abrège la vie. Ceci n'est pas vrai, martèle ce spécialiste des soins palliatifs.

Au Québec, 11 % des médecins spécialistes pensent que l'euthanasie se pratique souvent, 41 % disent parfois et 29 %, rarement.

L'euthanasie par médication mortelle, comme les barbituriques, est illégale selon le Code criminel canadien.


Le Canada devrait-il rendre légal le suicide assisté?

81% des médecins disent que l'euthanasie se pratique dans les hôpitaux,mais sans mots dire .


définition du suicide assisté:

c'est le patient lui-même qui prend la substance et la décision de son acte.


définition de l'euthanasie:

c'est devancé la mort a sa demande,c'est un IVV= interuption volontaire de la vie.

ou bien ,c'est une injection d'une substance léthale qui va entraîner la mort dans moins de 5 minutes.

24% de cas d'euthanasie en Europe,souffre de maladie neuropsychique(maladie avancé incurable,ou la personne ne peut vraiment pas pensé, Alzheimer,.....)et qui pourraient vivre plus longtemps.

Il y aurait 20% de cas d'euthanasie clandestine en Europe.


Donc on ne soulage pas le patient,et certain cas de dépression importante,on devance la mort de 10 ans !

3 pays Européen,offre l'euthanasie ou le suicide assisté. 2 états américain(bientôt 3, le Montana)offre le suicide assisté.


LA SÉDATION:

En phase terminale,le médecin offre la sédation( sédatif= Qui est propre à apaiser la douleur ) ou une sédation terminale;c'est d'endormir le patient jusqu'au décès.Selon sa propre décision.

A l'Hôpital Notre-Dame,1% recoive la sédation partielle ,ou bien on offre un soulagement au malade ,donc de la morphine(qui enlève la douleur).


Conclusion: Le problême de la douleur ,engendré par la peur de la mort est le seul responsable d'un faux débat sur l'euthanasie.Mise a part une économie de l'état ,faut faire taire ,ceux qui ont peur de leurs ombres.C'est comme le gars qui dit "vie ta vie a 100 mille a l'heure "Man" ; il faut savoir que vous venez pas de la Terre et du réel,vous venez de la vie ,du prana,du Ki,de l'essence, de YHWH,de la lumière, de ce qui est dans le présent ou de l'absence du temps !

REF.:

Fraudeurs à l'Agence du revenu du Canada

L'Agence du revenu du Canada confirme mener une enquête administrative sur neuf employés de son bureau de Montréal.

Cette enquête s'inscrirait dans la foulée d'allégations de fraude fiscale contre Francesco Bruno et BT Céramique, et de la culpabilité de deux entreprises qui appartenaient à Tony Accurso, Simard-Beaudry et Louisbourg Construction, pour fraude fiscale.

Au printemps 2009, l'Agence du revenu du Canada a mené une série de perquisitions dans des entreprises qui appartiennent à Tony Accurso et chez BT Céramique, pour une affaire de fausses factures. L'origine de l'enquête concernant BT Céramique provenait d'informations obtenues dans le cadre de l'opération antimafia Colisée.

En lien avec cette dernière affaire, deux employés de Revenu Canada ont été congédiés et deux autres ont été suspendus.

Simard-Beaudry et Louisbourg Construction ont plaidé coupables mardi dernier à des accusations de fraude fiscale. Francesco Bruno, de la compagnie BT Céramique, a été accusé au criminel, en mars dernier, pour production de fausses factures.

Selon les sources de Radio-Canada, une douzaine de personnes, des employés ou d'ex-employés, feraient l'objet d'une enquête de la part de l'Agence du revenu du Canada et de la Gendarmerie royale du Canada (GRC). Ces personnes auraient aidé des individus ou des compagnies à frauder le fisc canadien. L'enquête de la GRC a pour nom de code « Coche ».

À la Chambre des communes, l'opposition a demandé des précisions, mais le gouvernement est resté vague dans ses réponses. « Combien de fonctionnaires sont visés par une enqupete et combien d'entreprises de construction comme celles de Tony Accurso ont profité de ce système où on achetait la complaisance des vérificateurs du fisc? » a demandé la députée bloquiste de Terrebonne-Blainville, Diane Bourgeois.

« Toute allégation d'actes répréhensibles est prise très au sérieux et une enquête approfondie est menée », a répondu le secrétaire parlementaire du ministre du Revenu, Jacques Gourde.

L'Agence du revenu du Canada précise que les enquêtes qu'elle mène ne touche pas que des fonctionnaires impliqués dans les dossiers des compagnies de Tony Accurso et de Francesco Bruno. Dans d'autres dossiers aussi, de présumés fraudeurs auraient eu des complices au bureau de l'Agence, à Montréal.

D'après un reportage d'Alain Gravel

La corruption à l'intérieur même de l'Agence du revenu du Canada est peut-être beaucoup plus sérieuse qu'on ne le pensait.

Revenu Canada confirme enquêter sur 11 employés à ses bureaux de Montréal. Ils auraient aidé des entrepreneurs à commettre une fraude fiscale,et toucherait d'autres dossiers.






REF.: http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2010/12/10/001-revenu-canada-enquete.shtml