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jeudi 18 avril 2013

Windows « Blue » : plus qu’un simple Windows 9



Technologie : D’après des informations de ZDNet, Blue désigne une mise à jour majeure. Mise à jour qui ne concernera pas seulement Windows, mais aussi Windows Phone, Windows Server et les services en ligne. Objectif pour l’éditeur : une évolution Blue à un rythme annuel.Présentée initialement comme la prochaine mise à jour majeure de Windows, un Windows 9, Windows Blue devrait être bien plus que cela. Dès novembre dernier, The Verge avançait l’hypothèse selon laquelle « Blue » introduirait une approche commune pour Windows et Windows Phone.
Mais d’après des informations recueillies par ZDNet, Blue est même un peu plus que cela encore. D’après une source, qui souhaite rester anonyme, le nom de code « Blue » ferait référence à la prochaine évolution majeure de Windows Phone, les services Windows (SkyDrive, Hotmail…) et Windows Server.
En clair, Blue est une vague de mises à jour logicielles. Des mises à jour qui par ailleurs ne devraient pas s’effectuer toutes à une date identique. En plus de ces évolutions Blue, Microsoft continuera naturellement de procéder à des changements mineurs, dont l’ajout de fonctionnalités pour Windows 8, Windows RT, Windows Services, et Windows Phone.
Pour Windows Phone, cette prochaine mise à jour a ainsi pour nom de code Portico. Avec Blue, une étape de mise à jour majeure, Microsoft ambitionne ainsi de changer le cycle d’évolution de ses produits, jusqu’à présent de deux à trois. Avec Blue, la mise à jour de la plate-forme (Server, Windows, etc) devient annuelle.


La plateforme Films/DVD UltraViolet s'étend de plus en plus en Europe


En effet, le directeur général du DECE (Digital Entertainment Content Ecosystem), l’organisation qui supporte le projet UltraViolet, Mark Teitell, a annoncé officiellement que la France et l’Allemagne seraient les prochains pays à accueillir UltraViolet. Viendront ensuite la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Mark Teitell en a profité pour réaffirmer sa volonté de passer à la vitesse supérieure au Royaume-Uni où l’on compte 500.000 comptes ouverts, tandis qu’il y en a plus de 11 millions aux Etats-Unis. Il vise le million de comptes pour la fin de l’année chez nos voisins anglais. Désormais, les géants de la distribution comme Tesco (au Royaume-Uni) et Wal-Mart (aux Etats-Unis) ont rejoint le projet.
Dans une interview à Homemedia Magazine, Mark Teitell revient également sur le fait que les plus grandes plateformes de l’internet ne sont pas (encore) dans le projet UltraViolet. En effet, iTunes, Amazon, Google Play et Xbox Video Store ne sont pas compatibles avec UltraViolet . Néanmoins il déclare : « la porte reste ouverte pour chacune de ces sociétés. Concernant Apple, le point essentiel pour les consommateurs est que UltraViolet fonctionne avec iPad et iPhone à travers des applications tierces ». Nous n’avons pas pu vérifier ce dernier point, mais il est vrai qu’une interopérabilité qui ne prend pas en compte ces acteurs et les programmes de Disney n’est pas une véritable interopérabilité pour le consommateur final.
Pour ce qui est du marché français, très peu d’informations sont disponibles concernant le lancement d’UltraViolet. A date, aucune grande enseigne de la grande distribution n’a confirmé sa participation au projet, mais surtout aucun éditeur vidéo n’a fait d’annonce en ce sens. On peut légitimement penser que l’annonce faite au PEVE va déclencher la mise en œuvre opérationnelle et que tous les aspects relatifs au coût de la plateforme, aux relations entre les acteurs du projet et que les questions concernant la propriété des données ont été résolues. Point positif, le coût d'accès à la plateforme aurait été nettement revu à la baisse : 50.000 euros au lieu de plusieurs centaines de milliers d'euros dans sa version initiale de 2012, selon les informations obtenues au Royaume-Uni. Mais cela suffira-t-il a attirer les petits éditeurs français, ceux là même qui sont les ambassadeurs de l'exception culturelle ? Nous en saurons plus lors de la venue à Paris des représentants du DECE fin juin.
Reste à savoir si cette forme d’interopérabilité rencontrera le succès auprès d’un public certes multiéquipé, mais pas forcément bien informé des procédures d’enregistrement de tous ses terminaux. Car au final, ce que n’a pas dit le Directeur de DECE, c’est le niveau d’usage des programmes labellisés UltraViolet.
Alors, UltraViolet, rempart efficace contre le piratage, booster des ventes de DVD et de Blu-Ray et solution de partage universelle, cela reste à démontrer.


Les caméras de surveillance sont des passoires



Alors qu’elles sont censées nous protéger, les caméras de surveillance sur IP ont en fait un très faible niveau de sécurité informatique et peuvent facilement être hackées.

C’est un peu l’histoire de l’arroseur arrosé. Très à la mode dans nos sociétés hypersécuritaires, les caméras de surveillance sur IP sont censées nous apporter un meilleur niveau de protection des biens et des personnes. Or, en vérité, un grand nombre de ces caméras sont des passoires informatiques. Résultat : des cybercriminels peuvent, sans grande difficulté, y accéder, visionner les flux vidéos, espionner des réseaux locaux, voire les transformer en botnet. C’est un comble.
En effet, deux chercheurs en sécurité de la société Qualys – Sergey Shekyan et Artem Haruthunya – se sont récemment penchés sur le problème. Ils ont présenté leurs conclusions lors de la conférence Hack in the Box, qui s’est déroulée à Amsterdam les 10 et 11 avril derniers. Grâce à Shodan, un service qui référence tout un tas d’appareils connectés sur internet, ils ont identifié plus de 100 000 caméras dans le monde. En dépit d’un grand nombre de modèles et de marques différentes, la plupart d’entre elles s’appuient sur des bases matérielles et logicielles similaires, et de surcroît faiblement sécurisées.  

Un toolkit pour hacker les caméras

Souriez, vous êtes filmés.
agrandir la photo
Ainsi, environ 20 % des caméras identifiées sont totalement ouvertes, et accessibles sans mot de passe par l’identifiant « admin ». Et dans 99 % des cas, le système d’exploitation des caméras identifiées (firmware) est suffisamment vulnérable pour court-circuiter la procédure d’authentification, grâce à une faille critique découverte en mars 2013. Une fois pénétré dans le Saint des Saints, presque tout est possible. A titre d’exemple, les chercheurs ont fait une démonstration avec des caméras de la marque Foscam, qui est particulièrement présente dans le marché des caméras de surveillance low-cost. Les chercheurs ont développé un toolkit qui permet de créer une porte dérobée et de modifier le firmware pour y insérer, par exemple, un service proxy.
Ce n’est pas la première fois que les caméras IP sont pointées du doigt. En janvier dernier, les webcams de la marque TrendNet ont été épinglées, car elles sont très facilement accessibles. Des hackers avaient même créé une carte Google mondiale des webcams ouvertes à tous, histoire d’attirer l’attention sur cette faille de sécurité béante. Le problème, c’est que ces appareils sont rarement mis à jour par leurs propriétaires. Donc même quand une faille est découverte et documentée, les vulnérabilités subsistent longtemps...  
Lire aussi :
Google désactive la carte mondiale des webcams privées ouvertes à tous        
REF.: 
Sources :
La faille critique de mars 2013
La présentation de Sergey Shekyan et Artem Haruthunya
Le service Shodan, également appelé le « Google des hackers »



mardi 16 avril 2013

Médicaments pour réussir ?


PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, PIERRE-PAUL POULIN
François (nom fictif), étudiant en génie à l’École de technologie supérieure, a admis avoir consommé du Ritalin pendant ses examens lors d’une fin de session entière.

Médicaments pour réussir

Des étudiants achètent des cachets sous le manteau pour améliorer leur performance.

lundi 15 avril 2013

4G en France: 30% d"efficacité ,on passe de 100 a 30 Mbps en pratique


4G décevante : un débit moyen de 30 Mbit/s



Les premiers utilisateurs 4G (LTE) annoncent un débit moyen de 30 Mbit/s, un résultat décevant pour les 100 Mbit/s théorique annoncés par les opérateurs.
La 2G a eu une petite époque, réservé aux avant-gardistes et professionnels elle était tout de même plus répandu que la 1G que très peu de personnes ont connues. La 3G a été plus efficace, permettant bien plus de tâches nécessitant internet sur les téléphones mobiles, elle a été le déclic pour l’utilisateur « lambda » qui a pu avoir accès en dehors de chez lui à internet. La 3G+, gardant le nom de sa petite sœur bien connue, reprenait quasiment la technologie (évolution logicielle) en augmentant le débit alloué aux utilisateurs, un format plus « professionnel ». Un vrai réseau 3G est présent sur la France.
Malheureusement la 4G, même si elle se base sur la 3.9G, est encore loin d’être accessible partout en France. Actuellement, seules quelques grandes villes de France disposent d’un réseau 4G(LTE) mais pas forcément ouvert au public, parfois seulement les professionnels y ont accès. Cette pré-phase d’accès à la 4G est l’occasion pour les opérateurs de faire des tests de grande envergure, tester la réalité par rapport aux études théoriques. C’est durant cette phase que le réseau, même si elle est bien plus puissante que la 3G (ou la 3G+) à révéler un débit pour la 4G assez décevant de 30 Mbit/s au lieu des 100 Mbit/s (voir 150 Mbit/s) estimés.
debit 4G 4G décevante : un débit moyen de 30 Mbit/s
Débit 4G en France

Un débit 4G de 30 Mbit/s d’après DegroupTest

DegroupTest, un service qui permet de mesure le débit lors d’une connexion à mesurer un débit de 30 Mbit/s en moyenne sur le descendant (du net vers votre smartphone) et de 6 à 8 Mbit/s sur l’ascendant (de votre smartphone vers le net). Ces résultats sont sortis d’une étude de 137 000 tests réalisés dans les zones disposant du 4G (LTE). Le débit 4G est donc bien en dessous du théorique sans être alarmant d’une part parce que le réseau des différents opérateurs n’a pas été totalement déployé (le test a été réalisé sur le 4ème trimestre 2012), des ajustements sur le réseau peuvent aussi être intervenu perturbant légèrement les tests. A voir donc sur des études à plus long terme.
Nous avons tester quelques applications de test de débit 4G peut convaincante