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jeudi 5 mars 2015

Projet Morpheus: Sony dévoile un nouveau prototype et donne une date de sortie ..... 2016 ?


A l’occasion de la GDC 2015, Sony a mis à jour son casque de réalité virtuelle pour la PS4, allégé et plus immersif, qui devrait sortir au cours du premier semestre 2015.


Un an après avoir été dévoilé lors de la GDC 2014, le casque de réalité virtuelle de Sony -que nous avons eu l’occasion d’essayer lors du dernier E3- vient de connaître une grosse mise à jour. Le Projet Morpheus bénéficie désormais d’un design plus dépouillé et allégé, qui le rend plus discret et évitera de fatiguer son porteur trop rapidement.
Sony a également annoncé que les écrans utilisés sont des dalles OLED de 5,7 pouces de diagonale, avec une résolution de 1920 x 1080 pixels, soit 960x1080 pixels par œil. Sony insiste sur le fait que cette technologie permet d’assurer une image nette, même en mouvement. Pour que l’ensemble soit parfaitement fluide, ce sont 120 images par seconde qui seront diffusées par Morpheus – le mal de la réalité virtuelle qui n’est pas loin du mal de mer devrait être moins courant. Une bonne nouvelle pour l’immersion, en tout cas. Cette dernière devant par ailleurs être renforcée par l’angle de vue de 100° du casque, qui supprime ainsi toute bordure noire autour de l’image, et par le rendu 3D audio à 360° des sons du jeu
Extrait d'une des démos du projet Morpheus.
Le nouveau Morpheus compte également 9 LED autour du casque qui permettent, en association avec l’accéléromètre et le gyroscope, de suivre plus précisément les mouvements de tête du joueur. Les LED sont suivies par la PlayStation Camera, qui repèrent ainsi le joueur dans l’espace.
A la manière de l’Oculus Rift, il devrait être possible de suivre le jeu affiché dans le casque sur le téléviseur auquel sera branché la PlayStation 4. Un bon moyen de ne pas trop couper du jeu les personnes qui assistent à la partie…

Si Sony n’a toujours pas communiqué de prix pour son casque de réalité virtuelle, il a en revanche annoncé qu’il devrait être commercialisé au cours du premier semestre 2016.

Source.:

Nvidia a annoncé la Shield, sa première console de salon et boîtier Android TV


Console Android et boîtier multimédia 4K, la Nvidia Shield arrive ! Après une version portable puis tablette, c'est maintenant un boîtier tout noir qui s'installe dans le salon et qui incarne l'évolution de l'écosystème du concepteur de puces 3D.


Après la console portable Shield disponible uniquement Outre Atlantique et l'Android Shield Tablet, c'est la console de salon Shield que Nvidia a annoncé cette nuit à San Francisco en marge de la GDC 2015 (Game Developer Conference). Alors que les rumeurs pointaient plutôt, depuis quelques jours, vers un système de lunettes de réalité virtuelle, c'est finalement une console de jeu Android, carburant au Tegra X1 que le géniteur des GeForce et autres Quadro s'apprête à lancer dans le monde.
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Une sortie somme toute logique, dans la droite ligne de la politique amorcée par Nvidia depuis deux ans : ne plus faire que du GPU pour PC et supercalculateurs mais diversifier son activité. Cependant, nous avons du mal à cacher notre déception face à cette annonce. Nous nous attendions à quelque chose de plus musclé qu'un petit boîtier noir brillant, plat, motorisé par un très bon processeur mais incapable de lutter avec les consoles actuelles ou encore avec les futures Steam Machines qui sortiront... en novembre.
Surtout que Nvidia le vendra 199 dollars (donc, a priori, 199 euros) avec une manette, ce qui reste relativement cher selon nous. La disponibilité est d'abord prévue aux Etats-Unis pour le mois de mai et, en Europe, sans doute courant de l'été.

Nvidia GRID et GameStream comme figures de proue

Bien entendu, pour ce prix, l'utilisateur a accès à plusieurs technologies de l'écosystème Nvidia. A commencer par le GameStream qui offre la possibilité de streamer, via la Shield connectée à la télévision du salon, tous les jeux installés sur votre PC et d'y jouer à la manette.
La Shield est également compatible avec le GRID, le système de cloud gaming du concepteur de puces 3D. Pour ceux à qui cela n'évoque rien, GRID est un service gratuit (jusqu'à début juin 2015) par le biais duquel on peut jouer, dans le nuage et grâce à la puissance des supercalculateurs de la marque, à un catalogue de jeux variés et en constante évolution sans avoir besoin de les acheter. Nvidia en ajoute entre un et deux tous les mardis depuis quelques mois maintenant, des titres récents et moins récents pour contenter aussi bien les gamers acharnés que les joueurs du dimanche.
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En plus des titres d'ores et déjà disponibles dans le catalogue GRID, Nvidia devrait en proposer beaucoup d'autres spécialement optimisés pour Shield. Crysis 3, Borderlands : The Pre-Sequel ou encore Doom 3 BFG ont été évoqués lors de la conférence. Des jeux portés sur Android par leurs développeurs et donc à télécharger sur la console avant de pouvoir y jouer (comme Trine 2 ou Half-Life 2).
Techniquement, il risque toutefois d'y avoir un problème de place pour stocker tout ce beau monde sur les malheureux 16 Go de la console, déjà en partie occupés par Android. Quoi qu'il en soit, de gros développeurs de jeu (Gearbox, CD Projekt Red, Capcom, Konami) soutiennent le projet de Nvidia et il y a fort à parier que des titres tant consoles que PC arrivent très vite sur cette console.

Nvidia Shield : l'expérience d'Android TV et du multimédia 4K

Console de jeu donc mais aussi centrale multimédia. Nvidia mise bien évidemment sur l'explosion du contenu 4K et, plus largement, le divertissement numérique à la demande pour séduire les foules moins joueuses. En effet, cette console Shield sera capable de décoder les vidéos en Très Haute Définition provenant de Netflix par exemple. Le PDG de Nvidia, Jen-Hsun Huang, résume ainsi le concept de cette console : "C’est un appareil de divertissement de salon incroyablement puissant, efficace et avancé. C’est la meilleure expérience sous Android TV. Et elle se transforme en une machine de jeux redoutable. Elle est conçue pour jouer".
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Bien entendu, il sera aussi possible d'acheter des films 4K directement sur le service à la demande de Google dès que ce type de contenus sera disponible (en HD uniquement pour le moment en France) et d'en profiter sur votre magnifique TV 4K. Le Tegra X1 est en effet capable de décoder nativement les formats H.265, H.264 et VP9 encodés en 60 images/seconde donc il est armé pour le futur.
Et pour se faire sauter les tympans, le HDMI 2.0 de la console laisse passer les flux audio Surround 5.1 et 7.1. Il sera possible d'écouter de la musique achetée sur le Google Play, regarder des photos stockées sur une clé USB 3.0 (ou sur une carte microSD) ou directement sur votre Google Drive, la Shield donne accès à tous les services Google.

Comme tout boîtier multimédia, la Shield sera livrée avec une télécommande sans fil, rechargeable en microUSB et embarquant un émetteur et un récepteur Bluetooth. Elle intègre un micro pour se servir de la fonction vocale de Google et peut même être connectée à un casque audio pour profiter de tout, en silence, sans déranger toute la maison.

Shield, la console de salon Android de Nvidia, en détails

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Processeur : Nvidia Tegra X1 (GPU Maxwell 256 coeurs et 3 Go de mémoire)
Stockage : 16 Go (extensible via microSD jusqu'à 128 Go)
Fonctions vidéo : 4K Ultra-HD Ready avec lecture 4K et enregistrement en 60 ips (VP9, H265, H264)
Fonctions audio : Son surround 7.1 et 5.1 en pass through sur HDMI
Interfaces : 802.11ac 2x2 MIMO 2.4 GHz et Wi-Fi 5 GHz, Bluetooth 4.1, Ethernet Gigabit, 2 USB 3.0, HDMI 2.0
Poids : 654 grammes
Taille (HxLxP) : 21 x 13 x 2,5 cm


Source.:

Des smartphones qui analyse la composition des aliments ou même authentifie des médicaments ?

MWC 2015 : SCIO, le spectromètre qui analyse les aliments et médicaments

Bientôt intégrable dans les smartphones et les objets connectés, ce petit capteur optique est capable d'analyser tout type de matière pour déterminer sa composition.


L'entreprise israélienne Consumer Physics est parvenue à miniaturiser un spectromètre pour analyser la matière avec un tout petit objet, nommé SCIO. L'idée est assez géniale, puisqu'elle permet notamment d'analyser la composition des aliments et boissons, ou même d'authentifier des médicaments, puis d’en consulter les valeurs nutritionnelles sur votre smartphone, les deux communiquants ensemble en Bluetooth.
Consumer Physics SCIO
© B. Cormier
Consumer Physics SCIO
L'analyse dure moins de deux secondes
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Vérifier si son Viagra est bien du vrai

Démonstration à l'appui avec un iPhone, le SCIO aura reconnu sans difficulté tous les aliments et médicaments qui lui ont été soumis, en déterminant précisément (10 % de marge d'erreur) la quantité de sucre, de glucides, de lipides, de protéines présentes dans le fromage, les sodas, le lait, les fruits et légumes.
Les pillules doivent être analysées dans une petite boîte adaptée au SCIO
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Sa base de reconnaissance est stockée en ligne, et s'enrichit de jour en jour, à chaque nouvelle analyse. Le petit dispositif aura notamment permis d'authentifier une pilule de Viagra (par exemple) et sa version générique, pour déjouer les copies de médicaments vendues en ligne.
© B. Cormier
Le capteur actuel de droite sera miniaturisé dès l'année prochaine
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Dans un ou deux ans, ce capteur sera assez petit pour s'intégrer à des smartphones ou des objets connectés.
Le SCIO est déjà disponible pour 250 dollars en ligne.

Source.:

Les consoles de jeu Valve arrivent en novembre... et elles ne seront pas seules



Les PC/consoles Steam Machines semblent enfin être en route pour nos salons. Elles s’accompagneront d’un casque de réalité virtuelle et d’un boîtier pour streamer son contenu depuis un PC vers un téléviseur.


Lors de la Game Developers Conference de San Francisco, Valve a ouvert le robinet à annonces. L’éditeur, dont la plate-forme de téléchargement communautaire Steam compte désormais 125 millions de comptes actifs dans le monde, s’est félicité de la bonne santé du jeu sur PC. Et les nouveautés sorties de sa musette sont là pour prolonger cette réussite.

Steam Link en guise de mise en jambe

Ainsi, Gabe Newell, le président et co-fondateur de Valve, a dévoilé Steam Link, un boîtier qui permet de streamer tout le contenu d’une bibliothèque Steam depuis n’importe quel PC ou Steam Machine connecté au même réseau domestique. Steam Link se branche à un téléviseur, par exemple, et affiche une image en 1080p à 60 Hz, avec une faible latence.
Ce nouveau boîtier sera vendu 49,99 dollars à partir de novembre prochain, il faudra ajouter 44,99 dollars de plus pour acheter un Steam Controller, la manette à pads tactiles développée par les ingénieurs de Valve. Les prix européens devraient être communiqués ultérieurement, quand la sortie sera imminente, précise le communiqué de Valve.
Le SteamLink, un boîtier pour relier votre PC à votre téléviseur, sans fil...

Les Steam Machines sont en approche

Par ailleurs, la société de Bellevue a également annoncé qu’une quinzaine de ses partenaires, dont Alienware, devraient lancer leurs Steam Machines en novembre prochain. La console/PC de salon, qui tourne sous Steam OS, un Linux maison, est destinée à concurrencer les consoles de salon traditionnelles. Ceux qui en doutaient n’ont qu’à se reporter à cette simple phrase : « Le prix de départ des Steam Machines sera celui des consoles de jeux, avec des performances supérieures ».
A la manière des PC, il sera possible de choisir parmi différents composants pour se construire une Steam Machine adaptée à son budget et à sa ludothèque. Les plus fortunés ou exigeants pourront investir dans une configuration capable de faire tourner « les derniers jeux de tir en 4K ou 1080p en 120 images par seconde », explique Tim Sweeney, fondateur d’Epic Games.
Les Steam Machines ont souffert de quelques retards, liés notamment au développement de la manette à pads tactiles de Valve, l’objectif étant de trouver la meilleure solution pour remplacer le couple souris-clavier qui cohabite difficilement avec les canapés de nos salons.

Ouvrir les valves de la réalité virtuelle

Par ailleurs, Valve a donné davantage de détails sur son casque de réalité virtuelle fabriqué en partenariat avec HTC et qui a été présenté lors du Mobile World Congress de Barcelone.
La solution de réalité virtuelle de Valve, qui devrait être vendue d’ici la fin d’année, recourt à deux technologies, explique le communiqué. La première est une nouvelle sorte de manette. La seconde est appelée Lighthouse. Il s’agit d’un système de mesures, qui fournit un suivi rapide des mouvements des joueurs et un « rendu » haute définition de son environnement. Autrement dit, c’est grâce à cet appareil que l’utilisateur est positionné avec précision dans un environnement virtuel et que ses gestes sont reproduits avec justesse.
Les éléments nécessaires à la fabrication de Lighthouse sont suffisamment peu onéreux pour pouvoir être intégrés sans gros surcoût dans « les téléviseurs, les moniteurs, les casques, les claviers ou les appareils mobiles » explique Alan Yates, ingénieur chez Valve.
La première « SteamBox » d’Alienware.

Un nouveau moteur pour de nouveaux jeux ?

Enfin, Valve a annoncé son Source Engine 2, la nouvelle version du moteur qui a servi à créer des jeux aussi connus que Counter-Strike : Source ou Half Life 2. Ce moteur sera d’ailleurs mis à disposition des développeurs gratuitement, explique Jay Stelly, de Valve. La société a également annoncé qu’elle produirait une version de son Source Engine 2 pour Vulkan, la nouvelle génération de l’API OpenGL.
L’annonce de ce nouveau moteur a apporté un nouveau souffle à un mélange de rumeurs et d’espoirs fous sur les forums de Valve. Certains y voient le signe avant-coureur de l’arrivée d’un nouveau Left4Dead, tandis que d’autres trouvent encore la force d’espérer un nouvel Half Life… à la sauce réalité virtuelle, parient les plus fous ! On n’ose rien dire et on croise les doigts.

A lire aussi :
HTC présente le Vive, un casque de réalité virtuelle novateur conçu avec Valve – 01/03/2015

Source.:

Une Faille des années 90 rend votre Android Browser nul et le restera pour le reste de la vie de votre cell

Une porte dérobée de la NSA met en danger les utilisateurs de Safari et Android

Une faille baptisée « Freak » permet de casser le chiffrement de connexions web sécurisées en OpenSSL. Elle trouve son origine dans un affaiblissement cryptographique, inséré volontairement par la NSA au siècle dernier.

 



Panique à bord chez Apple et Google. Un groupe de chercheurs en sécurité a découvert que les navigateurs Web Safari , Chrome (sauf la dernière version 41) et Android Browser (le navigateur par défaut du smartphone) sont vulnérables à des attaques de type « man in the middle » en se connectant à environ 5 millions de sites web sécurisés en TLS/SSL. Et ce n’est pas tout : ils peuvent également être victimes d’attaques par injection de code sur un grand nombre de sites sécurisés dotés du bouton « Like » de Facebook. Parmi les sites touchés : americanexpress.com, vente-privee.com, orange-labs.fr, ce-orange.fr, bouyguestelecom.fr, m6mobile.fr, lapostemobile.fr, groupama.fr, bamibanque.fr, videofutur.fr, interflora.fr, etc.

Des clés de chiffrement limitées à 512 bits

Mais le plus surprenant : cette terrible faille provient d’une porte dérobée créée par le gouvernement américain... dans les années 90 ! A cette époque, Netscape venait de lancer le premier navigateur grand public, ainsi que le protocole sécurisé SSL, qui allait faire le bonheur de l’e-commerce. Mais le pays de l’oncle Sam était très chatouilleux sur l’exportation de technologies de chiffrement, en particulier de l’algorithme RSA utilisé dans SSL. Hors Etats-Unis, celui-ci était donc limité à des clés 512 bits appelées « RSA Export Keys ». C’était suffisant pour protéger les échanges commerciaux, tout en permettant à la NSA de déchiffrer les flux si elle le voulait. Mais aujourd’hui, cette longueur de clé est ridicule : il suffit d’investir une centaine de dollars en serveurs virtuels sur Amazon.com, et on la casse en quelques heures.
Le site de la NSA, modifié à la volée après avoir cassé le chiffrement SSL.
Le site de la NSA, modifié à la volée après avoir cassé le chiffrement SSL.
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Et c’est exactement ce qu’ont fait les chercheurs en sécurité en se connectant sur le site Web... de la NSA (voir ci-dessus). Car figurez-vous qu’un grand nombre de sites Web proposent encore aujourd’hui ces clés RSA au rabais, par souci de rétrocompatibilité. Normalement, cela ne pose pas un grand problème, car dans les navigateurs modernes, la connexion TLS/SSL se crée toujours avec le plus haut niveau de chiffrement disponible, et généralement avec une taille de clé supérieure à 1024 bits.
Mais un bug découvert dans les implémentations d’OpenSSL de Safari et d’Android Browser permet de forcer le navigateur à accepter les clés 512 bits. Un attaquant peut donc, dans un premier temps, casser la clé RSA 512 bits récupérée auprès d’un serveur web. Puis, grâce au bug, intercepter et déchiffrer les flux d’un utilisateur qui s’y connecte (car le serveur utilise toujours la même clé RSA 512 bits). Il pourra donc récupérer des données sensibles, ou modifier les pages à la volée.
Le même bug se trouve également dans le kit de développement Facebook Javascript SDK, utilisé pour insérer des boutons « Facebook Login » ou « Facebook Like » dans les pages Web. Dans ce cas, la faille permet d’injecter n’importe quel code Javascript et, par exemple, récupérer des codes d’accès. Comme elle est liée aux clés RSA 512 bits, cette faille a été baptisée « Freak », pour « Factoring RSA Export Keys ».

Un patch Apple la semaine prochaine

Comment se protéger ? Facebook a d’ores et déjà mis à jour son SDK, tout comme Google qui vient de publier Chrome 41. Apple devrait publier un patch de sécurité pour Safari la semaine prochaine. Pour Android Browser, en revanche, ce sera plus compliqué, (faut changer de cell sinon ce sera comme la faille heartbleed a fallu Android Kitkat)car le processus de mise à jour dépend des constructeurs de smartphone, dont la réactivité est très variable. En cas de doute, rendez vous sur le site freakattack.com pour tester votre navigateur.
 
 Voici pour Firefox:

 
 
 
 
En attendant, il faut éviter d’utiliser les navigateurs intégrés dans les applications et préférer, par exemple, Chrome ou Firefox. Par ailleurs, il veut mieux se tenir à distance des réseaux à l'accès peu sécurisés, comme les hots spots publics. « Cette faille est embarrassante mais pas très grave, car elle peut être comblée assez rapidement. Cette histoire montre aussi que la création de portes dérobées est une très mauvaise idée. Au final, elles échappent toujours au contrôle de celui qui les a créées », souligne Jérôme Saiz, expert du Cercle européen de la sécurité et des systèmes d’information. C’est d’ailleurs le message qu’ont voulu faire passer les chercheurs en sécurité en s’attaquant au site Web de la NSA...

Source.: