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mercredi 3 novembre 2021

« Cette image est-elle vraie ? » Adobe veut vous fournir la réponse

 

 

« Cette image est-elle vraie ? » Adobe veut vous fournir la réponse

Stéphane Moussie |

Vigilant comme vous êtes, vous vous méfiez des images sensationnelles qui circulent comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux. Mais comment avoir la certitude que cette image d'un chaton à cinq pattes n'a pas été retouchée ? Adobe planche depuis quelques années sur cette problématique avec des médias et d'autres acteurs du numérique. Après tout, qui est mieux placé que le créateur de Photoshop pour répondre à la question de l'authenticité des images ?

La Content Authenticity Initiative franchit une nouvelle étape importante avec le lancement en bêta pour tous les utilisateurs du Creative Cloud de Content Credentials. Intégré à Photoshop, ce système permet à l'utilisateur de lier à son fichier les informations sur les retouches qu'il a effectuées. Que ce soit un simple ajustement de la luminosité ou l'intégration d'une ressource externe (synonyme dans ce cas de trucage), ces modifications sont attachées au document, y compris la ressource externe utilisée. Ce nouveau type de métadonnées n'est pas enregistré par défaut, c'est à l'utilisateur d'activer l'option dans Photoshop.


Le « certificat » des créations est présenté sur la banque d'images Adobe Stock ainsi que sur la plateforme Behance. Et quand une image n'est pas hébergée sur l'un de ces services, on peut la charger sur le site verify.contentauthenticity.org pour voir les modifications qu'elle a subies. Cette manipulation rend la vérification laborieuse, mais l'objectif à terme est de faire apparaître ces informations là où les images circulent le plus. Twitter fait partie des entreprises engagées dans la Content Authenticity Initiative, tout comme Microsoft, Qualcomm, Nikon, ARM, l'AFP, Getty Images, le New York Times ou encore France Télévisions.

Outre un moyen de lutter contre les fausses informations, Adobe promeut ce système comme un certificat d'authenticité sur le marché des NFT. Les créateurs peuvent associer leur adresse de portefeuille de cryptomonnaies à Content Credentials pour prouver qu'ils sont les véritables auteurs des œuvres numériques en vente. Plusieurs plateformes de NFT (KnownOrigin, OpenSea, Rarible et SuperRare) vont présenter cette information et de son côté Behance va accueillir une section dédiée aux NFT.

Le « certificat » d'une image visible sur le site dédié de l'initiative.

La réussite de l'initiative dépendra de son adoption par les principaux créateurs et diffuseurs d'images. Adobe prévoit de mettre en ligne un kit de développement open source permettant à tous les éditeurs d'intégrer Content Credentials à leurs apps et services, mais plusieurs acteurs cruciaux manquent encore à l'appel, parmi lesquels Apple, Google et Facebook.

 

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Un moyen de communication caché sur l’Apple Watch Series 7

 

 

Un moyen de communication caché sur l’Apple Watch Series 7

Le grand public ne peut pas y faire appel pour le moment, et tout porte à croire que ceci ne changera pas.


Publié le 

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iPhon.fr


Un nouveau document officiel de la FCC (Federal Communications Commission pour Commission fédérale des communications, équivalent américain de l’ARCEP) dévoile un secret inédit concernant les montres connectées d’Apple sorties mi-septembre. En effet, celles-ci sont en réalité capables de transférer des données en faisant appel aux bandes de fréquence de 60,5 GHz.

Pour le moment toutefois, impossible de savoir pourquoi mais ce qui est sûr c’est que les clients finaux n’ont pas accès à cet avantage. Il semble d’ailleurs réservé aux équipes d’Apple en interne, qui l’utilisent probablement pour transférer des fichiers de maintenance. Qui plus est, d’après les fichiers de la FCC mis au jour par des analystes de chez Barclays, il est nécessaire de faire appel à un dock propriétaire pour se connecter à la Series 7 de cette façon. Or aucun accessoire de ce genre n’est connu à ce jour.

D’autres appareils concernés

Ce n’est pas la première fois qu’une information de ce genre nous parvient : déjà lors de la commercialisation de son édition originale en 2015, l’Apple Watch avait été repérée avec une prise de diagnostic secrète. Les médias avaient alors supposé que celle-ci était privilégiée par certains techniciens du Genius Bar cherchant à identifier d’éventuels problèmes techniques signalés par des consommateurs.

Autre exemple : celui de l’Apple TV 4K, dotée cette fois-ci d’une fiche… Lightning.

La Series 7 se fait toujours attendre

Le support qui permet de s’appairer à cette connectique porte le numéro de modèle A2687 et s’alimente via un port universel USB-C. Il s’agit là d’une information plus que fiable : les chercheurs qui l’ont partagé (Blayne Curtis et Tom O’Malley) se sont en effet basés sur un dépôt officiel datant d’août dernier pour confirmer leurs dires, soit tout juste avant la présentation de la Series 7.

À ce jour, le wearable ne dispose pas encore de date de lancement. Son fabricant a tout juste précisé que l’appareil arrivera d’ici cet automne, mais sans ajouter de précisions. Le prix français n’est pas connu non plus mais devrait tourner autour des 479 euros si Apple conserve un taux de change similaire à celui de la Series 6, le tarif ayant déjà été dévoilé aux États-Unis.

 

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iOS : demander à une app de ne pas vous suivre ne servirait à rien

 

 

iOS : demander à une app de ne pas vous suivre ne servirait à rien

L’ATT a été étudié de près par une solution alternative, qui estime que les efforts d’Apple pour nous protéger sont vains…


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iPhon.fr


Lockdown Privacy est une plateforme gratuite et open source qui bloque les trackers utilisés par les éditeurs pour mieux connaître votre comportement en le suivant à la trace sur iPhone. Celle-ci vient en complément de l’ATT, suite de changements annoncés par Apple avec iOS 14 et visant justement à bloquer les développeurs s’inscrivant dans cette démarche lorsque l’utilisateur le décide. Pour ce faire, il lui suffirait de choisir “Demander à l’app de ne pas suivre mes activités” lorsque son appareil le propose.iOS 15 a la rescousse !

À l’occasion de recherches partagées par le Washington Post (journal appartenant désormais à Jeff Bezos), il vient toutefois d’être prouvé que ces mesures sont inefficaces. En effet, l’app tracking transparency ne réduit pas le nombre de trackers utilisés par les annonceurs, qui disposent déjà d’alternatives pour contourner cette limitation. Qui plus est, la solution proposé Cupertino n’aurait qu’un impact réduit sur le nombre total de télécommunications avec des tiers. Ce sont ces derniers qui reçoivent le plus souvent les données des consommateurs, afin de les traiter pour le compte de nos applications.


Le respect de la vie privée, une illusion ?

D’après Lockdown Privacy, des données personnelles et des statistiques sur l’iPhone sont ainsi collectées même lorsque vous touchez “Demander à l’app de ne pas suivre mes activités“. Plusieurs apps précises ont d’ailleurs été épinglées suite à ces découvertes. On peut notamment citer le jeu mobile Subway Surfers, qui continue entre autres de transmettre des chiffres (niveau de batterie, version du système, opérateur…) à Facebook en toute discrétion. Le runner avait déjà fait l’objet de suspicions en septembre dernier.

Autre exemple : la recommandation de restaurants avec Yelp, qui envoie des informations de ciblage à Facebook via son API Graph et à Branch. Plus précisément, ce sont ici trente-neuf trackers qui continuent d’être actifs même après avoir choisi de bloquer le suivi inter-applications. Soit seulement trois de moins qu’en l’ayant autorisé.

Notons par ailleurs que certains, comme les cafés de Starbucks, ne prennent toujours pas la peine de demander l’accord des internautes. Ici, les prestataires sont Google Analytics et New Relic. Quant au bon élève de l’histoire, il ne s’agit une fois de plus que de Telegram avec aucun pistage décelé.

Apple répond

Fred Sainz, porte-parole d’Apple, a déjà réagi à l’affaire :

Pour Apple, le suivi doit être totalement contrôlable et transparent pour les utilisateurs. Si nous découvrons qu’un développeur viole ses choix, nous travaillerons avec lui pour résoudre le problème, ou il sera banni de l’App Store“.

 

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Free Guy,L'homme Libre: Spoiler

 Free Guy,L'homme Libre: Spoiler

 

L'une des « grandes » idées actuelles sur la réalité et l'existence est que nous vivons en fait dans une simulation. C'est mon préféré, une tournure moderne de l'idée de Dieu, ou de l'horloger désintéressé qui a créé l'univers puis l'a laissé tourner sans lui : nous créer hors du code puis nous laisser le travailler par nous-mêmes, dans des paramètres codés. Si c'est vrai, est-ce vraiment important ? 
 
Notre existence est toujours réelle pour nous. La simulation est en fait la réalité. C'est une idée explorée dans Free Guy, à propos d'un monde virtuel où personne ne sait qu'ils sont programmés par de "vraies personnes". Mais si les programmeurs aussi font partie d'une simulation, où cela nous mène-t-il ? sommes-nous des simulations dans des simulations dans des simulations ? Avant que votre tête n'explose, revenons à Free Guy, qui parvient à tisser de telles questions dans un regard plein d'entrain, plein d'esprit et frénétique sur la vie, l'amour, la liberté, le libre arbitre et pourquoi les hommes portent la même chose au bureau jour après jour. (J'ai toujours qualifié la tenue quotidienne de Free Guy Guy de chemise bleue et de pantalon chino sous le nom de Dress Down Day Dadwear, comme lorsque je travaillais dans un bureau, c'est ce que les hommes portaient tous le vendredi pour montrer leur individualité.) Guy (Ryan Reynolds) et Buddy (Lil Rel Howery) dans Free City

C'est un PNJ (personnage non jouable) dans un jeu vidéo. À quel point cela pourrait-il être grave pour lui, n'est-ce pas ? Eh bien, je ne l'ai pas encore vu mais si vous l'avez… commencez à commenter !

 Le film s'ouvre dans le monde de Free City, un jeu vidéo où les joueurs peuvent participer à des missions pleines d'action comme des missions d'espionnage ou des braquages ​​de banque. 

Les plus gros joueurs sont ceux qui portent des lunettes de soleil, car cela leur donne un avantage sur les autres personnages. Parmi les nombreux personnages non-joueurs se trouve Guy (Ryan Reynolds), un caissier de banque qui aime son style de vie banal et routinier. Il travaille avec son meilleur ami, un agent de sécurité nommé Buddy (Lil Rel Howery), et ils doivent toujours jouer le rôle d'employés de banque sans défense lorsqu'ils se font voler.

 Ailleurs dans Free City se trouve un personnage de lunettes de soleil appelé Molotov Girl (Jodie Comer), qui interroge un autre joueur (Hugh Jackman) pour obtenir des informations sur un artefact qu'elle recherche. Ensuite, elle marche près de Guy et Buddy alors qu'ils rentrent chez eux, et Guy entend la pièce "Fantasy" de Mariah Carey alors que Molotov Girl passe devant lui. Il commente la chanson, ce qui la surprend car elle est habituée à entendre toutes les phrases courantes que chaque PNJ a à dire. Guy devient amoureux et la suit mais est heurté par un train, le renvoyant chez lui pour tout revivre. 

 Lorsque Guy retourne au travail, le vol a lieu, mais Guy décide de faire quelque chose de différent et essaie d'acquérir les lunettes de soleil d'un voleur (Dwayne Johnson), les tuant accidentellement avec leur propre fusil de chasse alors même que le joueur dans le monde réel essaie pour abattre Guy. Il prend les lunettes de soleil et quitte la banque. Lorsqu'il les met, il voit diverses parties du jeu mises en évidence pour montrer à quoi elles servent (la banque pour la mission de braquage, par exemple). Il découvre qu'il peut ramasser des boîtes de santé pour se soigner, et il continue littéralement à voir le monde avec de nouveaux yeux.

 Cependant, lorsqu'il essaie de changer des choses comme sa commande de café habituelle, les autres PNJ semblent se méfier de Guy. À l'extérieur du monde réel, Soonami, la société derrière Free City, a vent des activités de Guy, pensant qu'il est un pirate informatique qui a utilisé un skin de PNJ pour éliminer d'autres joueurs. Deux employés, Walter "Keys" McKey (Joe Keery) et Mouser (Utkarsh Ambudkar) entrent dans le jeu en tant que leurs avatars, un flic strip-teaseur et un lapin rose, pour affronter Guy. Ils le poursuivent, mais il a des baskets en édition limitée qui lui permettent de sauter en hauteur.

Guy essaie de leur échapper en s'agrippant à une boule de démolition mais il rate et tombe, se sauvant avec un costume à bulles. Cependant, Keys et Mouser trouvent Guy et le tuent, pensant qu'ils ont éliminé le "hacker" pour de bon. Une interview est montrée de Keys avec Millie Rusk (également Jodie Comer), car ils étaient les cerveaux derrière Free City avant que le patron actuel de Keys, Antwan (Taika Waititi), vole leur code et salisse le jeu dans son propre truc pour créer une franchise sans âme. . Millie rend visite à Keys et prévoit d'obtenir des preuves des crimes d'Antwan, car elle sait que la preuve de leur code est cachée dans une maison sûre à l'intérieur du jeu, qu'elle essaie d'infiltrer en jouant le rôle de Molotov Girl.

 Guy trouve plus tard la fille Molotov à l'extérieur de la maison sûre. Bien qu'il veuille la rejoindre dans sa mission et ailleurs, il ne peut pas car il a un niveau bas (1 pour être exact) alors qu'elle est à un niveau supérieur. Guy commence alors à entreprendre des missions avec les lunettes et réussit plusieurs actes héroïques comme rendre de l'argent volé et éloigner les enfants de la circulation. Les joueurs dans la vraie vie le remarquent et Guy devient bientôt une sensation virale appelée "Blue Shirt Guy", apparaissant même comme une réponse sur "Jeopardy". Guy essaie de convaincre Buddy de le rejoindre après avoir volé une autre paire de lunettes de soleil, mais Buddy pense que c'est trop dangereux. Antwan a vent de Guy et veut que ses employés gardent Guy en raison de sa popularité.

 La société est sur le point de lancer Free City 2, qu'Antwan veut sortir dans deux jours bien qu'il ne soit pas entièrement codé et toujours défectueux, et il aggrave les choses en disant à Keys que le jeu n'est pas rétrocompatible avec le premier jeu, donc la plupart des les personnages ne reviendront pas pour la suite. Guy atteint un niveau suffisamment élevé pour qu'il se rende à la planque pendant que Millie tente d'y entrer. Juste au moment où elle est presque tuée, Guy s'écrase sur une moto et l'aide à combattre les méchants avant de s'échapper en deltaplane. Plus tard, les deux traînent et mangent de la crème glacée au chewing-gum, qu'ils considèrent tous deux comme sous-estimés.

 A la fin de leur rendez-vous, Guy embrasse Molotov Girl, ce qui surprend Millie. Pendant ce temps, Keys commence à remarquer quelque chose d'inhabituel dans les codes des PNJ. Il apporte l'information à Millie, rapportant que la barista du café a appris à faire un cappuccino par essais et erreurs tandis qu'une bombe blonde a écrit un livre sur les rôles de genre après avoir rencontré Guy et a été influencée pour suivre son propre chemin. Cela prouve qu'Antwan a volé Keys et le code de Millie, car leur idée du jeu qui s'est transformé en Free City aurait permis aux PNJ de grandir et de se développer au fil du temps à mesure qu'ils s'adaptent, et c'est ce que Guy a fait. Il prévient également Millie que le monde actuel de Free City sera perdu une fois la suite lancée. 

Millie retourne dans le jeu pour amener Guy au hub central où se rassemblent d'autres joueurs, lui révélant qu'il n'est qu'un personnage de jeu vidéo. Une fois que la réalisation le frappe, Guy entre dans un funk et perd son comportement joyeux. Il se rend chez Buddy pour lui parler de sa nouvelle crise existentielle, et Buddy tente de lui remonter le moral en lui assurant que le moment qu'ils vivent ensemble est réel. Buddy rejoint Guy alors qu'il décide d'aider Millie et d'obtenir le dossier qu'elle veut. L'avatar du garde (Channing Tatum) est ravi de rencontrer Guy alors que le joueur du monde réel réagit en le voyant. 

Il laisse fondamentalement Guy le voler et prendre ce qu'il veut, demandant même à Guy de le tuer, mais Guy refuse de le faire. Il apporte le dossier à Millie, qui est la preuve qu'elle cherchait. Le comportement de Guy sans tuer séduit les joueurs, y compris les streamers populaires comme Ninja et Pokimane. Cependant, Antwan commence à s'énerver et pense que Guy va ruiner les ventes de Free City 2. Mouser lui suggère de redémarrer le serveur. Dans le jeu, Guy et Millie voient le fichier, qui contient des informations sur une île qui prouve la sienne et le code de Keys est dans le jeu. 

Tout comme Guy mentionne qu'il a déjà vu l'île, le jeu est redémarré, ce qui fait revenir Guy avant qu'il ne prenne conscience de lui-même. Millie peut se reconnecter, mais Guy ne se souvient pas qui elle est. Elle demande de l'aide à Keys et il lui dit que le personnage qu'il a créé sur lequel Guy est basé est un PNJ amoureux qui cherche toujours la fille de ses rêves et qu'il a juste besoin de quelque chose pour aider à déclencher le code. Millie (en tant que Molotov Girl) embrasse Guy, et cela lui rappelle tous ses souvenirs, y compris l'endroit où il a vu l'île. L'image en est reflétée sur les stores de son appartement, et avec cette information, Keys estime que l'île est juste au-delà de l'horizon de la ville. 

Guy et Millie rassemblent ensuite tous les PNJ de Free City pour les inciter à migrer vers l'île et à suivre leurs propres choix au lieu de ce pour quoi ils ont été codés. Avec tous les PNJ partis, les joueurs sont confus. Antwan a bientôt vent de Molotov Girl et apprend que Millie est impliquée. Il ordonne à Mouser de la supprimer elle et Guy pour de bon. Mouser commence à manipuler l'environnement du jeu pour se rapprocher d'eux alors que Guy essaie de les conduire hors de la ville. 

Les joueurs du monde entier sont à l'écoute pour regarder la saga se dérouler. Keys intervient et aide à créer une rampe pour échapper à la destruction, tandis que les PNJ regardent de loin. Ils arrivent à la plage, mais Molotov Girl commence à être supprimée alors que Keys aide à créer un pont pour eux. Antwan demande ensuite à ses employés de lancer Dude (également Ryan Reynolds), une version plus grande, plus forte et plus stupide de Guy qui n'est pas complètement terminée mais qui est le dernier effort d'Antwan pour se débarrasser de Guy. Buddy arrive pour aider tandis que Guy se fait renverser par Dude. Buddy obtient des lunettes de soleil et les jette à Guy, qui est capable d'évoquer le bouclier de Captain America (ce qui surprend Chris Evans en train de regarder dans un café) et un poing de Hulk, ainsi qu'un sabre laser. 

Cependant, Dude domine presque Guy jusqu'à ce qu'il mette les lunettes sur Dude, qui voit maintenant le monde comme Guy. Guy et Buddy commencent à courir vers l'île, à quel point Antwan commence à la perdre et emmène Mouser dans la salle des serveurs où il prévoit maintenant d'effacer complètement Free City. Mouser arrête d'aider Antwan en raison de sa loyauté envers Keys, alors Antwan commence à tout casser avec une hache, provoquant la suppression de l'environnement de la ville. Le pont est également supprimé et Buddy ne va pas loin jusqu'à ce qu'il soit également supprimé, mais il dit à Guy qu'il a eu le meilleur jour de sa vie grâce à lui.

 Guy court assez vite jusqu'à ce qu'il franchisse enfin la barrière et se rende sur l'île, qui est ensuite révélée aux PNJ et aux joueurs du monde réel. Millie se rend dans la salle des serveurs presque totalement détruite et conclut un accord avec Antwan pour lui laisser le code du jeu pendant qu'il peut conserver le nom de Free City pour les suites et les retombées.

 Bientôt, Free City 2 se lance dans des ventes épouvantables et Antwan commence à faire face à un examen minutieux au travail et dans les médias. Millie, Keys et Mouser développent « Free Life », créant le jeu qu'ils ont toujours voulu créer avec des environnements et des détails plus étendus. Désormais plus dédiée au jeu, Millie doit « rompre » avec Guy, mais il la comprend parfaitement et se sépare à l'amiable d'elle. Millie regarde ensuite une lecture vidéo de Keys décrivant que le personnage de Guy allait toujours tomber amoureux de Molotov Girl parce qu'il a créé l'algorithme de son attirance pour elle basé sur le propre amour de Keys pour Millie. Elle s'en rend compte et va le rattraper en ville où ils s'embrassent. De retour dans le jeu, Guy et Dude sont devenus amis, mais Guy manque à Buddy. Il s'avère que Buddy est revenu à la vie dans le jeu et que les deux meilleurs amis se réunissent. Buddy demande s'ils doivent retourner au travail, mais Guy dit qu'ils peuvent maintenant aller où ils veulent et faire ce qu'ils veulent.

 

 Dans le jeu en monde ouvert de Free City, un personnage non-joueur appelé Guy prend soudainement conscience de lui-même et s'écarte de sa programmation originale. Initialement considéré comme un pépin ou un pirate informatique, Guy devient une sensation virale mondiale alors qu'il accomplit des actes héroïques et inspire d'autres PNJ à vivre au-delà de ce qui leur a été confié. Ceci est remarqué par les développeurs de jeux Millie Rusk et son ancien partenaire Walter "Keys" McKey, qui a à l'origine développé le code du jeu que Free City est devenu, mais il a été volé par le patron actuel de Keys, Antwan, qui veut juste transformer Free City. dans une franchise générique d'achat d'argent. 

Avec les bouffonneries de Guy menaçant le lancement de Free City 2, Antwan tente de faire supprimer Guy par Keys et son nouveau partenaire Mouser, mais Guy finit par aider Millie à rassembler des preuves qu'Antwan a volé le code sous la forme d'une vidéo montrant une île qui fait partie de la version originale du jeu. 

Après avoir rassemblé tous les autres PNJ et les avoir incités à migrer vers l'île, Antwan essaie de faire supprimer l'avatar de Guy et Millie, Molotov Girl, du jeu, mais Keys les aide à se rapprocher de l'île. Antwan envoie une copie plus grosse et plus stupide de Guy appelé Dude pour le battre, mais Guy parvient à obtenir Dude de son côté. 

Réalisant que ses crimes sont presque découverts, Antwan tente de détruire les serveurs du jeu pour tout supprimer, mais Guy parvient à se rendre sur l'île à temps, ce qui est vu par les joueurs du monde entier. Millie passe un accord avec Antwan pour récupérer le code afin qu'il puisse conserver le nom de Free City pour développer sa franchise. Cela le mord durement en tant que ventes de chars Free City 2 et il se laisse entraîner dans des controverses au travail et dans les médias.

 Millie, Keys et Mouser développent leur propre jeu avec les PNJ de Free City toujours sauvegardés, et Millie se sépare de Guy pour qu'elle puisse se concentrer sur son travail, et elle commence également plus tard une relation avec Keys. Guy continue de profiter de son nouveau monde avec son meilleur ami Buddy. 

 Il y a des questions sur ce que signifie la vie - Guy a une crise existentielle lorsqu'il découvre quoi et où il est (n'est-ce pas tous?)

 Finalement, Millie et Keys commencent à se demander s'il est réellement une IA révolutionnaire, devenant réel à mesure qu'il apprend , bien qu'il soit toujours basé sur le code d'origine.

 Pouvons-nous vraiment développer le libre arbitre ?

 Les pressions de la société sont-elles les limites de cette liberté, et aimons-nous simplement ce que nous savons ? 

Pourquoi tant d'hommes portaient-ils des chemises bleues et des pantalons chino lors de Dress Down Friday dans les années 2000 ? 

Pourquoi est-ce que je continue à acheter des hauts gris et des robes rouges ?

 Si cela semble lourd, ce n'est pas le cas, et ce sont en fait le genre de questions que les enfants aiment souvent, mais dont ils sont aussi souvent exclus (pas ceux de la garde-robe, évidemment).

 Le message global de Free Guy est toujours que tout le monde devrait avoir l'espace pour créer la vie qu'il veut vivre, bien qu'il s'agisse également de relations (cela n'a pas d'importance pour Guy et ses amis qu'ils soient dans un monde créé artificiellement) et le pouvoir de la communauté contre le grand gars.

 

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O.MG : le câble de recharge qui peut voler vos données

 

 

Créé par le chercheur en cybersécurité Mike Grover (MG), il s’agit du premier câble du genre accessible au grand public à un prix relativement bas. Selon son créateur, l’outil est destiné avant tout aux autres spécialistes de son domaine qui souhaitent effectuer des tests pour mieux sécuriser les infrastructures informatiques de leur milieu, selon un récent article publié dans Ici Explora Canada.

Il permet de manipuler les appareils d’une manière limitée en y injectant des codes malveillants, et il possède surtout la capacité de garder en mémoire jusqu’à 650 000 frappes de clavier au moyen d’un enregistreur de frappe, mieux connu sous la terminologie anglaise keylogger. Selon la fiche technique du cable, une fois branché, certaines options peuvent être activées à une distance allant jusqu’à 2 km.

Un enregistreur de frappe est un périphérique qui permet d’enregistrer les touches tapées sur un clavier. Loin d’être une nouvelle technologie, elle est utilisée depuis des dizaines d’années sous différentes formes par les cybercriminels qui tentent de dérober des données sensibles, comme des mots de passe ou des numéros de cartes de crédit, à leurs victimes.

Pour fonctionner, les enregistreurs de frappe doivent avoir un accès à l’ordinateur ciblé. Ils peuvent prendre la forme d’un logiciel malveillant, ou encore d’un périphérique physique branché dans un port USB. Alors qu’une clef USB inconnue branchée dans un ordinateur s’avère peu subtile, le câble O.MG profite de la miniaturisation des composantes électroniques pour camoufler sa vraie nature.

Comme il peut prendre l’apparence des câbles de chargement des téléphones les plus populaires, il est trivial pour une personne mal intentionnée de remplacer un câble d’origine par celui-ci ou de le prêter à une personne qui ne connaît pas l’existence de cette technologie. 

Bien que le câble O.MG ait été créé à des fins de cybersécurité, sur la boutique en ligne où il est vendu, rien n’est mis en place pour valider les raisons de l’achat et aucune mise en garde n’est affichée sur la page du produit. L’outil n’est pas illégal en soi, mais une utilisation malveillante (espionnage, vol de données) peut facilement être considérée comme un acte criminel.

Entre de mauvaises mains, il peut s’agir d’un outil redoutable pour voler des données personnelles, nommé le Juicejacking. C’est un bon rappel de ne pas brancher n’importe quoi dans nos appareils électroniques, et, pour les personnes qui travaillent avec des données sensibles, de ne pas laisser de câbles de recharge traîner sans surveillance dans des endroits publics!

 

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