Qui aurait prédit que le cellulaire deviendrait indispensable pour une partie de la population canadienne? Avec la miniaturisation et l’ajout de fonctions toujours plus évoluées, d’indispensable, le cellulaire risque de devenir obligatoire. D’ici deux ans, les évolutions vont être énormes.
Retournons dix ans en arrière: les téléphones vedettes s’appelaient Nokia 8810 ou Motorola Startac; Sony et Ericsson étaient encore deux entreprises distinctes. Et dans leurs cellulaires, pas grand-chose à part la fonction téléphone et quelques jeux de base.
Dix ans plus tard, prenons le Nokia N95, le plus gros succès actuel dans le haut de gamme: lecteurs vidéo et MP3, mémoire de 8 Go, navigation Internet, GPS, caméra vidéo, et même Wiimote… Et ce n’est rien à côté de ce qui nous attend.
Évolution
Si l’on observe la courbe d’évolution des cellulaires, les fonctions évoluées des téléphones «haut de gamme» se retrouvent d’habitude l’année suivante sur le «milieu de gamme», puis se répercutent ensuite à plus ou moins long terme sur l’«entrée de gamme».
Dans deux ans donc, outre le GPS et des capteurs photo plus évolués, la 3G sera plus que jamais de la partie, aidée en cela par des téléphones mieux conçus pour la navigation Internet.
La mémoire bénéficiera aussi d’une nette augmentation: dans le haut de gamme (comme le futur N96), la capacité offerte sera de 16 Go en septembre. Côté batterie, des procédés prometteurs à l’essai en ce moment pourraient allonger considérablement la durée de vie des batteries.
Le cellulaire fera toutefois bien plus et mutera en un véritable porte-monnaie numérique: des achats dans les magasins jusqu’au stationnement pourront être réglés par cellulaire, qui pourra remplacer la carte de crédit. La 3G, présente en France depuis 2005 (le Japon en est à la version 3.5), arrive enfin tardivement ici, et avec des débits de 2 Mbits/s en téléchargement, la consommation d’Internet sur mobile va aller en augmentant.
Et ce n’est pas tout. Apple, qui s’est lancé depuis peu sur le marché de la téléphonie mobile, a déposé un brevet pour des capteurs solaires directement intégrés à l’écran LCD. Apple a aussi acquis cette année la société P.A. Semi. Si ce nom ne vous dit rien, le processeur pour appareils nomades sur lequel ils travaillent risque d’assurer dans un proche futur une puissance incomparable et exclusive aux futurs iPhone.
Japon, le vrai futur
S’il est un pays où la téléphonie est en avance sur le reste du monde, c’est assurément le Japon. Les fonctions de lecture MP3 faisaient à peine leur apparition chez nous que déjà, les Japonais regardaient leurs programmes télés sur leurs cellulaires.
Là-bas, les géants NTT Docomo ou KDDI Corp ont proposé des offres agressives comme Internet illimité, y compris en téléchargement, en se rattrapant avec des tarifs relativement élevés pour la téléphonie.
Le Japon reste un véritable vivier des nouvelles fonctions: le cellulaire y sert depuis des années pour les paiements, Internet et même pour ouvrir sa porte de garage. Actuellement, la téléphonie sur IP par cellulaire est lancée, les cellulaires compatibles 4G vont faire leur apparition cette année, tandis que les essais concluants réalisés par Docomo laissent présager une implantation rapide de la 4G en 2010. Cette technologie permettra des vitesses de téléchargement de plusieurs dizaines de Mbits/s, de quoi télécharger un film en quelques minutes. Pour ceux qui aiment les fonctions plus... exotiques, un capteur qui mesure la qualité de l’air va apparaître en 2010.
* * *
Pour en savoir un peu plus sur l’avenir du cellulaire, nous nous sommes entretenus avec Louie Scarfo, directeur des ventes de Nokia pour l’Est du Canada.
Est-ce que la taille des cellulaires va changer?
Louie Scarfo: Les téléphones doivent rester petits, ils auront la même taille que maintenant, mais avec un maximum de capacités.
Où en est le paiement par téléphone cellulaire?
L.S.: En Europe, le système se met en place actuellement, et Mastercard fait des essais chez Tim Hortons, où l’on peut payer en passant le cellulaire à la caisse. Nous avons lancé le 6131 prêt pour le NFC (Near Field Communication).
À part le GPS et des fonctions et capacités plus évoluées, quelles seront les prochaines fonctions?
L.S.: Bien sûr, les fonctions vont être améliorées: meilleurs capteurs photo, plus de mémoire, mais le GPS sera réservé aux téléphones 3G. Nos téléphones utiliseront la norme NFC. L’idée est de pouvoir régler ses achats, billets, stationnement avec son cellulaire. Une autre fonction va apparaître, le «Service Discovery»: vous vous promenez et voyez une affiche de film; il suffit d’approcher le cellulaire pour, par exemple, voir la bande-annonce. On pourra également échanger les contenus entre cellulaires par Bluetooth.
Vous avez présenté des cellulaires composés en partie de matériaux recyclés. Vont-il se retrouver dans votre gamme et quel pourcentage sera recyclé?
L.S.: Nos prototypes préfigurent une suite plus écologique, nous allons mettre sur le marché des cellulaires en partie recyclés, mais nous ne pouvons pas encore donner de détails sur le pourcentage de matières recyclées.
Allez-vous offrir des modèles à 25$ pour l’entrée de gamme, pour ceux qui veulent un téléphone juste pour téléphoner?
L.S.: Effectivement, nous allons mettre sur le marché des produits simples, destinés comme en ce moment à l’Inde. Il y aura toujours de la place pour ceux qui appellent pour dire «bonjour».
REF.:Canoe
mardi 8 juillet 2008
Les Québécois achètent de plus en plus en ligne
REF.: Canoë Yvon Laporte
Les Québécois sont de plus en plus nombreux à se servir d’Internet pour acheter des produits et des services. La dernière enquête à ce sujet, publiée aujourd’hui, a été réalisée par le CEFRIO, en collaboration avec SOM et l’agence Internet VDL 2.
L’indice du commerce électronique du Québec pour le mois d’avril indique que 14% des adultes québécois ont acheté pour plus de 250 M$ sur Internet. C’est l’équivalent de 800 000 personnes qui ont dépensé en moyenne 298$. De ce nombre, environ 120 000 ont effectué des achats en ligne dont la valeur dépasse 1000$.
Achats en ligne
Depuis un an maintenant, 1000 adultes sont sondés tous les mois pour connaître leurs habitudes de consommation en ligne. Au fil des mois, les responsables de l’étude ont donc été en mesure de classer les produits et services achetés en trois grandes catégories.
C’est ainsi qu’en avril, 21% des achats ont porté sur des livres, revues ou journaux, 19% des achats ont été effectués pour des vêtements, des bijoux et autres accessoires du genre et 12% ont été faits pour des appareils électroniques grand public.
Au cours des 12 derniers mois, les Québécois ont acheté pour un total de 3,3G$ par le biais d'Internet. Selon Philippe Le Roux, président de la firme VDL2, une bonne partie de cet argent a quitté le pays: «Il y a quelques semaines, nous avons réalisé que 36% des achats se faisaient sur des sites situés à l’extérieur du pays. En extrapolant, c’est 1,2 milliard $ qui échappe ainsi à notre économie».
L’indice du commerce électronique du Québec permet aux dirigeants des entreprises québécoises de prendre des décisions de plus en plus éclairées concernant leur stratégie d’affaires sur Internet. Selon Statistique Canada, en 2007, seulement 8% des entreprises privées et 16% des entreprises publiques vendaient des biens et des services en ligne au pays.
Les Québécois sont de plus en plus nombreux à se servir d’Internet pour acheter des produits et des services. La dernière enquête à ce sujet, publiée aujourd’hui, a été réalisée par le CEFRIO, en collaboration avec SOM et l’agence Internet VDL 2.
L’indice du commerce électronique du Québec pour le mois d’avril indique que 14% des adultes québécois ont acheté pour plus de 250 M$ sur Internet. C’est l’équivalent de 800 000 personnes qui ont dépensé en moyenne 298$. De ce nombre, environ 120 000 ont effectué des achats en ligne dont la valeur dépasse 1000$.
Achats en ligne
Depuis un an maintenant, 1000 adultes sont sondés tous les mois pour connaître leurs habitudes de consommation en ligne. Au fil des mois, les responsables de l’étude ont donc été en mesure de classer les produits et services achetés en trois grandes catégories.
C’est ainsi qu’en avril, 21% des achats ont porté sur des livres, revues ou journaux, 19% des achats ont été effectués pour des vêtements, des bijoux et autres accessoires du genre et 12% ont été faits pour des appareils électroniques grand public.
Au cours des 12 derniers mois, les Québécois ont acheté pour un total de 3,3G$ par le biais d'Internet. Selon Philippe Le Roux, président de la firme VDL2, une bonne partie de cet argent a quitté le pays: «Il y a quelques semaines, nous avons réalisé que 36% des achats se faisaient sur des sites situés à l’extérieur du pays. En extrapolant, c’est 1,2 milliard $ qui échappe ainsi à notre économie».
L’indice du commerce électronique du Québec permet aux dirigeants des entreprises québécoises de prendre des décisions de plus en plus éclairées concernant leur stratégie d’affaires sur Internet. Selon Statistique Canada, en 2007, seulement 8% des entreprises privées et 16% des entreprises publiques vendaient des biens et des services en ligne au pays.
La musique en ligne surpassera les ventes de CD dès 2011.
Le règne du disque compact (CD) tirerait à sa fin, une étude laissant entendre que l'achat de musique téléchargée en ligne surpassera les ventes de CD dès 2011.
Le dernier rapport de l'entreprise PricewaterhouseCoopers sur l'avenir des médias, publié mercredi, fait état de bouleversements profonds dans les habitudes de consommation de musique.
Ainsi, l'achat de mélodies sur Internet devrait faire un bond de 28,3% annuellement, passant de 122 millions $ US en 2007 à 424 millions $ US en 2012.
Au même moment, les ventes de CD chuteront de 16,2% à chaque année, pour n'atteindre que 235 millions $ US en 2012, alors qu'elles étaient de 572 millions $ US l'an dernier.
La musique sans support physique, à proprement parler, connaît une ascension solide, pendant que le déclin du CD se manifeste plus rapidement que prévu.
Déjà, en avril dernier, le site de musique en ligne iTunes de la compagnie Apple a ravi au géant Wal-Mart Store Inc. le titre de plus important vendeur de musique.
PricewaterhouseCoopers s'attend à ce qu'Apple conserve son emprise sur le marché, avec des ventes qui pourraient s'élever à pas moins de 366 millions $ US d'ici 2011.
REF.:Canoe
Le dernier rapport de l'entreprise PricewaterhouseCoopers sur l'avenir des médias, publié mercredi, fait état de bouleversements profonds dans les habitudes de consommation de musique.
Ainsi, l'achat de mélodies sur Internet devrait faire un bond de 28,3% annuellement, passant de 122 millions $ US en 2007 à 424 millions $ US en 2012.
Au même moment, les ventes de CD chuteront de 16,2% à chaque année, pour n'atteindre que 235 millions $ US en 2012, alors qu'elles étaient de 572 millions $ US l'an dernier.
La musique sans support physique, à proprement parler, connaît une ascension solide, pendant que le déclin du CD se manifeste plus rapidement que prévu.
Déjà, en avril dernier, le site de musique en ligne iTunes de la compagnie Apple a ravi au géant Wal-Mart Store Inc. le titre de plus important vendeur de musique.
PricewaterhouseCoopers s'attend à ce qu'Apple conserve son emprise sur le marché, avec des ventes qui pourraient s'élever à pas moins de 366 millions $ US d'ici 2011.
REF.:Canoe
Les ventes de disques vinyl ont bondi de 36% entre 2006 et 2007
Regain de popularité pour les disques de vinyle:
C'est une erreur qui, en bout de compte, s'est révélée heureuse pour la chaîne américaine de magasins de disques Fred Meyer.
Au printemps, un employé a commandé par erreur des boîtes entières de disques de vinyle du nouvel album du groupe R.E.M., Accelerate, au lieu de les commander en format disque compact.
Certains établissements ont simplement retourné ces boîtes à l'expéditeur, mais ceux qui ont pris une chance et les ont placés sur les tablettes ont eu une belle surprise: 20 exemplaires se sont vendus dès la première journée.
L'entreprise - dont le siège social se trouve à Portland, en Oregon - a rapidement réalisé que l'erreur n'était peut-être pas aussi grave que ça. Elle offre maintenant des disques de vinyle dans 60 de ses magasins en Oregon, en Californie, dans l'État de Washington et en Alaska.
D'autres grands détaillants, comme BestBuy, reviennent eux aussi au vinyle. Et le géant Amazon.com, qui n'a jamais cessé de vendre de disques de vinyle depuis sa création il y a 13 ans, leur consacre depuis l'automne dernier une section particulière.
Chez Fred Meyer, le meilleur vendeur à ce jour est le légendaire album Abbey Road, des Beatles. Mais les disques de groupes comme The White Stripes, The Foo Fighters, Metallica et Pink Floyd se vendent aussi bien, dit l'entreprise.
«Ce n'est pas simplement une question de nostalgie, a dit la porte-parole de la chaîne, Melinda Merrill. Les clients nous disent simplement qu'ils aiment ça, ils trouvent que le son est meilleur.»
Selon les données de la Recording Industry Association of America, les envois de disques de vinyle par les fabricants ont bondi de 36% entre 2006 et 2007, pour atteindre quelque 1,3 million d'albums. Pendant la même période, les envois de disques compacts ont chuté de 17%, à 511 millions d'albums, essentiellement en raison de la concurrence des formats numériques.
Le retour des disques de vinyle s'inscrit dans un long débat entourant la qualité du son analogique et celle du son numérique. Les enregistrements numériques sont en réalité un montage de centaines de petits échantillons de sons accolés les uns aux autres pour former une pièce ininterrompue.
Les enregistrements analogiques sur les disques de vinyle sont plutôt des enregistrements continus, ce qui donne un son plus riche, de l'avis de certains experts. Mais paradoxalement, certains nouveaux disques de vinyle sont maintenant assemblés numériquement avant d'être offerts en format vinyle.
Certains puristes estiment aussi que la compression requise par certains formats numériques se fait au détriment de la qualité du son.
Mais ce n'est pas seulement une question de son. Certains audiophiles recherchent l'expérience complète des disques de vinyle - l'expérience sensorielle de placer l'aiguille sur le disque, les sensations des faces A et B, le plaisir de lire le texte des pochettes...
«Je ne crois pas que le vinyle soit pour tout le monde; c'est pour l'audiophile fanatique», a dit Jay Millar, le directeur du marketing pour United Record Pressing, une entreprise américaine qui compte parmi les principaux producteurs de disques de vinyle des États-Unis.
Certains artistes offrent maintenant le meilleur des deux mondes, proposant aux consommateurs qui achètent la version vinyle de télécharger gratuitement certaines pièces en format numérique.
Lui-même un audiophile sérieux, M. Millar a récemment renoué avec le vinyle.
«Une fois que j'ai eu acheté mon premier iPod (...) j'ai regardé ma montagne de disques compacts et je me suis demandé comment je pouvais justifier ça, a-t-il dit. Les choses que j'aimais - l'art, le texte des pochettes, la qualité du son - et j'ai réalisé que toutes ces choses sont meilleures en vinyle.»
Il a retrouvé avec plaisir les petites imperfections de son qui caractérisent fréquemment les enregistrements en support vinyle. «J'aime le fait que si c'est imparfait sous plusieurs aspects, eh bien la musique en direct est elle aussi imparfaite», a-t-il expliqué.
REF.:Associated Press (AP)
C'est une erreur qui, en bout de compte, s'est révélée heureuse pour la chaîne américaine de magasins de disques Fred Meyer.
Au printemps, un employé a commandé par erreur des boîtes entières de disques de vinyle du nouvel album du groupe R.E.M., Accelerate, au lieu de les commander en format disque compact.
Certains établissements ont simplement retourné ces boîtes à l'expéditeur, mais ceux qui ont pris une chance et les ont placés sur les tablettes ont eu une belle surprise: 20 exemplaires se sont vendus dès la première journée.
L'entreprise - dont le siège social se trouve à Portland, en Oregon - a rapidement réalisé que l'erreur n'était peut-être pas aussi grave que ça. Elle offre maintenant des disques de vinyle dans 60 de ses magasins en Oregon, en Californie, dans l'État de Washington et en Alaska.
D'autres grands détaillants, comme BestBuy, reviennent eux aussi au vinyle. Et le géant Amazon.com, qui n'a jamais cessé de vendre de disques de vinyle depuis sa création il y a 13 ans, leur consacre depuis l'automne dernier une section particulière.
Chez Fred Meyer, le meilleur vendeur à ce jour est le légendaire album Abbey Road, des Beatles. Mais les disques de groupes comme The White Stripes, The Foo Fighters, Metallica et Pink Floyd se vendent aussi bien, dit l'entreprise.
«Ce n'est pas simplement une question de nostalgie, a dit la porte-parole de la chaîne, Melinda Merrill. Les clients nous disent simplement qu'ils aiment ça, ils trouvent que le son est meilleur.»
Selon les données de la Recording Industry Association of America, les envois de disques de vinyle par les fabricants ont bondi de 36% entre 2006 et 2007, pour atteindre quelque 1,3 million d'albums. Pendant la même période, les envois de disques compacts ont chuté de 17%, à 511 millions d'albums, essentiellement en raison de la concurrence des formats numériques.
Le retour des disques de vinyle s'inscrit dans un long débat entourant la qualité du son analogique et celle du son numérique. Les enregistrements numériques sont en réalité un montage de centaines de petits échantillons de sons accolés les uns aux autres pour former une pièce ininterrompue.
Les enregistrements analogiques sur les disques de vinyle sont plutôt des enregistrements continus, ce qui donne un son plus riche, de l'avis de certains experts. Mais paradoxalement, certains nouveaux disques de vinyle sont maintenant assemblés numériquement avant d'être offerts en format vinyle.
Certains puristes estiment aussi que la compression requise par certains formats numériques se fait au détriment de la qualité du son.
Mais ce n'est pas seulement une question de son. Certains audiophiles recherchent l'expérience complète des disques de vinyle - l'expérience sensorielle de placer l'aiguille sur le disque, les sensations des faces A et B, le plaisir de lire le texte des pochettes...
«Je ne crois pas que le vinyle soit pour tout le monde; c'est pour l'audiophile fanatique», a dit Jay Millar, le directeur du marketing pour United Record Pressing, une entreprise américaine qui compte parmi les principaux producteurs de disques de vinyle des États-Unis.
Certains artistes offrent maintenant le meilleur des deux mondes, proposant aux consommateurs qui achètent la version vinyle de télécharger gratuitement certaines pièces en format numérique.
Lui-même un audiophile sérieux, M. Millar a récemment renoué avec le vinyle.
«Une fois que j'ai eu acheté mon premier iPod (...) j'ai regardé ma montagne de disques compacts et je me suis demandé comment je pouvais justifier ça, a-t-il dit. Les choses que j'aimais - l'art, le texte des pochettes, la qualité du son - et j'ai réalisé que toutes ces choses sont meilleures en vinyle.»
Il a retrouvé avec plaisir les petites imperfections de son qui caractérisent fréquemment les enregistrements en support vinyle. «J'aime le fait que si c'est imparfait sous plusieurs aspects, eh bien la musique en direct est elle aussi imparfaite», a-t-il expliqué.
REF.:Associated Press (AP)
un milliard d’ordinateurs sur la planète(c'est 1 personne sur 6 )
On compte actuellement plus d’un milliard d’ordinateurs personnels sur la planète, l’équivalent d’un ordinateur pour six personnes. C’est ce qu’affirme la firme de recherche Gartner, qui explique que depuis quelques années, l’industrie des ordinateurs connaît une vigueur incroyable.
Cette situation s’explique notamment par la popularité des ordinateurs portatifs et par la très forte demande des pays émergents.
S’il a fallu plus de 25 ans pour atteindre cette marque, il semble qu’il ne faudra que quelques années pour la doubler. D’ici 2013, le taux de pénétration des PC dans les marchés émergents devrait doubler, ce qui fait que dans six ans, nous aurons atteint la barre des deux milliards, si on se fie aux conclusions de l’étude.
«La pénétration rapide des marchés émergents est provoquée par l’expansion explosive des connexions haut débit et sans fil dans ces marchés, la baisse continuelle des prix moyens de vente de PC et la réalisation générale que les PC sont des outils indispensables pour l’avancée» poursuit le rapport.
Si l’étude semble favorable à l’essor de cette industrie, elle l’est beaucoup moins pour l’environnement. La firme prétend que 180 millions d’ordinateurs personnels seront remplacés cette année. «Nous estimons à plus de 35 millions le nombre de PC qui seront jetés en pleine nature, sans aucune précaution quant aux produits toxiques qu’ils contiennent» a souligné Meike Escherich, analyste chez Gartner.
Il y a quelques semaines, la firme Gartner a revu à la hausse ses prévisions de croissance pour l’industrie des PC en 2008. Elle avance une progression de 12% alors que de son côté la firme IDC parle plutôt de 15%.
Aux États-Unis, IDC prévoit que les ventes d’ordinateurs portables vont augmenter cette année de 24% alors que les ventes d’ordinateurs de bureaux devraient demeurer stables ou même diminuer légèrement.
Cette situation s’explique notamment par la popularité des ordinateurs portatifs et par la très forte demande des pays émergents.
S’il a fallu plus de 25 ans pour atteindre cette marque, il semble qu’il ne faudra que quelques années pour la doubler. D’ici 2013, le taux de pénétration des PC dans les marchés émergents devrait doubler, ce qui fait que dans six ans, nous aurons atteint la barre des deux milliards, si on se fie aux conclusions de l’étude.
«La pénétration rapide des marchés émergents est provoquée par l’expansion explosive des connexions haut débit et sans fil dans ces marchés, la baisse continuelle des prix moyens de vente de PC et la réalisation générale que les PC sont des outils indispensables pour l’avancée» poursuit le rapport.
Si l’étude semble favorable à l’essor de cette industrie, elle l’est beaucoup moins pour l’environnement. La firme prétend que 180 millions d’ordinateurs personnels seront remplacés cette année. «Nous estimons à plus de 35 millions le nombre de PC qui seront jetés en pleine nature, sans aucune précaution quant aux produits toxiques qu’ils contiennent» a souligné Meike Escherich, analyste chez Gartner.
Il y a quelques semaines, la firme Gartner a revu à la hausse ses prévisions de croissance pour l’industrie des PC en 2008. Elle avance une progression de 12% alors que de son côté la firme IDC parle plutôt de 15%.
Aux États-Unis, IDC prévoit que les ventes d’ordinateurs portables vont augmenter cette année de 24% alors que les ventes d’ordinateurs de bureaux devraient demeurer stables ou même diminuer légèrement.
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