Peek et Pop, ce sont les drôles de noms de deux fonctions liées à l'écran 3D Touch des iPhone 6s.D'une pression légère, on active Peek, qui, comme son nom l'indique en
anglais, sert à jeter un coup d'œil à un lien dans Messages, par
exemple. Si on appuie plus fort, Pop ouvre la page complète dans Safari.
Il y a aussi les Quick Actions, des raccourcis quand on fait une
pression sur l'icône d'une application.
Est-ce que c'est pratique ? Oui, répondent très clairement les
journalistes qui ont pu avoir les nouveaux iPhone entre les mains au
sortir du keynote.
Avant l'essai, Dieter Bohn de The Verge s'attendait à tomber sur des menus et options cachés, mais c'est plus « intelligent » que cela, selon lui. On a véritablement un aperçu du contenu quand on fait un Peek, raconte-t-il.
David Pierce, de Wired, note que l'on peut totalement se passer de Peek et Pop si l'on veut. « Mais
une fois que vous avez découvert cela, tout semble aller plus vite et
être plus direct. D'une simple collection d'apps, l'iPhone devient
quelque chose de cohérent », explique-t-il. Même son de cloche enthousiaste pour Chris Velazco d'Engadget.
Depuis qu'il a vu qu'il pouvait mettre à jour son statut sur Facebook
ultra rapidement grâce à une Quick Action, il espère que toutes les apps
prendront en charge l'écran 3D Touch afin de faire gagner du temps.
David Pierce souligne tout de même un écueil : à l'instar de la
fonction Force Touch sur Apple Watch, impossible de savoir quand une
fonction 3D Touch est disponible. Il faut littéralement tâtonner pour
repérer les apps et les éléments sensibles à Peek et Pop.
Facebook et Instagram ont annoncé le support de 3D Touch dans leurs apps, et les jeux seront également de la partie.
iPad
Pro, Apple TV, Apple Watch… Tout cela, c’est bien gentil, mais cela
reste de l’argent de poche face à ce que représente l’iPhone pour Apple.
Les smartphones représentent en effet 70% du chiffre d’affaires du
constructeur, qui mise une fois de plus sur la gamme 2015 pour garnir
ses bas de laine. Apple a présenté, comme prévu, ses nouveaux iPhone
durant le special event.
Sans trop de surprise pour cette gamme intermédiaire, le design des
iPhone 6s et iPhone 6s Plus ne change guère de leurs prédécesseurs. On
compte un nouveau coloris en or rose (qui n’est pas du « vrai » or,
évidemment), et ces fichus appareils photo qui débordent au dos des
terminaux ; en revanche, le châssis est aluminum 7000. Pour le reste, « la seule chose qui a changé, c’est tout », comme l’a affirmé Tim Cook.
Cliquer pour agrandirLa
première nouveauté mise en avant est la technologie 3D Touch, qui est
l’équivalent de Force Touch inauguré sur l’Apple Watch et les trackpads
des MacBook et MacBook Pro. Les écrans des nouveaux iPhone reconnaissent
la pression du doigt, ce qui autorise de nouvelles interactions
(baptisées Quick Actions). Apple en a présenté quelques unes, permettant
par exemple de consulter un coup d’œil du document (Peek pour un
aperçu, Pop pour ouvrir le fichier), tandis qu’un appui prolongé sur une
icône affichera un menu contextuel. Il n’est même plus utile d’ouvrir
une application pour générer une action.
Pour parvenir à ce miracle, Apple a mis au point une technologie qui
mesure la distance entre le verre de l’écran et le rétro-éclairage. Le
constructeur y a ajouté un actuateur linéaire, le Taptic Engine, que
l’on connaît dans l’Apple Watch. Ce dernier permet de « ressentir » les
conséquences des appuis prolongés par de petites tapes sous le doigt.
Cliquer pour agrandirC’est « la nouvelle génération du multi-touch
», comme l’a explique Jony Ive dans la vidéo de présentation, et il est
vrai que mixer les gestes classiques avec les appuis 3D Touch offre
d’intéressantes combinaisons. Mais visiblement, il faudra tenter sa
chance un peu partout car à l’instar de l’Apple Watch, rien n’indique
qu’un élément peut être « appuyé » profondément. Les développeurs auront
accès à 3D Touch pour leurs applications. Les jeux devraient notamment
en profiter.
Les iPhone 6s et 6s Plus embarquent un processeur A9 64 bits, qui
bénéficie d’une nouvelle architecture (SiP ?), il est 70% plus rapide
que l’A8 et le GPU est 90% plus véloce (« niveau console »). Surtout, ce CPU se présente comme « optimisé pour un usage dans le monde réel » — peu importe ce que cela signifie.
Le SIP:SiP (system in package), C'est ... des différences majeures avec les SoC (system on chip) tels
que les Ax mis au point par Apple pour l’iPhone et l’iPad, est que les
puces SiP (comme dans l'Apple Watch)peuvent intégrer sur un même circuit intégré des composants
gravés en différentes tailles (28 nm pour le CPU, 14 nm pour la mémoire,
etc.). De son côté, le SoC est un die (circuit intégré)unique gravé selon un
seul processus de fabrication. Apple s'est s’inspirer de ce type
de conception pour ses iPhone 6s.(on dirait bien qu'Apple miniaturise son iPhone jusqu'a ce qu'il se retrouve dans une Apple Watch ? va t'il devenir un bracelet de communication ? )
L’A9 s’accompagne d’un coprocesseur, M9, qui est toujours actif et qui permet d’utiliser la fonction « Dis Siri
» en tout temps, plus uniquement quand l’iPhone est branché au courant.
L’iPhone 6s et 6s Plus proposent également un capteur Touch ID de
seconde génération qui se veut deux fois plus rapide.
L’appareil
photo iSight, de 12 mégapixels, offre 50% de pixels supplémentaires par
rapport au capteur de 8 mégapixels des précédents modèles (cela reste
toujours en-deçà des 23 mégapixels d’un Xperia Z5…). L’autofocus est
présenté comme plus précis, le capteur est aussi censé réduire le bruit
et les artefacts magnétiques. L’idée, martelée par Phil Schiller, est
d’offrir un rendu « fantastique » des couleurs, notamment pour les
peaux.
À l’avant, l’appareil photo FaceTime HD passe à 5 mégapixels. Des
égoportraits plein pot sont à prévoir. Ce capteur à selfie s’accompagne
d’un Retina Flash (en fait, l’écran s’illumine 3 fois plus fort qu’à
l’accoutumée grâce à une puce spécifique). L’enregistrement vidéo est
proposé en 4K ; épatant si on possède en plus un téléviseur UHD…
Parmi les nouveautés inattendues, Apple a lancé avec les Live Photos :
en maintenant le doigt sur l’écran durant une prise de vue, on
enregistrera une séquence avec l’audio. Grosso modo, c’est… une vidéo,
en somme.
Au rayon réseau, les nouveaux iPhone proposent la prise en charge
d’une LTE Advanced : jusqu’à 23 réseaux 4G sont désormais supportées
(avec des performances pouvant aller jusqu’à 300 Mbit/s). Bien que l’iPhone 6 prenait techniquement en charge la « vraie » 4G,
la 4G LTE-A, Apple avait préféré communiquer sur les débits plutôt que
sur les technologies. Les choses sont plus simples cette année : comme
l’iPhone 6s
est doté d’une puce de catégorie 6, permettant d’atteindre jusqu’à
300 Mb/s, il sera sans doute présenté par les opérateurs comme « un
appareil 4G+ ».
Le Wi-Fi est
lui deux fois plus rapide. Parmi les accessoires, Apple propose de
nouveaux docks aux quatre couleurs des iPhone, de nouveaux coloris pour
les étuis maison.
Malgré
les Live Photos et l’enregistrement 4K, il faudra se contenter d’un
modèle d’entrée de gamme de 16 Go, ce qui est franchement rachitique.
Les tarifs ont été annoncés en dollars avec un abonnement de deux ans,
les tarifs étant de 199$/299$/399$ pour l’iPhone 6s de 16, 64 et 128 Go,
et de 299$/399$/499$ pour l’iPhone 6s Plus de mêmes capacités.
La
gamme comprend l’iPhone 5s (« gratuit »… avec un abonnement), l’iPhone 6
(à partir de 99$) et l’iPhone 6 Plus (à partir de 199$). Aux
États-Unis, Apple inaugure un programme de renouvellement annuel de
l’iPhone à base de location du smartphone (les tarifs débutent à 32$).
La France fait partie de la première vague de lancement des iPhone 6s,
le 25 septembre.
Les prix en France ont malheureusement augmenté, comme on pouvait le
craindre. Pour l’iPhone 6s : 749 € (16 Go), 859 € (64 Go) et 969 € (128
Go). Pour l’iPhone 6s Plus : 859 € (16 Go), 969 € (64 Go) et 1 079 €
(128 Go). Les précommandes débutent le 12 septembre.
Et iOS 9 sortira le 16 septembre !
Mais ,si vous voulez vous transformer en bêta-testeur,voila l'iOS 9 en pre-release iOS 9 GM(golden master) sorti le 9 septembre pour vous, ICI !
(iOS 9 devrait vous faire gagner plus de 3 Go de d'espace dans votre iPhone,car il deviendra réduit a bien moins qu' 1.3 Go.)
iOS 8 pesait 4.58GB tandis qu' iOS 9 est réduit a 1.3GB.
-Et bien sûr le livre "Les nouveautés d’iOS 9"
en pré-commande sur itunes : iOS9 ,Voila !
L'iPad Pro et l'iPad mini 4 sont arrivés chez Apple
L'iPad a bien été au rendez-vous de ce special event,
un appareil que Tim Cook, insatiable supporter de cette tablette malgré
des ventes qui ne suivent pas toujours des courbes ascendantes, a
qualifié « d'expression ultime de notre vision du futur de l'informatique ». Il y en a même eu deux, avec une brève apparition de l'iPad mini 4.
« La plus grande nouvelle pour l'iPad depuis le premier iPad » s'est traduite par l'annonce de "l'iPad Pro",
décrit comme le modèle le plus puissant jamais conçu par Apple. Écran
plus grand, nouvelles fonctions et performances inédites pour ce
produit.
iPad Air et iPad ProEn
format paysage, son écran de 12,9" propose une définition de
2732 x 2048, c'est davantage que la définition du MacBook Pro 15" Retina
(2880 x 1800). Il autorise l'affichage d'un clavier virtuel pleine
taille. Sa dalle est d'une hauteur identique à l'écran de l'iPad Air 2
et cela laisse encore de la place sur le côté pour afficher du contenu.
Une surface qui sera amplement adaptée à l'utilisation de Split View —
la vue partagée — dans iOS 9. Il n'y a pas de Force Touch pour cet
écran, la pression est gérée depuis le stylet.
L'iPad
Pro un processeur flambant neuf — l'A9X — et son support de stockage
est deux fois plus rapide que les iPad actuels. Au point que Schiller a
parlé de « performances équivalentes à celle d'un ordinateur de bureau »
et d'un processeur graphique à la hauteur des consoles. Schiller est
allé jusqu'à assurer que cet iPad Pro était plus rapide que 80% des
portables PC sortis ces derniers mois, et 80% sur les performances
graphiques.
Le tout forme un iPad 22 fois plus rapide, en termes de processeur,
au tout premier modèle et il est jusqu'à 360 fois plus véloce sur sa
partie graphique. L'autonomie est annoncée à 10 heures.
Cet iPad inaugure un système audio avec quatre haut parleurs dont la
stéréo est ajustée dynamiquement en fonction de la manière dont on tient
son iPad. Il est doté de Touch ID, d'une caméra iSight 8 mpx et existe
en deux versions.
S'agissant de son format, son épaisseur est de 6,9 mm contre 6,1 mm
pour l'iPad Air et il pèse 712 grammes, c'est un peu plus que le premier
iPad (698 grammes).
L'iPad Pro est accompagné de deux nouveaux accessoires, un clavier et un stylet. Le "Smart Keyboard"
sert tout autant de périphérique de saisie que de protection pour
l'écran et de support pour tenir l'écran posé verticalement. Il dispose
d'un nouveau design de touches et il se fixe à l'iPad par des aimants.
Une fois le clavier connecté, iOS le détecte et adapte son interface à
la saisie.
La grande nouveauté suivante a été "l'Apple Pencil",
un stylet aux lignes très épurées. Jonathan Ive l'a vendu sur le thème
de la précision, lorsqu'on a besoin d'interagir avec son iPad avec autre
chose que ses gros doigts, par exemple pour dessiner finement. Le
"Pencil" gère la pression, l'inclinaison de sa pointe et sait produire
des tracés précis. Microsoft et Adobe sont notamment venus sur scène
pour promouvoir leurs apps avec cette grande tablette.
Si
l'on veut travailler en même temps avec le doigt tout en utilisant le
stylet sur l'écran, aucun problème, les deux modes d'interaction sont
détectés simultanément par la tablette. Enfin, si l'on a besoin de
recharger son Pencil, on peut le brancher directement sur le port
Lightning de l'iPad.
L'iPad
Pro existe en version argent, gris sidéral et noire. Il sortira en
novembre à 799 $ (32 Go), 949 $ (128 Go) et 1079 $ (128 Go avec la 4G en
plus du Wi-Fi). Le Pencil sera vendu 99 $ et le Smart Keyboard 169 $.
En marge de cet iPad Pro, l'iPad mini 4 est entré dans
la gamme avec un prix de départ de 399 $. Il fait sortir l'iPad mini qui
est remplacé par le mini 2 à 269 $. Ce mini 4 a été rapidement évacué,
Phil Schiller a simplement précisé qu'il contenait l'équivalent de
l'iPad Air 2 dans un format plus réduit.
Le « futur de la télévision », c'est ce qu'est censé incarner le tout nouvel Apple TV qui vient d'être annoncé par Apple.
Le
design ne change pas, si ce n'est que le nouveau boîtier noir est plus
haut que l'ancien. Il est accompagné d'une télécommande disposant d'une
surface tactile en verre pour naviguer plus rapidement dans les vidéos
et l'interface.
Car le système d'exploitation a été revu. Basé sur iOS, il s'appelle
tvOS. Le thème sombre laisse sa place à un thème clair et de nouvelles
animations modernisent l'ensemble. Apple a également mis à jour toutes
ses applications et introduit Apple Music.
Parmi
les six boutons de la télécommande, il y en a un spécialement dédié à
Siri. L'assistant vocal est effectivement intégré à tvOS et prend part à
la recherche universelle (iTunes, Netflix, Hulu, HBO, Showtime...).
Demandez « Montre moi l'épisode de Modern Family avec Edward Norton », et Siri va chercher cet épisode parmi toutes les apps installées. Siri peut aussi servir à contrôler la lecture : « avance de 5 minutes », « recule de 10 minutes »...
L'Apple TV s'ouvre enfin aux applications tierces. Les développeurs
ont à leur disposition un SDK (disponible dès aujourd'hui) pour créer
des apps pour le grand écran. Eddy Cue a mentionné Hulu, HBO, AirBnB...
Gilt, une application de shopping, a eu le droit à une démonstration
pendant la conférence, tout comme MLB (baseball américain).
Mais
il y a aussi des jeux. Le créateur de Crossy Roads a fait une démo
multijoueur très fun, tandis que Harmonix, à l'origine de la franchise
Guitar Hero, a présenté Beat Sports, un jeu musical pour toute la
famille. Un appareil iOS peut être utilisé comme manette.
Le nouvel Apple TV est équipé d'un processeur A8, du Bluetooth 4.0
(pour la télécommande) et du Wi-Fi 802.11ac. La télécommande sait
contrôler les téléviseurs compatibles avec la norme HDMI CEC. Une seule
charge permet de tenir trois mois et on la recharge via un port Lightning.
L'Apple TV 2015 sera disponible fin octobre aux USA à 149 $ (et dans 80 pays a la fin de l'année)pour le modèle 32 Go et 199 $ pour le modèle 64 Go.
Et pour le iOS des iPhone , ça devrait sortir le 16 septembre !
Les licences relatives au Blu-ray Ultra HD sont désormais
disponibles. Les fabricants de lecteurs de Blu-ray et les éditeurs de
films et de séries peuvent achever la conception de leurs produits et
les commercialiser dans la foulée, probablement d'ici les fêtes de fin
d'année.
Des téléviseurs 4K Ultra HD sont commercialisés depuis plusieurs années,
mais le Blu-ray n'était pas encore à la page. C'est pourtant le support
de diffusion le plus propice, car il faudra des années avant que la
télévision ou même le streaming en Ultra HD (donc le très haut débit) ne
se démocratisent.
Puis la BDA a annoncé
le 5 août la date de disponibilité des licences. Les fabricants et
éditeurs peuvent ainsi en acquérir, comme prévu, depuis hier, le lundi
24 août 2015.
L'Ultra HD Blu-ray réclamera de nouveaux lecteurs
Pour commencer, les disques seront baptisés « Ultra HD Blu-ray », ou Blu-ray Ultra HD en français. Contrairement aux communicants des fabricants de téléviseurs,
l'organisme distingue la 4K, la définition de 4096 x 2160 pixels
employée au cinéma, de l'ultra haute définition, qui mesure 3840 x 2160
pixels.
Les Blu-ray Ultra HD exploiteront comme prévu la norme de compression
HEVC, successeur de l'AVC employée par les Blu-ray existants. Les
lecteurs commercialisés jusqu'à présent ne seront donc pas compatibles,
bien que la plupart seront compatibles avec le support physique,
c'est-à-dire avec les futurs disques triple couche de 100 Go.Les disques Ultra HD pourront contenir de 66 à
100 Go de données sur deux ou trois couches physiques, là où les Blu-ray
actuels plafonnent à 25 ou 50 Go (simple ou double couche).
Du HFR mais pas de 3D: Les futures spécifications permettront enfin d'éditer des Blu-ray Ultra
HD avec une cadence d'image maximale de 60 images par seconde, ce qu'on
appelle le HFR (high frame rate), pour autant la norme ne prendra pas en
charge la 3D, du moins pas dans un premier temps. En effet le codec
HEVC ne dispose pas (encore) d'équivalent du sous-ensemble MVC de l'AVC,
qui permet de stocker deux canaux (gauche et droite) pour chaque image.
Alors que les premiers lecteurs de Blu-ray 4K sont attendus sur
le marché fin 2015, Panasonic présente au CES un prototype dont il ne
dit presque rien.
Comme la totalité des constructeurs de téléviseurs du marché, Panasonic
mise sur l'Ultra HD, également connu sous le nom de 4K, pour 2015. Si,
du côté des écrans, les produits sont bien là, c'est très différent en
ce qui concerne les lecteurs de contenus sur disque. D'ailleurs, à ce
jour, le support physique Ultra HD est toujours aux abonnés absents : on
trouve juste sur le marché des Blu-ray « Mastered in 4K » qui proposent des vidéos en 1080p avec un bitrate amélioré. Aujourd'hui, il n'y a que l'upscalling qui permet de bénéficier d'une image Ultra HD à partir d'un Blu-ray.
Et le HDMI 2.0 :Le consortium en charge du HDMI a finalement bouclé les
spécifications de la version 2.0 de la norme, qui autorise la
transmission de contenus vidéo 4K jusqu'à 60 images par seconde. La norme est rétro-compatible, ce qui signifie qu'un périphérique 2.0
pourra sans problème communiquer avec un appareil muni de liaisons HDMI
.x. Les câbles actuels de catégorie 2 sont par ailleurs pleinement
compatibles avec le HDMI 2.0, tout comme les connecteurs déjà en
vigueur.
Principale nouveauté : une augmentation significative de la bande
passante qui passe de 10,2 Gb/s à 18 Gb/s, soit un débit suffisant pour
envisager la transmission de contenus vidéo 4K (2160p, soit 4096 x 2160
pixels) à 60 images par seconde. Le HDMI 2.0 ouvre donc la voie à la
démocratisation des équipements de salon compatibles 4K ou, par
inclusion, Ultra HD (3840 x 2060 pixels).