Les Canadiens et les Québécois sont colonisés. Aucun pays occidental n’a si peu de contrôle sur ses ressources naturelles, que vos politiciens asservis ont bradées à des étrangers pour une poignée de petit change.
Prenons l’envolée (oui, oui, une autre) du prix de l’essence, justifiée par des motifs fumeux comme d’habitude. Invasion de l’Irak, problèmes au Nigeria, menaces américaines sur l’Iran et enlèvement d’Hugo Chavez, etc. Toutes les raisons venant des pétrolières et des spéculateurs sont bonnes pour vous extorquer, et vous avalez ça.
Les titres ahurissants de ces articles m’ont fait bondir : «Le Québec n’a pas à craindre de pénurie» (La Presse, 23 février 2011) et «Les craintes d’une pénurie s’apaisent» (Le Devoir, 26 février 2011). Faut arrêter d’agir en innocents. Puis-je vous rappeler que le Canada est le septième producteur de pétrole (troisième de gaz naturel) au monde, le principal exportateur de pétrole aux États-Unis et est assis sur la deuxième réserve prouvée de pétrole de la planète. Il y a beaucoup de pétrole en Alberta, à Terre-Neuve et bientôt au Québec, lequel aurait pu satisfaire les besoins de la province au prix que nous aurions nous-mêmes décidé si vos élus n’avaient pas cédé cette ressource naturelle à des connaissances, qui l’ont vite refilée à des étrangers, devenant ainsi millionnaires sans effort, sans investissement et sans risque.
C’est quoi alors, la «joke» de la crainte d’une pénurie de pétrole au Québec, alors que l’on fait partie d’un pays gros producteur de pétrole et de gaz naturel. On exporte notre pétrole et notre gaz naturel aux States pendant qu’on en importe pour le Québec et l’Ontario. Peu importe ce qui arrive dans le monde (toujours des prétextes pour vous arnaquer), on est un pays auto-suffisant, et même exportateur. Notre pétrole et notre gaz naturel ne nous appartiennent plus collectivement, étant détenus par des étrangers, surtout américains, ce qui, jumelé au traité de libre-échange (Canada - États-Unis) fait que l’on a plus aucune emprise sur nos ressources. Où sont ceux qui se font les champions défenseurs de la liberté? Liberté pour qui? Elle est où votre merveilleuse démocratie quand des étrangers viennent ici exploiter vos ressources naturelles, vous les vendent à gros prix et partent avec le butin?
Il y a environ 10 ans, à la suite de la privatisation de l’électricité aux States, il y a eu des pannes gigantesques en Californie qui ont fait exploser les tarifs. Le Québec a été à l’abri parce que nous contrôlons collectivement notre énergie électrique. Peu importe ce qui se produit ailleurs, ça ne nous affecte pas, car nous sommes propriétaires de notre électricité.
– Les opinions exprimées dans cette tribune ne sont pas nécessairement celles de Métro.
Prenons l’envolée (oui, oui, une autre) du prix de l’essence, justifiée par des motifs fumeux comme d’habitude. Invasion de l’Irak, problèmes au Nigeria, menaces américaines sur l’Iran et enlèvement d’Hugo Chavez, etc. Toutes les raisons venant des pétrolières et des spéculateurs sont bonnes pour vous extorquer, et vous avalez ça.
Les titres ahurissants de ces articles m’ont fait bondir : «Le Québec n’a pas à craindre de pénurie» (La Presse, 23 février 2011) et «Les craintes d’une pénurie s’apaisent» (Le Devoir, 26 février 2011). Faut arrêter d’agir en innocents. Puis-je vous rappeler que le Canada est le septième producteur de pétrole (troisième de gaz naturel) au monde, le principal exportateur de pétrole aux États-Unis et est assis sur la deuxième réserve prouvée de pétrole de la planète. Il y a beaucoup de pétrole en Alberta, à Terre-Neuve et bientôt au Québec, lequel aurait pu satisfaire les besoins de la province au prix que nous aurions nous-mêmes décidé si vos élus n’avaient pas cédé cette ressource naturelle à des connaissances, qui l’ont vite refilée à des étrangers, devenant ainsi millionnaires sans effort, sans investissement et sans risque.
C’est quoi alors, la «joke» de la crainte d’une pénurie de pétrole au Québec, alors que l’on fait partie d’un pays gros producteur de pétrole et de gaz naturel. On exporte notre pétrole et notre gaz naturel aux States pendant qu’on en importe pour le Québec et l’Ontario. Peu importe ce qui arrive dans le monde (toujours des prétextes pour vous arnaquer), on est un pays auto-suffisant, et même exportateur. Notre pétrole et notre gaz naturel ne nous appartiennent plus collectivement, étant détenus par des étrangers, surtout américains, ce qui, jumelé au traité de libre-échange (Canada - États-Unis) fait que l’on a plus aucune emprise sur nos ressources. Où sont ceux qui se font les champions défenseurs de la liberté? Liberté pour qui? Elle est où votre merveilleuse démocratie quand des étrangers viennent ici exploiter vos ressources naturelles, vous les vendent à gros prix et partent avec le butin?
Il y a environ 10 ans, à la suite de la privatisation de l’électricité aux States, il y a eu des pannes gigantesques en Californie qui ont fait exploser les tarifs. Le Québec a été à l’abri parce que nous contrôlons collectivement notre énergie électrique. Peu importe ce qui se produit ailleurs, ça ne nous affecte pas, car nous sommes propriétaires de notre électricité.
– Les opinions exprimées dans cette tribune ne sont pas nécessairement celles de Métro.
1 commentaire:
Ça sert a quoi, GazMetro c'est pas ou pourrait pas être le pétrole aussi ? On a de l'argent a investir la dedans ,ça serait intéressant !
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