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CLUMEQ, le superordinateur lancé la semaine dernière à Montréal, s’est classé au 55e rang dans le palmarès TOP500 des superordinateurs du monde, publié lundi.
Lors de la conférence de lancement qui se tenait à l’ÉTS mardi dernier, Elie Abdul-Massih d’IBM espérait «faire partie du top 100 dans la liste publiée en Allemagne.» Les concepteurs peuvent donc dire mission accomplie.
L’ordinateur est un partenariat entre l’École de technologie supérieure (ÉTS) et l’université McGill.
Le 37ème classement mondial TOP500 a été publié à la Conférence Internationale sur les super-calculateurs (ISC'11) qui se déroule à Hambourg, en Allemagne.
Un super-calculateur japonais, développé par le groupe informatique Fujitsu et un institut de recherche nippon, a été classé premier mondial en termes de performances, pour la première fois depuis 2004. Le super-ordinateur nippon «K» a pris la première place.
Le système informatique K, actuellement en phase de configuration, totalise 68 544 processeurs.
Il s'agit d'un super-ordinateur «entièrement fabriqué au Japon, de la recherche au développement des processeurs, en passant par la conception du système et sa fabrication», ont insisté ses créateurs.
Cet ensemble, encore inachevé, affiche déjà une performance de calcul de 8162 petaflops (8162 millions de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde), se plaçant ainsi au premier rang.
K sera utilisé dans une variété de domaines des sciences informatiques (recherche climatique, météorologie, prévention des catastrophes ou encore médecine).
«Je suis ravi que nous ayons pu atteindre ce résultat, rendu possible grâce aux efforts considérables de tous les intervenants, malgré l'impact du séisme du 11 mars au nord-est du Japon», a déclaré Michiyoshi Mazuka, président de Fujitsu.
«Un tel système de calcul aurait été presque impossible à construire en utilisant des technologies conventionnelles, du fait du niveau incroyable de fiabilité requis», a-t-il ajouté.
Le classement TOP500, créé en 1993, est mis à jour deux fois par an, en juin et novembre.
REF.:
Lors de la conférence de lancement qui se tenait à l’ÉTS mardi dernier, Elie Abdul-Massih d’IBM espérait «faire partie du top 100 dans la liste publiée en Allemagne.» Les concepteurs peuvent donc dire mission accomplie.
L’ordinateur est un partenariat entre l’École de technologie supérieure (ÉTS) et l’université McGill.
Le 37ème classement mondial TOP500 a été publié à la Conférence Internationale sur les super-calculateurs (ISC'11) qui se déroule à Hambourg, en Allemagne.
Un super-calculateur japonais, développé par le groupe informatique Fujitsu et un institut de recherche nippon, a été classé premier mondial en termes de performances, pour la première fois depuis 2004. Le super-ordinateur nippon «K» a pris la première place.
Le système informatique K, actuellement en phase de configuration, totalise 68 544 processeurs.
Il s'agit d'un super-ordinateur «entièrement fabriqué au Japon, de la recherche au développement des processeurs, en passant par la conception du système et sa fabrication», ont insisté ses créateurs.
Cet ensemble, encore inachevé, affiche déjà une performance de calcul de 8162 petaflops (8162 millions de milliards d'opérations en virgule flottante par seconde), se plaçant ainsi au premier rang.
K sera utilisé dans une variété de domaines des sciences informatiques (recherche climatique, météorologie, prévention des catastrophes ou encore médecine).
«Je suis ravi que nous ayons pu atteindre ce résultat, rendu possible grâce aux efforts considérables de tous les intervenants, malgré l'impact du séisme du 11 mars au nord-est du Japon», a déclaré Michiyoshi Mazuka, président de Fujitsu.
«Un tel système de calcul aurait été presque impossible à construire en utilisant des technologies conventionnelles, du fait du niveau incroyable de fiabilité requis», a-t-il ajouté.
Le classement TOP500, créé en 1993, est mis à jour deux fois par an, en juin et novembre.
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