La cote du grand TÉO; un 9.9/10.
WILLIAM REYMOND raconte les derniers jours de l'icône. Et prouve que Marilyn ne s'est pas suicidée. Si l'actrice est morte officiellement d'une overdose de barbituriques en août 1962, certains chercheurs pensent qu'elle pourrait, comme les frères Kennedy, avoir été victime d'un assassinat.
À l’aide de documents rares, certains oubliés, d’autres négligés, mais surtout de témoignages inédits, Marilyn, le dernier secret répond de manière définitive à l’ensemble des interrogations suscitées par l’énigme Monroe.
Finalement, vous prouvez que c'est un lavement à base de Nembutal sous forme liquide qui est la cause du décès. C'est loin d'être une mort glamour… (Nembutal: un barbiturique, également appelés « downers » a été mis au point pour soulager l'insomnie, l'anxiété, la tension, l'hypertension et les convulsions.Aussi utilisé comme anesthésique. )
On ne peut pas imaginer Marilyn mourir dans ces conditions. C'est pour cela que la majorité de l'opinion publique ne peut pas croire, à raison mais pour de mauvais motifs, à la thèse de la mort naturelle. On a du mal à penser que des personnalités extraordinaires, Lady Diana est un autre exemple, peuvent avoir une mort stupide.Vous laissez, malgré tout, ouverte la porte du meurtre perpétré par son médecin personnel avec lequel la star était en conflit…
Je n'ai pas la réponse. Le docteur Greenson était extrêmement possessif avec Marilyn. Et s'il reste un dernier mystère, c'est presque tant mieux.
Marilyn Monroe est bien morte d'une sur-dose importante de barbituriques mais sans trace dans l'estomac ou l'intestin et sans injection.
Reymond trouve la réponse dans l'autopsie du docteur Noguchi : une zone de coloration mauve au niveau du côlon. Plusieurs spécialistes ont le même avis : un objet a été introduit dans l'organisme par le côlon. Un suppositoire ? Non, si la mafia utilisait cette façon de faire pour éliminer quelqu'un sans violence, l'autopsie n'en a pas trouvé trace, en outre un suppositoire ne pénètre pas loin alors que la trace mauve est dans la partie basse de l'intestin. L'hypothèse sera confirmée : elle a reçu ces barbituriques sous forme d'un lavement rectal.
Dans les années 50 à Hollywood, le lavement était apprécié pour l'administration de médicaments pour la perte de poids mais aussi dans l'excitation du plaisir sexuel qu'il procurait. On sait que Marilyn recourait à cette façon de faire
William Reymond: Après ses livres sur l’assassinat de JFK, les secrets de Coca-Cola et les coulisses de l’alimentation industrielle, William Reymond plonge dans les méandres d’Hollywood pour, au terme d’une enquête au rythme haletant, dévoiler le dernier secret de Marilyn Monroe.
Journaliste français vivant aux États-Unis, William Reymond a déjà publié de nombreux ouvrages chez Flammarion, dont les best-sellers JFK le dernier témoin, Coca-Cola l’enquête interdite et Toxic.
REF:
http://vargen57.unblog.fr/monroe-marilyn-1926-1962/
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