Technologie - Google travaille activement à la version 2 de son navigateur web. Au programme, un affichage plus rapide des pages, le support de fonctions CSS, et l’implantation du protocole HTTP pour faciliter son adaptation aux OS Mac et Linux.
Face aux difficultés pour faire adopter son navigateur par les internautes, Google accélère son développement . A peine la version 1 de Chrome est-elle finalisée que le moteur de recherches lance une version pré-bêta (ou Alpha) de Chrome 2 qui comprend un webkit revu et corrigé pour un affichage plus rapide des pages.
Autre amélioration revendiquée sur cette V2, un meilleur support de certaines fonctions CSS, un gestionnaire de formulaires pour le remplissage automatique de certaines pages et l'amélioration de l'outil de vérification de la frappe (spell-checking). On note aussi l'intégration d'un mode de navigation uniquement pour les pages sécurisées HTTPS, une fonction d'import-export des signets depuis le service en ligne Google Bookmarks, et la possibilité de faire défiler automatiquement une page web en appuyant sur un seul bouton d'une souris ou d'un pavé tactile puis en se déplaçant vers le haut ou le bas (plutôt que d'avoir à jouer l'ascenseur sur le côté de la fenêtre de navigation).
Un navigateur qui peine à séduire les internautes
Mais la plus grosse différence avec Chrome dans sa forme actuelle consiste dans l'implantation du protocole HTTP (alors que jusqu'à présent Chrome utilisait le protocole WinHTTP), ce qui devrait faciliter l'adaptation rapide de ce navigateur pour Mac OS et les différentes distributions Linux.
Google a tout intérêt à voir son navigateur porté sur ces plates-formes, la version Windows actuelle peinant à séduire un public d'internautes solidement attaché à Internet Explorer et à Firefox. En s'ouvrant à d'autres systèmes d'exploitation, Chrome peut espérer leur grappiller quelques parts de marché, mais surtout à leurs challengers moins utilisés comme Safari d'Apple ou Opera.
REF.: Les dernières versions des navigateurs web à télécharger sur ZDNet.fr
par ponceto , le 12/01/2009
Pour ma part, je pense que les navigateurs issus de grandes sociétés style Google, M$, etc ... sont à éviter. Qu'ils soient open-source ou pas, rien ne garanti que dans le binaire fourni il n'y ai pas d'analyseur permettant aux maisons mères de récupérer nos habitudes de navigation, ce qui est le cas pour chrome, mais rien ne garanti que Safari, IE ou autres ne fassent pas la même chose (imaginez la manne publicitaire que ça représente !! Ce serait bien le style de Microsoft ou Apple, et ne me faites pas croire que ce sont des gentils tout plein.
par alcapone342 , le 12/01/2009
De toute façon dans Chrome cette option est désactivable et de toute manière Google a tout ce dont il a besoin avec google-analytic.
par Alexandre.Morgaut le 12/01/2009
Ce qu'il faut avoir en tête, c'est que nombre de sites gratuits vivent de la publicité. Ils font ainsi parti, au même titre que les majors, des premiers bénéficiaire de ce type d'informations récoltés.Soyons honnête, quand on monte un site associatif, ou personnel qui se veut de bonne qualité, on finit souvent par avoir des frais. Et même si ça en fait crier certain, le moyen le plus efficace de les amortir est souvent Google Addsense dont les outils marketing fournis nous aide à améliorer la performance.Résultat ? Le visiteur reçoit des publicités sur des sujets correspondant à ses intérêt. Celles-ci sont donc moins polluante car potentiellement intéressante.En revanche, ces mêmes informations peuvent être demandées par le gouvernement du pays dans lequel le service géré.Quelles conséquences ? - Des internautes malhonnêtes (pédophiles, arnaqueur, terroriste, ...) risquent de se faire attraper (jusque là tout va bien...)- Le comportement de clients potentiels pour des entreprises soutenus par ces même gouvernements peut être "suivi" dans le but de faciliter la réalisation de contrat juteux au détriment des concurrent étrangers (là c'est le dit gouvernement qui devient malhonnête...) En gros si on est honnête et qu'on intéresse pas ces grosses entreprise, il ne devrait pas y avoir trop de soucis. Les victimes "honnêtes" potentielles seraient plutôt des entreprises comme Airbus, Total, Orange...
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